Poème:Poeme Philosophique…
Le Poème
Ou bien prétendu tel. Mon pauvre Apollinaire
Tes douces nuits rhénanes, l’abshinte au fond du verre
Et Rimbaud le maudit, par le qat envahi
Vous auriez sursauté, désormais le talent
Se mesure en « Ego », pas en bouffées d’ivresses.
Le clic d’une souris, « yes » encore une caresse
L’onaniste « Intello », pour Dieu le père se prend.
Sur les ruines du sens, sont passés leurs sabots.
Deux millénaires plus tard, greffés de numérique
Quelques singes savants écoutent des robots
Psalmodiant, pêle-mêle, Kant, quantique, cantiques.
Un logiciel absurde a écrit ce poème
Il ne dit plus : maman, ne sait pas dire : je t’aime.
Poète Halbran
Halbran a publié sur le site 107 écrits. Halbran est membre du site depuis l'année 2013.Lire le profil du poète HalbranSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Poeme Philosophique…
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tes=douces=nuits=rhé=na=nes=lab=shin=teau=fond=du=verre 12
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sur=les=rui=nes=du=sens=sont=pas=sés=leurs=sa=bots 12
deux=mil=lé=naires=plus=tard=gref=fés=de=nu=mé=rique 12
quel=ques=sin=ges=sa=vants=é=cou=tent=des=ro=bots 12
psal=mo=diant=pêle=mê=le=kant=quan=ti=que=can=tiques 12
un=lo=gi=ciel=ab=sur=dea=é=crit=ce=po=ème 12
il=ne=dit=plus=ma=man=ne=sait=pas=dire=je=taime 12
Phonétique : Poeme Philosophique…
ʒə lizε paʁ-azaʁ, œ̃n- ekʁi eʁydiu bjɛ̃ pʁetɑ̃dy tεl. mɔ̃ povʁə apɔlinεʁə
tε dusə nɥi ʁenanə, labʃɛ̃tə o fɔ̃ dy veʁə
e ʁɛ̃bo lə modi, paʁ lə ka ɑ̃vai
vuz- oʁje syʁsote, dezɔʁmε lə talɑ̃
sə məzyʁə ən « əɡɔ », pa ɑ̃ bufe divʁesə.
lə klik dynə suʁi, « iəs » ɑ̃kɔʁə ynə kaʁεsə
lɔnanistə « ɛ̃tεllɔ », puʁ djø lə pεʁə sə pʁɑ̃.
syʁ lε ʁɥinə dy sɑ̃s, sɔ̃ pase lœʁ sabo.
dø milenεʁə plys taʁ, ɡʁefe də nymeʁikə
kεlk sɛ̃ʒə savɑ̃z- ekute dε ʁɔbo
psalmɔdjɑ̃, pεlə mεlə, kɑ̃, kɑ̃tikə, kɑ̃tik.
œ̃ lɔʒisjεl absyʁdə a ekʁi sə pɔεmə
il nə di plys : mamɑ̃, nə sε pa diʁə : ʒə tεmə.
Syllabes Phonétique : Poeme Philosophique…
ʒə=li=zε=paʁ-a=zaʁ=œ̃=ne=kʁi=e=ʁy=di 12u=bjɛ̃=pʁe=tɑ̃=dy=tεl=mɔ̃=po=vʁə=a=pɔ=li=nε=ʁə 14
tε=dusə=nɥi=ʁe=na=nə=lab=ʃɛ̃=tə=o=fɔ̃=dy=ve=ʁə 14
e=ʁɛ̃=bo=lə=mo=di=paʁ=lə=ka=ɑ̃=va=i 12
vu=zo=ʁj=e=syʁ=so=te=de=zɔʁ=mε=lə=ta=lɑ̃ 13
sə=mə=zy=ʁə=ən=ə=ɡɔ=pa=ɑ̃=bu=fe=di=vʁe=sə 14
lə=klik=dynə=su=ʁi=i=əs=ɑ̃=kɔ=ʁə=y=nə=ka=ʁεsə 14
lɔ=na=nis=tə=ɛ̃=tεl=lɔ=puʁ=djø=lə=pε=ʁə=sə=pʁɑ̃ 14
syʁ=lε=ʁɥi=nə=dy=sɑ̃s=sɔ̃=pa=se=lœ=ʁə=sa=bo 13
dø=mi=le=nε=ʁə=plys=taʁ=ɡʁe=fe=də=ny=me=ʁi=kə 14
kεl=kə=sɛ̃=ʒə=sa=vɑ̃=ze=ku=te=dε=ʁɔ=bo 12
psal=mɔ=dj=ɑ̃=pε=lə=mε=lə=kɑ̃=kɑ̃=ti=kə=kɑ̃=tik 14
œ̃=lɔ=ʒi=sjεl=ab=syʁ=də=a=e=kʁi=sə=pɔ=ε=mə 14
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Commentaires Sur La Poesie
Entre l’absinthe et le qat, je vois des éléphants roses....et ma souris commence à me parler
en chinois....et mon ordi chante KANTerbrau....
Amitié...Dan....
Tchin tchin donc, les poésies philosophiques ont un fond de vérité absolument indéniable, donc sur les ruines du sens (pas des sens ou d’essence!) je te dis "à ta santé" l’ami et bravo. Amitiés du Loup.
Halbran
Bonsoir Daniel
Ne te moques pas des asiatiques, ils vont te "Saké" Hi Hi Monsieur Daniel, c’est très drôle ça.
Sinon, pas de gros nuages au dessus de la poésie ordinaire.
Je te remercie de ta visite.
A bientôt, amicalement
Guy
Halbran
Salut Loup gris
Tes visites me sont toujours agréables. Je suis heureux que tu ais apprécié ce modeste délire. Moi je carbure au rhum agricole à 50 degrés. Enfin, pas en permanence.
Merci et à bientôt, amicalement
Guy
Salut Halbran, que de vérité cher ami, et pour rire sur ’l’ego’ un petit clin d’oeil ci-dessous 
Très intellectuel, ton poème philosophique !
Halbran
Bonsoir Loic
Excellente la contribution de Vandamme.
J’ai écrit la semaine dernière sur la pomme, j’ai trouvé ça assez nul, je l’ai déchiré.
Sinon comme aurait pu le dire Daniel, : "l’égo et les couleurs" ne se discutent pas.
A bientôt compagnon de route.
Amitiés
Guy
Halbran
Bonsoir Lemmiath
Et moi qui voulait échapper à cette classification (les intellos).
Merci de ton passage
Guy
Poème Vanité
Du 23/06/2013 16:12
