Univers de poésie d'un auteur

Poème:Les Névroses Et Les Psychoses (Ii)

Le Poème

L’hystérie

Nous avons connu Janet, directeur d’un laboratoire de psychologie pathologique. L’hystérie était alors la « reine du jour ». Quelle est cette insaisissable maladie ? …
L’hystérie est une maladie trépidante, du moins en général. Elle n’est cependant pas un produit de notre siècle agité ! Durant des centaines d’années, elle a tenu médecins et psychiatres dans un climat de cauchemar et d’impuissance… Quand l’hystérie ne produisait pas des convulsions, elle provoquait de violents maux de tête. Quand les convulsions disparaissaient, des vomissements apparaissaient. Puis des paralysies. Ou la personne hystérique se retrouvait brusquement aveugle, sans aucune cause organique. Et quand la cécité passait, la surdité montrait le bout de l’oreille, si je puis dire. L’hystérie produisait également des obsessions, des crises, des idées fixes, des douleurs et des spasmes parfois atroces.
On comprend que le nombre et la variété des symptômes plongeaient les médecins dans la terreur.
Evidemment, chacun avait son opinion. Une opinion souvent définitive, comme il se doit. « C’est une hystérique »… est bien vite dit. Une crise de nerfs ? On collait l’étiquette. Une femme hyper-sexuelle ? On agissait de même. C’était évidemment bien facile, mais on était loin de la vérité.
Beaucoup croient qu’il s’agit d’une maladie purement féminine. Son nom vient d’ailleurs de cette croyance ancienne à un dérèglement de la matrice (hustera = matrice) . Mais, là aussi, on est à côté de la question.
Sachons en premier lieu :
A) que l’hystérie peut être aussi bien masculine que féminine.
B) qu’il n’y a pas une hystérie, mais toute une série de phénomènes hystériques. Ces phénomènes sont bénins et passagers, ou congénitaux et permanents.
Quel est l’âge civil de l’hystérie ?

Sans âge… Elle remonte dans la nuit des temps. L’Antiquité la connaissait fort bien. Mais (vanité masculine ou ignorance… ) , elle en accorda courtoisement l’exclusivité à la femme. Plus tard, (il fallait bien un coupable ! ) , on crut que Lucifer lui-même tempêtait dans le corps de l’hystérique. Les exorcismes ne tardèrent pas à pleuvoir sur ces « maudites », en proie aux griffes d’un diable velu… Bien, bien… mais le temps passait. Au XIXème siècle, les neurologues se penchèrent sur ce problème compliqué. Science en main. Cela n’expliqua pas grand chose au début, mais le climat changeait. Le diable entrait dans les coulisses, les neurologues en sortaient ; mais l’hystérique demeurait en scène, dans l’insaisissable de ses multiples visages… Cependant, la science se rendait compte, peu à peu, que les hystériques n’étaient ni simulateurs conscients, ni maudits, mais des malades comme d’autres malades !
La curiosité de la médecine est infinie. L’immense clavier des manifestations hystériques se déployait devant elle… Mais le mystère demeurait. Lasègue ne l’appelait-il pas : « la corbeille à papier où l’on met tout ce qui est inclassable… » ?
Le XXème siècle déboucha à son tour ; et, avec lui, les Psychologues des Profondeurs. De plus, la tendance psychosomatique de la médecine se précisa. Et alors, tout se mit à changer. L’hystérie fut ramenée, de plus en plus, à des proportions exactes.
Charcot avait montré que les phénomènes hystériques pouvaient être produits à volonté par l’hypnotisme. Et que l’hypnotisme pouvait également les faire disparaître. Or, qui dit hypnotisme, dit suggestion puissante, acceptée immédiatement par les centres nerveux inconscients.
Janet constata également la ressemblance frappante entre les manifestations hypnotiques et les phénomènes hystériques. Et il pensa que les hystériques s’étaient mis en tête qu’ils étaient paralysés, ou aveugles. Qu’ils avaient donc, dans le cerveau, une idée fixe, à la suite d’une autosuggestion irrésistible. Mais, d’où venait l’idée fixe chez les hystériques ? … qu’est-ce qui faisait que le cerveau hystérique avait « la puissance » nécessaire pour faire apparaître une paralysie, une obsession ou un mutisme ? De mieux en mieux on vit la force de la suggestion et de l’autosuggestion dans ces manifestations hystériques. On en comprit le mécanisme nerveux. La psychologie chercha les bases profondes. Et aujourd’hui, les manifestations hystériques sont curables, comme toute déficience psychologique.
Quelles sont les grandes manifestations hystériques ?
1 - Les crises : agitation totalement incohérente, sans toute fois morsure de la langue. Pas de perte d’urine (comme dans l’épilepsie) . Flux abondant de paroles, torrent de pleurs et de rires. Lamentations, parfois hurlantes. Invectives. La conscience demeure active et l’esprit en alerte. S’il y a chute, l’hystérique choisit l’endroit, et ne se blesse pratiquement jamais (ce qui a donc fait croire à la simulation totale… ) .
2 - Les paralysies : Elles sont fréquentes dans l’hystérie. Soit :
A) Monoplégie = paralysie d’un seul membre.
B) Hémiplégie = paralysie frappant la moitié du corps.
C) Paraplégie = paralysie des deux membres inférieurs ou supérieurs, ou des deux à la fois.
3 - La cécité et le mutisme : Sans base organique (souvenons-nous de la jeune femme soignée par Mesmer, et aveugle depuis l’âge de trois ans) .
4 - Les spasmes et les contractures : Ils amènent des pseudo-méningites, des pseudo-appendicites, parfois des pseudo-grossesses, etc… La sensation consciente peut être coupée. Certains hystériques iront jusqu’à se brûler atrocement ou se mutiler sans ressentir la moindre douleur. Or, nous savons également que, par hypnotisme, il est possible d’opérer sans douleur ; c’est à dire d’insensibiliser (par suggestion) certaines parties du corps. Il y a donc, ici, également, un rapport étroit. Et une question se pose : pourquoi la douleur existante (brûlure, scalpel) n’est-elle pas ressentie consciemment par le cerveau du sujet hystérique, ou hypnotisé ? Il y aurait donc, dans ces deux cas, un sommeil du cerveau conscient ; soit spontané comme dans l’hystérie, soit provoqué comme dans l’hypnotisme.
Nous devons ici nous rappeler ceci : l’idée fixe provoque le sommeil des parties du cerveau ne correspondant pas à cette idée. Ces parties inhibées du cerveau sont donc indiquées pour ne pas rendre consciente une douleur…
Le sujet hystérique peut être frappé de perte de mémoire, et se retrouver loin de l’endroit qu’il habitait. Nous tombons ici dans deux cas étranges qui se prolongent l’un l’autre : le somnambulisme et le dédoublement de la personnalité.
5 - Le somnambulisme : Il est l’un des phénomènes les plus intéressants de l’hystérie. Que se passe-t-il dans le somnambulisme ? Il s’agit d’une véritable action ; mais cette action est inconsciente. Le sujet est éveillé pour une seule chose : son rêve intérieur. Il se lève, marche, boit, mange, se livre à des actes variés. Il vit réellement son rêve, et suit aveuglément les ordres donnés par ce rêve. Il est à remarquer que le somnambule pur n’a pas de véritable conscience : donc, il n’a aucune peur. Ce qui explique que le somnambule peut, sans aucune crainte, accomplir des actions qui lui seraient dangereuses à l’état normal. Revenu à la conscience, il ne garde souvent aucun souvenir de ses activités anormales.
Mais les activités inconscientes peuvent se prolonger. Nous arrivons alors au dédoublement de la personnalité. Dans ce cas, le sujet vit sur deux « moi », ayant chacun leur vie propre ! Le premier est sous le contrôle de la conscience normale, commandée par son écorce cérébrale ; le second est dirigé par un « moi » inconscient, se trouvant dans des centres nerveux de la vie inconsciente, avec ses habitudes, ses instincts, etc.
Il nous faudra attendre l’étude de la psychosomatique pour le comprendre mieux. Tout se passe, en effet, comme si le « dédoublé » possédait deux cerveaux n’ayant aucun rapport entre eux… Dans le dédoublement de la personnalité, qui peut durer de longues années, le sujet travaille, crée, a une vie sentimentale et professionnelle, dont le caractère anormal échapperait à un observateur non averti ! J’en reparlerai bientôt.
La caractéristique primordiale de l’hystérique est la facilité d’accepter la suggestion. Il semble donc bien qu’il y ait chez lui un mauvais fonctionnement de l’écorce cérébrale, puisqu’il ne marque aucune volonté contrecarrant la suggestion. C’est pourquoi l’hystérie est une névrose tellement « contagieuse » ! Il suffit de songer aux mouvements de foules, à certains déchaînements de jeunes gens écoutant certains artistes, et réagissant comme un seul homme à une émotion se répandant comme une traînée de poudre mentale, coupant ainsi toute volonté personnelle…
Je dis immédiatement que le véritable hystérique est sincère, et sincèrement malade. Charcot a magnifiquement décrit les paroxysmes et les délires hystériques ; avec des imprécations, des cris, des insultes, des attitudes d’extase (avec parfois de bizarres éruptions de la peau) , des propos érotiques, etc.
Les manifestations hystériques sont les symptômes d’un déséquilibre affectif très profond.

Comment soigne-ton l’hystérie ?

Devant elle, la médecine proprement dite s’arrache les cheveux. On jurerait que l’hystérique saute d’un symptôme à l’autre pour dérouter et décourager la science de guérison… Que voulez-vous faire si un hystérique est paralysé sans être paralysé, ou sourd sans être sourd, ou aveugle sans être aveugle ? Et s’il est constaté qu’aucune base organique visible ne permet ces manifestations qui, dans trois jours auront peut-être disparu pour faire place à d’autres ? Or, je répète que, sous hypnose, des manifestations hystériques peuvent être déclenchées facilement par suggestion. L’hystérie est peut-être la maladie dans laquelle la personne subit, le plus et le mieux, la suggestion. D’autre part, les manifestations hystériques ne se déroulent pas dans le silence : l’hystérique ne se cache pas, mais impose (consciemment ou non) ses symptômes à l’attention de son entourage (ce qui a fait croire, en plus, à la comédie pure et simple) .
Donc, il y a derrière tout cela un sens à découvrir. Il y a une signification dont il faut trouver les mobiles essentiels. Si l’on veut, l’hystérique semble être un « simulateur de bonne foi », appuyé sur un désordre mental, qu’il faut étudier et guérir comme tel.
Etant donné le nombre des symptômes et des manifestations, beaucoup d’auteurs ont proposé de rayer du dictionnaire le mot « Hystérie » et de ne considérer que des « manifestations hystériques ».
Il est certain que toutes ces manifestations, si elles offrent des points communs, peuvent avoir des bases individuelles totalement différentes ! Même si les symptômes sont identiques, une hystérie de vieillard n’a rien de commun, à la base, avec une cécité hystérique déclenchée par un choc de guerre ! Cependant, les symptômes peuvent être confondus…

Si une crise d’hystérie se déclenche, que faut-il faire ?

J’entends une crise, en dehors de la présence d’un médecin. La première conséquence d’une crise hystérique est l’affolement de l’entourage. Or, que fera le praticien, dès son arrivée ? Il fera le vide autour du malade, qui continue à se débattre quelque temps ; mais, très souvent, l’impassibilité du médecin arrête la crise. Pourquoi ? Parce que l’entourage, affolé, renforce l’autosuggestion du malade.
Autres moyens immédiats : flagellation à l’eau, gifles, compressions des globes oculaires. Mais il va de soi que ces méthodes sont rigoureusement superficielles, et ne visent qu’à l’arrêt de la crise ! _ Les manifestations hystériques sont des symptômes. Elles ne sont pas la maladie. Celle-ci se trouve beaucoup plus en profondeur, et c’est cette profondeur qu’il faut atteindre et soigner.
Comment ? Détecter l’origine et les mobiles, souvent très cachés. Trouver les conflits affectifs, au moyen de la psychologie.

Les phénomènes de conversion

La Conversion est un mécanisme courant ; certains conflits affectifs s’extériorisent par le corps. Les conflits psychologiques se « convertissent » en maladies physiques. J’en reparlerai.
Prenons le cas classique d’une colère. La décharge immédiate de la colère sera : insultes, flux de paroles, gestes violents, coups de poings, etc.
Mais elle peut présenter une conversion : le bégaiement. Il y a, dans ce cas, une conversion dans les organes du larynx. La conversion peut être plus forte, et se placer dans les organes servant aux manifestations de la colère : le sujet devient aphone ou paralysé. (Manifestations hystériques. )
Chacun sait aussi que certains ulcères d’estomac sont la conversion physique de conflits affectifs. La conversion est donc un phénomène prodigieusement intéressant, et se présente très fréquemment… La médecine psychosomatique éclairera tout cela de façon intéressante.
Les phénomènes de conversion peuvent être très variés. Il est donc normal que la disparition d’un symptôme permette l’apparition d’un autre, comme dans l’hystérie. Mais n’en concluons pas que tout phénomène de conversion soit hystérique ! A ce compte, toute personne (par exemple) souffrant d’un ulcère à base psychologique serait hystérique… ce qui est absurde.
Dans l’hystérie, tout se passe comme si la maladie psychologique devait s’extérioriser corporellement, d’une façon ou d’une autre. On voit donc le danger : le symptôme corporel hystérique est une décharge nécessaire. Nous savons qu’une colère « rentrée » est plus nocive qu’une colère se déchargeant musculairement ou verbalement. Si l’on pousse cela à fond, on constate que la guérison pure et simple d’une « conversion » hystérique puisse être dangereuse… comme si l’on bloquait une soupape sur une chaudière en ébullition. L’impossibilité de la décharge affective a même conduit certains sujets au suicide.
Dans l’hystérie, il sera donc indispensable de chercher la cause profonde, et de pousser à fond l’examen mental. Et cela, avant toute chose. Chaque cas d’hystérie est donc sujet à un traitement différent. Mais, de toute façon, ce traitement devra toujours se faire en profondeur. Et cela, au moyen des techniques médicales et psychologiques appropriées.
N’oublions donc pas que l’hystérie présente donc toute une gamme d’états. Et il faut noter pour terminer, qu’une personne à tempérament hystérique peut vivre toute sa vie sans manifestations exagérées. Son tempérament échappera donc toujours à l’observation non avertie. Ce sera alors une personne mentalement fragile, excessivement suggestionnable, et chez laquelle une vie calme et sans émotions-chocs ne fera jamais apparaître de symptôme très anormal…

Sommes-nous tous, peu ou prou, le docteur Jekyll et Mister Hyde ?

En d’autres termes, avons-nous plusieurs personnalités ? L’une de ces personnalités peut-elle prendre le pas sur l’autre ? Avons-nous plusieurs « Moi » ?
Les cas assez stupéfiants de dédoublement de la personnalité ne sont, ni imagination, ni fiction, mais pure objectivité médicale ; exploitée d’ailleurs (souvent très mal) par la littérature et le cinéma.
Rappelons-nous que la Conscience est une sorte de réservoir, brassant et malaxant tous les évènements de la vie, pour en tirer une sensation unique, une synthèse. Si l’on veut, la vie précipite dans ce réservoir des pommes, des poires et des raisins. Mais le jus récolté n’est ni jus de pommes, ni de poires, ni de raisins. C’est un jus nouveau, bien homogène et agréable au goût.
Telle doit être la conscience de l’homme : homogène et agréable.
En sèche définition scientifique : la conscience est la synthèse qu’un individu réalise en un instant donné, de ses activités perceptrices, motrices et psychiques, et qui, abolissant leurs aspects élémentaires, les dépasse et les intègre en un comportement doué d’une structure originale (Sutter) . Nous rejoignons donc la conception de Janet.
Nous avons vu ceci : un évènement non intégré dans la masse de la conscience, devient semblable à un satellite travaillant en dehors de cette masse. Cet évènement, non digéré, va tirailler l’homme soumis à ce manque d’unité.
Ce cas se représente dans tous les Complexes, par exemple. Le Complexe est comme ce satellite ; il agit pour son propre compte, sans que la conscience puisse l’absorber dans sa masse. Or, l’homme voit souvent les symptômes du complexe, mais rarement le complexe lui-même. A ce moment, il a déjà, en petit, une personnalité double : son « Moi » proprement dit et le « moi » de son complexe. Il y a en lui quelque chose qui le fait agir malgré lui.
Qu’arriverait-il donc si un fragment-satellite, isolé mais puissant, devenait prédominant ? Qu’arriverait-il si ce fragment prédominant devenait conscience principale, abolissant la conscience initiale ?
Mais écoutez plutôt…

Un cas étrange

Brusquement, sans aucun signe préparatoire, une jeune fille s’endort profondément. Sommeil bizarre, plus prolongé que le sommeil normal… Puis, la jeune fille se réveille. Et l’on constate que tout ce qui constituait sa personnalité n’existe plus. Ses connaissances ont disparu, son cerveau est vide. Elle est un personnage nouveau, qui vient de naître, vierge et ignorant. De plus, Elle a totalement oublié sa personnalité précédente et tout ce qui s’y attache.
On fut donc obligé de tout lui réapprendre ; à connaître les objets, à lire et à écrire. Elle apprit vite. Et quand tout cela fut fait… la jeune fille s’endormit à nouveau, de ce même sommeil étrange et prolongé. Puis, elle s’éveilla… mais dans sa première personnalité, et avec oubli total de la période située entre les deux sommeils.
Cela dura quatre ans. Avec les mêmes alternances de sommeil et de personnalités. Dans chaque personnalité, rien, de l’autre personnalité, ne subsistait ; pas même un souvenir… Et pourtant, dans chacun de ces cas, elle agissait, lisait, étudiait, travaillait, pensait ! Supposons un instant qu’elle ait accompli un acte répréhensible, avant de s’endormir pour se réveiller dans l’autre état… Quelle serait sa responsabilité ? Que ferait la Justice humaine ? Comment pourrait-on l’interroger, puisque son nouveau « Moi » ne se souvient pas du « Moi » précédent ?

Quand la personnalité se lézarde…

Une jeune fille, arrivée à l’âge de dix-huit ans, présente des moments d’absence, suivis de surdité et de cécité. Una attaque de sommeil apparaît, et la jeune fille s’éveille ensuite, avec perte totale de la mémoire. Ici, également, sa personnalité première avait disparu… On dut aussi lui apprendre à lire et à écrire. On constata que sa deuxième personnalité était totalement différente de la première. Autant sa personnalité numéro 1 était triste et déprimée, autant la numéro 2 était gaie, joyeuse, insouciante. Et dans ce deuxième état, rien ni quiconque ne pouvait l’empêcher de faire ses quatre volontés…
Puis elle eut un nouveau sommeil, et s’éveilla dans sa personnalité numéro 1, avec ses premières connaissances, et oubli de la personnalité numéro 2.
Et cela recommença. Elle se réveilla dans la personnalité numéro 2, dont elle se souvenait, mais ayant oublié, à nouveau, sa personnalité numéro 1.
Et, arrivée à l’âge de trente-six ans, elle demeura jusqu’à sa mort dans son état second…

Ces cas sont assez rares, et plongent les hommes dans la stupéfaction. Ainsi donc, cette fameuse Personnalité Humaine, ce bloc que l’on croit solide, peut se briser ? Et chacun des morceaux peut agir, en ignorant ce que faisait l’autre morceau ?
Ces cas extrêmes sont, ici également, une exagération du normal et du courant. Il est certain que la plupart des gens possèdent, en dehors de leur masse de conscience, des « satellites » non-intégrés, qui réapparaissent suivant les circonstances. L’analyse psychologique, l’hypnose, la narco-analyse permettent d’ailleurs de déceler leur présence. Nous verrons cela en parlant de l’Inconscient.
Exemple courant : Un timide. Dans la solitude, il vit harmonieusement sur sa masse principale de conscience. Il intègre les circonstances dans ce réservoir général. Mais le voici en public : à ce moment, l’émotivité tourne l’interrupteur, et le met en contact avec ses « satellites » (peurs, infériorisations, complexes, etc. ) Que se passe-t-il ? Les « satellites » mentaux travaillent pour leur compte, et assimilent les circonstances s’y rapportant. C’est donc un très minime dédoublement de la personnalité.
Autre exemple : Une personne vivant dans l’obsession des microbes, surtout avant de se coucher. Toute la journée, elle vit sur sa masse principale de conscience, et tout va bien. Arrive le soir. ET voici que son « satellite » mental l’oblige à se désinfecter dix fois les mains. Il y a donc en elle quelque chose de puissant qui l’oblige à agir.
Je répète donc que, si le fragment séparé du « Moi » est très puissant, il peut annihiler la personnalité primitive (comme dans le dédoublement de la personnalité) , ou la diminuer (comme dans le trac, les complexes, les obsessions, les idées fixes… ) .
Si la masse principale de conscience influence les sens, les fragments séparés le font également ! Le patient souffre alors d’hallucinations visuelles ou auditives. Il entend réellement des voix, il voit vraiment des choses. Il a l’impression que ces voix et ces visions viennent du dehors ; alors qu’elles sont produites sous l’influence de son fragment séparé de la conscience principale : donc cela ne vient pas de l’extérieur, mais bel et bien de son intérieur sensitif et psychique. Ce mécanisme peut produire certains cas d’apparitions, d’auditions de voix célestes, etc. L’interprétation extrême de l’Eglise catholique se trouve donc ici expliquée différemment par les faits scientifiques, (il suffit de rappeler les stigmates, interprétés religieusement par une intervention divine, et interprétés scientifiquement par des éruptions de la peau, que l’hystérie peut provoquer) .
La conscience est donc composée d’un ensemble de réactions mélangées en une seule sensation. Tout être humain est composé de plusieurs personnalités ; ne serait-ce que la personnalité consciente et la personnalité inconsciente. L’idéal réside donc dans l’union de toutes les personnalités. L’aisance et l’harmonie intérieures en dépendent.
De plus en plus, s’impose donc une éducation bien faite ! L’influence nocive de certains milieux familiaux, de certaines éducations maladroites, entraînent évidemment des anomalies. En dehors de la Masse de Conscience, des fragments séparés commencent alors à vivre. Ils n’ont pas encore, bien sûr, suffisamment de forces pour devenir d’autres « Moi ». Mais à la longue, les perturbations de l’affectivité, les inhibitions exagérées, les refoulements, les peurs, leur viennent en aide. Les nourrissent. Les grossissent. Les gonflent. Et ces fragments deviennent de véritables satellites intérieurs… comme dans les grands complexes.
Et l’homme, qui devrait être conscience unie et harmonieuse, devient un être à personnalités contradictoires. Ses nombreux « Moi » l’écartèlent, souvent jusqu’à la douloureuse névrose…

La cyclothymie (cyclo = cercle et thymie = humeur, intelligence)

Le sujet oscille sans cesse entre deux états opposés. Souvent, son humeur est euphorique, exaltée, excitée ; il accomplit son travail avec beaucoup d’entrain, il s’intéresse à tout, plein d’enthousiasme. Il possède l’aisance verbale, la vivacité d’esprit, la riposte rapide. Il est certain de sa force invincible ; son cerveau est curieux de tout ; il est follement généreux, sociable, expansif, communicatif, conquérant… soudain… tout s’écroule dans la dépression. L’exaltation tombe, la joie aussi. Il se replie sur lui. Il doute, hésite. Il s’enfonce dans une indifférence totale et morne. Il sombre dans une sorte de somnolence mentale qui donne l’impression du naufrage absolu de son activité. Il se retire dans la solitude, se sent inférieur et humble, craint le lendemain et se fait des reproches douloureux… jusqu’au nouvel accès d’exaltation.
Poussées à ce point, ces manifestations sont celles d’une névrose.
Quand elles sont moins fortes, nous n’avons pas affaire à une névrose proprement dite, mais à un tempérament : le tempérament cyclothymique, très répandu. Il est donc difficile de délimiter la frontière de cette névrose. Tout dépend du rythme, de la durée et de l’intensité des changements d’état, qui varient fortement d’un individu à l’autre. De cette façon, le tempérament cyclothymique marque un déséquilibre neuro-psychique et une déformation du caractère. Il se rencontre souvent (à des degrés divers) , chez des meneurs politiques, des agitateurs, des révolutionnaires. Ce tempérament est à la base de leur action puissante et entraînante, parfois impulsivement généreuse et hyper-émotive ; mais aussi de leurs répressions impitoyables et de leur hostilité féroce.
Si je parle de la cyclothymie, c’est afin de pouvoir présenter bientôt la grave psychose correspondante : la manie-dépressive.

La paranoïa (d’un mot grec : raisonnement à côté, délire)

Encore une névrose qui étale de multiples manifestations, allant du déséquilibre léger aux grandes psychoses et aux hallucinations. Le paranoïaque est celui dont on dit populairement qu’il a la « folie des grandeurs » et la « folie de la persécution ».
La paranoïa est, avant tout, une déformation du caractère. Le paranoïaque est d’un orgueil immense, qu’il voile parfois sous une feinte modestie. Il croit être l’intelligence parfaite ; il s’attribue tous les mérites, toutes les lucidités, toutes les vertus. Il est revendicateur ; il exige le respect qu’on doit aux grands. Il est bourré d’égoïsme qui se cache souvent sous des masques d’altruisme, de bonté, de justice. Au fond de lui-même, se trouvent l’hostilité et l’envie. Il est d’ailleurs fréquemment possédé de très puissants sentiments d’infériorité. Bien qu’il croie le contraire, il accorde une attention exclusive à sa perfection. Il est passionné émotivement pour un rien : mais il abandonne tout pour des futilités. Ses jugements sont faussés et préconçus. Il est obstiné, entêté et rancunier dès que l’on porte atteinte à sa susceptibilité ; cette susceptibilité est d’ailleurs inouïe. Le paranoïaque est une personne « avec laquelle on ne sait jamais sur quel pied danser »… La tolérance n’existe pas pour lui ; sauf quand il « joue » la tolérance… jeu qui renforce son apparence de grandeur d’âme. Les paranoïaques occupent parfois de très hautes situations sociales ; c’est alors le fanatisme, et l’exigence du respect absolu de leurs opinions. Comme le paranoïaque est hyper-émotif, il est impulsivement généreux ; il impose sa bonté et sa générosité. Quitte à se retourner « comme une crêpe » et pour une broutille, contre celui qu’il vient d’aider… Le paranoïaque ne parvient pas à s’entendre avec qui que ce soit ; sauf quand il croit qu’on le reconnaît « supérieur ». Il pense souvent qu’on le persécute, « parce que sa lucidité et son intelligence le rendent dangereux : on a donc tout intérêt à l’écarter ! »
Les paranoïaques sont pleins de réserve hautaine, dominatrice et méprisante. Ils sont évidemment inconscients de la fausseté de toutes ces manifestations, auxquelles ils ont un profond besoin de croire.
Le paranoïaque ment sans cesse. Il imagine des situations où il est supérieur, où il joue le beau rôle, etc. Il insinue habilement de hautes relations purement imaginaires, et se « retranche » d’ailleurs rarement. Il « retombe sur ses pieds » d’une façon déconcertante ; c’est un véritable virtuose du raisonnement et de la logique absurdes.
L’enfant paranoïaque se manifeste très rapidement : exigeant, tyrannique, susceptible, boudeur, rancunier, obstiné, orgueilleux… Il est vite blessé dans sa volonté exigeante, dans ses revendications et son égoïsme. Il ne supporte aucune discipline, de quelque forme que ce soit. Il est incapable de se soumettre à un esprit de groupe, et ne conçoit pas qu’un règlement puisse s’appliquer à lui. Il exige d’être « en dehors des autres », et qu’on le reconnaisse. D’où sentiments de supériorité, vagabondages, fugues, révoltes, rébellions, scandales publics, etc.
Et plus tard, dans l’adolescence, les paranoïaques fourniront certains déserteurs, certains aventuriers, certains objecteurs de conscience. Ils présenteront alors leur névrose sous une forme soit-disant philosophique, qui ne sera, évidemment, qu’un masque…
La paranoïa légère peut durer toute une vie sans amener de grandes complications… sauf pour l’entourage ! Car le paranoïaque est une « personne épuisante » qui mange l’énergie de ceux qui cohabitent avec lui.

Voici maintenant sous forme de tableau, les névroses que j’ai citées, avec leurs psychoses correspondantes :

NEVROSE = PSYCHOSE
Asthénie et Neurasthénie = Confusion mentale
Psychasthénie = Schizophrénie
Obsessions et Phobies,
Cyclothymie = Psychose maniaque-dépressive
Paranoïa = Délire des grandeurs (Mégalomanie)
Délire de la persécution (hallucinations)

En un siècle à peine, le nombre des aliénés s’est décuplé dans la plupart des pays du monde. La France, la Suède et les Etats-Unis sont terriblement touchés, et les aliénations mentales deviennent un véritable fléau social.
Notons avant tout ceci : le terme « fou » n’a aucune signification réelle. Le mot « fou » ne veut rien dire, et recouvre de très nombreuses affections différentes, dont les symptômes s’entremêlent souvent. Un aliéné est évidemment un malade ; et le temps est heureusement loin où on le considérait comme un criminel ! De plus, il offre souvent la « caricature poussée » de certaines déformations normales du caractère.

La confusion mentale

Il ne s’agit pas d’aliénation mentale proprement dite, mais d’une « exagération » de l’asthénie. Toutes les opérations psychiques sont ralenties à l’extrême. Le malade se sent dans un état de grande torpeur mentale, et dans un état de « confusion ». Il a l’impression que son cerveau baigne dans un brouillard épais. Ses idées ne parviennent plus à s’orienter… Parfois, le malade confond le temps ; il croit vivre à une époque antérieure (par exemple telle personne qui se croit revenue au début de son mariage, ou à l’époque de son service militaire, etc. ) . La synthèse mentale s’effectue avec de grandes difficultés. Le malade est incapable de diriger son attention et son jugement ; ce sont alors des ébauches sans lien cohérent. En raison de ce manque de coordination dans le temps et dans l’espace, le malade semble parfois « égaré et absent ». Cette confusion peut alors aboutir à une torpeur complète, appelée stupeur confusionnelle.
Il y a donc bien ici exagération des phénomènes d’asthénie et de neurasthénie. Dans la confusion mentale, le malade perd donc parfois « conscience » ; il ne sait plus où il se trouve, par exemple. Revenu à l’état normal, il a perdu tout souvenir de ce qui s’est passé durant sa perte de conscience.
La confusion mentale est souvent un trouble passager ; c’est la plus curable des affections mentales. Le traitement s’en tiendra à la cause première. La confusion peut être le résultat de très grands épuisements, d’infections graves, d’intoxications, de traumatismes crâniens.

La schizophrénie (de schizé = casser en deux et phrên = intelligence, esprit)

Maladie mentale grave, la schizophrénie semble être l’aliénation mentale par excellence.
La schizophrénie est la perte du contact avec la réalité. Afin de mieux me faire comprendre, disons que le schizophrène est un « étranger mental » avec lequel il est pratiquement impossible d’entrer en contact. Il est « coupé » du réel, sans réaction et absolument indifférent ; il vit un rêve intérieur, et une circonstance extérieure parvient rarement à le ramener à la réalité.
Nous avons vu que, dans la Psychasthénie, apparaissent des luttes intérieures, des angoisses, des obsessions. Pourquoi ? Parce que le manque de « synthèse mentale » permet aux obsessions de s’installer comme des parasites, sans rencontrer aucune résistance. Dans la psychasthénie, le malade se rend compte de son état, et tente d’établir un barrage au moyen de sa volonté.
Rien de tel dans la schizophrénie… Le malade se replie sur lui-même d’une façon absolue (autisme) . Son psychisme se détourne complètement du réel. Il y a dislocation des associations psychiques ; la pensée se trouve divisée en morceaux. Dans l’esprit du schizophrène, se construit un monde hallucinant, qu’on pourrait comparer à un rêve « désocialisé ».
Parfois, le schizophrène est docile, inerte, indifférent. Il est séparé de la vie extérieure ; la conscience disparaît.
Des moues, des grimaces, des mouvements rythmés apparaissent ; des claquements de mains, des mimiques extraordinaires. Il néglige les besoins élémentaires de la vie, montrant ainsi une diminution de l’instinct de conservation. Le malade peut avoir des hallucinations (auxquelles il croit) . Il discute alors avec un partenaire invisible, parfois très violemment. Il arrive qu’il garde un peu de « sociabilité », et reconnaisse des personnes anciennement connues. On dirait alors qu’il retrouve des lambeaux déchirés de son passé, dont il a encore une très vague conscience…
Les impulsions violentes sont fréquentes ; il va de soi que le malade est incapable de « stopper » ces impulsions. Le voici maintenant dans une sorte de stupeur profonde ; il peut garder indéfiniment les positions les plus incommodes qu’on lui fait prendre ; il est inerte et séparé intérieurement du monde ; le voici qui répète le même geste, toujours semblable, monotone… et puis soudain éclate une impulsion aveugle, gratuite, absurde. Par exemple, il se jette brusquement sur le médecin aliéniste pour l’étrangler. Que s’est-il passé ? Une idée parasite s’est imposée à son esprit (idée d’avoir affaire au démon, par exemple) ; et cette impulsion n’a rencontré aucune résistance consciente.
Une remarque intéressante : certains schizophrènes ont une grande exaltation intellectuelle. Leurs réalisations artistiques sont parfois extraordinaires ; mais le caractère de ces oeuvres d’art est symbolique.
(Dantec, un intellectuel inconnu de moi-même, (sans doute oeuvrant dans la para-psychologie) a évoqué le concept de « Schizophrénie opératoire », pour parler de l’état actuel de la société. En effet, dans la schizophrénie, le malade est coupé intérieurement du monde extérieur ; il est étranger à la réalité. Il est morne, inerte, indifférent. Mais dans le contexte psycho-social où nous vivons, il semble que la société « schizophrène » ne soit pas inerte et indifférente. La personne schizophrène est inconsciente de son état ; la société « schizophrène » aussi. Le schizophrène vit un rêve intérieur « désocialisé », et se manifeste par des impulsions ; la société « schizophrène » est baignée de multiples concepts concrets de sa non-véritable conscience, et vit aussi un rêve « désocialisé » (société qui sans cette sorte d’onirisme, et d’abandon autistique, serait menacée de chaos total finalement) , et de temps en temps, régulièrement, des impulsions absurdes remontent à la surface, (impulsions politiques, coups médiatiques, révoltes et rébellions vaines et passagères, intérêts soudains et phénomènes de mode… ) Et c’est parce que cette société se concrétise « non-consciemment », mais véritablement, et je dirais même presque véridiquement, pour certains, que l’on peut parler du concept de « Schizophrénie opératoire » de Dantec. La « Schizophrénie Opératoire » ou comment être « coupé extérieurement » de la réalité intérieure)

Adolescence et schizophrénie

Dans la majorité des cas, la schizophrénie est une maladie débutant dans l’adolescence. Elle apparaît après la puberté, pour se développer jusqu’à l’âge mûr. (Ceci n’est pas général ; la schizophrénie peut se déclencher plus tardivement) .
Il est difficile de dépister le début de cette maladie. Voici un enfant très doué, travailleur, qui soudain manifeste un changement de tenue. Il entre dans des états de rêverie prolongée. Il montre des attitudes bizarres ; il semble « être absent ». Il rit d’une façon discordante et étrange, et manifeste de fortes tendances à l’isolement total. On risque de l’accuser de paresse, de mauvaise volonté ou de simulation. Ces jeunes gens deviennent apathiques, se désintéressent de tout. Ils n’éprouvent plus aucun attachement ni intérêt envers qui ni quoi que ce soit. Ni élan, ni curiosité, ni affection, ni répulsion, ni amour ni haine. Rien que le vide et la froideur, empêchant tout contact, comme si leurs sources profondes se figeaient dans une glace épaisse. (Ces symptômes montrent un « tempérament » spécial, appelé schizoïdie. La schizoïdie est donc une névrose, prédisposant le sujet à la schizophrénie. )
Ce n’est qu’au cours de l’évolution que se montrent alors les symptômes nettement déclarés, tels que : stupeur, agitation, indifférence absolue aux évènements et à l’entourage, inertie, manque total de réactions, absence de curiosité, actes automatiques, cris, hallucinations, indifférence à la propreté la plus élémentaire.

Au point de vue social

La schizophrénie à ses débuts, amène des agitations et des accès de fureur impulsive et sans motifs. Certains signes marquent le début de cette maladie ; viols, fugues, ruptures soudaines d’amitiés, exaltations intellectuelles démesurées, etc. Le comportement devient incohérent et impénétrable ; c’est d’ailleurs ce comportement qui alerte l’entourage.

Le traitement de la schizophrénie

Dans la majorité des cas, l’hospitalisation est indispensable. La psychothérapie reste, souvent, sans effet. Et c’est logique, puisque la nature même de la schizophrénie est d’être imperméable à tout contact extérieur… Mais l’électrochoc, et le choc insulinique amènent des modifications (Nous verrons cela en médecine Psychosomatique. )
Nous venons de voir que certaines oeuvres de schizophrènes présentent un caractère symbolique. Ne serait-il pas possible d’entrer en communication avec le malade, au moyen des symboles ? C’est à dire en essayant de parler son langage ? Des cas furent cités dans lesquels le traitement symbolique eut d’heureux effets.
Le traitement par le travail est efficace, ainsi que la psychothérapie de groupe ; on lutte ainsi contre l’inertie et le repli sur soi. Dans les cas très graves, la chirurgie du cerveau est envisagée, et donne des résultats dans certaines agitations. Cela ne signifie nullement que la schizophrénie soit incurable. Des psychiatres ont vu des guérisons suivies d’une vie sociale normale.

La manie-dépressive

Nous avons vu le « Tempérament Cyclothymique », se caractérisant par :
A) des périodes d’excitation brillante, d’euphorie, d’enthousiasme, d’exaltation, de rapidité d’esprit ;
Suivies de
B) périodes de dépression, de tristesse, d’activité nulle, de découragement et de dégoût.
Si ces variations de l’humeur sont décuplées, à la suite de certaines circonstances, le malade sombre dans la psychose maniaque-dépressive. (Donc, avec périodes de manie, et périodes de dépression. ) Avant tout, il faut signaler ceci : en psychologie, le terme « manie » n’a pas le même sens que dans la vie courante. La manie n’est pas ici un tic ou une habitude tyrannique, mais un état de folle excitation (psychique ou motrice) .

I - Période de manie

Le maniaque semble personnifier la joie exaltée, instinctive et frénétique, sans aucun frein moral. Il se trouve dans un état inimaginable d’excitation et d’euphorie ; cet état se traduit par des rires, des chants, des danses. Il « rigole », il « crève de joie », il a « mal à force de rigoler », (ce sont ces propres paroles) .
Les plaisanteries débraillées sortent à jet continu, comme un feu d’artifice, avec une rapidité hallucinante. Il y a surabondance des idées ; le malade semble « survolté ». La tenue est souvent excentrique ; il se vêt d’oripeaux multicolores, agrémentés d’ornements. Le visage est hyper-jovial, le regard brillant. L’attitude est anormalement familière ; les éclats de voix se succèdent, ainsi que les chants, les cris, les mimiques ; le malade ne tient pas en place, tourne en rond. Tout le comportement maniaque semble être celui de l’excitation la plus débridée ; les conventions morales, sociales, éthiques sont balayées comme des fétus de paille. C’est la libération en masse des instincts, sous forme d’exaltation et de frénésie… Le maniaque saisit immédiatement les défauts de son entourage ; il fait des jeux de mots, des calembours, il se moque de tout et de tous ; il cingle, calomnie avec impudence et verve, ment avec certitude, récrimine, accuse, lance jovialement les plaisanteries les plus obscènes. La moindre résistance à ses fantaisies peut faire apparaître l’irritation ou la colère ; parfois la fureur. L’acuité des sens semble beaucoup plus vive qu’à l’état normal, mais son attention ne se fixe sur rien. Parfois il dépasse la manie proprement dite ; l’agitation devient inouïe, le malade hurle sans arrêt, se dévêt, barbouille les murs de ses excréments, les mange.
Deux exemples
Voici deux textes de maniaques-dépressifs, dans leur période de manie.
Texte I (rapporté par J. Delay) . _ Remarquons que le malade a parlé ce texte, avec une extrême rapidité de débit.
« Dieu, patrie, honneur après, vive la France et la vie éternelle, j’aime mon village, mon village c’est Paris, j’ai deux amours, j’ai sincèrement servi non seulement en paroles mais en cœur, cause toujours, et avec mon cher fils David, je souhaite à tout le monde bonne santé et bonsoir, bonsoir Mesdames, bonsoir, Messieurs, bien le bonheur, un homme sans honneur est un homme perdu, ondule, Ursule, tu brûles, ma croix c’est ma joie, alleluia, j’aime les roses, la croix et les roses, Marie, Jésus, Marie chérie, riri, grigri, Elisabeth de Hongrie, Riquet à la Houppe, houppette, tapette, ave Maria ave Maria aux pieds de Marie j’ai prié pour vous, Rose-Marie, vivent les roses, la pluie des roses est tombée cette nuit, il restait quelques épines, et nos dimillimus, ô vous qui avez un grand cœur, et ta sœur, la grotte, je rote, rotin, crottin, tintin c’est Nénette et vlan, passez la monnaie, ces messieurs c’est des doctoresses, oh, Monsieur l’abbé, que je suis heureuse, vive mon chapelet, votre bénédiction, sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, j’ai inspiré sa bonté, il y a ici de tous les pays, du vert et du rose… (Un rai de soleil) : oh, de l’or… tra, la, la, la, Tralala, c’est l’or du Rhin, l’or des reins, l’or de Nénette et Rintintin, Tintin c’est Titine, et va donc p… (elle regarde la pendule) : il est 10 h 10 (exact) . Je vous demande pardon, le mouchoir ne m’appartient pas, Tra-la-la-la, Messieurs, Mesdames, tiens ! Mam’zelle Acorbasson… »
Que remarquons-nous ? La pensée saute les obstacles tout comme un cheval de course, et les idées se succèdent à un rythme véritablement surréaliste, dont nous verrons encore le mécanisme dans le texte suivant.
Texte II (il s’agit d’une lettre reçue par l’auteur) .
« Monsieur, je vous aime, vous n’êtes pas un tardigrade, gradation, gradé, bonjour, mon colonel, va te faire fout avec ton sabre, pardon l’armée, pardon Seigneur, pour en revenir à votre conférence je demanderais à Dieu toutes ses fleurs de mai et ses aubépines tressaillantes, vous êtes optimiste comme moi, moi je crève de joie taratata, votre voix c’est de l’argent, gens du Nord, gens du Midi, de la lumière en plein juillet, je vous aime bien mon ami, mimi, pipi, pipi au lit, manque personne à l’appel mon adjudant, faites de beaux rêves et que l’humanité vous garde, alleluiah ! »
Voici donc encore une sorte de surréalisme à l’état pur ! Je crois que beaucoup d’écrivains « modernes » ne désapprouveraient nullement ce texte, où se trouve une beauté absurde et une grande poésie… (« Je demanderais à Dieu toutes ses fleurs de mai et ses aubépines tressaillantes… »)
Mais il est intéressant de remarquer la façon dont se succèdent les idées.
Par exemple :
1) A « tardigrade », le malade associe la dernière syllabe du mot : (… grade) avec gradation et gradé.
2) Il associe immédiatement « gradé » à « bonjour, mon colonel ».
3) A remarquer : « moi je crève de joie », suivi de « taratata » (association purement euphorique) .
4) Même genre d’associations : « Votre voix c’est de l’argent » ; la dernière syllabe « gent » lui suggère les mots suivants : « gens du Nord, gens du Midi ».
5) « Je vous aime bien, mon ami » ; il prend la dernière syllabe, «… mi », qui lui donne les mots suivants : mimi, pipi, pipi au lit ; nouvelle association avec l’armée : « manque personne à l’appel mon adjudant ».
6) Alleluiah… qui marque encore bien l’euphorie maniaque.
Le début des accès maniaques peut, évidemment, entraîner des excentricités et de grands écarts de conduite. N’oublions pas que le frein moral diminue, jusqu’à son abolition complète. Ce sont alors des attentats à la pudeur, de grands abus de confiance, des réactions violentes et coléreuses.
Le début de la manie peut donc conduire à des conséquences sociales… dont le malade n’est évidemment pas responsable. L’hospitalisation s’impose alors. De plus, l’internement empêche le maniaque d’être soumis aux multiples excitations de l’extérieur, qui ne feraient que renforcer son agitation.

II - Période de dépression

Après les débordements joyeux de la manie, apparaît la période de dépression. Le malade tombe dans un accès de mélancolie. L’affaissement est total ; il est plein d’idées de culpabilité et d’indignité. Il profère des plaintes, des gémissements. Il se croit voleur, assassin, indigne de tout. Il croit que ses intestins sont obstrués, que son sang se coagule, qu’il n’a plus d’estomac, plus de cœur, plus de cerveau… (idées de négation) . Il refuse de s’alimenter, et on se voit souvent obligé de le nourrir au moyen d’une sonde. Des idées de « persécution » apparaissent : il est certain qu’on va le faire mourir, le torturer, et tuer tous les siens. Parfois, l’anxiété monte à son maximum : c’est le « raptus anxieux ». (Le « raptus » est un paroxysme explosif, pouvant conduire le malade vers des conséquences tragiques (crimes, suicide, fugues, etc. ) . Il se dresse, hagard, plein de sueur ; ses mains frémissent ; il s’agenouille, sanglote et supplie qu’on mette fin à sa douleur… Il faut redoubler de surveillance, pour empêcher un suicide impulsif ; les objets les plus bénins peuvent devenir pour lui des objets de destruction. Il peut également préparer son suicide, avec une patience et une ruse incroyables…
Ce délire mélancolique (qui est donc une monstrueuse exagération du pessimisme du mélancolique névrosé) , présente souvent des hallucinations. Le malade entend parler de lui ; il entend dire « qu’il va mourir, qu’il va être exécuté ». Il « voit » l’échafaud qui se dresse. Il aperçoit le fantôme d’un être aimé lui reprocher son « infâme » conduite…
Se rend-on compte de l’effrayant supplice qu’est parfois la mélancolie du malade ?

Le traitement de la manie-dépressive

Cette psychose est généralement considérée comme constitutionnelle, et souvent héréditaire. Le tempérament cyclothymique en est la base, dans bien des cas. Cependant, certains malades tombent dans cette psychose, sans avoir, auparavant, montré de grandes alternances de l’humeur. Certains psychiatres inscrivent cette psychose dans un dérèglement (organique ou fonctionnel) de la base du cerveau (région de l’hypothalamus, dont je parlerai en Psychosomatique) .
Des accès maniaques ont d’ailleurs été déclenchés au cours d’opérations du cerveau, dans cette fameuse région hypotalamique. Au moment où le docteur Foerster opérait une personne dans cette région du cerveau, le malade présenta un accès de manie, avec flux de paroles rapides, associations rapides de mots, calembours, etc.
Outre cela, certains facteurs accidentels peuvent agir : glandes endocrines, chocs émotifs, traumatismes crâniens, certaines maladies infectieuses. Dans d’autres cas, les règles, la puberté, la grossesse, l’accouchement, la ménopause, l’avortement. Des phénomènes comme l’accouchement ou l’avortement provoquent un bouleversement endocriniens ; l’infection peut avoir des répercussions sur les régions de l’hypothalamus. Cette zone deviendrait « allergique », et vulnérable à d’autres causes pouvant se présenter ultérieurement…

La durée de la maladie

L’intensité, la durée et l’alternance des états de manie et de dépression sont très variables. Certains malades n’ont qu’un ou deux accès dans leur vie ; d’autres en ont tous les ans… Certains n’auront que des accès de manie ; d’autres uniquement des accès de mélancolie. Entre les crises peut se trouver un « intervalle de lucidité », qui se prolonge parfois très longtemps. Le sujet retrouve alors son activité raisonnable et normale, ainsi que ses facultés mentales.
La Manie-Dépressive semble être le triomphe des « chocs ». Ainsi, parfois, l’électrochoc est efficace ; celui-ci donne un magnifique résultat dans les cas de mélancolie, et abrège l’évolution des accès maniaques.

À Suivre…
Partage du Poème avec vos contacts
Poeme de Pendantce

Poète Pendantce

Pendantce a publié sur le site 282 écrits. Pendantce est membre du site depuis l'année 2011.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Les Névroses Et Les Psychoses (Ii)l=hys=té=rie 4

nous=a=vons=con=nu=janet=di=rec=teur=dun=la=bo=ra=toi=re=de=psy=cho=lo=gie=pa=tho=lo=gique=lhys=té=rieé=tait=a=lors=la=rei=ne=du=jour=quel=le=est=cet=te=in=sai=sis=sa=ble=ma=la=die 48
lhys=té=rieest=une=ma=la=die=tré=pi=dan=te=du=moins=en=gé=né=ral=el=le=nest=ce=pen=dant=pas=un=pro=duit=de=no=tre=siè=cle=a=gi=té=du=rant=des=cen=tai=nes=dan=nées=el=le=a=te=nu=mé=de=cins=et=psy=chia=tres=dans=un=cli=mat=de=cau=che=mar=et=dim=puis=san=ce=quand=lhys=té=rie=ne=pro=dui=sait=pas=des=con=vul=sions=el=le=pro=vo=quait=de=vio=lents=maux=de=tê=te=quand=les=con=vul=sions=dis=pa=rais=saient=des=vo=mis=se=ments=ap=pa=rais=saient=puis=des=pa=ra=ly=sies=ou=la=per=son=ne=hys=té=ri=que=se=re=trou=vait=brus=que=ment=a=veu=gle=sans=au=cu=ne=cau=se=or=ga=nique=et=quand=la=cé=ci=té=pas=sait=la=sur=di=té=mon=trait=le=bout=de=lo=rei=lle=si=je=puis=dire=lhys=té=rie=pro=dui=sait=é=ga=le=ment=des=ob=ses=sions=des=cri=ses=des=i=dées=fixes=des=dou=leurs=et=des=s=pas=mes=par=fois=a=troces 202
on=com=prend=que=le=nombreet=la=va=rié=té=des=symp=tô=mes=plon=geaient=les=mé=de=cins=dans=la=ter=reur 24
evi=dem=ment=cha=cun=a=vait=son=o=pi=nion=uneo=pi=nion=souvent=dé=fi=ni=ti=ve=com=me=il=se=doit=cest=u=ne=hys=té=ri=que=est=bien=vi=te=dit=une=cri=se=de=nerf=s=on=col=lait=lé=ti=quette=une=fem=me=hy=per=sexuel=le=on=a=gis=sait=de=mê=me=cé=tait=é=vi=dem=ment=bien=fa=ci=le=mais=on=é=tait=loin=de=la=vé=ri=té 83
beau=coup=croient=quil=sa=git=dune=ma=la=die=pu=re=ment=fé=mi=nine=son=nom=vient=dailleurs=de=cet=te=croyan=cean=ci=en=ne=à=un=dé=rè=gle=ment=de=la=ma=tri=ce=hus=te=ra=é=gal=ma=tri=ce=mais=là=aus=si=on=est=à=cô=té=de=la=ques=tion 60
sa=chons=en=pre=mier=lieu 6
a=que=lhys=té=rie=peut=êtreaus=si=bien=mas=cu=li=ne=que=fé=mi=nine 17
b=quil=ny=a=pas=une=hys=té=rie=mais=tou=teu=ne=sé=rie=de=phé=no=mè=nes=hys=té=riques=ces=phé=no=mè=nes=sont=bé=nins=et=pas=sa=gers=ou=con=gé=ni=taux=et=per=manents 43
quel=est=lâ=ge=ci=vil=de=lhys=té=rie 10

sans=â=ge=el=le=re=monte=dans=la=nuit=des=temps=lan=ti=qui=té=la=con=nais=sait=fort=bien=mais=va=ni=té=mas=cu=li=neou=i=gno=ran=ce=el=le=en=ac=cor=da=cour=toi=se=ment=lex=clu=si=vi=té=à=la=femme=plus=tard=il=fal=lait=bien=un=cou=pa=ble=on=crut=que=lu=ci=fer=lui=mê=me=tem=pê=tait=dans=le=corps=de=lhys=té=rique=les=exor=cis=mes=ne=tar=dè=rent=pas=à=pleu=voir=sur=ces=mau=di=tes=en=proie=aux=grif=fes=dun=dia=ble=ve=lu=bien=bien=mais=le=temps=pas=sait=au=xixè=me=siè=cle=les=neu=ro=lo=gues=se=pen=chè=rent=sur=ce=pro=blè=me=com=pli=qué=scien=ce=en=main=ce=la=nex=pli=qua=pas=grand=cho=se=au=dé=but=mais=le=cli=mat=chan=geait=le=dia=ble=en=trait=dans=les=cou=lis=ses=les=neu=ro=lo=gues=en=sor=taient=mais=l=hys=té=ri=que=de=meu=rait=en=s=cè=ne=dans=lin=sai=sis=sa=ble=de=ses=mul=ti=ples=vi=sa=ges=ce=pen=dant=la=s=cien=ce=se=ren=dait=comp=te=peu=à=peu=que=les=hys=té=ri=ques=né=taient=ni=si=mu=la=teurs=cons=cients=ni=mau=dits=mais=des=ma=la=des=com=me=dau=tres=ma=lades 248
la=cu=rio=si=té=de=la=méde=ci=neest=in=fi=nie=lim=men=se=cla=vier=des=ma=ni=fes=ta=tions=hys=té=ri=ques=se=dé=plo=yait=de=vant=elle=mais=le=mys=tè=re=de=meu=rait=la=sè=gue=ne=lap=pe=lait=til=pas=la=cor=bei=lle=à=pa=pier=où=lon=met=tout=ce=qui=est=in=clas=sa=ble 70
le=xxème=siè=cle=dé=bou=cha=à=son=tour=et=a=vec=lui=les=psy=cho=lo=gues=des=pro=fon=deurs=de=plus=la=ten=dan=ce=psy=cho=so=ma=ti=que=de=la=mé=de=ci=ne=se=pré=ci=sa=et=a=lors=tout=se=mit=à=chan=ger=lhys=té=rie=fut=ra=me=née=de=plus=en=plus=à=des=pro=por=tions=exactes 71
char=cot=a=vait=mon=tré=que=les=phé=no=mènes=hys=té=ri=ques=pou=vaient=ê=tre=pro=duits=à=vo=lon=té=par=lhyp=no=tisme=et=que=l=hyp=no=tis=me=pou=vait=é=ga=le=ment=les=fai=re=dis=pa=raî=tre=or=qui=dit=hyp=no=tis=me=dit=sug=ges=tion=puis=san=te=ac=cep=tée=im=mé=dia=te=ment=par=les=cen=tres=ner=veux=in=cons=cients 80
janet=cons=ta=ta=é=ga=le=ment=la=res=sem=blan=ce=frap=pan=teen=tre=les=ma=ni=fes=ta=tions=hyp=no=ti=ques=et=les=phé=no=mè=nes=hys=té=riques=et=il=pen=sa=que=les=hys=té=ri=ques=sé=taient=mis=en=tê=te=quils=é=taient=pa=ra=ly=sés=ou=a=veugles=quils=a=vaient=donc=dans=le=cer=veau=u=ne=i=dée=fixe=à=la=sui=te=du=ne=au=to=sug=ges=tion=ir=ré=sis=tible=mais=doù=ve=nait=li=dée=fixe=chez=les=hys=té=ri=ques=quest=ce=qui=fai=sait=que=le=cer=veau=hys=té=ri=que=a=vait=la=puis=san=ce=né=ces=sai=re=pour=fai=re=ap=pa=raî=tre=u=ne=pa=ra=ly=sie=u=ne=ob=ses=sion=ou=un=mu=tis=me=de=mieux=en=mieux=on=vit=la=for=ce=de=la=sug=ges=ti=on=et=de=lau=to=sug=ges=ti=on=dans=ces=ma=ni=fes=ta=tions=hys=té=riques=on=en=com=prit=le=mé=ca=nis=me=ner=veux=la=psy=cho=lo=gie=cher=cha=les=ba=ses=pro=fondes=et=au=jourdhui=les=ma=ni=fes=ta=tions=hys=té=ri=ques=sont=cu=ra=bles=com=me=tou=te=dé=fi=cien=ce=psy=cho=lo=gique 234
quel=les=sont=les=grandes=ma=ni=fes=ta=tions=hys=té=ri=ques 14
un=les=crises=a=gi=ta=tion=to=ta=le=ment=in=co=hé=ren=te=sans=tou=te=fois=mor=su=re=de=la=langue=pas=de=per=te=du=ri=ne=com=me=dans=lé=pi=lep=sie=flux=a=bon=dant=de=pa=ro=les=tor=rent=de=pleurs=et=de=rires=la=men=ta=tions=par=fois=hur=lantes=in=vec=tives=la=cons=cien=ce=de=meu=reac=ti=ve=et=les=prit=en=a=lerte=sil=y=a=chu=te=lhys=té=ri=que=choi=sit=len=droit=et=ne=se=bles=se=pra=ti=que=ment=ja=mais=ce=qui=a=donc=fait=croi=re=à=la=si=mu=la=ti=on=to=ta=le 122
deux=les=pa=ra=ly=sies=el=les=sont=fré=quentes=dans=lhys=té=rie=soit 16
a=mo=no=plé=gieé=gal=pa=ra=ly=sie=dun=seul=membre 13
b=hé=mi=plé=gieé=gal=pa=ra=ly=sie=frap=pant=la=moi=tié=du=corps 17
c=pa=ra=plé=gieé=gal=pa=ra=ly=sie=des=deux=mem=bres=in=fé=rieurs=ou=su=pé=rieurs=ou=des=deux=à=la=fois 27
trois=la=cé=ci=té=et=le=mu=tisme=sans=ba=seor=ga=ni=que=sou=ve=nons=nous=de=la=jeu=ne=fem=me=soi=gnée=par=mes=mer=et=a=veu=gle=de=puis=lâ=ge=de=trois=ans 41
quatre=les=s=pas=mes=et=les=con=trac=tu=res=ils=a=mè=nent=des=p=seu=do=mé=nin=gi=tes=des=p=seu=do=ap=pen=di=ci=tes=par=fois=des=p=seu=do=gros=ses=ses=èt=cé=té=ra=la=sen=sa=tion=cons=cien=te=peut=ê=tre=cou=pée=cer=tains=hys=té=ri=ques=i=ront=jus=quà=se=brû=ler=a=tro=ce=ment=ou=se=mu=ti=ler=sans=res=sen=tir=la=moin=dre=dou=leur=or=nous=sa=vons=é=ga=le=ment=que=par=hyp=no=tis=me=il=est=pos=si=ble=do=pé=rer=sans=dou=leur=cest=à=di=re=din=sen=si=bi=li=ser=par=sug=ges=tion=cer=tai=nes=par=ties=du=corps=il=y=a=donc=i=ci=é=ga=le=ment=un=rap=port=é=troit=et=u=ne=ques=ti=on=se=po=se=pour=quoi=la=dou=leur=exis=tan=te=brû=lu=re=s=cal=pel=nest=elle=pas=res=sen=tie=cons=ciem=ment=par=le=cer=veau=du=su=jet=hys=té=ri=que=ou=hyp=no=ti=sé=il=y=au=rait=donc=dans=ces=deux=cas=un=som=meil=du=cer=veau=cons=cient=soit=s=pon=ta=né=com=me=dans=lhys=té=rie=soit=pro=vo=qué=com=me=dans=l=hyp=no=tisme 236
nous=de=vons=i=ci=nous=rap=pe=ler=ce=ci=li=dée=fixe=pro=vo=que=le=som=meil=des=par=ties=du=cer=veau=ne=corres=pon=dant=pas=à=cet=te=i=dée=ces=par=ties=in=hi=bées=du=cer=veau=sont=donc=in=di=quées=pour=ne=pas=ren=dre=cons=cien=teu=ne=dou=leur 61
le=sujet=hys=té=ri=que=peut=ê=tre=frap=pé=de=per=te=de=mé=moi=re=et=se=re=trou=ver=loin=de=len=droit=quil=ha=bi=tait=nous=tom=bons=i=ci=dans=deux=cas=é=tran=ges=qui=se=pro=lon=gent=lun=lau=tre=le=som=nam=bu=lis=meet=le=dé=dou=ble=ment=de=la=per=son=na=li=té 68
cinq=le=som=nam=bu=lisme=il=est=lun=des=phé=no=mè=nes=les=plus=in=té=res=sants=de=lhys=té=rie=que=se=pas=se=til=dans=le=som=nam=bu=lis=me=il=sa=git=du=ne=vé=ri=ta=bleac=tion=mais=cet=te=ac=tion=est=in=cons=ciente=le=su=jet=est=é=veillé=pour=u=ne=seu=le=cho=se=son=rê=ve=in=té=rieur=il=se=lè=ve=mar=che=boit=man=ge=se=li=vre=à=des=ac=tes=va=riés=il=vit=réel=le=ment=son=rê=ve=et=suit=a=veu=glé=ment=les=or=dres=don=nés=par=ce=rêve=il=est=à=re=mar=quer=que=le=som=nam=bu=le=pur=na=pas=de=vé=ri=ta=ble=cons=cien=ce=donc=il=na=au=cu=ne=peur=ce=qui=ex=pli=que=que=le=som=nam=bu=le=peut=sans=au=cu=ne=crain=te=ac=com=plir=des=ac=tions=qui=lui=se=raient=dan=ge=reu=ses=à=lé=tat=nor=mal=re=ve=nu=à=la=cons=cien=ce=il=ne=gar=de=sou=vent=au=cun=sou=ve=nir=de=ses=ac=ti=vi=tés=a=nor=males 209
mais=les=ac=ti=vi=tés=in=cons=cientes=peu=vent=se=pro=lon=ger=nous=ar=ri=vons=a=lors=au=dé=dou=ble=ment=de=la=per=son=na=li=té=dans=ce=cas=le=su=jet=vit=sur=deux=moi=ayant=cha=cun=leur=vie=pro=pre=le=pre=mier=est=sous=le=con=trô=le=de=la=cons=cien=ce=nor=ma=le=com=man=dée=par=son=é=cor=ce=cé=ré=bra=le=le=se=cond=est=di=ri=gé=par=un=moi=in=cons=cient=se=trou=vant=dans=des=cen=tres=ner=veux=de=la=viein=cons=cien=te=a=vec=ses=ha=bi=tu=des=ses=ins=tincts=èt=cé=té=ra 121
il=nous=fau=dra=at=tendre=lé=tu=de=de=la=psy=cho=so=ma=ti=que=pour=le=com=pren=dre=mieux=tout=se=pas=se=en=ef=fet=com=me=si=le=dé=dou=blé=pos=sé=dait=deux=cer=veaux=nayant=au=cun=rap=port=en=tre=eux=dans=le=dé=dou=ble=ment=de=la=per=son=na=li=té=qui=peut=du=rer=de=lon=gues=an=nées=le=su=jet=tra=vaille=crée=a=u=ne=vie=sen=ti=men=ta=leet=pro=fes=sion=nel=le=dont=le=ca=rac=tè=re=a=nor=mal=é=chap=pe=rait=à=un=ob=ser=va=teur=non=a=ver=ti=jen=re=par=le=rai=bien=tôt 123
la=ca=rac=té=ris=ti=que=pri=mor=diale=de=lhys=té=ri=queest=la=fa=ci=li=té=dac=cep=ter=la=sug=ges=tion=il=sem=ble=donc=bien=quil=y=ait=chez=lui=un=mau=vais=fonc=tion=ne=ment=de=lé=cor=ce=cé=ré=bra=le=puis=quil=ne=mar=que=au=cu=ne=vo=lon=té=con=tre=car=rant=la=sug=ges=tion=cest=pour=quoi=l=hys=té=rie=est=u=ne=né=vro=se=tel=le=ment=con=ta=gieu=se=il=suf=fit=de=son=ger=aux=mou=ve=ments=de=fou=les=à=cer=tains=dé=chaî=ne=ments=de=jeu=nes=gens=é=cou=tant=cer=tains=ar=tis=tes=et=ré=a=gis=sant=com=me=un=seul=hom=me=à=u=ne=é=mo=ti=on=se=ré=pan=dant=com=me=u=ne=traî=née=de=pou=dre=men=ta=le=cou=pant=ain=si=tou=te=vo=lon=té=per=son=nel=le 170
je=dis=im=mé=diate=ment=que=le=vé=ri=ta=ble=hys=té=ri=queest=sin=cè=re=et=sin=cè=re=ment=ma=lade=char=cot=a=ma=gni=fi=que=ment=dé=crit=les=pa=roxys=mes=et=les=dé=li=res=hys=té=ri=ques=a=vec=des=im=pré=ca=tions=des=cris=des=in=sul=tes=des=at=ti=tu=des=dex=ta=se=a=vec=par=fois=de=bi=zar=res=é=rup=tions=de=la=peau=des=pro=pos=é=ro=ti=ques=èt=cé=té=ra 95
les=ma=nifes=ta=tions=hys=té=ri=ques=sont=les=symp=tô=mes=dun=dé=sé=qui=li=breaf=fec=tif=très=pro=fond 25

comment=soi=gne=ton=lhys=té=rie 7

de=vant=elle=la=méde=ci=ne=pro=pre=ment=di=te=sar=ra=che=les=che=veux=on=ju=re=rait=que=lhys=té=ri=que=sau=te=dun=symp=tô=meà=lau=tre=pour=dé=rou=ter=et=dé=cou=ra=ger=la=s=cien=ce=de=gué=ri=son=que=vou=lez=vous=fai=re=si=un=hys=té=ri=que=est=pa=ra=ly=sé=sans=ê=tre=pa=ra=ly=sé=ou=sourd=sans=ê=tre=sourd=ou=a=veu=gle=sans=ê=tre=a=veu=gle=et=sil=est=cons=ta=té=quau=cu=ne=ba=se=or=ga=ni=que=vi=si=ble=ne=per=met=ces=ma=ni=fes=ta=tions=qui=dans=trois=jours=au=ront=peut=tê=tre=dis=pa=ru=pour=fai=re=pla=ce=à=dau=tres=or=je=ré=pè=te=que=sous=hyp=no=se=des=ma=ni=fes=ta=tions=hys=té=ri=ques=peu=vent=ê=tre=dé=clen=chées=fa=ci=le=ment=par=sug=ges=tion=lhys=té=rie=est=peut=tê=tre=la=ma=la=die=dans=la=quel=le=la=per=son=ne=su=bit=le=plus=et=le=mieux=la=sug=ges=tion=dau=tre=part=les=ma=ni=fes=ta=tions=hys=té=ri=ques=ne=se=dé=rou=lent=pas=dans=le=si=len=ce=l=hys=té=ri=que=ne=se=ca=che=pas=mais=im=po=se=cons=ciem=ment=ou=non=ses=symp=tô=mes=à=lat=ten=tion=de=son=en=tou=ra=ge=ce=qui=a=fait=croi=re=en=plus=à=la=co=mé=die=pu=re=et=sim=ple 279
donc=il=y=a=der=rière=tout=ce=la=un=sens=à=dé=cou=vrir=il=y=a=u=ne=si=gni=fi=ca=tion=dont=il=faut=trou=ver=les=mo=biles=es=sen=tiels=si=lon=veut=lhys=té=ri=que=sem=ble=ê=treun=si=mu=la=teur=de=bon=ne=foi=ap=puyé=sur=un=dé=sor=dre=men=tal=quil=faut=é=tu=dier=et=gué=rir=com=me=tel 75
etant=don=né=le=nombre=des=symp=tô=mes=et=des=ma=ni=fes=ta=tions=beau=coup=dau=teurs=ont=pro=po=sé=de=rayer=du=dic=tion=nai=re=le=mot=hys=té=rie=et=de=ne=con=si=dé=rer=que=des=ma=ni=fes=ta=tions=hys=té=ri=ques 54
il=est=cer=tain=que=toutes=ces=ma=ni=fes=ta=tions=si=elles=of=frent=des=points=com=muns=peu=vent=a=voir=des=ba=ses=in=di=vi=duel=les=to=ta=le=ment=dif=fé=ren=tes=mê=me=si=les=symp=tô=mes=sont=i=den=ti=ques=u=ne=hys=té=rie=de=vieil=lard=na=rien=de=com=mun=à=la=ba=se=a=vec=u=ne=cé=ci=té=hys=té=ri=que=dé=clen=chée=par=un=choc=de=guer=re=ce=pen=dant=les=symp=tô=mes=peu=vent=ê=tre=con=fon=dus 103

si=une=cri=se=dhys=té=rie=se=dé=clen=che=que=faut=til=faire 15

jen=tends=une=cri=se=en=dehors=de=la=pré=sen=ce=dun=mé=de=cin=la=pre=miè=re=con=sé=quen=ce=du=ne=cri=se=hys=té=ri=queest=laf=fo=le=ment=de=len=tou=rage=or=que=fe=ra=le=pra=ti=cien=dès=son=ar=ri=vée=il=fe=ra=le=vi=de=au=tour=du=ma=la=de=qui=con=ti=nue=à=se=dé=bat=tre=quel=que=temps=mais=très=sou=vent=lim=pas=si=bi=li=té=du=mé=de=cin=ar=rê=te=la=crise=pour=quoi=par=ce=que=len=tou=ra=ge=af=fo=lé=ren=for=ce=lau=to=sug=ges=tion=du=ma=lade 119
autres=moyens=im=mé=diats=fla=gel=la=tion=à=leau=gi=fles=com=pres=sions=des=glo=bes=o=cu=laires=mais=il=va=de=soi=que=ces=mé=tho=des=sont=ri=gou=reu=se=ment=su=per=fi=ciel=les=et=ne=vi=sent=quà=lar=rêt=de=la=cri=se=sou=li=gné=les=ma=ni=fes=ta=tions=hys=té=ri=ques=sont=des=symp=tômes=el=les=ne=sont=pas=la=ma=la=die=cel=le=ci=se=trou=ve=beau=coup=plus=en=pro=fon=deur=et=cest=cet=te=pro=fon=deur=quil=faut=at=tein=dreet=soi=gner 107
comment=dé=tec=ter=lo=ri=gi=neet=les=mo=biles=sou=vent=très=ca=chés=trou=ver=les=con=flits=af=fec=tif=s=au=moyen=de=la=psy=cho=lo=gie 33

les=phé=no=mènes=de=con=ver=sion 8

la=con=ver=sion=est=un=mé=ca=nisme=cou=rant=cer=tains=con=flits=af=fec=tifs=sex=té=rio=ri=sent=par=le=corps=les=con=flits=psy=cho=lo=gi=ques=se=con=ver=tis=sent=en=ma=la=dies=phy=siques=jen=re=par=le=rai 50
pre=nons=le=cas=clas=si=que=dune=co=lère=la=dé=char=geim=mé=dia=te=de=la=co=lè=re=se=ra=in=sul=tes=flux=de=pa=ro=les=ges=tes=vio=lents=coups=de=poing=s=èt=cé=té=ra 44
mais=elle=peut=présen=ter=u=ne=con=ver=sion=le=bé=gaie=ment=il=y=a=dans=ce=cas=u=ne=con=ver=sion=dans=les=or=ga=nes=du=la=ryn=x=la=con=ver=sion=peut=ê=tre=plus=for=te=et=se=pla=cer=dans=les=or=ga=nes=ser=vant=aux=ma=ni=fes=ta=tions=de=la=co=lè=re=le=su=jet=de=vient=a=pho=neou=pa=ra=ly=sé=ma=ni=fes=ta=tions=hys=té=riques 86
cha=cun=sait=aus=si=que=cer=tains=ul=cères=des=to=mac=sont=la=con=ver=sion=phy=si=que=de=con=flits=af=fec=tif=s=la=con=ver=sion=est=donc=un=phé=no=mè=ne=pro=di=gieu=se=ment=in=té=res=sant=et=se=pré=sen=te=très=fré=quem=ment=la=mé=de=ci=ne=psy=cho=so=ma=ti=queé=clai=re=ra=tout=ce=la=de=fa=çon=in=té=res=sante 81
les=phé=no=mènes=de=con=ver=sion=peu=vent=ê=tre=très=va=riés=il=est=donc=nor=mal=que=la=dis=pa=ri=tion=dun=symp=tô=me=per=met=te=lap=pa=ri=ti=on=dun=au=tre=com=me=dans=lhys=té=rie=mais=nen=con=cluons=pas=que=tout=phé=no=mè=ne=de=con=ver=sion=soit=hys=té=ri=que=a=ce=comp=te=tou=te=per=son=ne=par=exem=ple=souf=frant=dun=ul=cè=reà=ba=se=psy=cho=lo=gi=que=se=rait=hys=té=ri=que=ce=qui=est=ab=surde 103
dans=lhys=té=rie=tout=se=passe=com=me=si=la=ma=la=die=psy=cho=lo=gi=que=de=vait=sex=té=rio=ri=ser=cor=po=rel=le=ment=du=ne=fa=çon=ou=du=neautre=on=voit=donc=le=dan=ger=le=symp=tô=me=cor=po=rel=hys=té=ri=que=est=u=ne=dé=char=ge=né=ces=saire=nous=sa=vons=quu=ne=co=lè=re=ren=trée=est=plus=no=ci=ve=quu=ne=co=lè=re=se=dé=char=geant=mus=cu=lai=re=ment=ou=ver=ba=le=ment=si=lon=pous=se=ce=la=à=fond=on=cons=ta=te=que=la=gué=ri=son=pu=re=et=sim=ple=du=ne=con=ver=sion=hys=té=ri=que=puis=se=ê=tre=dan=ge=reu=se=com=me=si=lon=blo=quait=u=ne=sou=pa=pe=sur=u=ne=chau=diè=re=en=é=bul=li=tion=lim=pos=si=bi=li=té=de=la=dé=char=ge=af=fec=ti=ve=a=mê=me=con=duit=cer=tains=su=jets=au=sui=cide 186
dans=lhys=té=rie=il=se=ra=donc=in=dispen=sa=ble=de=cher=cher=la=cau=se=pro=fon=de=et=de=pous=ser=à=fond=lexa=men=men=tal=et=ce=la=a=vant=tou=te=chose=cha=que=cas=d=hys=té=rieest=donc=su=jet=à=un=trai=te=ment=dif=fé=rent=mais=de=tou=te=fa=çon=ce=trai=te=ment=de=vra=tou=jours=se=fai=re=en=pro=fon=deur=et=ce=la=au=moyen=des=tech=ni=ques=mé=di=ca=les=et=psy=cho=lo=gi=ques=ap=pro=pri=ées 101
nou=blions=donc=pas=que=lhys=té=rie=présen=te=donc=tou=teu=ne=gam=me=dé=tats=et=il=faut=no=ter=pour=ter=mi=ner=quu=ne=per=son=ne=à=tem=pé=ra=ment=hys=té=ri=que=peut=vi=vre=tou=te=sa=vie=sans=ma=ni=fes=ta=tions=exa=gé=rées=son=tem=pé=ra=ment=é=chap=pe=ra=donc=tou=jours=à=lob=ser=va=tion=non=a=ver=tie=ce=se=ra=a=lors=u=ne=per=son=ne=men=ta=le=ment=fra=gi=le=ex=ces=si=ve=ment=sug=ges=ti=on=na=ble=et=chez=la=quel=le=u=ne=vie=cal=me=et=sans=é=mo=tions=chocs=ne=fe=ra=ja=mais=ap=pa=raî=tre=de=symp=tô=me=très=a=nor=mal 139

sommes=nous=tous=peu=ou=prou=le=doc=teur=je=kyll=et=mis=ter=hy=de 16

en=dautres=ter=mes=a=vons=nous=plu=sieurs=per=son=na=li=tés=lu=ne=de=ces=per=son=na=li=tés=peut=tel=le=pren=dre=le=pas=sur=lau=tre=a=vons=nous=plu=sieurs=moi 39
les=cas=as=sez=stu=pé=fiants=de=dé=double=ment=de=la=per=son=na=li=té=ne=sont=ni=i=ma=gi=na=tion=ni=fic=tion=mais=pu=reob=jec=ti=vi=té=mé=di=ca=le=ex=ploi=tée=dailleurs=sou=vent=très=mal=par=la=lit=té=ra=tu=re=et=le=ci=né=ma 60
rap=pe=lons=nous=que=la=cons=cienceest=u=ne=sor=te=de=ré=ser=voir=bras=sant=et=ma=laxant=tous=les=é=vè=ne=ments=de=la=vie=pour=en=ti=rer=u=ne=sen=sa=tion=u=ni=que=u=ne=syn=thèse=si=lon=veut=la=vie=pré=ci=pi=te=dans=ce=ré=ser=voir=des=pom=mes=des=poi=res=et=des=rai=sins=mais=le=jus=ré=col=té=nest=ni=jus=de=pom=mes=ni=de=poi=res=ni=de=rai=sins=cest=un=jus=nou=veau=bien=ho=mo=gè=ne=et=a=gré=a=ble=au=goût 107
tel=le=doit=être=la=cons=cien=ce=de=lhom=me=ho=mo=gè=neet=a=gré=able 18
en=sèche=dé=fi=ni=tion=s=cien=ti=fi=que=la=cons=cien=ceest=la=syn=thè=se=quun=in=di=vi=du=ré=a=li=se=en=un=ins=tant=don=né=de=ses=ac=ti=vi=tés=per=cep=tri=ces=mo=tri=ces=et=psy=chi=ques=et=qui=a=bo=lis=sant=leurs=as=pects=élé=men=tai=res=les=dé=pas=se=et=les=in=tè=gre=en=un=com=por=te=ment=doué=du=ne=struc=tu=re=o=ri=gi=na=le=sut=ter=nous=re=joi=gnons=donc=la=con=cep=ti=on=de=janet 104
nous=a=vons=vu=ce=ci=un=é=vène=ment=non=in=té=gré=dans=la=mas=se=de=la=cons=cien=ce=de=vient=sem=bla=bleà=un=sa=tel=li=te=tra=vaillant=en=dehors=de=cet=te=masse=cet=é=vè=ne=ment=non=di=gé=ré=va=ti=railler=l=hom=me=sou=mis=à=ce=man=que=du=ni=té 65
ce=cas=se=re=présen=te=dans=tous=les=com=plexes=par=exemple=le=com=plexeest=com=me=ce=sa=tel=li=te=il=a=git=pour=son=pro=pre=comp=te=sans=que=la=cons=cien=ce=puis=se=lab=sor=ber=dans=sa=masse=or=lhom=me=voit=sou=vent=les=symp=tô=mes=du=com=plexe=mais=ra=re=ment=le=com=plexe=lui=mê=me=a=ce=mo=ment=il=a=dé=jà=en=pe=tit=u=ne=per=son=na=li=té=dou=ble=son=moi=pro=pre=ment=dit=et=le=moi=de=son=com=plexe=il=y=a=en=lui=quel=que=cho=se=qui=le=fait=a=gir=mal=gré=lui 119
quar=rive=rait=til=donc=si=un=frag=ment=sa=tel=li=te=i=so=lé=mais=puis=sant=de=ve=nait=pré=do=mi=nant=quar=ri=ve=rait=til=si=ce=frag=ment=pré=do=mi=nant=de=ve=nait=cons=cien=ce=prin=ci=pa=le=a=bo=lis=sant=la=cons=cien=ce=i=ni=tiale 60
mais=é=cou=tez=plu=tôt 6

un=cas=é=tran=ge 5

brus=que=ment=sans=au=cun=signe=pré=pa=ra=toi=re=u=ne=jeu=ne=fille=sen=dort=pro=fon=dé=ment=som=meil=bi=zar=re=plus=pro=lon=gé=que=le=som=meil=nor=mal=puis=la=jeu=ne=fille=se=ré=vei=lle=et=lon=cons=ta=te=que=tout=ce=qui=cons=ti=tuait=sa=per=son=na=li=té=nexis=te=plus=ses=con=nais=san=ces=ont=dis=pa=ru=son=cer=veau=est=vide=el=leest=un=per=son=na=ge=nou=veau=qui=vient=de=naî=tre=vier=ge=et=i=gno=rant=de=plus=el=le=a=to=ta=le=ment=ou=blié=sa=per=son=na=li=té=pré=cé=den=te=et=tout=ce=qui=sy=at=tache 130
on=fut=donc=o=bli=gé=de=tout=lui=ré=ap=prendre=à=con=naî=tre=les=ob=jets=à=li=reet=à=é=crire=el=le=ap=prit=vite=et=quand=tout=ce=la=fut=fait=la=jeu=ne=fille=sen=dor=mit=à=nou=veau=de=ce=mê=me=som=meil=é=tran=ge=et=pro=lon=gé=puis=el=le=sé=veilla=mais=dans=sa=pre=miè=re=per=son=na=li=té=et=a=vec=ou=bli=to=tal=de=la=pé=rio=de=si=tuée=en=tre=les=deux=som=meils 96
ce=la=du=ra=quatreans=avec=les=mê=mes=al=ter=nan=ces=de=som=meil=et=de=per=son=na=li=tés=dans=cha=que=per=son=na=li=té=rien=de=lau=tre=per=son=na=li=té=ne=sub=sis=tait=pas=mê=me=un=sou=ve=nir=et=pour=tant=dans=cha=cun=de=ces=cas=el=le=a=gis=sait=li=sait=é=tu=diait=tra=vaillait=pen=sait=sup=po=sons=un=ins=tant=quel=le=ait=ac=com=pli=un=ac=te=ré=pré=hen=si=ble=a=vant=de=sen=dor=mir=pour=se=ré=vei=ller=dans=lau=tre=é=tat=quel=le=se=rait=sa=res=pon=sa=bi=li=té=que=fe=rait=la=jus=ti=ce=hu=mai=ne=com=ment=pour=rait=ton=lin=ter=ro=ger=puis=que=son=nou=veau=moi=ne=se=sou=vient=pas=du=moi=pré=cédent 155

quand=la=per=son=na=li=té=se=lé=zar=de 11

une=jeu=ne=fille=ar=ri=vée=à=lâ=ge=de=dix=hu=it=ans=pré=sen=te=des=mo=ments=dab=sen=ce=sui=vis=de=sur=di=té=et=de=cé=ci=té=una=at=ta=que=de=som=meil=ap=pa=raît=et=la=jeu=ne=fille=sé=vei=lleen=sui=te=a=vec=per=te=to=ta=le=de=la=mé=moire=ici=é=ga=le=ment=sa=per=son=na=li=té=pre=miè=re=a=vait=dis=pa=ru=on=dut=aus=si=lui=ap=pren=dre=à=li=re=et=à=é=crire=on=cons=ta=ta=que=sa=deuxiè=me=per=son=na=li=té=é=tait=to=ta=le=ment=dif=fé=ren=te=de=la=pre=mière=au=tant=sa=per=son=na=li=té=nu=mé=ro=un=é=tait=tris=te=et=dé=pri=mée=au=tant=la=nu=mé=ro=deux=é=tait=gaie=joyeu=se=in=sou=ciante=et=dans=ce=deuxiè=me=é=tat=rien=ni=qui=con=que=ne=pou=vait=lem=pê=cher=de=fai=re=ses=qua=tre=vo=lon=tés 189
puis=elle=eut=un=nou=veau=som=meil=et=sé=veilla=dans=sa=per=son=na=li=té=nu=mé=ro=un=a=vec=ses=pre=mières=con=nais=san=ces=et=ou=bli=de=la=per=son=na=li=té=nu=mé=ro=deux 45
et=ce=la=re=commen=ça=el=le=se=ré=veilla=dans=la=per=son=na=li=té=nu=mé=ro=deux=dont=elle=se=sou=ve=nait=mais=ayant=ou=blié=à=nou=veau=sa=per=son=na=li=té=nu=mé=ro=un 45
et=ar=ri=vée=à=lâ=ge=de=trente=six=ans=el=le=de=meu=ra=jus=quà=sa=mort=dans=son=é=tat=se=cond 26

ces=cas=sont=as=sez=rares=et=plon=gent=les=hom=mes=dans=la=stu=pé=fac=tion=ain=si=donc=cet=te=fa=meu=se=per=son=na=li=té=hu=mai=ne=ce=bloc=que=lon=croit=so=li=de=peut=se=bri=ser=et=cha=cun=des=mor=ceaux=peut=a=gir=en=i=gno=rant=ce=que=fai=sait=lau=tre=mor=ceau 67
ces=cas=ex=trêmes=sont=i=ci=é=ga=le=ment=u=ne=exa=gé=ra=tion=du=nor=mal=et=du=cou=rant=il=est=cer=tain=que=la=plu=part=des=gens=pos=sè=dent=en=dehors=de=leur=mas=se=de=cons=cien=ce=des=sa=tel=li=tes=non=in=té=grés=qui=ré=ap=pa=rais=sent=sui=vant=les=cir=cons=tances=la=na=ly=se=psy=cho=lo=gi=que=l=hyp=no=se=la=nar=co=a=na=ly=se=per=met=tent=dailleurs=de=dé=ce=ler=leur=pré=sence=nous=ver=rons=ce=la=en=par=lant=de=lin=cons=cient 111
exem=ple=cou=rant=un=ti=mide=dans=la=so=li=tude=il=vit=har=mo=nieu=se=ment=sur=sa=mas=se=prin=ci=pa=le=de=cons=cience=il=in=tè=gre=les=cir=cons=tan=ces=dans=ce=ré=ser=voir=gé=né=ral=mais=le=voi=ci=en=pu=blic=à=ce=mo=ment=lé=mo=ti=vi=té=tour=ne=lin=ter=rup=teur=et=le=met=en=con=tact=a=vec=ses=sa=tel=li=tes=peurs=in=fé=rio=ri=sa=tions=com=plexes=èt=cé=té=ra=que=se=pas=se=til=les=sa=tel=li=tes=men=taux=tra=vaillent=pour=leur=comp=te=et=as=si=mi=lent=les=cir=cons=tan=ces=sy=rap=por=tant=cest=donc=un=très=mi=ni=me=dé=dou=ble=ment=de=la=per=son=na=li=té 145
autre=exem=ple=u=ne=per=son=ne=vi=vant=dans=lob=ses=sion=des=mi=cro=bes=sur=tout=a=vant=de=se=cou=cher=tou=te=la=jour=née=el=le=vit=sur=sa=mas=se=prin=ci=pa=le=de=cons=cien=ce=et=tout=va=bien=ar=ri=ve=le=soir=et=voi=ci=que=son=sa=tel=li=te=men=tal=lo=bli=geà=se=dé=sin=fec=ter=dix=fois=les=mains=il=y=a=donc=en=elle=quel=que=cho=se=de=puis=sant=qui=lo=bli=ge=à=a=gir 98
je=ré=pète=donc=que=si=le=frag=ment=sé=pa=ré=du=moi=est=très=puis=sant=il=peut=an=ni=hi=ler=la=per=son=na=li=té=pri=mi=ti=ve=com=me=dans=le=dé=dou=ble=ment=de=la=per=son=na=li=té=ou=la=di=mi=nuer=com=me=dans=le=trac=les=com=plexes=les=ob=ses=sions=les=i=dées=fixes 70
si=la=masse=prin=ci=pa=le=de=cons=cien=cein=fluen=ce=les=sens=les=frag=ments=sé=pa=rés=le=font=é=ga=le=ment=le=pa=ti=ent=souf=fre=a=lors=dhal=lu=ci=na=tions=vi=suel=les=ou=au=di=tives=il=en=tend=réel=le=ment=des=voix=il=voit=vrai=ment=des=choses=il=a=lim=pres=sion=que=ces=voix=et=ces=vi=sions=vien=nent=du=dehors=a=lors=quel=les=sont=pro=dui=tes=sous=lin=fluen=ce=de=son=frag=ment=sé=pa=ré=de=la=cons=cien=ce=prin=ci=pa=le=donc=ce=la=ne=vient=pas=de=lex=té=rieur=mais=bel=et=bien=de=son=in=té=rieur=sen=si=tif=et=psy=chique=ce=mé=ca=nis=me=peut=pro=dui=re=cer=tains=cas=dap=pa=ri=tions=dau=di=tions=de=voix=cé=les=tes=èt=cé=té=ra=lin=ter=pré=ta=tion=ex=trê=me=de=le=gli=se=ca=tho=li=que=se=trou=ve=donc=i=ci=ex=pli=quée=dif=fé=rem=ment=par=les=faits=s=cien=ti=fi=ques=il=suf=fit=de=rap=pe=ler=les=stig=ma=tes=in=ter=pré=tés=re=li=gieu=se=ment=par=u=ne=in=ter=ven=ti=on=di=vi=ne=et=in=ter=pré=tés=s=cien=ti=fi=que=ment=par=des=é=rup=tions=de=la=peau=que=l=hys=té=rie=peut=pro=vo=quer 254
la=cons=cienceest=donc=com=po=sée=dun=en=sem=ble=de=ré=ac=tions=mé=lan=gées=en=u=ne=seu=le=sen=sa=tion=tout=ê=tre=hu=main=est=com=po=sé=de=plu=sieurs=per=son=na=li=tés=ne=se=rait=ce=que=la=per=son=na=li=té=cons=cien=te=et=la=per=son=na=li=té=in=cons=ciente=li=dé=al=ré=si=de=donc=dans=lu=nion=de=tou=tes=les=per=son=na=li=tés=lai=san=ce=et=lhar=mo=nie=in=té=rieu=res=en=dé=pendent 100
de=plus=en=plus=sim=pose=donc=u=neé=du=ca=tion=bien=fai=te=lin=fluen=ce=no=ci=ve=de=cer=tains=mi=lieux=fa=mi=liaux=de=cer=tai=nes=é=du=ca=tions=ma=la=droi=tes=en=traî=nent=é=vi=dem=ment=des=a=no=ma=lies=en=dehors=de=la=mas=se=de=cons=cien=ce=des=frag=ments=sé=pa=rés=com=men=cent=a=lors=à=vivre=ils=nont=pas=en=co=re=bien=sûr=suf=fi=sam=ment=de=for=ces=pour=de=ve=nir=dau=tres=moi=mais=à=la=lon=gue=les=per=tur=ba=tions=de=laf=fec=ti=vi=té=les=in=hi=bi=tions=exa=gé=rées=les=re=fou=le=ments=les=peurs=leur=vien=nent=en=aide=les=nour=rissent=les=gros=sissent=les=gonflent=et=ces=frag=ments=de=vien=nent=de=vé=ri=ta=bles=sa=tel=li=tes=in=té=rieurs=com=me=dans=les=grands=com=plexes 168
et=lhomme=qui=de=vrait=ê=tre=cons=cien=ceu=nie=et=har=mo=nieu=se=de=vient=un=ê=tre=à=per=son=na=li=tés=con=tra=dic=toires=ses=nom=breux=moi=lé=car=tè=lent=sou=vent=jus=quà=la=dou=lou=reu=se=né=vrose 50

la=cy=clo=thy=mie=cy=clo=é=gal=cercleet=thy=mie=é=gal=hu=meur=in=tel=li=gence 20

le=sujet=os=cille=sans=ces=seen=tre=deux=é=tats=op=po=sés=sou=vent=son=hu=meur=est=eu=pho=ri=que=exal=tée=ex=ci=tée=il=ac=com=plit=son=tra=vail=a=vec=beau=coup=den=train=il=sin=té=res=se=à=tout=plein=den=thou=siasme=il=pos=sè=de=lai=san=ce=ver=ba=le=la=vi=va=ci=té=des=prit=la=ri=pos=te=ra=pide=il=est=cer=tain=de=sa=for=ce=in=vin=ci=ble=son=cer=veau=est=cu=rieux=de=tout=il=est=fol=le=ment=gé=né=reux=so=cia=ble=ex=pan=sif=com=mu=ni=ca=tif=con=qué=rant=sou=dain=tout=sé=crou=le=dans=la=dé=pres=sion=lexal=ta=tion=tom=be=la=joie=aus=si=il=se=re=plie=sur=lui=il=dou=te=hé=site=il=sen=fon=ce=dans=u=ne=in=dif=fé=ren=ce=to=ta=le=et=morne=il=som=bre=dans=u=ne=sor=te=de=som=no=len=ce=men=ta=le=qui=don=ne=lim=pres=sion=du=nau=fra=ge=ab=so=lu=de=son=ac=ti=vi=té=il=se=re=ti=re=dans=la=so=li=tu=de=se=sent=in=fé=rieur=et=hum=ble=craint=le=len=de=main=et=se=fait=des=re=pro=ches=dou=lou=reux=jus=quau=nou=vel=ac=cès=dexal=ta=tion 244
pous=sées=à=ce=point=ces=ma=nifes=ta=tions=sont=cel=les=du=ne=né=vrose 17
quand=elles=sont=moins=fortes=nous=na=vons=pas=af=fai=reà=u=ne=né=vro=se=pro=pre=ment=di=te=mais=à=un=tem=pé=ra=ment=le=tem=pé=ra=ment=cy=clo=thy=mi=que=très=ré=pan=du=il=est=donc=dif=fi=ci=le=de=dé=li=mi=ter=la=fron=tiè=re=de=cet=te=né=vrose=tout=dé=pend=du=ryth=me=de=la=du=rée=et=de=lin=ten=si=té=des=chan=ge=ments=dé=tat=qui=va=rient=for=te=ment=dun=in=di=vi=du=à=lautre=de=cet=te=fa=çon=le=tem=pé=ra=ment=cy=clo=thy=mi=que=mar=que=un=dé=sé=qui=li=bre=neu=ro=psy=chi=que=et=u=ne=dé=for=ma=tion=du=ca=rac=tère=il=se=ren=con=tre=sou=vent=à=des=de=grés=di=vers=chez=des=me=neurs=po=li=ti=ques=des=a=gi=ta=teurs=des=ré=vo=lu=ti=on=naires=ce=tem=pé=ra=ment=est=à=la=ba=se=de=leur=ac=ti=on=puis=san=te=et=en=traî=nan=te=par=fois=im=pul=si=ve=ment=gé=né=reu=se=et=hy=per=é=mo=ti=ve=mais=aus=si=de=leurs=ré=pres=sions=im=pi=toya=bles=et=de=leur=hos=ti=li=té=fé=roce 233
si=je=par=le=de=la=cy=clo=thy=mie=cest=a=fin=de=pou=voir=présen=ter=bien=tôt=la=gra=ve=psy=cho=se=cor=res=pon=dan=te=la=ma=nie=dé=pres=sive 37

la=pa=ra=noïa=dun=mot=grec=rai=sonne=ment=à=cô=té=dé=lire 15

en=coreu=ne=né=vro=se=qui=é=ta=le=de=mul=ti=ples=ma=ni=fes=ta=tions=al=lant=du=dé=sé=qui=li=bre=lé=ger=aux=gran=des=psy=cho=ses=et=aux=hal=lu=ci=na=tions=le=pa=ra=noïa=que=est=ce=lui=dont=on=dit=po=pu=lai=re=ment=quil=a=la=fo=lie=des=gran=deurs=et=la=fo=lie=de=la=per=sé=cu=tion 76
la=pa=ra=noïa=est=a=vant=tout=une=dé=for=ma=tion=du=ca=rac=tère=le=pa=ra=noïa=queest=dun=or=gueil=im=men=se=quil=voi=le=par=fois=sous=u=ne=fein=te=mo=des=tie=il=croit=ê=tre=lin=tel=li=gen=ce=par=fai=te=il=sat=tri=bue=tous=les=mé=ri=tes=tou=tes=les=lu=ci=di=tés=tou=tes=les=ver=tus=il=est=re=ven=di=ca=teur=il=exi=ge=le=res=pect=quon=doit=aux=grands=il=est=bour=ré=dé=goïs=me=qui=se=ca=che=sou=vent=sous=des=mas=ques=dal=truis=me=de=bon=té=de=jus=tice=au=fond=de=lui=mê=me=se=trou=vent=lhos=ti=li=té=et=len=vie=il=est=dailleurs=fré=quem=ment=pos=sé=dé=de=très=puis=sants=sen=ti=ments=din=fé=rio=ri=té=bien=quil=croie=le=con=trai=re=il=ac=cor=de=u=ne=at=ten=ti=on=ex=clu=si=ve=à=sa=per=fec=tion=il=est=pas=sion=né=é=mo=ti=ve=ment=pour=un=rien=mais=il=a=ban=don=ne=tout=pour=des=fu=ti=li=tés=ses=ju=ge=ments=sont=faus=sés=et=pré=con=çus=il=est=obs=ti=né=en=tê=té=et=ran=cu=nier=dès=que=lon=por=te=at=tein=te=à=sa=sus=cep=ti=bi=li=té=cet=te=sus=cep=ti=bi=li=té=est=dail=leurs=i=nouïe=le=pa=ra=noïa=que=est=u=ne=per=son=ne=a=vec=la=quel=le=on=ne=sait=ja=mais=sur=quel=pied=dan=ser=la=to=lé=ran=ce=nexis=te=pas=pour=lui=sauf=quand=il=joue=la=to=lé=ran=ce=jeu=qui=ren=for=ce=son=ap=pa=ren=ce=de=gran=deur=dâme=les=pa=ra=noïa=ques=oc=cu=pent=par=fois=de=très=hau=tes=si=tua=tions=so=cia=les=cest=a=lors=le=fa=na=tis=me=et=lexi=gen=ce=du=res=pect=ab=so=lu=de=leurs=o=pi=nions=com=me=le=pa=ra=noïa=que=est=hy=per=é=mo=tif=il=est=im=pul=si=ve=ment=gé=né=reux=il=im=po=se=sa=bon=té=et=sa=gé=né=ro=si=té=quit=te=à=se=re=tour=ner=com=me=u=ne=crê=pe=et=pour=u=ne=brou=tille=con=tre=ce=lui=quil=vient=dai=der=le=pa=ra=noïa=que=ne=par=vient=pas=à=sen=ten=dre=a=vec=qui=que=ce=soit=sauf=quand=il=croit=quon=le=re=con=naît=su=pé=rieur=il=pen=se=sou=vent=quon=le=per=sé=cu=te=par=ce=que=sa=lu=ci=di=té=et=son=in=tel=li=gen=ce=le=ren=dent=dan=ge=reux=on=a=donc=tout=in=té=rêt=à=lé=car=ter 498
les=pa=ra=noïa=ques=sont=pleins=de=ré=serve=hau=tai=ne=do=mi=na=tri=ceet=mé=pri=sante=ils=sont=é=vi=dem=ment=in=cons=cients=de=la=faus=se=té=de=tou=tes=ces=ma=ni=fes=ta=tions=aux=quel=les=ils=ont=un=pro=fond=be=soin=de=croire 56
le=pa=ra=noïa=que=ment=sans=cesse=il=i=ma=gine=des=si=tua=tions=où=il=est=su=pé=rieur=où=il=joue=le=beau=rô=le=èt=cé=té=ra=il=in=si=nue=ha=bile=ment=de=hau=tes=re=la=tions=pu=re=ment=i=ma=gi=nai=res=et=se=re=tran=che=dailleurs=ra=re=ment=il=re=tom=be=sur=ses=pieds=du=ne=fa=çon=dé=con=cer=tan=te=cest=un=vé=ri=ta=ble=vir=tuo=se=du=rai=son=ne=ment=et=de=la=lo=gi=queab=surdes 100
len=fant=pa=ra=noïa=que=se=ma=nifes=te=très=ra=pi=de=ment=exi=geant=ty=ran=ni=que=sus=cep=ti=ble=bou=deur=ran=cu=nier=obs=ti=né=or=gueilleux=il=est=vi=te=bles=sé=dans=sa=vo=lon=té=exi=gean=te=dans=ses=re=ven=di=ca=tions=et=son=é=goïsme=il=ne=sup=por=teau=cu=ne=dis=ci=pli=ne=de=quel=que=for=me=que=ce=soit=il=est=in=ca=pa=ble=de=se=sou=met=tre=à=un=es=prit=de=grou=pe=et=ne=con=çoit=pas=quun=rè=gle=ment=puis=se=sap=pli=quer=à=lui=il=exi=ge=dê=tre=en=dehors=des=au=tres=et=quon=le=re=con=naisse=doù=sen=ti=ments=de=su=pé=rio=ri=té=va=ga=bon=da=ges=fu=gues=ré=vol=tes=ré=bel=lions=s=can=da=les=pu=blics=èt=cé=té=ra 162
et=plus=tard=dans=la=doles=cen=ce=les=pa=ra=noïa=ques=four=ni=ront=cer=tains=dé=ser=teurs=cer=tains=a=ven=tu=riers=cer=tains=ob=jec=teurs=de=cons=cience=ils=pré=sen=te=ront=a=lors=leur=né=vro=se=sous=u=ne=for=me=soit=di=sant=phi=lo=so=phi=que=qui=ne=se=ra=é=vi=dem=ment=quun=mas=que 70
la=pa=ra=noïa=lé=gère=peut=du=rer=tou=teu=ne=vie=sans=a=me=ner=de=gran=des=com=pli=ca=tions=sauf=pour=len=tou=ra=ge=car=le=pa=ra=noïa=que=est=u=ne=per=son=ne=é=pui=san=te=qui=man=ge=l=éner=gie=de=ceux=qui=co=ha=bi=tent=a=vec=lui 62

voi=ci=mainte=nant=sous=for=me=de=ta=bleau=les=né=vro=ses=que=jai=ci=tées=a=vec=leurs=psy=cho=ses=cor=res=pon=dantes 28

ne=vrose=é=gal=psy=chose 6
as=thé=nieet=neu=ras=thé=nie=é=gal=con=fu=sion=men=tale 14
psy=chas=thé=nieé=gal=schi=zo=phré=nie 9
ob=ses=sions=et=pho=bies 6
cy=clo=thy=mieé=gal=psy=chose=ma=nia=que=dé=pres=sive 13
pa=ra=noïa=é=gal=dé=lire=des=gran=deurs=mé=ga=lo=ma=nie 15
dé=lire=de=la=per=sé=cu=tion=hal=lu=ci=na=tions 13

en=un=siècleà=pei=ne=le=nom=bre=des=a=lié=nés=sest=dé=cu=plé=dans=la=plu=part=des=pa=ys=du=monde=la=fran=ce=la=suè=de=et=les=e=tats=u=nis=sont=ter=ri=ble=ment=tou=chés=et=les=a=li=é=na=tions=men=ta=les=de=vien=nent=un=vé=ri=ta=ble=flé=au=so=cial 66
no=tons=a=vant=tout=ce=ci=le=terme=fou=na=au=cu=ne=si=gni=fi=ca=tion=réelle=le=mot=fou=ne=veut=rien=di=re=et=re=cou=vre=de=très=nom=breu=ses=af=fec=tions=dif=fé=ren=tes=dont=les=symp=tô=mes=sen=tre=mê=lent=souvent=un=a=lié=né=est=é=vi=dem=ment=un=ma=la=de=et=le=temps=est=heu=reu=se=ment=loin=où=on=le=con=si=dé=rait=com=meun=cri=mi=nel=de=plus=il=of=fre=sou=vent=la=ca=ri=ca=tu=re=pous=sée=de=cer=tai=nes=dé=for=ma=tions=nor=ma=les=du=ca=rac=tère 118

la=con=fu=sion=men=tale 6

il=ne=sa=git=pas=da=lié=na=tion=men=tale=pro=pre=ment=di=te=mais=du=ne=exa=gé=ra=tion=de=las=thé=nie=tou=tes=les=o=pé=ra=tions=psy=chi=ques=sont=ra=len=ties=à=lex=trême=le=ma=la=de=se=sent=dans=un=é=tat=de=gran=de=tor=peur=men=ta=le=et=dans=un=é=tat=de=con=fu=sion=il=a=lim=pres=sion=que=son=cer=veau=bai=gne=dans=un=brouil=lard=é=pais=ses=i=dées=ne=par=vien=nent=plus=à=so=rien=ter=par=fois=le=ma=la=de=con=fond=le=temps=il=croit=vi=vreà=u=ne=é=po=que=an=té=rieu=re=par=exem=ple=tel=le=per=son=ne=qui=se=croit=re=ve=nue=au=dé=but=de=son=ma=ria=ge=ou=à=lé=po=que=de=son=ser=vi=ce=mi=li=tai=re=èt=cé=té=ra=la=syn=thè=se=men=ta=le=sef=fec=tue=a=vec=de=gran=des=dif=fi=cul=tés=le=ma=la=de=est=in=ca=pa=ble=de=di=ri=ger=son=at=ten=ti=on=et=son=ju=ge=ment=ce=sont=a=lors=des=é=bau=ches=sans=lien=co=hé=rent=en=rai=son=de=ce=man=que=de=coor=di=na=ti=on=dans=le=temps=et=dans=les=pa=ce=le=ma=la=de=sem=ble=par=fois=é=ga=ré=et=ab=sent=cet=te=con=fu=sion=peut=a=lors=a=bou=tir=à=u=ne=tor=peur=com=plè=te=ap=pe=lée=stu=peur=con=fu=sion=nelle 281
il=y=a=donc=bien=i=ci=exa=gé=ra=tion=des=phé=no=mènes=das=thé=nieet=de=neu=ras=thé=nie=dans=la=con=fu=sion=men=ta=le=le=ma=la=de=perd=donc=par=fois=cons=cien=ce=il=ne=sait=plus=où=il=se=trou=ve=par=exemple=re=ve=nu=à=lé=tat=nor=mal=il=a=per=du=tout=sou=ve=nir=de=ce=qui=sest=pas=sé=du=rant=sa=per=te=de=cons=cience 83
la=con=fu=sion=men=taleest=sou=vent=un=trou=ble=pas=sa=ger=cest=la=plus=cu=ra=ble=des=af=fec=tions=men=tales=le=trai=te=ment=sen=tien=dra=à=la=cau=se=pre=mière=la=con=fu=sion=peut=ê=tre=le=ré=sul=tat=de=très=grands=é=pui=se=ments=din=fec=tions=gra=ves=din=toxi=ca=tions=de=trau=ma=tis=mes=crâ=niens 73

la=schi=zo=phré=nie=de=schi=zé=é=gal=cas=ser=en=deux=et=phrên=é=gal=in=tel=ligen=ce=es=prit 24

ma=la=die=men=tale=gra=ve=la=schi=zo=phré=nie=sem=ble=ê=tre=la=lié=na=tion=men=ta=le=par=ex=cel=lence 27
la=schi=zo=phré=nieest=la=perte=du=con=tact=a=vec=la=ré=a=li=té=afin=de=mieux=me=fai=re=com=pren=dre=di=sons=que=le=schi=zo=phrè=ne=est=un=é=tran=ger=men=tal=a=vec=le=quel=il=est=pra=ti=que=ment=im=pos=si=ble=den=trer=en=con=tact=il=est=cou=pé=du=réel=sans=ré=ac=tion=et=ab=so=lu=ment=in=dif=fé=rent=il=vit=un=rê=ve=in=té=rieur=et=u=ne=cir=cons=tan=ce=ex=té=rieu=re=par=vient=ra=re=ment=à=le=ra=me=ner=à=la=ré=a=li=té 114
nous=a=vons=vu=que=dans=la=psy=chas=thé=nie=ap=pa=raissent=des=lut=tes=in=té=rieu=res=des=an=gois=ses=des=ob=ses=sions=pour=quoi=par=ce=que=le=man=que=de=syn=thè=se=men=ta=le=per=met=aux=ob=ses=sions=de=sins=tal=ler=com=me=des=pa=ra=si=tes=sans=ren=con=trer=au=cu=ne=ré=sis=tance=dans=la=psy=chas=thé=nie=le=ma=la=de=se=rend=comp=te=de=son=é=tat=et=ten=te=dé=ta=blir=un=bar=ra=geau=moyen=de=sa=vo=lon=té 105
rien=de=tel=dans=la=schi=zo=phré=nie=le=ma=lade=se=re=plie=sur=lui=mê=me=du=ne=fa=çon=ab=so=lue=au=tis=me=son=psy=chis=me=se=dé=tour=ne=com=plè=te=ment=du=réel=il=y=a=dis=lo=ca=tion=des=as=so=cia=tions=psy=chi=ques=la=pen=sée=se=trou=ve=di=vi=sée=en=mor=ceaux=dans=les=prit=du=schi=zo=phrè=ne=se=cons=truit=un=mon=de=hal=lu=ci=nant=quon=pour=rait=com=pa=rer=à=un=rê=ve=dé=so=cia=li=sé 103
par=fois=le=schi=zo=phrèneest=do=ci=le=i=ner=te=in=dif=fé=rent=il=est=sé=pa=ré=de=la=vie=ex=té=rieu=re=la=cons=cien=ce=dis=pa=raît 35
des=moues=des=gri=maces=des=mou=ve=ments=ryth=més=ap=pa=rais=sent=des=cla=que=ments=de=mains=des=mi=mi=ques=ex=tra=or=di=naires=il=né=gli=ge=les=be=soins=élé=men=tai=res=de=la=vie=mon=trant=ain=si=u=ne=di=mi=nu=tion=de=lins=tinct=de=con=ser=va=tion=le=ma=la=de=peut=a=voir=des=hal=lu=ci=na=tions=aux=quel=les=il=croit=il=dis=cu=tea=lors=a=vec=un=par=te=nai=re=in=vi=si=ble=par=fois=très=vio=lem=ment=il=ar=ri=ve=quil=gar=de=un=peu=de=so=cia=bi=li=té=et=re=con=nais=se=des=per=son=nes=an=ci=en=ne=ment=con=nues=on=di=rait=a=lors=quil=re=trou=ve=des=lam=beaux=dé=chi=rés=de=son=pas=sé=dont=il=a=en=co=re=u=ne=très=va=gue=cons=cience 165
les=im=pul=sions=violen=tes=sont=fré=quen=tes=il=va=de=soi=que=le=ma=la=deest=in=ca=pa=ble=de=s=top=per=ces=im=pul=sions=le=voi=ci=main=te=nant=dans=u=ne=sor=te=de=stu=peur=pro=fon=de=il=peut=gar=der=in=dé=fi=ni=ment=les=po=si=tions=les=plus=in=com=mo=des=quon=lui=fait=pren=dre=il=est=i=ner=te=et=sé=pa=ré=in=té=rieu=re=ment=du=mon=de=le=voi=ci=qui=ré=pè=te=le=mê=me=ges=te=tou=jours=sem=bla=ble=mo=no=to=ne=et=puis=sou=dain=é=cla=te=u=ne=im=pul=sion=a=veu=gle=gra=tui=te=ab=surde=par=exem=ple=il=se=jet=te=brus=que=ment=sur=le=mé=de=cin=a=lié=nis=te=pour=lé=tran=gler=que=sest=il=pas=sé=u=ne=i=dée=pa=ra=si=te=sest=im=po=sée=à=son=es=prit=i=dée=da=voir=af=fai=re=au=dé=mon=par=exem=ple=et=cet=te=im=pul=sion=na=ren=con=tré=au=cu=ne=ré=sis=tan=ce=cons=ciente 206
une=re=mar=quein=té=res=san=te=cer=tains=schi=zo=phrè=nes=ont=u=ne=gran=de=exal=ta=tion=in=tel=lec=tuelle=leurs=ré=a=li=sa=tions=ar=tis=ti=ques=sont=par=fois=ex=tra=or=di=nai=res=mais=le=ca=rac=tè=re=de=ces=oeu=vres=dart=est=sym=bo=lique 60
dan=tec=un=in=tel=lec=tuel=in=con=nu=de=moi=même=sans=dou=teoeu=vrant=dans=la=pa=ra=psy=cho=lo=gie=a=é=vo=qué=le=con=cept=de=schi=zo=phré=nie=o=pé=ra=toi=re=pour=par=ler=de=lé=tat=ac=tuel=de=la=so=cié=té=en=ef=fet=dans=la=schi=zo=phré=nie=le=ma=la=de=est=cou=pé=in=té=rieu=re=ment=du=mon=de=ex=té=rieur=il=est=é=tran=ger=à=la=ré=a=li=té=il=est=mor=ne=i=ner=te=in=dif=fé=rent=mais=dans=le=con=tex=te=psy=cho=so=cial=où=nous=vi=vons=il=sem=ble=que=la=so=ci=é=té=schi=zo=phrè=ne=ne=soit=pas=i=ner=te=et=in=dif=fé=rente=la=per=son=ne=schi=zo=phrè=ne=est=in=cons=cien=te=de=son=é=tat=la=so=ci=é=té=schi=zo=phrè=ne=aus=si=le=schi=zo=phrè=ne=vit=un=rê=ve=in=té=rieur=dé=so=cia=li=sé=et=se=ma=ni=fes=te=par=des=im=pul=sions=la=so=ci=é=té=schi=zo=phrè=ne=est=bai=gnée=de=mul=ti=ples=con=cepts=con=crets=de=sa=non=vé=ri=ta=ble=cons=cien=ce=et=vit=aus=si=un=rê=ve=dé=so=cia=li=sé=so=ci=é=té=qui=sans=cet=te=sor=te=do=ni=ris=me=et=da=ban=don=au=tis=ti=que=se=rait=me=na=cée=de=chaos=to=tal=fi=na=le=ment=et=de=temps=en=temps=ré=gu=liè=re=ment=des=im=pul=sions=ab=sur=des=re=mon=tent=à=la=sur=fa=ce=im=pul=sions=po=li=ti=ques=coups=mé=dia=ti=ques=ré=vol=tes=et=ré=bel=lions=vai=nes=et=pas=sa=gè=res=in=té=rêts=sou=dains=et=phé=no=mè=nes=de=mo=de=et=cest=par=ce=que=cet=te=so=ci=é=té=se=con=cré=ti=se=non=cons=ciem=ment=mais=vé=ri=ta=ble=ment=et=je=di=rais=mê=me=pres=que=vé=ri=di=que=ment=pour=cer=tains=que=lon=peut=par=ler=du=con=cept=de=schi=zo=phré=nie=o=pé=ra=toi=re=de=dan=tec=la=schi=zo=phré=nie=o=pé=ra=toi=re=ou=com=ment=ê=tre=cou=pé=ex=té=rieu=re=ment=de=la=ré=a=li=té=in=té=rieure 434

adoles=cen=ceet=schi=zo=phré=nie 7

dans=la=ma=jo=ri=té=des=cas=la=schi=zo=phré=nieest=une=ma=la=die=dé=bu=tant=dans=la=do=les=cence=el=le=ap=pa=raît=a=près=la=pu=ber=té=pour=se=dé=ve=lop=per=jus=quà=lâ=ge=mûr=ce=ci=nest=pas=gé=né=ral=la=schi=zo=phré=nie=peut=se=dé=clen=cher=plus=tar=di=ve=ment 69
il=est=dif=fi=cile=de=dé=pis=ter=le=dé=but=de=cet=te=ma=la=die=voi=ci=un=en=fant=très=doué=tra=vailleur=qui=sou=dain=ma=ni=fes=teun=chan=ge=ment=de=te=nue=il=en=tre=dans=des=é=tats=de=rê=ve=rie=pro=lon=gée=il=mon=tre=des=at=ti=tu=des=bi=zar=res=il=sem=ble=ê=tre=ab=sent=il=rit=du=ne=fa=çon=dis=cor=dan=te=et=é=tran=ge=et=ma=ni=fes=te=de=for=tes=ten=dan=ces=à=li=so=le=ment=to=tal=on=ris=que=de=lac=cu=ser=de=pa=res=se=de=mau=vai=se=vo=lon=té=ou=de=si=mu=la=tion=ces=jeu=nes=gens=de=vien=nent=a=pa=thi=ques=se=dé=sin=té=res=sent=de=tout=ils=né=prou=vent=plus=au=cun=at=ta=che=ment=ni=in=té=rêt=en=vers=qui=ni=quoi=que=ce=soit=ni=é=lan=ni=cu=rio=si=té=ni=af=fec=tion=ni=ré=pul=sion=ni=a=mour=ni=haine=rien=que=le=vi=de=et=la=froi=deur=em=pê=chant=tout=con=tact=com=me=si=leurs=sour=ces=pro=fon=des=se=fi=geaient=dans=u=ne=gla=ce=é=paisse=ces=symp=tô=mes=mon=trent=un=tem=pé=ra=ment=s=pé=cial=ap=pe=lé=schi=zoï=die=la=schi=zoï=die=est=donc=u=ne=né=vro=se=pré=dis=po=sant=le=su=jet=à=la=schi=zo=phré=nie 269
ce=nest=quau=cours=de=lé=vo=lu=tion=que=se=montrent=a=lors=les=symp=tô=mes=net=te=ment=dé=cla=rés=tels=que=s=tu=peur=a=gi=ta=tion=in=dif=fé=ren=ceab=so=lue=aux=é=vè=ne=ments=et=à=len=tou=ra=ge=i=ner=tie=man=que=to=tal=de=ré=ac=tions=ab=sen=ce=de=cu=rio=si=té=ac=tes=au=to=ma=ti=ques=cris=hal=lu=ci=na=tions=in=dif=fé=ren=ce=à=la=pro=pre=té=la=plus=élé=men=taire 98

au=point=de=vue=so=cial 6

la=schi=zo=phré=nieà=ses=dé=buts=a=mène=des=a=gi=ta=tions=et=des=ac=cès=de=fu=reur=im=pul=si=ve=et=sans=mo=tif=s=cer=tains=si=gnes=mar=quent=le=dé=but=de=cet=te=ma=la=die=viols=fu=gues=rup=tu=res=sou=dai=nes=da=mi=tiés=exal=ta=tions=in=tel=lec=tuel=les=dé=me=su=rées=èt=cé=té=ra=le=com=por=te=ment=de=vient=in=co=hé=rent=et=im=pé=né=tra=ble=cest=dailleurs=ce=com=por=te=ment=qui=a=ler=te=len=tou=rage 105

le=traite=ment=de=la=schi=zo=phré=nie 9

dans=la=ma=jo=ri=té=des=cas=lhos=pi=ta=li=sa=tion=est=in=dispen=sable=la=psy=cho=thé=ra=pie=res=te=sou=vent=sans=ef=fet=et=cest=lo=gi=que=puis=que=la=na=tu=re=mê=me=de=la=schi=zo=phré=nieest=dê=tre=im=per=mé=a=ble=à=tout=con=tact=ex=té=rieur=mais=l=élec=tro=choc=et=le=choc=in=su=li=ni=que=a=mè=nent=des=mo=di=fi=ca=tions=nous=ver=rons=ce=la=en=mé=de=ci=ne=psy=cho=so=ma=tique 101
nous=ve=nons=de=voir=que=cer=taines=oeu=vres=de=schi=zo=phrè=nes=pré=sen=tent=un=ca=rac=tè=re=sym=bo=lique=ne=se=rait=til=pas=pos=si=ble=den=trer=en=com=mu=ni=ca=tion=a=vec=le=ma=la=de=au=moyen=des=sym=bo=les=cest=à=di=reen=es=say=ant=de=par=ler=son=lan=ga=ge=des=cas=fu=rent=ci=tés=dans=les=quels=le=trai=te=ment=sym=bo=li=que=eut=dheu=reux=ef=fets 90
le=traite=ment=par=le=tra=vail=est=ef=fi=ca=ce=ain=si=que=la=psy=cho=thé=ra=pie=de=grou=pe=on=lut=teain=si=con=tre=li=ner=tie=et=le=re=pli=sur=soi=dans=les=cas=très=gra=ves=la=chi=rur=gie=du=cer=veau=est=en=vi=sa=gée=et=don=ne=des=ré=sul=tats=dans=cer=tai=nes=a=gi=ta=tions=ce=la=ne=si=gni=fie=nul=le=ment=que=la=schi=zo=phré=nie=soit=in=cu=rable=des=psy=chia=tres=ont=vu=des=gué=ri=sons=sui=vies=du=ne=vie=so=cia=le=nor=male 111

la=ma=nie=dé=pres=sive 6

nous=a=vons=vu=le=tem=pé=rament=cy=clo=thy=mi=que=se=ca=rac=té=ri=sant=par 20
a=des=pé=riodes=dex=ci=ta=tion=brillan=te=deu=pho=rie=den=thou=sias=me=dexal=ta=tion=de=ra=pi=di=té=des=prit 27
sui=vies=de 3
b=pé=riodes=de=dé=pres=sion=de=tris=tes=se=dac=ti=vi=té=nul=le=de=dé=cou=ra=ge=ment=et=de=dé=goût 27
si=ces=va=ria=tions=de=lhu=meur=sont=dé=cu=plées=à=la=suite=de=cer=tai=nes=cir=cons=tan=ces=le=ma=la=de=som=bre=dans=la=psy=cho=se=ma=nia=que=dé=pres=sive=donc=a=vec=pé=rio=des=de=ma=nie=et=pé=rio=des=de=dé=pres=sion=a=vant=tout=il=faut=si=gna=ler=ce=ci=en=psy=cho=lo=gie=le=ter=me=ma=nie=na=pas=le=mê=me=sens=que=dans=la=vie=cou=rante=la=ma=nie=nest=pas=i=ci=un=tic=ou=u=ne=ha=bi=tu=de=ty=ran=ni=que=mais=un=é=tat=de=fol=le=ex=ci=ta=tion=psy=chi=queou=mo=tri=ce 126

i=pé=riode=de=ma=nie 6

le=ma=nia=que=sem=ble=per=son=ni=fier=la=joie=exal=tée=ins=tinc=tiveet=fré=né=ti=que=sans=au=cun=frein=mo=ral=il=se=trou=ve=dans=un=é=tat=i=ni=ma=gi=na=ble=dex=ci=ta=tion=et=deu=pho=rie=cet=é=tat=se=tra=duit=par=des=ri=res=des=chants=des=danses=il=ri=go=le=il=crè=ve=de=joie=il=a=mal=à=for=ce=de=ri=go=ler=ce=sont=ces=pro=pres=pa=ro=les 90
les=plai=sante=ries=dé=braillées=sor=tent=à=jet=con=ti=nu=com=meun=feu=dar=ti=fi=ce=a=vec=u=ne=ra=pi=di=té=hal=lu=ci=nante=il=y=a=su=ra=bon=dan=ce=des=i=dées=le=ma=la=de=sem=ble=sur=vol=té=la=te=nue=est=sou=vent=ex=cen=tri=que=il=se=vêt=do=ri=peaux=mul=ti=co=lo=res=a=gré=men=tés=dor=ne=ments=le=vi=sa=ge=est=hy=per=jo=vial=le=re=gard=brillant=lat=ti=tu=de=est=a=nor=ma=le=ment=fa=mi=liè=re=les=é=clats=de=voix=se=suc=cè=dent=ain=si=que=les=chants=les=cris=les=mi=mi=ques=le=ma=la=de=ne=tient=pas=en=pla=ce=tour=ne=en=rond=tout=le=com=por=te=ment=ma=nia=que=sem=ble=ê=tre=ce=lui=de=lex=ci=ta=tion=la=plus=dé=bri=dée=les=con=ven=tions=mo=ra=les=so=cia=les=é=thi=ques=sont=ba=layées=com=me=des=fé=tus=de=paille=cest=la=li=bé=ra=ti=on=en=mas=se=des=ins=tincts=sous=for=me=dexal=ta=ti=on=et=de=fré=né=sie=le=ma=nia=que=sai=sit=im=mé=dia=te=ment=les=dé=fauts=de=son=en=tou=ra=ge=il=fait=des=jeux=de=mots=des=ca=lem=bours=il=se=mo=que=de=tout=et=de=tous=il=cin=gle=ca=lom=nie=a=vec=im=pu=den=ce=et=ver=ve=ment=a=vec=cer=ti=tu=de=ré=cri=mi=ne=ac=cu=se=lan=ce=jo=via=le=ment=les=plai=san=te=ries=les=plus=obs=cènes=la=moin=dre=ré=sis=tan=ce=à=ses=fan=tai=sies=peut=fai=re=ap=pa=raî=tre=lir=ri=ta=ti=on=ou=la=co=lè=re=par=fois=la=fu=reur=la=cui=té=des=sens=sem=ble=beau=coup=plus=vi=ve=quà=lé=tat=nor=mal=mais=son=at=ten=ti=on=ne=se=fixe=sur=rien=par=fois=il=dé=pas=se=la=ma=nie=pro=pre=ment=di=te=la=gi=ta=ti=on=de=vient=i=nouïe=le=ma=la=de=hur=le=sans=ar=rêt=se=dé=vêt=bar=bouille=les=murs=de=ses=ex=cré=ments=les=mange 405
deux=exemples 2
voi=ci=deux=tex=tes=de=ma=nia=ques=dépres=sif=s=dans=leur=pé=rio=de=de=ma=nie 20
tex=te=i=rap=por=té=par=j=de=lay=sou=li=gné=re=mar=quons=que=le=ma=ladea=par=lé=ce=tex=te=a=vec=u=ne=ex=trê=me=ra=pi=di=té=de=dé=bit 39
dieu=pa=trie=hon=neur=a=près=vive=la=fran=ceet=la=vie=é=ter=nel=le=jai=me=mon=vil=la=ge=mon=vil=la=ge=cest=pa=ris=jai=deux=a=mours=jai=sin=cè=re=ment=ser=vi=non=seu=le=ment=en=pa=ro=les=mais=en=cœur=cau=se=tou=jours=et=a=vec=mon=cher=fils=da=vid=je=sou=hai=te=à=tout=le=mon=de=bon=ne=san=té=et=bon=soir=bon=soir=mes=da=mes=bon=soir=mes=sieurs=bien=le=bon=heur=un=hom=me=sans=hon=neur=est=un=hom=me=per=du=on=du=le=ur=su=le=tu=brû=les=ma=croix=cest=ma=joie=al=le=luia=jai=me=les=ro=ses=la=croix=et=les=ro=ses=ma=rie=jé=sus=ma=rie=ché=rie=ri=ri=gri=gri=e=li=sa=be=th=de=hon=grie=ri=quet=à=la=houp=pe=houp=pet=te=ta=pet=te=a=ve=ma=ria=a=ve=ma=ria=aux=pieds=de=ma=rie=jai=prié=pour=vous=ro=se=ma=rie=vi=vent=les=ro=ses=la=pluie=des=ro=ses=est=tom=bée=cet=te=nuit=il=res=tait=quel=ques=é=pi=nes=et=nos=di=milli=mus=ô=vous=qui=a=vez=un=grand=cœur=et=ta=sœur=la=grot=te=je=ro=te=ro=tin=crot=tin=tin=tin=cest=né=net=te=et=v=lan=pas=sez=la=mon=naie=ces=mes=sieurs=cest=des=doc=to=res=ses=oh=mon=sieur=lab=bé=que=je=suis=heu=reu=se=vi=ve=mon=cha=pe=let=vo=tre=bé=né=dic=tion=sain=te=thé=rè=se=de=len=fant=jé=sus=jai=ins=pi=ré=sa=bon=té=il=y=a=i=ci=de=tous=les=pa=ys=du=vert=et=du=ro=se=un=rai=de=so=leil=oh=de=lor=tra=la=la=la=tra=la=la=cest=lor=du=rhin=lor=des=reins=lor=de=né=net=te=et=rin=tin=tin=tin=tin=cest=ti=ti=ne=et=va=donc=p=el=le=re=gar=de=la=pen=du=le=il=est=dix=h=dix=exact=je=vous=de=man=de=par=don=le=mou=choir=ne=map=par=tient=pas=tra=la=la=la=mes=sieurs=mes=da=mes=tiens=mam=zel=le=a=cor=bas=son 404
que=re=mar=quons=nous=la=pen=sée=saute=les=obs=ta=cles=tout=com=meun=che=val=de=cour=se=et=les=i=dées=se=suc=cè=dent=à=un=ryth=me=vé=ri=ta=ble=ment=sur=ré=a=lis=te=dont=nous=ver=rons=en=co=re=le=mé=ca=nis=me=dans=le=tex=te=sui=vant 61
tex=te=ii=il=sa=git=dune=lettre=re=çue=par=lau=teur 13
mon=sieur=je=vous=aime=vous=nê=tes=pas=un=tar=di=gra=de=gra=da=tion=gra=dé=bon=jour=mon=co=lo=nel=va=te=fai=re=fout=a=vec=ton=sa=bre=par=don=lar=mée=par=don=sei=gneur=pour=en=re=ve=nir=à=vo=tre=con=fé=ren=ce=je=de=man=de=rais=à=dieu=tou=tes=ses=fleurs=de=mai=et=ses=au=bé=pi=nes=tres=saillan=tes=vous=ê=tes=op=ti=mis=te=com=me=moi=moi=je=crè=ve=de=joie=ta=ra=ta=ta=vo=tre=voix=cest=de=lar=gent=gens=du=nord=gens=du=mi=di=de=la=lu=miè=reen=plein=jui=llet=je=vous=ai=me=bien=mon=a=mi=mi=mi=pi=pi=pi=pi=au=lit=man=que=per=son=ne=à=lap=pel=mon=ad=ju=dant=fai=tes=de=beaux=rê=ves=et=que=lhu=ma=ni=té=vous=gar=de=al=le=luiah 166
voi=ci=donc=en=coreu=ne=sor=te=de=sur=ré=a=lis=me=à=lé=tat=pur=je=crois=que=beau=coup=dé=cri=vains=mo=der=nes=ne=dé=sap=prou=ve=raient=nul=le=ment=ce=tex=te=où=se=trou=ve=u=ne=beau=té=ab=sur=de=et=u=ne=gran=de=poé=sie=je=de=man=de=rais=à=dieu=tou=tes=ses=fleurs=de=mai=et=ses=au=bé=pi=nes=tres=saillan=tes 81
mais=il=est=in=téres=sant=de=re=mar=quer=la=fa=çon=dont=se=suc=cè=dent=les=i=dées 21
par=exem=ple 3
un=a=tar=di=grade=le=ma=la=deas=so=cie=la=der=niè=re=syl=la=be=du=mot=gra=de=a=vec=gra=da=tion=et=gra=dé 30
deux=il=as=so=cieim=mé=diate=ment=gra=dé=à=bon=jour=mon=co=lo=nel 17
trois=a=re=mar=quer=moi=je=crève=de=joie=sui=vi=de=ta=ra=ta=ta=as=so=cia=tion=pu=re=ment=eu=pho=ri=que 28
quatre=mê=me=gen=re=das=so=cia=tions=vo=tre=voix=cest=de=lar=gent=la=der=niè=re=syl=la=be=gent=lui=sug=gè=re=les=mots=sui=vants=gens=du=nord=gens=du=mi=di 39
cin=q=je=vous=aime=bien=mon=a=mi=il=prend=la=der=niè=re=syl=la=be=mi=qui=lui=don=ne=les=mots=sui=vants=mi=mi=pi=pi=pi=pi=au=lit=nou=vel=leas=so=cia=tion=a=vec=lar=mée=man=que=per=son=ne=à=lap=pel=mon=ad=ju=dant 57
six=al=le=luiah=qui=mar=queen=core=bien=leu=pho=rie=ma=niaque 14
le=dé=but=des=ac=cès=ma=nia=ques=peut=é=vi=dem=ment=en=traî=ner=des=ex=cen=tri=ci=tés=et=de=grands=é=carts=de=con=duite=nou=blions=pas=que=le=frein=mo=ral=di=mi=nue=jus=quà=son=a=bo=li=tion=com=plète=ce=sont=a=lors=des=at=ten=tats=à=la=pu=deur=de=grands=a=bus=de=con=fiance=des=ré=ac=tions=vio=len=tes=et=co=lé=reuses 81
le=dé=but=de=la=ma=nie=peut=donc=con=duireà=des=con=sé=quen=ces=so=cia=les=dont=le=ma=la=de=nest=é=vi=dem=ment=pas=res=pon=sable=lhos=pi=ta=li=sa=tion=sim=po=se=a=lors=de=plus=lin=ter=ne=ment=em=pê=che=le=ma=nia=que=dê=tre=sou=mis=aux=mul=ti=ples=ex=ci=ta=tions=de=lex=té=rieur=qui=ne=fe=raient=que=ren=for=cer=son=a=gi=ta=tion 86

ii=pé=riode=de=dé=pres=sion 7

après=les=dé=borde=ments=joy=eux=de=la=ma=nie=ap=pa=raît=la=pé=rio=de=de=dé=pres=sion=le=ma=la=de=tom=be=dans=un=ac=cès=de=mé=lan=co=lie=laf=fais=se=ment=est=to=tal=il=est=plein=di=dées=de=cul=pa=bi=li=té=et=din=di=gni=té=il=pro=fè=re=des=plain=tes=des=gé=mis=se=ments=il=se=croit=vo=leur=as=sas=sin=in=di=gne=de=tout=il=croit=que=ses=in=tes=tins=sont=obs=trués=que=son=sang=se=coa=gu=le=quil=na=plus=des=to=mac=plus=de=cœur=plus=de=cer=veau=i=dées=de=né=ga=tion=il=re=fu=se=de=sa=li=men=ter=et=on=se=voit=sou=vent=o=bli=gé=de=le=nour=rir=au=moyen=du=ne=sonde=des=i=dées=de=per=sé=cu=tion=ap=pa=rais=sent=il=est=cer=tain=quon=va=le=fai=re=mou=rir=le=tor=tu=rer=et=tuer=tous=les=siens=par=fois=lan=xié=té=mon=teà=son=maxi=mum=cest=le=rap=tus=an=xieux=le=rap=tus=est=un=pa=roxys=me=ex=plo=sif=pou=vant=con=dui=re=le=ma=la=de=vers=des=con=sé=quen=ces=tra=gi=ques=cri=mes=sui=ci=de=fu=gues=èt=cé=té=ra=il=se=dres=se=ha=gard=plein=de=sueur=ses=mains=fré=mis=sent=il=sa=ge=nouille=san=glo=te=et=sup=plie=quon=met=te=fin=à=sa=dou=leur=il=faut=re=dou=bler=de=sur=veillan=ce=pour=em=pê=cher=un=sui=ci=de=im=pul=sif=les=ob=jets=les=plus=bé=nins=peu=vent=de=ve=nir=pour=lui=des=ob=jets=de=des=truc=tion=il=peut=é=ga=le=ment=pré=pa=rer=son=sui=ci=de=a=vec=u=ne=pa=tien=ce=et=u=ne=ru=se=in=croyables 336
ce=dé=lire=mé=lan=co=li=que=qui=est=donc=u=ne=mons=trueu=se=exa=gé=ra=tion=du=pes=si=mis=me=du=mé=lan=co=li=que=né=vro=sé=pré=sen=te=sou=vent=des=hal=lu=ci=na=tions=le=ma=la=deen=tend=par=ler=de=lui=il=en=tend=di=re=quil=va=mou=rir=quil=va=ê=tre=exé=cu=té=il=voit=lé=cha=faud=qui=se=dresse=il=a=per=çoit=le=fan=tô=me=dun=ê=tre=ai=mé=lui=re=pro=cher=son=in=fâ=me=con=duite 101
se=rend=on=comp=te=de=lef=frayant=sup=plice=quest=par=fois=la=mé=lan=co=lie=du=ma=lade 21

le=traite=ment=de=la=ma=nie=dé=pres=sive 10

cette=psy=cho=seest=gé=né=ra=le=ment=con=si=dé=rée=com=me=cons=ti=tu=tion=nel=le=et=sou=vent=hé=ré=di=taire=le=tem=pé=ra=ment=cy=clo=thy=mi=que=en=est=la=ba=se=dans=bien=des=cas=ce=pen=dant=cer=tains=ma=la=des=tom=bent=dans=cet=te=psy=cho=se=sans=a=voir=au=pa=ra=vant=mon=tré=de=gran=des=al=ter=nan=ces=de=lhu=meur=cer=tains=psy=chia=tres=ins=cri=vent=cet=te=psy=cho=se=dans=un=dé=rè=gle=ment=or=ga=ni=que=ou=fonc=ti=on=nel=de=la=ba=se=du=cer=veau=ré=gion=de=l=hy=po=tha=la=mus=dont=je=par=le=rai=en=psy=cho=so=ma=ti=que 138
des=ac=cès=ma=nia=ques=ont=dailleurs=é=té=déclen=chés=au=cours=do=pé=ra=tions=du=cer=veau=dans=cet=te=fa=meu=se=ré=gion=hy=po=ta=la=mique=au=mo=ment=où=le=doc=teur=foers=ter=o=pé=rait=u=ne=per=son=ne=dans=cet=te=ré=gion=du=cer=veau=le=ma=la=de=pré=sen=ta=un=ac=cès=de=ma=nie=a=vec=flux=de=pa=ro=les=ra=pi=des=as=so=cia=tions=ra=pi=des=de=mots=ca=lem=bours=èt=cé=té=ra 98
outre=ce=la=cer=tains=fac=teurs=ac=ci=den=tels=peu=vent=a=gir=glan=des=en=do=cri=nes=chocs=é=mo=tif=s=trau=ma=tis=mes=crâ=niens=cer=tai=nes=ma=la=dies=in=fec=tieuses=dans=dau=tres=cas=les=rè=gles=la=pu=ber=té=la=gros=ses=se=lac=cou=che=ment=la=mé=no=pau=se=la=vor=te=ment=des=phé=no=mè=nes=com=me=lac=cou=che=ment=ou=la=vor=te=ment=pro=vo=quent=un=bou=le=ver=se=ment=en=do=cri=niens=lin=fec=tion=peut=a=voir=des=ré=per=cus=sions=sur=les=ré=gions=de=lhy=po=tha=la=mus=cet=te=zo=ne=de=vien=drait=al=ler=gi=que=et=vul=né=ra=bleà=dau=tres=cau=ses=pou=vant=se=pré=sen=ter=ul=té=rieu=re=ment 150

la=du=rée=de=la=ma=la=die 8

linten=si=té=la=du=rée=et=lal=ter=nan=ce=des=é=tats=de=ma=nieet=de=dé=pres=sion=sont=très=va=riables=cer=tains=ma=la=des=nont=quun=ou=deux=ac=cès=dans=leur=vie=dau=tres=en=ont=tous=les=ans=cer=tains=nau=ront=que=des=ac=cès=de=ma=nie=dau=tres=u=ni=que=ment=des=ac=cès=de=mé=lan=co=lie=en=tre=les=cri=ses=peut=se=trou=ver=un=in=ter=val=le=de=lu=ci=di=té=qui=se=pro=lon=ge=par=fois=très=long=temps=le=su=jet=re=trou=ve=a=lors=son=ac=ti=vi=té=rai=son=na=ble=et=nor=ma=le=ain=si=que=ses=fa=cul=tés=men=tales 130
la=ma=nie=dépres=si=ve=sem=ble=ê=tre=le=triom=phe=des=chocs=ain=si=par=fois=l=élec=tro=choc=est=ef=fi=ca=ce=ce=lui=ci=don=neun=ma=gni=fi=que=ré=sul=tat=dans=les=cas=de=mé=lan=co=lie=et=a=brè=ge=lé=vo=lu=tion=des=ac=cès=ma=niaques 61

à=sui=vre 3
Phonétique : Les Névroses Et Les Psychoses (Ii)listeʁi

nuz- avɔ̃ kɔny ʒanε, diʁεktœʁ dœ̃ labɔʁatwaʁə də psikɔlɔʒi patɔlɔʒikə. listeʁi etε alɔʁ la « ʁεnə dy ʒuʁ ». kεllə ε sεtə ɛ̃sεzisablə maladi ? …
listeʁi εt- ynə maladi tʁepidɑ̃tə, dy mwɛ̃z- ɑ̃ ʒeneʁal. εllə nε səpɑ̃dɑ̃ pa œ̃ pʁɔdɥi də nɔtʁə sjεklə aʒite ! dyʁɑ̃ dε sɑ̃tεnə dane, εllə a təny medəsɛ̃z- e psiʃjatʁə- dɑ̃z- œ̃ klima də koʃəmaʁ e dɛ̃pɥisɑ̃sə… kɑ̃ listeʁi nə pʁɔdɥizε pa dε kɔ̃vylsjɔ̃, εllə pʁɔvɔkε də vjɔlɑ̃ mo də tεtə. kɑ̃ lε kɔ̃vylsjɔ̃ dispaʁεsε, dε vɔmisəmɑ̃z- apaʁεsε. pɥi dε paʁalizi. u la pεʁsɔnə isteʁikə sə ʁətʁuvε bʁyskəmɑ̃ avøɡlə, sɑ̃z- okynə kozə ɔʁɡanikə. e kɑ̃ la sesite pasε, la syʁdite mɔ̃tʁε lə bu də lɔʁεjə, si ʒə pɥi diʁə. listeʁi pʁɔdɥizε eɡaləmɑ̃ dεz- ɔpsesjɔ̃, dε kʁizə, dεz- ide fiksə, dε dulœʁz- e dε spasmə paʁfwaz- atʁɔsə.
ɔ̃ kɔ̃pʁɑ̃ kə lə nɔ̃bʁə e la vaʁjete dε sɛ̃ptomə plɔ̃ʒε lε medəsɛ̃ dɑ̃ la teʁœʁ.
əvidamɑ̃, ʃakœ̃ avε sɔ̃n- ɔpinjɔ̃. ynə ɔpinjɔ̃ suvɑ̃ definitivə, kɔmə il sə dwa. « sεt- ynə isteʁikə »… ε bjɛ̃ vitə di. ynə kʁizə də nεʁf ? ɔ̃ kɔlε letikεtə. ynə famə ipe sεksɥεllə ? ɔ̃n- aʒisε də mεmə. setε evidamɑ̃ bjɛ̃ fasilə, mεz- ɔ̃n- etε lwɛ̃ də la veʁite.
boku kʁwae kil saʒi dynə maladi pyʁəmɑ̃ femininə. sɔ̃ nɔ̃ vjɛ̃ dajœʁ də sεtə kʁwajɑ̃sə ɑ̃sjεnə a œ̃ deʁεɡləmɑ̃ də la matʁisə (ystəʁa eɡal matʁisə) . mε, la osi, ɔ̃n- εt- a kote də la kεstjɔ̃.
saʃɔ̃z- ɑ̃ pʁəmje ljø :
a) kə listeʁi pø εtʁə osi bjɛ̃ maskylinə kə femininə.
b) kil ni a pa ynə isteʁi, mε tutə ynə seʁi də fenɔmεnəz- isteʁik. sε fenɔmεnə sɔ̃ benɛ̃z- e pasaʒe, u kɔ̃ʒenitoz- e pεʁmanɑ̃.
kεl ε laʒə sivil də listeʁi ?

sɑ̃z- aʒə… εllə ʁəmɔ̃tə dɑ̃ la nɥi dε tɑ̃. lɑ̃tikite la kɔnεsε fɔʁ bjɛ̃. mεs (vanite maskylinə u iɲɔʁɑ̃sə… ) , εllə ɑ̃n- akɔʁda kuʁtwazəmɑ̃ lεksklyzivite a la famə. plys taʁ, (il falε bjɛ̃ œ̃ kupablə ! ) , ɔ̃ kʁy kə lysife lɥi mεmə tɑ̃pεtε dɑ̃ lə kɔʁ də listeʁikə. lεz- εɡzɔʁsismə nə taʁdεʁe pa a pləvwaʁ syʁ səs « moditəs », ɑ̃ pʁwa o ɡʁifə dœ̃ djablə vəly… bjɛ̃, bjɛ̃… mε lə tɑ̃ pasε. o ksiksεmə sjεklə, lε nəʁɔlɔɡ sə pɑ̃ʃεʁe syʁ sə pʁɔblεmə kɔ̃plike. sjɑ̃sə ɑ̃ mɛ̃. səla nεksplika pa ɡʁɑ̃ ʃozə o deby, mε lə klima ʃɑ̃ʒε. lə djablə ɑ̃tʁε dɑ̃ lε kulisə, lε nəʁɔlɔɡz- ɑ̃ sɔʁtε, mε listeʁikə dəməʁε ɑ̃ sεnə, dɑ̃ lɛ̃sεzisablə də sε myltiplə vizaʒə… səpɑ̃dɑ̃, la sjɑ̃sə sə ʁɑ̃dε kɔ̃tə, pø a pø, kə lεz- isteʁik netε ni simylatœʁ kɔ̃sjɑ̃, ni modi, mε dε maladə kɔmə dotʁə- maladə !
la kyʁjozite də la medəsinə εt- ɛ̃fini. limɑ̃sə klavje dε manifεstasjɔ̃z- isteʁik sə deplwajε dəvɑ̃ εllə… mε lə mistεʁə dəməʁε. lazεɡ nə lapəlε til pa : « la kɔʁbεjə a papje u lɔ̃ mεt tu sə ki εt- ɛ̃klasablə… » ?
lə ksksεmə sjεklə debuʃa a sɔ̃ tuʁ, e, avεk lɥi, lε psikɔlɔɡ dε pʁɔfɔ̃dœʁ. də plys, la tɑ̃dɑ̃sə psikozɔmatikə də la medəsinə sə pʁesiza. e alɔʁ, tu sə mit a ʃɑ̃ʒe. listeʁi fy ʁaməne, də plysz- ɑ̃ plys, a dε pʁɔpɔʁsjɔ̃z- εɡzaktə.
ʃaʁko avε mɔ̃tʁe kə lε fenɔmεnəz- isteʁik puvε εtʁə pʁɔdɥiz- a vɔlɔ̃te paʁ lipnɔtismə. e kə lipnɔtismə puvε eɡaləmɑ̃ lε fεʁə dispaʁεtʁə. ɔʁ, ki di ipnɔtismə, di syɡʒεstjɔ̃ pɥisɑ̃tə, aksεpte imedjatəmɑ̃ paʁ lε sɑ̃tʁə- nεʁvøz- ɛ̃kɔ̃sjɑ̃.
ʒanε kɔ̃stata eɡaləmɑ̃ la ʁəsɑ̃blɑ̃sə fʁapɑ̃tə ɑ̃tʁə lε manifεstasjɔ̃z- ipnɔtikz- e lε fenɔmεnəz- isteʁik. e il pɑ̃sa kə lεz- isteʁik setε miz- ɑ̃ tεtə kilz- etε paʁalize, u avøɡlə. kilz- avε dɔ̃k, dɑ̃ lə sεʁvo, ynə ide fiksə, a la sɥitə dynə otozyɡʒεstjɔ̃ iʁezistiblə. mε, du vənε lide fiksə ʃe lεz- isteʁik ? … kε sə ki fəzε kə lə sεʁvo isteʁikə avεt « la pɥisɑ̃sə » nesesεʁə puʁ fεʁə apaʁεtʁə ynə paʁalizi, ynə ɔpsesjɔ̃ u œ̃ mytismə ? də mjøz- ɑ̃ mjøz- ɔ̃ vit la fɔʁsə də la syɡʒεstjɔ̃ e də lotozyɡʒεstjɔ̃ dɑ̃ sε manifεstasjɔ̃z- isteʁik. ɔ̃n- ɑ̃ kɔ̃pʁi lə mekanismə nεʁvø. la psikɔlɔʒi ʃεʁʃa lε bazə pʁɔfɔ̃də. e oʒuʁdɥi, lε manifεstasjɔ̃z- isteʁik sɔ̃ kyʁablə, kɔmə tutə defisjɑ̃sə psikɔlɔʒikə.
kεllə sɔ̃ lε ɡʁɑ̃də manifεstasjɔ̃z- isteʁik ?
œ̃ lε kʁizə : aʒitasjɔ̃ tɔtaləmɑ̃ ɛ̃kɔeʁɑ̃tə, sɑ̃ tutə fwa mɔʁsyʁə də la lɑ̃ɡ. pa də pεʁtə dyʁinə (kɔmə dɑ̃ lepilεpsjə) . flyks abɔ̃dɑ̃ də paʁɔlə, tɔʁe də plœʁz- e də ʁiʁə. lamɑ̃tasjɔ̃, paʁfwaz- yʁlɑ̃tə. ɛ̃vεktivə. la kɔ̃sjɑ̃sə dəməʁə aktivə e lεspʁi ɑ̃n- alεʁtə. sil i a ʃytə, listeʁikə ʃwazi lɑ̃dʁwa, e nə sə blεsə pʁatikəmɑ̃ ʒamεs (sə ki a dɔ̃k fε kʁwaʁə a la simylasjɔ̃ tɔtalə… ) .
dø lε paʁalizi : εllə sɔ̃ fʁekɑ̃tə dɑ̃ listeʁi. swa :
a) monopleʒi eɡal paʁalizi dœ̃ səl mɑ̃bʁə.
b) emipleʒi eɡal paʁalizi fʁapɑ̃ la mwatje dy kɔʁ.
k) paʁapleʒi eɡal paʁalizi dε dø mɑ̃bʁəz- ɛ̃feʁjœʁz- u sypeʁjœʁ, u dε døz- a la fwa.
tʁwa la sesite e lə mytismə : sɑ̃ bazə ɔʁɡanikə (suvənɔ̃ nu də la ʒənə famə swaɲe paʁ mεsme, e avøɡlə dəpɥi laʒə də tʁwaz- ɑ̃s) .
katʁə lε spasməz- e lε kɔ̃tʁaktyʁə : ilz- amεne dε psødo menɛ̃ʒitə, dε psødo apɑ̃disitə, paʁfwa dε psødo ɡʁɔsesə, εtseteʁa… la sɑ̃sasjɔ̃ kɔ̃sjɑ̃tə pø εtʁə kupe. sεʁtɛ̃z- isteʁikz- iʁɔ̃ ʒyska sə bʁyle atʁɔsəmɑ̃ u sə mytile sɑ̃ ʁəsɑ̃tiʁ la mwɛ̃dʁə dulœʁ. ɔʁ, nu savɔ̃z- eɡaləmɑ̃ kə, paʁ ipnɔtismə, il ε pɔsiblə dɔpeʁe sɑ̃ dulœʁ, sεt- a diʁə dɛ̃sɑ̃sibilizəʁ (paʁ syɡʒεstjɔn) sεʁtεnə paʁti dy kɔʁ. il i a dɔ̃k, isi, eɡaləmɑ̃, œ̃ ʁapɔʁ etʁwa. e ynə kεstjɔ̃ sə pozə : puʁkwa la dulœʁ εɡzistɑ̃tə (bʁylyʁə, skalpəl) nεt- εllə pa ʁəsɑ̃ti kɔ̃sjamɑ̃ paʁ lə sεʁvo dy syʒε isteʁikə, u ipnɔtize ? il i oʁε dɔ̃k, dɑ̃ sε dø ka, œ̃ sɔmεj dy sεʁvo kɔ̃sjɑ̃, swa spɔ̃tane kɔmə dɑ̃ listeʁi, swa pʁɔvɔke kɔmə dɑ̃ lipnɔtismə.
nu dəvɔ̃z- isi nu ʁapəle səsi : lide fiksə pʁɔvɔkə lə sɔmεj dε paʁti dy sεʁvo nə kɔʁεspɔ̃dɑ̃ pa a sεtə ide. sε paʁtiz- inibe dy sεʁvo sɔ̃ dɔ̃k ɛ̃dike puʁ nə pa ʁɑ̃dʁə kɔ̃sjɑ̃tə ynə dulœʁ…
lə syʒε isteʁikə pø εtʁə fʁape də pεʁtə də memwaʁə, e sə ʁətʁuve lwɛ̃ də lɑ̃dʁwa kil-abitε. nu tɔ̃bɔ̃z- isi dɑ̃ dø ka etʁɑ̃ʒə ki sə pʁɔlɔ̃ʒe lœ̃ lotʁə : lə sɔmnɑ̃bylismə e lə dedubləmɑ̃ də la pεʁsɔnalite.
sɛ̃k lə sɔmnɑ̃bylismə : il ε lœ̃ dε fenɔmεnə lε plysz- ɛ̃teʁesɑ̃ də listeʁi. kə sə pasə til dɑ̃ lə sɔmnɑ̃bylismə ? il saʒi dynə veʁitablə aksjɔ̃, mε sεtə aksjɔ̃ εt- ɛ̃kɔ̃sjɑ̃tə. lə syʒε εt- evεje puʁ ynə sələ ʃozə : sɔ̃ ʁεvə ɛ̃teʁjœʁ. il sə lεvə, maʁʃə, bwa, mɑ̃ʒə, sə livʁə a dεz- aktə vaʁje. il vit ʁeεllmɑ̃ sɔ̃ ʁεvə, e sɥi avøɡlemɑ̃ lεz- ɔʁdʁə- dɔne paʁ sə ʁεvə. il εt- a ʁəmaʁke kə lə sɔmnɑ̃bylə pyʁ na pa də veʁitablə kɔ̃sjɑ̃sə : dɔ̃k, il na okynə pœʁ. sə ki εksplikə kə lə sɔmnɑ̃bylə pø, sɑ̃z- okynə kʁɛ̃tə, akɔ̃pliʁ dεz- aksjɔ̃ ki lɥi səʁε dɑ̃ʒəʁøzəz- a leta nɔʁmal. ʁəvəny a la kɔ̃sjɑ̃sə, il nə ɡaʁdə suvɑ̃ okœ̃ suvəniʁ də sεz- aktivitez- anɔʁmalə.
mε lεz- aktivitez- ɛ̃kɔ̃sjɑ̃tə pəve sə pʁɔlɔ̃ʒe. nuz- aʁivɔ̃z- alɔʁz- o dedubləmɑ̃ də la pεʁsɔnalite. dɑ̃ sə ka, lə syʒε vit syʁ døks « mwa », εjɑ̃ ʃakœ̃ lœʁ vi pʁɔpʁə ! lə pʁəmje ε su lə kɔ̃tʁolə də la kɔ̃sjɑ̃sə nɔʁmalə, kɔmɑ̃de paʁ sɔ̃n- ekɔʁsə seʁebʁalə, lə səɡɔ̃t- ε diʁiʒe paʁ yn « mwa » ɛ̃kɔ̃sjɑ̃, sə tʁuvɑ̃ dɑ̃ dε sɑ̃tʁə- nεʁvø də la vi ɛ̃kɔ̃sjɑ̃tə, avεk sεz- abitydə, sεz- ɛ̃stɛ̃, εtseteʁa.
il nu fodʁa atɑ̃dʁə letydə də la psikozɔmatikə puʁ lə kɔ̃pʁɑ̃dʁə mjø. tu sə pasə, ɑ̃n- efε, kɔmə si lə « deduble » pɔsedε dø sεʁvo nεjɑ̃ okœ̃ ʁapɔʁ ɑ̃tʁə ø… dɑ̃ lə dedubləmɑ̃ də la pεʁsɔnalite, ki pø dyʁe də lɔ̃ɡz- ane, lə syʒε tʁavajə, kʁe, a ynə vi sɑ̃timɑ̃alə e pʁɔfesjɔnεllə, dɔ̃ lə kaʁaktεʁə anɔʁmal eʃapəʁε a œ̃n- ɔpsεʁvatœʁ nɔ̃ avεʁti ! ʒɑ̃ ʁəpaʁləʁε bjɛ̃to.
la kaʁakteʁistikə pʁimɔʁdjalə də listeʁikə ε la fasilite daksεpte la syɡʒεstjɔ̃. il sɑ̃blə dɔ̃k bjɛ̃ kil i ε ʃe lɥi œ̃ movε fɔ̃ksjɔnəmɑ̃ də lekɔʁsə seʁebʁalə, pɥiskil nə maʁkə okynə vɔlɔ̃te kɔ̃tʁəkaʁɑ̃ la syɡʒεstjɔ̃. sε puʁkwa listeʁi εt- ynə nevʁozə tεllmεnt « kɔ̃taʒjøzə » ! il syfi də sɔ̃ʒe o muvəmɑ̃ də fulə, a sεʁtɛ̃ deʃεnəmɑ̃ də ʒənə ʒɑ̃z- ekutɑ̃ sεʁtɛ̃z- aʁtistə, e ʁeaʒisɑ̃ kɔmə œ̃ səl ɔmə a ynə emɔsjɔ̃ sə ʁepɑ̃dɑ̃ kɔmə ynə tʁεne də pudʁə mɑ̃talə, kupɑ̃ ɛ̃si tutə vɔlɔ̃te pεʁsɔnεllə…
ʒə di imedjatəmɑ̃ kə lə veʁitablə isteʁikə ε sɛ̃sεʁə, e sɛ̃sεʁəmɑ̃ maladə. ʃaʁko a maɲifikəmɑ̃ dekʁi lε paʁɔksisməz- e lε deliʁəz- isteʁik, avεk dεz- ɛ̃pʁekasjɔ̃, dε kʁi, dεz- ɛ̃syltə, dεz- atitydə dεkstazə (avεk paʁfwa də bizaʁəz- eʁypsjɔ̃ də la po) , dε pʁɔpoz- eʁɔtik, εtseteʁa.
lε manifεstasjɔ̃z- isteʁik sɔ̃ lε sɛ̃ptomə dœ̃ dezekilibʁə afεktif tʁε pʁɔfɔ̃.

kɔmɑ̃ swaɲə tɔ̃ listeʁi ?

dəvɑ̃ εllə, la medəsinə pʁɔpʁəmɑ̃ ditə saʁaʃə lε ʃəvø. ɔ̃ ʒyʁəʁε kə listeʁikə sotə dœ̃ sɛ̃ptomə a lotʁə puʁ deʁute e dekuʁaʒe la sjɑ̃sə də ɡeʁizɔ̃… kə vule vu fεʁə si œ̃n- isteʁikə ε paʁalize sɑ̃z- εtʁə paʁalize, u suʁ sɑ̃z- εtʁə suʁ, u avøɡlə sɑ̃z- εtʁə avøɡlə ? e sil ε kɔ̃state kokynə bazə ɔʁɡanikə viziblə nə pεʁmε sε manifεstasjɔ̃ ki, dɑ̃ tʁwa ʒuʁz- oʁɔ̃ pø tεtʁə dispaʁy puʁ fεʁə plasə a dotʁə ? ɔʁ, ʒə ʁepεtə kə, suz- ipnozə, dε manifεstasjɔ̃z- isteʁik pəve εtʁə deklɑ̃ʃe fasiləmɑ̃ paʁ syɡʒεstjɔ̃. listeʁi ε pø tεtʁə la maladi dɑ̃ lakεllə la pεʁsɔnə sybi, lə plysz- e lə mjø, la syɡʒεstjɔ̃. dotʁə paʁ, lε manifεstasjɔ̃z- isteʁik nə sə deʁule pa dɑ̃ lə silɑ̃sə : listeʁikə nə sə kaʃə pa, mεz- ɛ̃pozə (kɔ̃sjamɑ̃ u nɔn) səs sɛ̃ptoməz- a latɑ̃sjɔ̃ də sɔ̃n- ɑ̃tuʁaʒə (sə ki a fε kʁwaʁə, ɑ̃ plys, a la kɔmedi pyʁə e sɛ̃plə) .
dɔ̃k, il i a dəʁjεʁə tu səla œ̃ sɑ̃sz- a dekuvʁiʁ. il i a ynə siɲifikasjɔ̃ dɔ̃ il fo tʁuve lε mɔbiləz- esɑ̃sjεl. si lɔ̃ vø, listeʁikə sɑ̃blə εtʁə yn « simylatœʁ də bɔnə fwa », apyie syʁ œ̃ dezɔʁdʁə mɑ̃tal, kil fo etydje e ɡeʁiʁ kɔmə tεl.
ətɑ̃ dɔne lə nɔ̃bʁə dε sɛ̃ptoməz- e dε manifεstasjɔ̃, boku dotœʁz- ɔ̃ pʁɔpoze də ʁεje dy diksjɔnεʁə lə mɔt « isteʁjə » εt də nə kɔ̃sideʁe kə dəs « manifεstasjɔ̃z- isteʁikəs ».
il ε sεʁtɛ̃ kə tutə sε manifεstasjɔ̃, si εlləz- ɔfʁe dε pwɛ̃ kɔmœ̃, pəve avwaʁ dε bazəz- ɛ̃dividɥεllə tɔtaləmɑ̃ difeʁɑ̃tə ! mεmə si lε sɛ̃ptomə sɔ̃t- idɑ̃tik, ynə isteʁi də vjεjaʁ na ʁjɛ̃ də kɔmœ̃, a la bazə, avεk ynə sesite isteʁikə deklɑ̃ʃe paʁ œ̃ ʃɔk də ɡeʁə ! səpɑ̃dɑ̃, lε sɛ̃ptomə pəve εtʁə kɔ̃fɔ̃dys…

si ynə kʁizə disteʁi sə deklɑ̃ʃə, kə fo til fεʁə ?

ʒɑ̃tɑ̃z- ynə kʁizə, ɑ̃ dəɔʁ də la pʁezɑ̃sə dœ̃ medəsɛ̃. la pʁəmjεʁə kɔ̃sekɑ̃sə dynə kʁizə isteʁikə ε lafɔləmɑ̃ də lɑ̃tuʁaʒə. ɔʁ, kə fəʁa lə pʁatisjɛ̃, dε sɔ̃n- aʁive ? il fəʁa lə vidə otuʁ dy maladə, ki kɔ̃tinɥ a sə debatʁə kεlkə tɑ̃, mε, tʁε suvɑ̃, lɛ̃pasibilite dy medəsɛ̃ aʁεtə la kʁizə. puʁkwa ? paʁsə kə lɑ̃tuʁaʒə, afɔle, ʁɑ̃fɔʁsə lotozyɡʒεstjɔ̃ dy maladə.
otʁə- mwajɛ̃z- imedja : flaʒεllasjɔ̃ a lo, ʒiflə, kɔ̃pʁesjɔ̃ dε ɡlɔbəz- ɔkylεʁə. mεz- il va də swa kə sε metɔdə sɔ̃ ʁiɡuʁøzəmɑ̃ sypεʁfisjεllə, e nə vize ka laʁε də la kʁizə ! suliɲe lε manifεstasjɔ̃z- isteʁik sɔ̃ dε sɛ̃ptomə. εllə nə sɔ̃ pa la maladi. sεllə si sə tʁuvə boku plysz- ɑ̃ pʁɔfɔ̃dœʁ, e sε sεtə pʁɔfɔ̃dœʁ kil fo atɛ̃dʁə e swaɲe.
kɔmɑ̃ ? detεkte lɔʁiʒinə e lε mɔbilə, suvɑ̃ tʁε kaʃe. tʁuve lε kɔ̃fliz- afεktif, o mwajɛ̃ də la psikɔlɔʒi.

lε fenɔmεnə də kɔ̃vεʁsjɔ̃

la kɔ̃vεʁsjɔ̃ εt- œ̃ mekanismə kuʁɑ̃, sεʁtɛ̃ kɔ̃fliz- afεktif sεksteʁjɔʁize paʁ lə kɔʁ. lε kɔ̃fli psikɔlɔʒik sə « kɔ̃vεʁtisεnt » εn maladi fizik. ʒɑ̃ ʁəpaʁləʁε.
pʁənɔ̃ lə ka klasikə dynə kɔlεʁə. la deʃaʁʒə imedjatə də la kɔlεʁə səʁa : ɛ̃syltə, flyks də paʁɔlə, ʒεstə vjɔlɑ̃, ku də puiŋ, εtseteʁa.
mεz- εllə pø pʁezɑ̃te ynə kɔ̃vεʁsjɔ̃ : lə beɡεmɑ̃. il i a, dɑ̃ sə ka, ynə kɔ̃vεʁsjɔ̃ dɑ̃ lεz- ɔʁɡanə dy laʁɛ̃ks. la kɔ̃vεʁsjɔ̃ pø εtʁə plys fɔʁtə, e sə plase dɑ̃ lεz- ɔʁɡanə sεʁvɑ̃ o manifεstasjɔ̃ də la kɔlεʁə : lə syʒε dəvjɛ̃ afɔnə u paʁalize. (manifεstasjɔ̃z- isteʁik. )
ʃakœ̃ sε osi kə sεʁtɛ̃z- ylsεʁə dεstɔmak sɔ̃ la kɔ̃vεʁsjɔ̃ fizikə də kɔ̃fliz- afεktif. la kɔ̃vεʁsjɔ̃ ε dɔ̃k œ̃ fenɔmεnə pʁɔdiʒjøzəmɑ̃ ɛ̃teʁesɑ̃, e sə pʁezɑ̃tə tʁε fʁekamɑ̃… la medəsinə psikozɔmatikə eklεʁəʁa tu səla də fasɔ̃ ɛ̃teʁesɑ̃tə.
lε fenɔmεnə də kɔ̃vεʁsjɔ̃ pəve εtʁə tʁε vaʁje. il ε dɔ̃k nɔʁmal kə la dispaʁisjɔ̃ dœ̃ sɛ̃ptomə pεʁmεtə lapaʁisjɔ̃ dœ̃n- otʁə, kɔmə dɑ̃ listeʁi. mε nɑ̃ kɔ̃klyɔ̃ pa kə tu fenɔmεnə də kɔ̃vεʁsjɔ̃ swa isteʁikə ! a sə kɔ̃tə, tutə pεʁsɔnə (paʁ εɡzɑ̃plə) sufʁɑ̃ dœ̃n- ylsεʁə a bazə psikɔlɔʒikə səʁε isteʁikə… sə ki εt- absyʁdə.
dɑ̃ listeʁi, tu sə pasə kɔmə si la maladi psikɔlɔʒikə dəvε sεksteʁjɔʁize kɔʁpɔʁεllmɑ̃, dynə fasɔ̃ u dynə otʁə. ɔ̃ vwa dɔ̃k lə dɑ̃ʒe : lə sɛ̃ptomə kɔʁpɔʁεl isteʁikə εt- ynə deʃaʁʒə nesesεʁə. nu savɔ̃ kynə kɔlεʁə « ʁɑ̃tʁeə » εst plys nɔsivə kynə kɔlεʁə sə deʃaʁʒɑ̃ myskylεʁəmɑ̃ u vεʁbaləmɑ̃. si lɔ̃ pusə səla a fɔ̃, ɔ̃ kɔ̃statə kə la ɡeʁizɔ̃ pyʁə e sɛ̃plə dynə « kɔ̃vεʁsjɔn » isteʁikə pɥisə εtʁə dɑ̃ʒəʁøzə… kɔmə si lɔ̃ blɔkε ynə supapə syʁ ynə ʃodjεʁə ɑ̃n- ebylisjɔ̃. lɛ̃pɔsibilite də la deʃaʁʒə afεktivə a mεmə kɔ̃dɥi sεʁtɛ̃ syʒεz- o sɥisidə.
dɑ̃ listeʁi, il səʁa dɔ̃k ɛ̃dispɑ̃sablə də ʃεʁʃe la kozə pʁɔfɔ̃də, e də puse a fɔ̃ lεɡzamɛ̃ mɑ̃tal. e səla, avɑ̃ tutə ʃozə. ʃakə ka disteʁi ε dɔ̃k syʒε a œ̃ tʁεtəmɑ̃ difeʁɑ̃. mε, də tutə fasɔ̃, sə tʁεtəmɑ̃ dəvʁa tuʒuʁ sə fεʁə ɑ̃ pʁɔfɔ̃dœʁ. e səla, o mwajɛ̃ dε tεknik medikaləz- e psikɔlɔʒikz- apʁɔpʁje.
nubljɔ̃ dɔ̃k pa kə listeʁi pʁezɑ̃tə dɔ̃k tutə ynə ɡamə deta. e il fo nɔte puʁ tεʁmine, kynə pεʁsɔnə a tɑ̃peʁame isteʁikə pø vivʁə tutə sa vi sɑ̃ manifεstasjɔ̃z- εɡzaʒeʁe. sɔ̃ tɑ̃peʁame eʃapəʁa dɔ̃k tuʒuʁz- a lɔpsεʁvasjɔ̃ nɔ̃ avεʁti. sə səʁa alɔʁz- ynə pεʁsɔnə mɑ̃taləmɑ̃ fʁaʒilə, εksesivəmɑ̃ syɡʒεstjɔnablə, e ʃe lakεllə ynə vi kalmə e sɑ̃z- emɔsjɔ̃ ʃɔk nə fəʁa ʒamεz- apaʁεtʁə də sɛ̃ptomə tʁεz- anɔʁmal…

sɔmə nu tus, pø u pʁu, lə dɔktœʁ ʒəkil e miste idə ?

ɑ̃ dotʁə- tεʁmə, avɔ̃ nu plyzjœʁ pεʁsɔnalite ? lynə də sε pεʁsɔnalite pø tεllə pʁɑ̃dʁə lə pa syʁ lotʁə ? avɔ̃ nu plyzjəʁs « mwa » ?
lε ka ase stypefjɑ̃ də dedubləmɑ̃ də la pεʁsɔnalite nə sɔ̃, ni imaʒinasjɔ̃, ni fiksjɔ̃, mε pyʁə ɔbʒεktivite medikalə, εksplwate dajəʁs (suve tʁε mal) paʁ la liteʁatyʁə e lə sinema.
ʁapəlɔ̃ nu kə la kɔ̃sjɑ̃sə εt- ynə sɔʁtə də ʁezεʁvwaʁ, bʁasɑ̃ e malaksɑ̃ tus lεz- evεnəmɑ̃ də la vi, puʁ ɑ̃ tiʁe ynə sɑ̃sasjɔ̃ ynikə, ynə sɛ̃tεzə. si lɔ̃ vø, la vi pʁesipitə dɑ̃ sə ʁezεʁvwaʁ dε pɔmə, dε pwaʁəz- e dε ʁεzɛ̃. mε lə ʒy ʁekɔlte nε ni ʒy də pɔmə, ni də pwaʁə, ni də ʁεzɛ̃. sεt- œ̃ ʒy nuvo, bjɛ̃ omoʒεnə e aɡʁeablə o ɡu.
tεllə dwa εtʁə la kɔ̃sjɑ̃sə də lɔmə : omoʒεnə e aɡʁeablə.
ɑ̃ sεʃə definisjɔ̃ siifikə : la kɔ̃sjɑ̃sə ε la sɛ̃tεzə kœ̃n- ɛ̃dividy ʁealizə ɑ̃n- œ̃n- ɛ̃stɑ̃ dɔne, də sεz- aktivite pεʁsεptʁisə, mɔtʁisəz- e psiʃik, e ki, abɔlisɑ̃ lœʁz- aspεz- elemɑ̃tεʁə, lε depasə e lεz- ɛ̃tεɡʁə ɑ̃n- œ̃ kɔ̃pɔʁtəmɑ̃ due dynə stʁyktyʁə ɔʁiʒinalə (sytəʁ) . nu ʁəʒwaɲɔ̃ dɔ̃k la kɔ̃sεpsjɔ̃ də ʒanε.
nuz- avɔ̃ vy səsi : œ̃n- evεnəmɑ̃ nɔ̃ ɛ̃teɡʁe dɑ̃ la masə də la kɔ̃sjɑ̃sə, dəvjɛ̃ sɑ̃blablə a œ̃ satεllitə tʁavajɑ̃ ɑ̃ dəɔʁ də sεtə masə. sεt evεnəmɑ̃, nɔ̃ diʒeʁe, va tiʁaje lɔmə sumiz- a sə mɑ̃kə dynite.
sə ka sə ʁəpʁezɑ̃tə dɑ̃ tus lε kɔ̃plεksə, paʁ εɡzɑ̃plə. lə kɔ̃plεksə ε kɔmə sə satεllitə, il aʒi puʁ sɔ̃ pʁɔpʁə kɔ̃tə, sɑ̃ kə la kɔ̃sjɑ̃sə pɥisə labsɔʁbe dɑ̃ sa masə. ɔʁ, lɔmə vwa suvɑ̃ lε sɛ̃ptomə dy kɔ̃plεksə, mε ʁaʁəmɑ̃ lə kɔ̃plεksə lɥi mεmə. a sə mɔmɑ̃, il a deʒa, ɑ̃ pəti, ynə pεʁsɔnalite dublə : sɔn « mwa » pʁɔpʁəmɑ̃ di e lə « mwa » də sɔ̃ kɔ̃plεksə. il i a ɑ̃ lɥi kεlkə ʃozə ki lə fε aʒiʁ malɡʁe lɥi.
kaʁivəʁε til dɔ̃k si œ̃ fʁaɡme satεllitə, izɔle mε pɥisɑ̃, dəvənε pʁedɔminɑ̃ ? kaʁivəʁε til si sə fʁaɡme pʁedɔminɑ̃ dəvənε kɔ̃sjɑ̃sə pʁɛ̃sipalə, abɔlisɑ̃ la kɔ̃sjɑ̃sə inisjalə ?
mεz- ekute plyto…

œ̃ ka etʁɑ̃ʒə

bʁyskəmɑ̃, sɑ̃z- okœ̃ siɲə pʁepaʁatwaʁə, ynə ʒənə fijə sɑ̃dɔʁ pʁɔfɔ̃demɑ̃. sɔmεj bizaʁə, plys pʁɔlɔ̃ʒe kə lə sɔmεj nɔʁmal… pɥi, la ʒənə fijə sə ʁevεjə. e lɔ̃ kɔ̃statə kə tu sə ki kɔ̃stitɥε sa pεʁsɔnalite nεɡzistə plys. sε kɔnεsɑ̃səz- ɔ̃ dispaʁy, sɔ̃ sεʁvo ε vidə. εllə εt- œ̃ pεʁsɔnaʒə nuvo, ki vjɛ̃ də nεtʁə, vjεʁʒə e iɲɔʁɑ̃. də plys, εllə a tɔtaləmɑ̃ ublje sa pεʁsɔnalite pʁesedɑ̃tə e tu sə ki si ataʃə.
ɔ̃ fy dɔ̃k ɔbliʒe də tu lɥi ʁeapʁɑ̃dʁə, a kɔnεtʁə lεz- ɔbʒε, a liʁə e a ekʁiʁə. εllə apʁi vitə. e kɑ̃ tu səla fy fε… la ʒənə fijə sɑ̃dɔʁmi a nuvo, də sə mεmə sɔmεj etʁɑ̃ʒə e pʁɔlɔ̃ʒe. pɥi, εllə sevεja… mε dɑ̃ sa pʁəmjεʁə pεʁsɔnalite, e avεk ubli tɔtal də la peʁjɔdə sitye ɑ̃tʁə lε dø sɔmεj.
səla dyʁa katʁə ɑ̃. avεk lε mεməz- altεʁnɑ̃sə də sɔmεj e də pεʁsɔnalite. dɑ̃ ʃakə pεʁsɔnalite, ʁjɛ̃, də lotʁə pεʁsɔnalite, nə sybzistε, pa mεmə œ̃ suvəniʁ… e puʁtɑ̃, dɑ̃ ʃakœ̃ də sε ka, εllə aʒisε, lizε, etydjε, tʁavajε, pɑ̃sε ! sypozɔ̃z- œ̃n- ɛ̃stɑ̃ kεllə ε akɔ̃pli œ̃n- aktə ʁepʁeɑ̃siblə, avɑ̃ də sɑ̃dɔʁmiʁ puʁ sə ʁevεje dɑ̃ lotʁə eta… kεllə səʁε sa ʁεspɔ̃sabilite ? kə fəʁε la ʒystisə ymεnə ? kɔmɑ̃ puʁʁε tɔ̃ lɛ̃teʁɔʒe, pɥiskə sɔ̃ nuvo « mwa » nə sə suvjɛ̃ pa dy « mwa » pʁesedɑ̃ ?

kɑ̃ la pεʁsɔnalite sə lezaʁdə…

ynə ʒənə fijə, aʁive a laʒə də diz- ɥit ɑ̃, pʁezɑ̃tə dε mɔmɑ̃ dabsɑ̃sə, sɥivi də syʁdite e də sesite. yna atakə də sɔmεj apaʁε, e la ʒənə fijə sevεjə ɑ̃sɥitə, avεk pεʁtə tɔtalə də la memwaʁə. isi, eɡaləmɑ̃, sa pεʁsɔnalite pʁəmjεʁə avε dispaʁy… ɔ̃ dy osi lɥi apʁɑ̃dʁə a liʁə e a ekʁiʁə. ɔ̃ kɔ̃stata kə sa døzjεmə pεʁsɔnalite etε tɔtaləmɑ̃ difeʁɑ̃tə də la pʁəmjεʁə. otɑ̃ sa pεʁsɔnalite nymeʁo œ̃n- etε tʁistə e depʁime, otɑ̃ la nymeʁo døz- etε ɡε, ʒwajøzə, ɛ̃susjɑ̃tə. e dɑ̃ sə døzjεmə eta, ʁjɛ̃ ni kikɔ̃kə nə puvε lɑ̃pεʃe də fεʁə sε katʁə vɔlɔ̃te…
pɥiz- εllə y œ̃ nuvo sɔmεj, e sevεja dɑ̃ sa pεʁsɔnalite nymeʁo œ̃, avεk sε pʁəmjεʁə kɔnεsɑ̃sə, e ubli də la pεʁsɔnalite nymeʁo dø.
e səla ʁəkɔmɑ̃sa. εllə sə ʁevεja dɑ̃ la pεʁsɔnalite nymeʁo dø, dɔ̃ εllə sə suvənε, mεz- εjɑ̃ ublje, a nuvo, sa pεʁsɔnalite nymeʁo œ̃.
e, aʁive a laʒə də tʁɑ̃tə siz- ɑ̃, εllə dəməʁa ʒyska sa mɔʁ dɑ̃ sɔ̃n- eta səɡɔ̃…

sε ka sɔ̃t- ase ʁaʁə, e plɔ̃ʒe lεz- ɔmə dɑ̃ la stypefaksjɔ̃. ɛ̃si dɔ̃k, sεtə famøzə pεʁsɔnalite ymεnə, sə blɔk kə lɔ̃ kʁwa sɔlidə, pø sə bʁize ? e ʃakœ̃ dε mɔʁso pø aʒiʁ, ɑ̃n- iɲɔʁɑ̃ sə kə fəzε lotʁə mɔʁso ?
sε ka εkstʁεmə sɔ̃, isi eɡaləmɑ̃, ynə εɡzaʒeʁasjɔ̃ dy nɔʁmal e dy kuʁɑ̃. il ε sεʁtɛ̃ kə la plypaʁ dε ʒɑ̃ pɔsεde, ɑ̃ dəɔʁ də lœʁ masə də kɔ̃sjɑ̃sə, dəs « satεllitəs » nɔ̃ ɛ̃teɡʁe, ki ʁeapaʁεse sɥivɑ̃ lε siʁkɔ̃stɑ̃sə. lanalizə psikɔlɔʒikə, lipnozə, la naʁko analizə pεʁmεte dajœʁ də desəle lœʁ pʁezɑ̃sə. nu veʁɔ̃ səla ɑ̃ paʁlɑ̃ də lɛ̃kɔ̃sjɑ̃.
εɡzɑ̃plə kuʁɑ̃ : œ̃ timidə. dɑ̃ la sɔlitydə, il vit-aʁmɔnjøzəmɑ̃ syʁ sa masə pʁɛ̃sipalə də kɔ̃sjɑ̃sə. il ɛ̃tεɡʁə lε siʁkɔ̃stɑ̃sə dɑ̃ sə ʁezεʁvwaʁ ʒeneʁal. mε lə vwasi ɑ̃ pyblik : a sə mɔmɑ̃, lemɔtivite tuʁnə lɛ̃teʁyptœʁ, e lə mεt ɑ̃ kɔ̃takt avεk səs « satεllitəs » (pœʁ, ɛ̃feʁjɔʁizasjɔ̃, kɔ̃plεksə, εtseteʁa. ) kə sə pasə til ? ləs « satεllitəs » mɑ̃to tʁavaje puʁ lœʁ kɔ̃tə, e asimile lε siʁkɔ̃stɑ̃sə si ʁapɔʁtɑ̃. sε dɔ̃k œ̃ tʁε minimə dedubləmɑ̃ də la pεʁsɔnalite.
otʁə εɡzɑ̃plə : ynə pεʁsɔnə vivɑ̃ dɑ̃ lɔpsesjɔ̃ dε mikʁɔbə, syʁtu avɑ̃ də sə kuʃe. tutə la ʒuʁne, εllə vit syʁ sa masə pʁɛ̃sipalə də kɔ̃sjɑ̃sə, e tu va bjɛ̃. aʁivə lə swaʁ. e vwasi kə sɔn « satεllitə » mɑ̃tal lɔbliʒə a sə dezɛ̃fεkte di- fwa lε mɛ̃. il i a dɔ̃k ɑ̃n- εllə kεlkə ʃozə də pɥisɑ̃ ki lɔbliʒə a aʒiʁ.
ʒə ʁepεtə dɔ̃k kə, si lə fʁaɡme sepaʁe dy « mwa » εst tʁε pɥisɑ̃, il pø aniile la pεʁsɔnalite pʁimitivə (kɔmə dɑ̃ lə dedubləmɑ̃ də la pεʁsɔnalite) , u la diminɥəʁ (kɔmə dɑ̃ lə tʁak, lε kɔ̃plεksə, lεz- ɔpsesjɔ̃, lεz- ide fiksə… ) .
si la masə pʁɛ̃sipalə də kɔ̃sjɑ̃sə ɛ̃flɥɑ̃sə lε sɑ̃s, lε fʁaɡmɑ̃ sepaʁe lə fɔ̃ eɡaləmɑ̃ ! lə pasjɑ̃ sufʁə alɔʁ dalysinasjɔ̃ vizɥεlləz- u oditivə. il ɑ̃tɑ̃ ʁeεllmɑ̃ dε vwa, il vwa vʁεmɑ̃ dε ʃozə. il a lɛ̃pʁesjɔ̃ kə sε vwa e sε vizjɔ̃ vjεne dy dəɔʁ, alɔʁ kεllə sɔ̃ pʁɔdɥitə su lɛ̃flɥɑ̃sə də sɔ̃ fʁaɡme sepaʁe də la kɔ̃sjɑ̃sə pʁɛ̃sipalə : dɔ̃k səla nə vjɛ̃ pa də lεksteʁjœʁ, mε bεl e bjɛ̃ də sɔ̃n- ɛ̃teʁjœʁ sɑ̃sitif e psiʃikə. sə mekanismə pø pʁɔdɥiʁə sεʁtɛ̃ ka dapaʁisjɔ̃, dodisjɔ̃ də vwa selεstə, εtseteʁa. lɛ̃tεʁpʁetasjɔ̃ εkstʁεmə də lεɡlizə katɔlikə sə tʁuvə dɔ̃k isi εksplike difeʁamɑ̃ paʁ lε fε siifik, (il syfi də ʁapəle lε stiɡmatə, ɛ̃tεʁpʁete ʁəliʒjøzəmɑ̃ paʁ ynə ɛ̃tεʁvɑ̃sjɔ̃ divinə, e ɛ̃tεʁpʁete siifikəmɑ̃ paʁ dεz- eʁypsjɔ̃ də la po, kə listeʁi pø pʁɔvɔkəʁ) .
la kɔ̃sjɑ̃sə ε dɔ̃k kɔ̃poze dœ̃n- ɑ̃sɑ̃blə də ʁeaksjɔ̃ melɑ̃ʒez- ɑ̃n- ynə sələ sɑ̃sasjɔ̃. tut- εtʁə ymɛ̃ ε kɔ̃poze də plyzjœʁ pεʁsɔnalite, nə səʁε sə kə la pεʁsɔnalite kɔ̃sjɑ̃tə e la pεʁsɔnalite ɛ̃kɔ̃sjɑ̃tə. lideal ʁezidə dɔ̃k dɑ̃ lynjɔ̃ də tutə lε pεʁsɔnalite. lεzɑ̃sə e laʁmɔni ɛ̃teʁjəʁəz- ɑ̃ depɑ̃de.
də plysz- ɑ̃ plys, sɛ̃pozə dɔ̃k ynə edykasjɔ̃ bjɛ̃ fεtə ! lɛ̃flɥɑ̃sə nɔsivə də sεʁtɛ̃ miljø familjo, də sεʁtεnəz- edykasjɔ̃ maladʁwatə, ɑ̃tʁεne evidamɑ̃ dεz- anɔmali. ɑ̃ dəɔʁ də la masə də kɔ̃sjɑ̃sə, dε fʁaɡmɑ̃ sepaʁe kɔmɑ̃se alɔʁz- a vivʁə. il nɔ̃ pa ɑ̃kɔʁə, bjɛ̃ syʁ, syfizamɑ̃ də fɔʁsə- puʁ dəvəniʁ dotʁəs « mwa ». mεz- a la lɔ̃ɡ, lε pεʁtyʁbasjɔ̃ də lafεktivite, lεz- inibisjɔ̃z- εɡzaʒeʁe, lε ʁəfuləmɑ̃, lε pœʁ, lœʁ vjεne ɑ̃n- εdə. lε nuʁʁise. lε ɡʁɔsise. lε ɡɔ̃fle. e sε fʁaɡmɑ̃ dəvjεne də veʁitablə satεllitəz- ɛ̃teʁjœʁ… kɔmə dɑ̃ lε ɡʁɑ̃ kɔ̃plεksə.
e lɔmə, ki dəvʁε εtʁə kɔ̃sjɑ̃sə yni e-aʁmɔnjøzə, dəvjɛ̃ œ̃n- εtʁə a pεʁsɔnalite kɔ̃tʁadiktwaʁə. sε nɔ̃bʁøks « mwa » lekaʁtεle, suvɑ̃ ʒyska la duluʁøzə nevʁozə…

la siklɔtimjə (siklo eɡal sεʁklə e timi eɡal ymœʁ, ɛ̃tεlliʒɑ̃sə)

lə syʒε ɔsijə sɑ̃ sεsə ɑ̃tʁə døz- etaz- ɔpoze. suvɑ̃, sɔ̃n- ymœʁ εt- əfɔʁikə, εɡzalte, εksite, il akɔ̃pli sɔ̃ tʁavaj avεk boku dɑ̃tʁɛ̃, il sɛ̃teʁεsə a tu, plɛ̃ dɑ̃tuzjasmə. il pɔsεdə lεzɑ̃sə vεʁbalə, la vivasite dεspʁi, la ʁipɔstə ʁapidə. il ε sεʁtɛ̃ də sa fɔʁsə ɛ̃vɛ̃siblə, sɔ̃ sεʁvo ε kyʁjø də tu, il ε fɔlmɑ̃ ʒeneʁø, sɔsjablə, εkspɑ̃zif, kɔmynikatif, kɔ̃keʁɑ̃… sudɛ̃… tu sekʁulə dɑ̃ la depʁesjɔ̃. lεɡzaltasjɔ̃ tɔ̃bə, la ʒwa osi. il sə ʁəpli syʁ lɥi. il dutə, ezitə. il sɑ̃fɔ̃sə dɑ̃z- ynə ɛ̃difeʁɑ̃sə tɔtalə e mɔʁnə. il sɔ̃bʁə dɑ̃z- ynə sɔʁtə də sɔmnɔlɑ̃sə mɑ̃talə ki dɔnə lɛ̃pʁesjɔ̃ dy nofʁaʒə absɔly də sɔ̃n- aktivite. il sə ʁətiʁə dɑ̃ la sɔlitydə, sə sɑ̃ ɛ̃feʁjœʁ e œ̃blə, kʁɛ̃ lə lɑ̃dəmɛ̃ e sə fε dε ʁəpʁoʃə duluʁø… ʒysko nuvεl aksε dεɡzaltasjɔ̃.
pusez- a sə pwɛ̃, sε manifεstasjɔ̃ sɔ̃ sεllə dynə nevʁozə.
kɑ̃t- εllə sɔ̃ mwɛ̃ fɔʁtə, nu navɔ̃ pa afεʁə a ynə nevʁozə pʁɔpʁəmɑ̃ ditə, mεz- a œ̃ tɑ̃peʁame : lə tɑ̃peʁame siklɔtimikə, tʁε ʁepɑ̃dy. il ε dɔ̃k difisilə də delimite la fʁɔ̃tjεʁə də sεtə nevʁozə. tu depɑ̃ dy ʁitmə, də la dyʁe e də lɛ̃tɑ̃site dε ʃɑ̃ʒəmɑ̃ deta, ki vaʁje fɔʁtəmɑ̃ dœ̃n- ɛ̃dividy a lotʁə. də sεtə fasɔ̃, lə tɑ̃peʁame siklɔtimikə maʁkə œ̃ dezekilibʁə nəʁo psiʃikə e ynə defɔʁmasjɔ̃ dy kaʁaktεʁə. il sə ʁɑ̃kɔ̃tʁə suvεnt (a dε dəɡʁe divεʁs) , ʃe dε mənœʁ pɔlitik, dεz- aʒitatœʁ, dε ʁevɔlysjɔnεʁə. sə tɑ̃peʁame εt- a la bazə də lœʁ aksjɔ̃ pɥisɑ̃tə e ɑ̃tʁεnɑ̃tə, paʁfwaz- ɛ̃pylsivəmɑ̃ ʒeneʁøzə e ipe emɔtivə, mεz- osi də lœʁ ʁepʁesjɔ̃z- ɛ̃pitwajabləz- e də lœʁ ɔstilite feʁɔsə.
si ʒə paʁlə də la siklɔtimi, sεt- afɛ̃ də puvwaʁ pʁezɑ̃te bjɛ̃to la ɡʁavə psikozə kɔʁεspɔ̃dɑ̃tə : la mani depʁesivə.

la paʁanɔia (dœ̃ mo ɡʁεk : ʁεzɔnəmɑ̃ a kote, deliʁə)

ɑ̃kɔʁə ynə nevʁozə ki etalə də myltiplə manifεstasjɔ̃, alɑ̃ dy dezekilibʁə leʒe o ɡʁɑ̃də psikozəz- e o-alysinasjɔ̃. lə paʁanɔiakə ε səlɥi dɔ̃ ɔ̃ di pɔpylεʁəmɑ̃ kil a la « fɔli dε ɡʁɑ̃dəʁs » εt la « fɔli də la pεʁsekysjɔn ».
la paʁanɔia ε, avɑ̃ tu, ynə defɔʁmasjɔ̃ dy kaʁaktεʁə. lə paʁanɔiakə ε dœ̃n- ɔʁɡœj imɑ̃sə, kil vwalə paʁfwa suz- ynə fɛ̃tə mɔdεsti. il kʁwa εtʁə lɛ̃tεlliʒɑ̃sə paʁfεtə, il satʁibɥ tus lε meʁitə, tutə lε lysidite, tutə lε vεʁtys. il ε ʁəvɑ̃dikatœʁ, il εɡziʒə lə ʁεspε kɔ̃ dwa o ɡʁɑ̃. il ε buʁʁe deɡɔismə ki sə kaʃə suvɑ̃ su dε mask daltʁɥismə, də bɔ̃te, də ʒystisə. o fɔ̃ də lɥi mεmə, sə tʁuve lɔstilite e lɑ̃vi. il ε dajœʁ fʁekamɑ̃ pɔsede də tʁε pɥisɑ̃ sɑ̃timɑ̃ dɛ̃feʁjɔʁite. bjɛ̃ kil kʁwa lə kɔ̃tʁεʁə, il akɔʁdə ynə atɑ̃sjɔ̃ εksklyzivə a sa pεʁfεksjɔ̃. il ε pasjɔne emɔtivəmɑ̃ puʁ œ̃ ʁjɛ̃ : mεz- il abɑ̃dɔnə tu puʁ dε fytilite. sε ʒyʒəmɑ̃ sɔ̃ fosez- e pʁekɔ̃sys. il εt- ɔpstine, ɑ̃tεte e ʁɑ̃kynje dε kə lɔ̃ pɔʁtə atɛ̃tə a sa sysεptibilite, sεtə sysεptibilite ε dajœʁz- inui. lə paʁanɔiakə εt- ynə pεʁsɔnə « avεk lakεllə ɔ̃ nə sε ʒamε syʁ kεl pje dɑ̃səʁ »… la tɔleʁɑ̃sə nεɡzistə pa puʁ lɥi, sof kɑ̃t- il « ʒuə » la tɔleʁɑ̃sə… ʒø ki ʁɑ̃fɔʁsə sɔ̃n- apaʁɑ̃sə də ɡʁɑ̃dœʁ damə. lε paʁanɔiakz- ɔkype paʁfwa də tʁε-otə sitɥasjɔ̃ sɔsjalə, sεt- alɔʁ lə fanatismə, e lεɡziʒɑ̃sə dy ʁεspε absɔly də lœʁz- ɔpinjɔ̃. kɔmə lə paʁanɔiakə ε ipe emɔtif, il εt- ɛ̃pylsivəmɑ̃ ʒeneʁø, il ɛ̃pozə sa bɔ̃te e sa ʒeneʁozite. kitə a sə ʁətuʁnəʁ « kɔmə ynə kʁεpə » εt puʁ ynə bʁutijə, kɔ̃tʁə səlɥi kil vjɛ̃ dεde… lə paʁanɔiakə nə paʁvjɛ̃ pa a sɑ̃tɑ̃dʁə avεk ki kə sə swa, sof kɑ̃t- il kʁwa kɔ̃ lə ʁəkɔnεt « sypeʁjəʁ ». il pɑ̃sə suvɑ̃ kɔ̃ lə pεʁsekytə, « paʁsə kə sa lysidite e sɔ̃n- ɛ̃tεlliʒɑ̃sə lə ʁɑ̃de dɑ̃ʒəʁø : ɔ̃n- a dɔ̃k tut- ɛ̃teʁε a lekaʁte ! »
lε paʁanɔiak sɔ̃ plɛ̃ də ʁezεʁvə-otεnə, dɔminatʁisə e mepʁizɑ̃tə. il sɔ̃t- evidamɑ̃ ɛ̃kɔ̃sjɑ̃ də la fosəte də tutə sε manifεstasjɔ̃, okεlləz- ilz- ɔ̃ œ̃ pʁɔfɔ̃ bəzwɛ̃ də kʁwaʁə.
lə paʁanɔiakə mɑ̃ sɑ̃ sεsə. il imaʒinə dε sitɥasjɔ̃z- u il ε sypeʁjœʁ, u il ʒu lə bo ʁolə, εtseteʁa. il ɛ̃sinɥ-abiləmɑ̃ də-otə ʁəlasjɔ̃ pyʁəmɑ̃ imaʒinεʁə, e sə « ʁεtʁɑ̃ʃə » dajœʁ ʁaʁəmɑ̃. il « ʁətɔ̃bə syʁ sε pjes » dynə fasɔ̃ dekɔ̃sεʁtɑ̃tə, sεt- œ̃ veʁitablə viʁtyozə dy ʁεzɔnəmɑ̃ e də la lɔʒikə absyʁdə.
lɑ̃fɑ̃ paʁanɔiakə sə manifεstə tʁε ʁapidəmɑ̃ : εɡziʒɑ̃, tiʁanikə, sysεptiblə, budœʁ, ʁɑ̃kynje, ɔpstine, ɔʁɡœjø… il ε vitə blese dɑ̃ sa vɔlɔ̃te εɡziʒɑ̃tə, dɑ̃ sε ʁəvɑ̃dikasjɔ̃z- e sɔ̃n- eɡɔismə. il nə sypɔʁtə okynə disiplinə, də kεlkə fɔʁmə kə sə swa. il εt- ɛ̃kapablə də sə sumεtʁə a œ̃n- εspʁi də ɡʁupə, e nə kɔ̃swa pa kœ̃ ʁεɡləmɑ̃ pɥisə saplike a lɥi. il εɡziʒə dεtʁə « εn dəɔʁ dεz- otʁəs », e kɔ̃ lə ʁəkɔnεsə. du sɑ̃timɑ̃ də sypeʁjɔʁite, vaɡabɔ̃daʒə, fyɡ, ʁevɔltə, ʁebεlljɔ̃, skɑ̃dalə pyblik, εtseteʁa.
e plys taʁ, dɑ̃ ladɔlesɑ̃sə, lε paʁanɔiak fuʁniʁɔ̃ sεʁtɛ̃ dezεʁtœʁ, sεʁtɛ̃z- avɑ̃tyʁje, sεʁtɛ̃z- ɔbʒεktœʁ də kɔ̃sjɑ̃sə. il pʁezɑ̃təʁɔ̃ alɔʁ lœʁ nevʁozə suz- ynə fɔʁmə swa dizɑ̃ filozɔfikə, ki nə səʁa, evidamɑ̃, kœ̃ maskə…
la paʁanɔia leʒεʁə pø dyʁe tutə ynə vi sɑ̃z- aməne də ɡʁɑ̃də kɔ̃plikasjɔ̃… sof puʁ lɑ̃tuʁaʒə ! kaʁ lə paʁanɔiakə εt- ynə « pεʁsɔnə epɥizɑ̃tə » ki mɑ̃ʒə lenεʁʒi də sø ki kɔabite avεk lɥi.

vwasi mɛ̃tənɑ̃ su fɔʁmə də tablo, lε nevʁozə kə ʒε site, avεk lœʁ psikozə kɔʁεspɔ̃dɑ̃tə :

nεvʁozə eɡal psikozə
asteni e nəʁasteni eɡal kɔ̃fyzjɔ̃ mɑ̃talə
psikasteni eɡal skizɔfʁeni
ɔpsesjɔ̃z- e fɔbi,
siklɔtimi eɡal psikozə manjakə depʁesivə
paʁanɔia eɡal deliʁə dε ɡʁɑ̃dəʁs (meɡalɔmanjə)
deliʁə də la pεʁsekysjɔn (alysinasjɔ̃s)

ɑ̃n- œ̃ sjεklə a pεnə, lə nɔ̃bʁə dεz- aljene sε dekyple dɑ̃ la plypaʁ dε pεi dy mɔ̃də. la fʁɑ̃sə, la syεdə e lεz- ətaz- yni sɔ̃ teʁibləmɑ̃ tuʃe, e lεz- aljenasjɔ̃ mɑ̃talə dəvjεne œ̃ veʁitablə fleo sɔsjal.
nɔtɔ̃z- avɑ̃ tu səsi : lə tεʁmə « fu » na okynə siɲifikasjɔ̃ ʁeεllə. lə mɔt « fu » nə vø ʁjɛ̃ diʁə, e ʁəkuvʁə də tʁε nɔ̃bʁøzəz- afεksjɔ̃ difeʁɑ̃tə, dɔ̃ lε sɛ̃ptomə sɑ̃tʁəmεle suvɑ̃. œ̃n- aljene εt- evidamɑ̃ œ̃ maladə, e lə tɑ̃z- ε œʁøzəmɑ̃ lwɛ̃ u ɔ̃ lə kɔ̃sideʁε kɔmə œ̃ kʁiminεl ! də plys, il ɔfʁə suvɑ̃ la « kaʁikatyʁə puseə » də sεʁtεnə defɔʁmasjɔ̃ nɔʁmalə dy kaʁaktεʁə.

la kɔ̃fyzjɔ̃ mɑ̃talə

il nə saʒi pa daljenasjɔ̃ mɑ̃talə pʁɔpʁəmɑ̃ ditə, mε dynə « εksaʒeʁasjɔn » də lasteni. tutə lεz- ɔpeʁasjɔ̃ psiʃik sɔ̃ ʁalɑ̃tiz- a lεkstʁεmə. lə maladə sə sɑ̃ dɑ̃z- œ̃n- eta də ɡʁɑ̃də tɔʁpœʁ mɑ̃talə, e dɑ̃z- œ̃n- eta də « kɔ̃fyzjɔn ». il a lɛ̃pʁesjɔ̃ kə sɔ̃ sεʁvo bεɲə dɑ̃z- œ̃ bʁujaʁ epε. sεz- ide nə paʁvjεne plysz- a sɔʁjɛ̃te… paʁfwa, lə maladə kɔ̃fɔ̃ lə tɑ̃, il kʁwa vivʁə a ynə epɔkə ɑ̃teʁjəʁə (paʁ εɡzɑ̃plə tεllə pεʁsɔnə ki sə kʁwa ʁəvənɥ o deby də sɔ̃ maʁjaʒə, u a lepɔkə də sɔ̃ sεʁvisə militεʁə, εtseteʁa. ) . la sɛ̃tεzə mɑ̃talə sefεktɥ avεk də ɡʁɑ̃də difikylte. lə maladə εt- ɛ̃kapablə də diʁiʒe sɔ̃n- atɑ̃sjɔ̃ e sɔ̃ ʒyʒəmɑ̃, sə sɔ̃t- alɔʁ dεz- eboʃə sɑ̃ ljɛ̃ kɔeʁɑ̃. ɑ̃ ʁεzɔ̃ də sə mɑ̃kə də kuʁdinasjɔ̃ dɑ̃ lə tɑ̃z- e dɑ̃ lεspasə, lə maladə sɑ̃blə paʁfwas « eɡaʁe e absɑ̃t ». sεtə kɔ̃fyzjɔ̃ pø alɔʁz- abutiʁ a ynə tɔʁpœʁ kɔ̃plεtə, apəle stypœʁ kɔ̃fyzjɔnεllə.
il i a dɔ̃k bjɛ̃ isi εɡzaʒeʁasjɔ̃ dε fenɔmεnə dasteni e də nəʁasteni. dɑ̃ la kɔ̃fyzjɔ̃ mɑ̃talə, lə maladə pεʁ dɔ̃k paʁfwas « kɔ̃sjɑ̃sə », il nə sε plysz- u il sə tʁuvə, paʁ εɡzɑ̃plə. ʁəvəny a leta nɔʁmal, il a pεʁdy tu suvəniʁ də sə ki sε pase dyʁɑ̃ sa pεʁtə də kɔ̃sjɑ̃sə.
la kɔ̃fyzjɔ̃ mɑ̃talə ε suvɑ̃ œ̃ tʁublə pasaʒe, sε la plys kyʁablə dεz- afεksjɔ̃ mɑ̃talə. lə tʁεtəmɑ̃ sɑ̃ tjɛ̃dʁa a la kozə pʁəmjεʁə. la kɔ̃fyzjɔ̃ pø εtʁə lə ʁezylta də tʁε ɡʁɑ̃z- epɥizəmɑ̃, dɛ̃fεksjɔ̃ ɡʁavə, dɛ̃tɔksikasjɔ̃, də tʁomatismə kʁanjɛ̃.

la skizɔfʁenjə (də skize eɡal kase ɑ̃ døz- e fʁεn eɡal ɛ̃tεlliʒɑ̃sə, εspʁit)

maladi mɑ̃talə ɡʁavə, la skizɔfʁeni sɑ̃blə εtʁə laljenasjɔ̃ mɑ̃talə paʁ εksεllɑ̃sə.
la skizɔfʁeni ε la pεʁtə dy kɔ̃takt avεk la ʁealite. afɛ̃ də mjø mə fεʁə kɔ̃pʁɑ̃dʁə, dizɔ̃ kə lə skizɔfʁεnə εt- yn « etʁɑ̃ʒe mɑ̃tal » avεk ləkεl il ε pʁatikəmɑ̃ ɛ̃pɔsiblə dɑ̃tʁe ɑ̃ kɔ̃takt. il εst « kupe » dy ʁeεl, sɑ̃ ʁeaksjɔ̃ e absɔlymɑ̃ ɛ̃difeʁɑ̃, il vit œ̃ ʁεvə ɛ̃teʁjœʁ, e ynə siʁkɔ̃stɑ̃sə εksteʁjəʁə paʁvjɛ̃ ʁaʁəmɑ̃ a lə ʁaməne a la ʁealite.
nuz- avɔ̃ vy kə, dɑ̃ la psikasteni, apaʁεse dε lytəz- ɛ̃teʁjəʁə, dεz- ɑ̃ɡwasə, dεz- ɔpsesjɔ̃. puʁkwa ? paʁsə kə lə mɑ̃kə də « sɛ̃tεzə mɑ̃talə » pεʁmε oz- ɔpsesjɔ̃ də sɛ̃stale kɔmə dε paʁazitə, sɑ̃ ʁɑ̃kɔ̃tʁe okynə ʁezistɑ̃sə. dɑ̃ la psikasteni, lə maladə sə ʁɑ̃ kɔ̃tə də sɔ̃n- eta, e tɑ̃tə detabliʁ œ̃ baʁaʒə o mwajɛ̃ də sa vɔlɔ̃te.
ʁjɛ̃ də tεl dɑ̃ la skizɔfʁeni… lə maladə sə ʁəpli syʁ lɥi mεmə dynə fasɔ̃ absɔlɥə (otismə) . sɔ̃ psiʃismə sə detuʁnə kɔ̃plεtəmɑ̃ dy ʁeεl. il i a dislɔkasjɔ̃ dεz- asɔsjasjɔ̃ psiʃik, la pɑ̃se sə tʁuvə divize ɑ̃ mɔʁso. dɑ̃ lεspʁi dy skizɔfʁεnə, sə kɔ̃stʁɥi œ̃ mɔ̃də-alysinɑ̃, kɔ̃ puʁʁε kɔ̃paʁe a œ̃ ʁεvə « dezɔsjalize ».
paʁfwa, lə skizɔfʁεnə ε dɔsilə, inεʁtə, ɛ̃difeʁɑ̃. il ε sepaʁe də la vi εksteʁjəʁə, la kɔ̃sjɑ̃sə dispaʁε.
dε mu, dε ɡʁimasə, dε muvəmɑ̃ ʁitmez- apaʁεse, dε klakəmɑ̃ də mɛ̃, dε mimikz- εkstʁaɔʁdinεʁə. il neɡliʒə lε bəzwɛ̃z- elemɑ̃tεʁə də la vi, mɔ̃tʁɑ̃ ɛ̃si ynə diminysjɔ̃ də lɛ̃stɛ̃ də kɔ̃sεʁvasjɔ̃. lə maladə pø avwaʁ dεz- alysinasjɔ̃s (okskεlləz- il kʁwat) . il diskytə alɔʁz- avεk œ̃ paʁtənεʁə ɛ̃viziblə, paʁfwa tʁε vjɔlamɑ̃. il aʁivə kil ɡaʁdə œ̃ pø də « sɔsjabilite », e ʁəkɔnεsə dε pεʁsɔnəz- ɑ̃sjεnəmɑ̃ kɔnɥ. ɔ̃ diʁε alɔʁ kil ʁətʁuvə dε lɑ̃bo deʃiʁe də sɔ̃ pase, dɔ̃ il a ɑ̃kɔʁə ynə tʁε vaɡ kɔ̃sjɑ̃sə…
lεz- ɛ̃pylsjɔ̃ vjɔlɑ̃tə sɔ̃ fʁekɑ̃tə, il va də swa kə lə maladə εt- ɛ̃kapablə də « stɔpəʁ » səs ɛ̃pylsjɔ̃. lə vwasi mɛ̃tənɑ̃ dɑ̃z- ynə sɔʁtə də stypœʁ pʁɔfɔ̃də, il pø ɡaʁde ɛ̃definime lε pozisjɔ̃ lε plysz- ɛ̃kɔmɔdə kɔ̃ lɥi fε pʁɑ̃dʁə, il εt- inεʁtə e sepaʁe ɛ̃teʁjəʁəmɑ̃ dy mɔ̃də, lə vwasi ki ʁepεtə lə mεmə ʒεstə, tuʒuʁ sɑ̃blablə, monotɔnə… e pɥi sudɛ̃ eklatə ynə ɛ̃pylsjɔ̃ avøɡlə, ɡʁatɥitə, absyʁdə. paʁ εɡzɑ̃plə, il sə ʒεtə bʁyskəmɑ̃ syʁ lə medəsɛ̃ aljenistə puʁ letʁɑ̃ɡle. kə sεt- il pase ? ynə ide paʁazitə sεt- ɛ̃poze a sɔ̃n- εspʁit (ide davwaʁ afεʁə o demɔ̃, paʁ εɡzɑ̃plə) , e sεtə ɛ̃pylsjɔ̃ na ʁɑ̃kɔ̃tʁe okynə ʁezistɑ̃sə kɔ̃sjɑ̃tə.
ynə ʁəmaʁkə ɛ̃teʁesɑ̃tə : sεʁtɛ̃ skizɔfʁεnəz- ɔ̃ ynə ɡʁɑ̃də εɡzaltasjɔ̃ ɛ̃tεllεktɥεllə. lœʁ ʁealizasjɔ̃z- aʁtistik sɔ̃ paʁfwaz- εkstʁaɔʁdinεʁə, mε lə kaʁaktεʁə də sεz- œvʁə- daʁ ε sɛ̃bɔlikə.
(dɑ̃tεk, œ̃n- ɛ̃tεllεktɥεl ɛ̃kɔny də mwa mεmə, (sɑ̃ dutə œvʁɑ̃ dɑ̃ la paʁa psikɔlɔʒjə) a evɔke lə kɔ̃sεpt də « skizɔfʁeni ɔpeʁatwaʁə », puʁ paʁle də leta aktɥεl də la sɔsjete. ɑ̃n- efε, dɑ̃ la skizɔfʁeni, lə maladə ε kupe ɛ̃teʁjəʁəmɑ̃ dy mɔ̃də εksteʁjœʁ, il εt- etʁɑ̃ʒe a la ʁealite. il ε mɔʁnə, inεʁtə, ɛ̃difeʁɑ̃. mε dɑ̃ lə kɔ̃tεkstə psiko sɔsjal u nu vivɔ̃, il sɑ̃blə kə la sɔsjete « skizɔfʁεnə » nə swa pa inεʁtə e ɛ̃difeʁɑ̃tə. la pεʁsɔnə skizɔfʁεnə εt- ɛ̃kɔ̃sjɑ̃tə də sɔ̃n- eta, la sɔsjete « skizɔfʁεnə » osi. lə skizɔfʁεnə vit œ̃ ʁεvə ɛ̃teʁjəʁ « dezɔsjalize », e sə manifεstə paʁ dεz- ɛ̃pylsjɔ̃, la sɔsjete « skizɔfʁεnə » εst bεɲe də myltiplə kɔ̃sεpt kɔ̃kʁε də sa nɔ̃ veʁitablə kɔ̃sjɑ̃sə, e vit osi œ̃ ʁεvə « dezɔsjalize » (sɔsjete ki sɑ̃ sεtə sɔʁtə dɔniʁismə, e dabɑ̃dɔ̃ otistikə, səʁε mənase də ʃao tɔtal finaləmεnt) , e də tɑ̃z- ɑ̃ tɑ̃, ʁeɡyljεʁəmɑ̃, dεz- ɛ̃pylsjɔ̃z- absyʁdə- ʁəmɔ̃te a la syʁfasə, (ɛ̃pylsjɔ̃ pɔlitik, ku medjatik, ʁevɔltəz- e ʁebεlljɔ̃ vεnəz- e pasaʒεʁə, ɛ̃teʁε sudɛ̃z- e fenɔmεnə də mɔdə… ) εt sε paʁsə kə sεtə sɔsjete sə kɔ̃kʁetizə « nɔ̃ kɔ̃sjamεnt », mε veʁitabləmɑ̃, e ʒə diʁε mεmə pʁεskə veʁidikəmɑ̃, puʁ sεʁtɛ̃, kə lɔ̃ pø paʁle dy kɔ̃sεpt də « skizɔfʁeni ɔpeʁatwaʁə » də dɑ̃tεk. la « skizɔfʁeni ɔpeʁatwaʁə » u kɔmɑ̃ εtʁə « kupe εksteʁjəʁəmεnt » də la ʁealite ɛ̃teʁjəʁə)

adɔlesɑ̃sə e skizɔfʁeni

dɑ̃ la maʒɔʁite dε ka, la skizɔfʁeni εt- ynə maladi debytɑ̃ dɑ̃ ladɔlesɑ̃sə. εllə apaʁε apʁε la pybεʁte, puʁ sə devəlɔpe ʒyska laʒə myʁ. (səsi nε pa ʒeneʁal, la skizɔfʁeni pø sə deklɑ̃ʃe plys taʁdivəmεnt) .
il ε difisilə də depiste lə deby də sεtə maladi. vwasi œ̃n- ɑ̃fɑ̃ tʁε due, tʁavajœʁ, ki sudɛ̃ manifεstə œ̃ ʃɑ̃ʒəmɑ̃ də tənɥ. il ɑ̃tʁə dɑ̃ dεz- eta də ʁεvəʁi pʁɔlɔ̃ʒe. il mɔ̃tʁə dεz- atitydə bizaʁə, il sɑ̃blə « εtʁə absɑ̃t ». il ʁit dynə fasɔ̃ diskɔʁdɑ̃tə e etʁɑ̃ʒə, e manifεstə də fɔʁtə- tɑ̃dɑ̃səz- a lizɔləmɑ̃ tɔtal. ɔ̃ ʁiskə də lakyze də paʁεsə, də movεzə vɔlɔ̃te u də simylasjɔ̃. sε ʒənə ʒɑ̃ dəvjεne apatik, sə dezɛ̃teʁəse də tu. il nepʁuve plysz- okœ̃ ataʃəmɑ̃ ni ɛ̃teʁε ɑ̃vεʁ ki ni kwa kə sə swa. ni elɑ̃, ni kyʁjozite, ni afεksjɔ̃, ni ʁepylsjɔ̃, ni amuʁ ni-εnə. ʁjɛ̃ kə lə vidə e la fʁwadœʁ, ɑ̃pεʃɑ̃ tu kɔ̃takt, kɔmə si lœʁ suʁsə- pʁɔfɔ̃də sə fiʒε dɑ̃z- ynə ɡlasə epεsə. (səs sɛ̃ptomə mɔ̃tʁe yn « tɑ̃peʁamεnt » spesjal, apəle skizɔidi. la skizɔidi ε dɔ̃k ynə nevʁozə, pʁedispozɑ̃ lə syʒε a la skizɔfʁeni. )
sə nε ko kuʁ də levɔlysjɔ̃ kə sə mɔ̃tʁe alɔʁ lε sɛ̃ptomə nεtəmɑ̃ deklaʁe, tεl kə : stypœʁ, aʒitasjɔ̃, ɛ̃difeʁɑ̃sə absɔlɥ oz- evεnəmɑ̃z- e a lɑ̃tuʁaʒə, inεʁsi, mɑ̃kə tɔtal də ʁeaksjɔ̃, absɑ̃sə də kyʁjozite, aktəz- otɔmatik, kʁi, alysinasjɔ̃, ɛ̃difeʁɑ̃sə a la pʁɔpʁəte la plysz- elemɑ̃tεʁə.

o pwɛ̃ də vɥ sɔsjal

la skizɔfʁeni a sε deby, amεnə dεz- aʒitasjɔ̃z- e dεz- aksε də fyʁœʁ ɛ̃pylsivə e sɑ̃ mɔtif. sεʁtɛ̃ siɲə maʁke lə deby də sεtə maladi, vjɔl, fyɡ, ʁyptyʁə sudεnə damitje, εɡzaltasjɔ̃z- ɛ̃tεllεktɥεllə deməzyʁe, εtseteʁa. lə kɔ̃pɔʁtəmɑ̃ dəvjɛ̃ ɛ̃kɔeʁɑ̃ e ɛ̃penetʁablə, sε dajœʁ sə kɔ̃pɔʁtəmɑ̃ ki alεʁtə lɑ̃tuʁaʒə.

lə tʁεtəmɑ̃ də la skizɔfʁeni

dɑ̃ la maʒɔʁite dε ka, lɔspitalizasjɔ̃ εt- ɛ̃dispɑ̃sablə. la psikɔteʁapi ʁεstə, suvɑ̃, sɑ̃z- efε. e sε lɔʒikə, pɥiskə la natyʁə mεmə də la skizɔfʁeni ε dεtʁə ɛ̃pεʁmeablə a tu kɔ̃takt εksteʁjœʁ… mε lelεktʁoʃɔk, e lə ʃɔk ɛ̃sylinikə amεne dε mɔdifikasjɔ̃s (nus veʁɔ̃ səla ɑ̃ medəsinə psikozɔmatikə. )
nu vənɔ̃ də vwaʁ kə sεʁtεnəz- œvʁə- də skizɔfʁεnə pʁezɑ̃te œ̃ kaʁaktεʁə sɛ̃bɔlikə. nə səʁε til pa pɔsiblə dɑ̃tʁe ɑ̃ kɔmynikasjɔ̃ avεk lə maladə, o mwajɛ̃ dε sɛ̃bɔlə ? sεt- a diʁə ɑ̃n- esεjɑ̃ də paʁle sɔ̃ lɑ̃ɡaʒə ? dε ka fyʁe site dɑ̃ lekεl lə tʁεtəmɑ̃ sɛ̃bɔlikə y dœʁøz- efε.
lə tʁεtəmɑ̃ paʁ lə tʁavaj εt- efikasə, ɛ̃si kə la psikɔteʁapi də ɡʁupə, ɔ̃ lytə ɛ̃si kɔ̃tʁə linεʁsi e lə ʁəpli syʁ swa. dɑ̃ lε ka tʁε ɡʁavə, la ʃiʁyʁʒi dy sεʁvo εt- ɑ̃vizaʒe, e dɔnə dε ʁezylta dɑ̃ sεʁtεnəz- aʒitasjɔ̃. səla nə siɲifi nylmɑ̃ kə la skizɔfʁeni swa ɛ̃kyʁablə. dε psiʃjatʁəz- ɔ̃ vy dε ɡeʁizɔ̃ sɥivi dynə vi sɔsjalə nɔʁmalə.

la mani depʁesivə

nuz- avɔ̃ vy lə « tɑ̃peʁame siklɔtimikə », sə kaʁakteʁizɑ̃ paʁ :
a) dəs peʁjɔdə dεksitasjɔ̃ bʁijɑ̃tə, dəfɔʁi, dɑ̃tuzjasmə, dεɡzaltasjɔ̃, də ʁapidite dεspʁi,
sɥivi də
b) peʁjɔdə də depʁesjɔ̃, də tʁistεsə, daktivite nylə, də dekuʁaʒəmɑ̃ e də deɡu.
si sε vaʁjasjɔ̃ də lymœʁ sɔ̃ dekyple, a la sɥitə də sεʁtεnə siʁkɔ̃stɑ̃sə, lə maladə sɔ̃bʁə dɑ̃ la psikozə manjakə depʁesivə. (dɔ̃k, avεk peʁjɔdə də mani, e peʁjɔdə də depʁesjɔ̃. ) avɑ̃ tu, il fo siɲale səsi : ɑ̃ psikɔlɔʒi, lə tεʁmə « manjə » na pa lə mεmə sɑ̃s kə dɑ̃ la vi kuʁɑ̃tə. la mani nε pa isi œ̃ tik u ynə-abitydə tiʁanikə, mεz- œ̃n- eta də fɔlə εksitasjɔn (psiʃikə u mɔtʁisə) .

i peʁjɔdə də mani

lə manjakə sɑ̃blə pεʁsɔnifje la ʒwa εɡzalte, ɛ̃stɛ̃ktivə e fʁenetikə, sɑ̃z- okœ̃ fʁɛ̃ mɔʁal. il sə tʁuvə dɑ̃z- œ̃n- eta inimaʒinablə dεksitasjɔ̃ e dəfɔʁi, sεt eta sə tʁadɥi paʁ dε ʁiʁə, dε ʃɑ̃, dε dɑ̃sə. il « ʁiɡɔlə », il « kʁεvə də ʒwaə », il a « mal a fɔʁsə də ʁiɡɔləʁ », (sə sɔ̃ sε pʁɔpʁə- paʁɔləs) .
lε plεzɑ̃təʁi debʁaje sɔʁte a ʒεt kɔ̃tiny, kɔmə œ̃ fø daʁtifisə, avεk ynə ʁapidite-alysinɑ̃tə. il i a syʁabɔ̃dɑ̃sə dεz- ide, lə maladə sɑ̃blə « syʁvɔlte ». la tənɥ ε suvɑ̃ εksɑ̃tʁikə, il sə vεt dɔʁipo myltikɔlɔʁə, aɡʁemɑ̃te dɔʁnəmɑ̃. lə vizaʒə ε ipe ʒɔvjal, lə ʁəɡaʁ bʁijɑ̃. latitydə εt- anɔʁmaləmɑ̃ familjεʁə, lεz- ekla də vwa sə syksεde, ɛ̃si kə lε ʃɑ̃, lε kʁi, lε mimik, lə maladə nə tjɛ̃ pa ɑ̃ plasə, tuʁnə ɑ̃ ʁɔ̃. tu lə kɔ̃pɔʁtəmɑ̃ manjakə sɑ̃blə εtʁə səlɥi də lεksitasjɔ̃ la plys debʁide, lε kɔ̃vɑ̃sjɔ̃ mɔʁalə, sɔsjalə, etik sɔ̃ balεje kɔmə dε fetys də pajə. sε la libeʁasjɔ̃ ɑ̃ masə dεz- ɛ̃stɛ̃, su fɔʁmə dεɡzaltasjɔ̃ e də fʁenezi… lə manjakə sεzi imedjatəmɑ̃ lε defo də sɔ̃n- ɑ̃tuʁaʒə, il fε dε ʒø də mo, dε kalɑ̃buʁ, il sə mɔkə də tut- e də tus, il sɛ̃ɡlə, kalɔmni avεk ɛ̃pydɑ̃sə e vεʁvə, mɑ̃ avεk sεʁtitydə, ʁekʁiminə, akyzə, lɑ̃sə ʒɔvjaləmɑ̃ lε plεzɑ̃təʁi lε plysz- ɔpsεnə. la mwɛ̃dʁə ʁezistɑ̃sə a sε fɑ̃tεzi pø fεʁə apaʁεtʁə liʁitasjɔ̃ u la kɔlεʁə, paʁfwa la fyʁœʁ. lakɥite dε sɑ̃s sɑ̃blə boku plys vivə ka leta nɔʁmal, mε sɔ̃n- atɑ̃sjɔ̃ nə sə fiksə syʁ ʁjɛ̃. paʁfwaz- il depasə la mani pʁɔpʁəmɑ̃ ditə, laʒitasjɔ̃ dəvjɛ̃ inui, lə maladə yʁlə sɑ̃z- aʁε, sə devε, baʁbujə lε myʁ də sεz- εkskʁemɑ̃, lε mɑ̃ʒə.
døz- εɡzɑ̃plə
vwasi dø tεkstə də manjak depʁesif, dɑ̃ lœʁ peʁjɔdə də mani.
tεkstə i (ʁapɔʁte paʁ ʒi. dəlεj) . suliɲe ʁəmaʁkɔ̃ kə lə maladə a paʁle sə tεkstə, avεk ynə εkstʁεmə ʁapidite də debi.
« djø, patʁi, ɔnœʁ apʁε, vivə la fʁɑ̃sə e la vi etεʁnεllə, ʒεmə mɔ̃ vilaʒə, mɔ̃ vilaʒə sε paʁi, ʒε døz- amuʁ, ʒε sɛ̃sεʁəmɑ̃ sεʁvi nɔ̃ sələmɑ̃ ɑ̃ paʁɔlə mεz- ɑ̃ kœʁ, kozə tuʒuʁ, e avεk mɔ̃ ʃεʁ fis david, ʒə suεtə a tu lə mɔ̃də bɔnə sɑ̃te e bɔ̃swaʁ, bɔ̃swaʁ medamə, bɔ̃swaʁ, mesjœʁ, bjɛ̃ lə bɔnœʁ, œ̃n- ɔmə sɑ̃z- ɔnœʁ εt- œ̃n- ɔmə pεʁdy, ɔ̃dylə, yʁsylə, ty bʁylə, ma kʁwa sε ma ʒwa, allɥja, ʒεmə lε ʁozə, la kʁwa e lε ʁozə, maʁi, ʒezys, maʁi ʃeʁi, ʁiʁi, ɡʁiɡʁi, əlizabεt də ɔ̃ɡʁi, ʁikε a la upə, upεtə, tapεtə, avə maʁja avə maʁja o pje də maʁi ʒε pʁje puʁ vu, ʁozə maʁi, vive lε ʁozə, la plɥi dε ʁozəz- ε tɔ̃be sεtə nɥi, il ʁεstε kεlkz- epinə, e no dimijimys, o vu ki avez- œ̃ ɡʁɑ̃ kœʁ, e ta sœʁ, la ɡʁɔtə, ʒə ʁɔtə, ʁɔtɛ̃, kʁɔtɛ̃, tɛ̃tɛ̃ sε nenεtə e vlɑ̃, pase la mɔnε, sε mesjœʁ sε dε dɔktɔʁesə, ɔ, məsjø labe, kə ʒə sɥiz- œʁøzə, vivə mɔ̃ ʃapəlε, vɔtʁə benediksjɔ̃, sɛ̃tə teʁεzə də lɑ̃fɑ̃ ʒezys, ʒε ɛ̃spiʁe sa bɔ̃te, il i a isi də tus lε pεi, dy vεʁ e dy ʁozə… (œ̃ ʁε də sɔlεil) : ɔ, də lɔʁ… tʁa, la, la, la, tʁalala, sε lɔʁ dy ʁɛ̃, lɔʁ dε ʁɛ̃, lɔʁ də nenεtə e ʁɛ̃tɛ̃tɛ̃, tɛ̃tɛ̃ sε titinə, e va dɔ̃k pe… (εllə ʁəɡaʁdə la pɑ̃dylə) : il ε diz- aʃ diks (εksakt) . ʒə vu dəmɑ̃də paʁdɔ̃, lə muʃwaʁ nə mapaʁtjɛ̃ pa, tʁa la la la, mesjœʁ, medamə, tjɛ̃ ! mamzεllə akɔʁbasɔ̃… »
kə ʁəmaʁkɔ̃ nu ? la pɑ̃se sotə lεz- ɔpstaklə tu kɔmə œ̃ ʃəval də kuʁsə, e lεz- ide sə syksεde a œ̃ ʁitmə veʁitabləmɑ̃ syʁealistə, dɔ̃ nu veʁɔ̃z- ɑ̃kɔʁə lə mekanismə dɑ̃ lə tεkstə sɥivɑ̃.
tεkstə ji (il saʒi dynə lεtʁə ʁəsɥ paʁ lotəʁ) .
« məsjø, ʒə vuz- εmə, vu nεtə pa œ̃ taʁdiɡʁadə, ɡʁadasjɔ̃, ɡʁade, bɔ̃ʒuʁ, mɔ̃ kɔlɔnεl, va tə fεʁə fu avεk tɔ̃ sabʁə, paʁdɔ̃ laʁme, paʁdɔ̃ sεɲœʁ, puʁ ɑ̃ ʁəvəniʁ a vɔtʁə kɔ̃feʁɑ̃sə ʒə dəmɑ̃dəʁεz- a djø tutə sε flœʁ də mε e sεz- obepinə tʁesajɑ̃tə, vuz- εtəz- ɔptimistə kɔmə mwa, mwa ʒə kʁεvə də ʒwa taʁatata, vɔtʁə vwa sε də laʁʒe, ʒɑ̃ dy nɔʁ, ʒɑ̃ dy midi, də la lymjεʁə ɑ̃ plɛ̃ ʒɥjε, ʒə vuz- εmə bjɛ̃ mɔ̃n- ami, mimi, pipi, pipi o li, mɑ̃kə pεʁsɔnə a lapεl mɔ̃n- adʒydɑ̃, fεtə də bo ʁεvəz- e kə lymanite vu ɡaʁdə, allɥja ! »
vwasi dɔ̃k ɑ̃kɔʁə ynə sɔʁtə də syʁealismə a leta pyʁ ! ʒə kʁwa kə boku dekʁivɛ̃s « mɔdεʁnəs » nə dezapʁuvəʁε nylmɑ̃ sə tεkstə, u sə tʁuvə ynə bote absyʁdə e ynə ɡʁɑ̃də pɔezi… (« ʒə dəmɑ̃dəʁεz- a djø tutə sε flœʁ də mε e sεz- obepinə tʁesajɑ̃tə… »)
mεz- il εt- ɛ̃teʁesɑ̃ də ʁəmaʁke la fasɔ̃ dɔ̃ sə syksεde lεz- ide.
paʁ εɡzɑ̃plə :
yn) a « taʁdiɡʁadə », lə maladə asɔsi la dεʁnjεʁə silabə dy mo : (… ɡʁadə) avεk ɡʁadasjɔ̃ e ɡʁade.
døks) il asɔsi imedjatəmεnt « ɡʁade » a « bɔ̃ʒuʁ, mɔ̃ kɔlɔnəl ».
tʁwas) a ʁəmaʁke : « mwa ʒə kʁεvə də ʒwaə », sɥivi də « taʁatata » (asɔsjasjɔ̃ pyʁəmɑ̃ əfɔʁikə) .
katʁə) mεmə ʒɑ̃ʁə dasɔsjasjɔ̃ : « vɔtʁə vwa sε də laʁʒεnt », la dεʁnjεʁə silabə « ʒεnt » lɥi syɡʒεʁə lε mo sɥivɑ̃ : « ʒɑ̃ dy nɔʁ, ʒɑ̃ dy midi ».
sɛ̃k) « ʒə vuz- εmə bjɛ̃, mɔ̃n- ami », il pʁɑ̃ la dεʁnjεʁə silabə, «… mi », ki lɥi dɔnə lε mo sɥivɑ̃ : mimi, pipi, pipi o li, nuvεllə asɔsjasjɔ̃ avεk laʁme : « mɑ̃kə pεʁsɔnə a lapεl mɔ̃n- adʒydɑ̃t ».
siks) allɥja… ki maʁkə ɑ̃kɔʁə bjɛ̃ ləfɔʁi manjakə.
lə deby dεz- aksε manjak pø, evidamɑ̃, ɑ̃tʁεne dεz- εksɑ̃tʁisitez- e də ɡʁɑ̃z- ekaʁ də kɔ̃dɥitə. nubljɔ̃ pa kə lə fʁɛ̃ mɔʁal diminɥ, ʒyska sɔ̃n- abɔlisjɔ̃ kɔ̃plεtə. sə sɔ̃t- alɔʁ dεz- atɑ̃taz- a la pydœʁ, də ɡʁɑ̃z- aby də kɔ̃fjɑ̃sə, dε ʁeaksjɔ̃ vjɔlɑ̃təz- e kɔleʁøzə.
lə deby də la mani pø dɔ̃k kɔ̃dɥiʁə a dε kɔ̃sekɑ̃sə sɔsjalə… dɔ̃ lə maladə nεt- evidamɑ̃ pa ʁεspɔ̃sablə. lɔspitalizasjɔ̃ sɛ̃pozə alɔʁ. də plys, lɛ̃tεʁnəmɑ̃ ɑ̃pεʃə lə manjakə dεtʁə sumiz- o myltipləz- εksitasjɔ̃ də lεksteʁjœʁ, ki nə fəʁε kə ʁɑ̃fɔʁse sɔ̃n- aʒitasjɔ̃.

ji peʁjɔdə də depʁesjɔ̃

apʁε lε debɔʁdəmɑ̃ ʒwajø də la mani, apaʁε la peʁjɔdə də depʁesjɔ̃. lə maladə tɔ̃bə dɑ̃z- œ̃n- aksε də melɑ̃kɔli. lafεsəmɑ̃ ε tɔtal, il ε plɛ̃ dide də kylpabilite e dɛ̃diɲite. il pʁɔfεʁə dε plɛ̃tə, dε ʒemisəmɑ̃. il sə kʁwa vɔlœʁ, asasɛ̃, ɛ̃diɲə də tu. il kʁwa kə sεz- ɛ̃tεstɛ̃ sɔ̃t- ɔpstʁye, kə sɔ̃ sɑ̃ sə kɔaɡylə, kil na plys dεstɔmak, plys də kœʁ, plys də sεʁvo… (ide də neɡasjɔn) . il ʁəfyzə də salimɑ̃te, e ɔ̃ sə vwa suvɑ̃ ɔbliʒe də lə nuʁʁiʁ o mwajɛ̃ dynə sɔ̃də. dεz- ide də « pεʁsekysjɔn » apaʁεse : il ε sεʁtɛ̃ kɔ̃ va lə fεʁə muʁiʁ, lə tɔʁtyʁe, e tɥe tus lε sjɛ̃. paʁfwa, lɑ̃ksjete mɔ̃tə a sɔ̃ maksimɔm : sε lə « ʁaptysz- ɑ̃ksjøks ». (lə « ʁaptys » εst œ̃ paʁɔksismə εksplozif, puvɑ̃ kɔ̃dɥiʁə lə maladə vεʁ dε kɔ̃sekɑ̃sə tʁaʒikəs (kʁimə, sɥisidə, fyɡ, εtseteʁa. ) . il sə dʁεsə, aɡaʁ, plɛ̃ də sɥœʁ, sε mɛ̃ fʁemise, il saʒənujə, sɑ̃ɡlɔtə e sypli kɔ̃ mεtə fɛ̃ a sa dulœʁ… il fo ʁəduble də syʁvεjɑ̃sə, puʁ ɑ̃pεʃe œ̃ sɥisidə ɛ̃pylsif, lεz- ɔbʒε lε plys benɛ̃ pəve dəvəniʁ puʁ lɥi dεz- ɔbʒε də dεstʁyksjɔ̃. il pø eɡaləmɑ̃ pʁepaʁe sɔ̃ sɥisidə, avεk ynə pasjɑ̃sə e ynə ʁyzə ɛ̃kʁwajablə…
sə deliʁə melɑ̃kɔlikə (ki ε dɔ̃k ynə mɔ̃stʁyøzə εɡzaʒeʁasjɔ̃ dy pesimismə dy melɑ̃kɔlikə nevʁoze) , pʁezɑ̃tə suvɑ̃ dεz- alysinasjɔ̃. lə maladə ɑ̃tɑ̃ paʁle də lɥi, il ɑ̃tɑ̃ diʁə « kil va muʁiʁ, kil va εtʁə εɡzekyte ». il « vwat » leʃafo ki sə dʁεsə. il apεʁswa lə fɑ̃tomə dœ̃n- εtʁə εme lɥi ʁəpʁoʃe sɔn « ɛ̃famə » kɔ̃dɥitə…
sə ʁɑ̃t- ɔ̃ kɔ̃tə də lefʁεjɑ̃ syplisə kε paʁfwa la melɑ̃kɔli dy maladə ?

lə tʁεtəmɑ̃ də la mani depʁesivə

sεtə psikozə ε ʒeneʁaləmɑ̃ kɔ̃sideʁe kɔmə kɔ̃stitysjɔnεllə, e suvɑ̃ eʁeditεʁə. lə tɑ̃peʁame siklɔtimikə ɑ̃n- ε la bazə, dɑ̃ bjɛ̃ dε ka. səpɑ̃dɑ̃, sεʁtɛ̃ maladə tɔ̃be dɑ̃ sεtə psikozə, sɑ̃z- avwaʁ, opaʁavɑ̃, mɔ̃tʁe də ɡʁɑ̃dəz- altεʁnɑ̃sə də lymœʁ. sεʁtɛ̃ psiʃjatʁəz- ɛ̃skʁive sεtə psikozə dɑ̃z- œ̃ deʁεɡləmεnt (ɔʁɡanikə u fɔ̃ksjɔnəl) də la bazə dy sεʁvo (ʁeʒjɔ̃ də lipɔtalamys, dɔ̃ ʒə paʁləʁε ɑ̃ psikozɔmatikə) .
dεz- aksε manjakz- ɔ̃ dajœʁz- ete deklɑ̃ʃez- o kuʁ dɔpeʁasjɔ̃ dy sεʁvo, dɑ̃ sεtə famøzə ʁeʒjɔ̃ ipɔtalamikə. o mɔmɑ̃ u lə dɔktœʁ foεʁste ɔpeʁε ynə pεʁsɔnə dɑ̃ sεtə ʁeʒjɔ̃ dy sεʁvo, lə maladə pʁezɑ̃ta œ̃n- aksε də mani, avεk flyks də paʁɔlə ʁapidə, asɔsjasjɔ̃ ʁapidə də mo, kalɑ̃buʁ, εtseteʁa.
utʁə səla, sεʁtɛ̃ faktœʁz- aksidɑ̃tεl pəve aʒiʁ : ɡlɑ̃dəz- ɑ̃dɔkʁinə, ʃɔkz- emɔtif, tʁomatismə kʁanjɛ̃, sεʁtεnə maladiz- ɛ̃fεktjøzə. dɑ̃ dotʁə- ka, lε ʁεɡlə, la pybεʁte, la ɡʁɔsεsə, lakuʃəmɑ̃, la menɔpozə, lavɔʁtəmɑ̃. dε fenɔmεnə kɔmə lakuʃəmɑ̃ u lavɔʁtəmɑ̃ pʁɔvɔke œ̃ buləvεʁsəmɑ̃ ɑ̃dɔkʁinjɛ̃, lɛ̃fεksjɔ̃ pø avwaʁ dε ʁepεʁkysjɔ̃ syʁ lε ʁeʒjɔ̃ də lipɔtalamys. sεtə zonə dəvjɛ̃dʁεt « alεʁʒikə », e vylneʁablə a dotʁə- kozə puvɑ̃ sə pʁezɑ̃te ylteʁjəʁəmɑ̃…

la dyʁe də la maladi

lɛ̃tɑ̃site, la dyʁe e laltεʁnɑ̃sə dεz- eta də mani e də depʁesjɔ̃ sɔ̃ tʁε vaʁjablə. sεʁtɛ̃ maladə nɔ̃ kœ̃n- u døz- aksε dɑ̃ lœʁ vi, dotʁəz- ɑ̃n- ɔ̃ tus lεz- ɑ̃… sεʁtɛ̃ noʁɔ̃ kə dεz- aksε də mani, dotʁəz- ynikəmɑ̃ dεz- aksε də melɑ̃kɔli. ɑ̃tʁə lε kʁizə pø sə tʁuve yn « ɛ̃tεʁvalə də lysidite », ki sə pʁɔlɔ̃ʒə paʁfwa tʁε lɔ̃tɑ̃. lə syʒε ʁətʁuvə alɔʁ sɔ̃n- aktivite ʁεzɔnablə e nɔʁmalə, ɛ̃si kə sε fakylte mɑ̃talə.
la mani depʁesivə sɑ̃blə εtʁə lə tʁjɔ̃fə dəs « ʃɔks ». ɛ̃si, paʁfwa, lelεktʁoʃɔk εt- efikasə, səlɥi si dɔnə œ̃ maɲifikə ʁezylta dɑ̃ lε ka də melɑ̃kɔli, e abʁεʒə levɔlysjɔ̃ dεz- aksε manjak.

a sɥivʁə…
Syllabes Phonétique : Les Névroses Et Les Psychoses (Ii)lis=te=ʁi 3

nu=za=vɔ̃=kɔ=ny=ʒa=nε=di=ʁεk=tœʁ=dœ̃=la=bɔ=ʁa=twaʁə=də=psi=kɔ=lɔ=ʒi=pa=tɔ=lɔ=ʒi=kə=lis=te=ʁi=e=tε=a=lɔʁ=la=ʁε=nə=dy=ʒuʁ=kεl=ləε=sε=tə=ɛ̃=sε=zi=sa=blə=ma=la=di 49
lis=te=ʁi=ε=tynə=ma=la=di=tʁe=pi=dɑ̃=tə=dy=mwɛ̃=zɑ̃=ʒe=ne=ʁal=εl=lə=nε=sə=pɑ̃=dɑ̃=pa=œ̃=pʁɔd=ɥi=də=nɔ=tʁə=sjε=kləa=ʒi=te=dy=ʁɑ̃=dε=sɑ̃=tε=nə=da=ne=εl=lə=a=tə=ny=me=də=sɛ̃=ze=psi=ʃja=tʁə=dɑ̃=zœ̃=kli=ma=də=ko=ʃə=maʁ=e=dɛ̃p=ɥi=sɑ̃=sə=kɑ̃=lis=te=ʁi=nə=pʁɔd=ɥi=zε=pa=dε=kɔ̃=vyl=sjɔ̃=εl=lə=pʁɔ=vɔ=kε=də=vjɔ=lɑ̃=mo=də=tε=tə=kɑ̃=lε=kɔ̃=vyl=sjɔ̃=dis=pa=ʁε=sε=dε=vɔ=mi=sə=mɑ̃=za=pa=ʁε=sε=pɥi=dε=pa=ʁa=li=zi=u=la=pεʁ=sɔ=nə=is=te=ʁi=kə=sə=ʁə=tʁu=vε=bʁys=kə=mɑ̃=a=vø=ɡlə=sɑ̃=zo=ky=nə=ko=zə=ɔʁ=ɡa=ni=kə=e=kɑ̃=la=se=si=te=pa=sε=la=syʁ=di=te=mɔ̃=tʁε=lə=bu=də=lɔ=ʁεjə=si=ʒə=pɥi=di=ʁə=lis=te=ʁi=pʁɔd=ɥi=zε=e=ɡa=lə=mɑ̃=dε=zɔp=se=sjɔ̃=dε=kʁi=zə=dε=zi=de=fik=sə=dε=du=lœʁ=ze=dε=spas=mə=paʁ=fwa=za=tʁɔsə 203
ɔ̃=kɔ̃=pʁɑ̃kə=lə=nɔ̃=bʁəe=la=va=ʁje=te=dε=sɛ̃p=to=mə=plɔ̃=ʒε=lε=me=də=sɛ̃=dɑ̃=la=te=ʁœʁ 24
ə=vi=da=mɑ̃=ʃa=kœ̃=a=vε=sɔ̃=nɔ=pi=njɔ̃=ynəɔ=pi=njɔ̃=su=vɑ̃=de=fi=ni=ti=və=kɔ=mə=il=sə=dwa=sε=ty=nə=is=te=ʁi=kə=ε=bjɛ̃=vi=tə=di=y=nə=kʁi=zə=də=nεʁf=ɔ̃=kɔ=lε=le=ti=kε=tə=y=nə=fa=mə=i=pe=sεk=sɥεllə=ɔ̃=na=ʒi=sε=də=mε=mə=se=tε=e=vi=da=mɑ̃=bjɛ̃=fa=si=lə=mε=zɔ̃=ne=tε=lwɛ̃=də=la=ve=ʁi=te 87
bo=ku=kʁwa=kil=sa=ʒi=dynə=ma=la=di=py=ʁə=mɑ̃=fe=mi=ni=nə=sɔ̃=nɔ̃=vjɛ̃=da=jœʁ=də=sε=tə=kʁwa=jɑ̃=səɑ̃=sjε=nə=a=œ̃=de=ʁε=ɡlə=mɑ̃=də=la=ma=tʁi=sə=ys=tə=ʁa=e=ɡal=ma=tʁi=sə=mε=la=o=si=ɔ̃=nε=ta=ko=te=də=la=kεs=tjɔ̃ 62
sa=ʃɔ̃=zɑ̃=pʁə=mje=ljø 6
a=kə=lis=te=ʁi=pø=εtʁəo=si=bjɛ̃=mas=ky=li=nə=kə=fe=mi=ninə 17
b=kil=ni=a=pa=ynə=is=te=ʁi=mε=tu=təy=nə=se=ʁi=də=fe=nɔ=mε=nə=zis=te=ʁik=sε=fe=nɔ=mε=nə=sɔ̃=be=nɛ̃=ze=pa=sa=ʒe=u=kɔ̃=ʒe=ni=to=ze=pεʁ=ma=nɑ̃ 44
kεl=ε=laʒə=si=vil=də=lis=te=ʁi 9

sɑ̃=zaʒə=εl=lə=ʁə=mɔ̃=tə=dɑ̃=la=nɥi=dε=tɑ̃=lɑ̃=ti=ki=te=la=kɔ=nε=sε=fɔʁ=bjɛ̃=mεs=va=ni=te=mas=ky=li=nəu=i=ɲɔ=ʁɑ̃=sə=εl=lə=ɑ̃=na=kɔʁ=da=kuʁ=twa=zə=mɑ̃=lεk=skly=zi=vi=te=a=la=fa=mə=plys=taʁ=il=fa=lε=bjɛ̃=œ̃=ku=pa=blə=ɔ̃=kʁy=kə=ly=si=fe=lɥi=mε=mə=tɑ̃=pε=tε=dɑ̃=lə=kɔʁ=də=lis=te=ʁi=kə=lε=zεɡ=zɔʁ=sis=mə=nə=taʁ=dε=ʁe=pa=a=plə=vwaʁ=syʁ=səs=mo=di=təs=ɑ̃=pʁwa=o=ɡʁi=fə=dœ̃=dja=blə=və=ly=bjɛ̃=bjɛ̃=mε=lə=tɑ̃=pa=sε=o=ksik=sε=mə=sjε=klə=lε=nə=ʁɔ=lɔɡ=sə=pɑ̃=ʃε=ʁe=syʁ=sə=pʁɔ=blε=mə=kɔ̃=pli=ke=sjɑ̃=sə=ɑ̃=mɛ̃=sə=la=nεk=spli=ka=pa=ɡʁɑ̃=ʃo=zə=o=de=by=mε=lə=kli=ma=ʃɑ̃=ʒε=lə=dja=blə=ɑ̃=tʁε=dɑ̃=lε=ku=li=sə=lε=nə=ʁɔ=lɔɡ=zɑ̃=sɔʁ=tε=mε=lis=te=ʁi=kə=də=mə=ʁε=ɑ̃=sε=nə=dɑ̃=lɛ̃=sε=zi=sa=blə=də=sε=myl=ti=plə=vi=za=ʒə=sə=pɑ̃=dɑ̃=la=sjɑ̃=sə=sə=ʁɑ̃=dε=kɔ̃=tə=pø=a=pø=kə=lε=zis=te=ʁik=ne=tε=ni=si=my=la=tœʁ=kɔ̃=sjɑ̃=ni=mo=di=mε=dε=ma=la=də=kɔ=mə=do=tʁə=ma=ladə 246
la=ky=ʁjo=zi=te=də=la=me=də=sinəε=tɛ̃=fi=ni=li=mɑ̃=sə=kla=vje=dε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=zis=te=ʁik=sə=de=plwa=jε=də=vɑ̃=εllə=mε=lə=mis=tε=ʁə=də=mə=ʁε=la=zεɡ=nə=la=pə=lε=til=pa=la=kɔʁ=bεjə=a=pa=pje=u=lɔ̃=mεt=tu=sə=ki=ε=tɛ̃=kla=sa=blə 67
lə=ksksεmə=sjε=klə=de=bu=ʃa=a=sɔ̃=tuʁ=e=a=vεk=lɥi=lε=psi=kɔ=lɔɡ=dε=pʁɔ=fɔ̃=dœʁ=də=plys=la=tɑ̃=dɑ̃=sə=psi=ko=zɔ=ma=ti=kə=də=la=me=də=si=nə=sə=pʁe=si=za=e=a=lɔʁ=tu=sə=mit=a=ʃɑ̃=ʒe=lis=te=ʁi=fy=ʁa=mə=ne=də=plys=zɑ̃=plys=a=dε=pʁɔ=pɔʁ=sjɔ̃=zεɡ=zak=tə 72
ʃaʁ=ko=a=vε=mɔ̃=tʁe=kə=lε=fe=nɔ=mεnə=zis=te=ʁik=pu=vε=ε=tʁə=pʁɔd=ɥi=za=vɔ=lɔ̃=te=paʁ=lip=nɔ=tis=mə=e=kə=lip=nɔ=tis=mə=pu=vε=e=ɡa=lə=mɑ̃=lε=fε=ʁə=dis=pa=ʁε=tʁə=ɔʁ=ki=di=ip=nɔ=tis=mə=di=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=pɥi=sɑ̃=tə=ak=sεp=te=i=me=dja=tə=mɑ̃=paʁ=lε=sɑ̃=tʁə=nεʁ=vø=zɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃ 79
ʒa=nε=kɔ̃s=ta=ta=e=ɡalə=mɑ̃=la=ʁə=sɑ̃=blɑ̃=sə=fʁa=pɑ̃=təɑ̃=tʁə=lε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=zip=nɔ=tik=ze=lε=fe=nɔ=mε=nə=zis=te=ʁik=e=il=pɑ̃=sa=kə=lε=zis=te=ʁik=se=tε=mi=zɑ̃=tε=tə=kil=ze=tε=pa=ʁa=li=ze=u=a=vø=ɡlə=kil=za=vε=dɔ̃k=dɑ̃=lə=sεʁ=vo=y=nə=i=de=fik=sə=a=la=sɥi=tə=dy=nə=o=to=zyɡ=ʒεs=tjɔ̃=i=ʁe=zis=ti=blə=mε=du=və=nε=li=de=fik=sə=ʃe=lε=zis=te=ʁik=kε=sə=ki=fə=zε=kə=lə=sεʁ=vo=is=te=ʁi=kə=a=vεt=la=pɥi=sɑ̃=sə=ne=se=sε=ʁə=puʁ=fε=ʁə=a=pa=ʁε=tʁə=y=nə=pa=ʁa=li=zi=y=nə=ɔp=se=sjɔ̃=u=œ̃=my=tis=mə=də=mjø=zɑ̃=mjø=zɔ̃=vit=la=fɔʁ=sə=də=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=e=də=lo=to=zyɡ=ʒεs=tjɔ̃=dɑ̃=sε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=zis=te=ʁik=ɔ̃=nɑ̃=kɔ̃=pʁi=lə=me=ka=nis=mə=nεʁ=vø=la=psi=kɔ=lɔ=ʒi=ʃεʁ=ʃa=lε=ba=zə=pʁɔ=fɔ̃=də=e=o=ʒuʁ=dɥi=lε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=zis=te=ʁik=sɔ̃=ky=ʁa=blə=kɔ=mə=tu=tə=de=fi=sjɑ̃=sə=psi=kɔ=lɔ=ʒikə 234
kεllə=sɔ̃=lε=ɡʁɑ̃də=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=zis=te=ʁik 12
œ̃=lε=kʁizə=a=ʒi=ta=sjɔ̃=tɔ=ta=lə=mɑ̃=ɛ̃=kɔ=e=ʁɑ̃=tə=sɑ̃=tu=tə=fwa=mɔʁ=sy=ʁə=də=la=lɑ̃ɡ=pa=də=pεʁ=tə=dy=ʁi=nə=kɔ=mə=dɑ̃=le=pi=lεp=sjə=flyks=a=bɔ̃=dɑ̃=də=pa=ʁɔ=lə=tɔ=ʁe=də=plœʁ=ze=də=ʁi=ʁə=la=mɑ̃=ta=sjɔ̃=paʁ=fwa=zyʁ=lɑ̃=tə=ɛ̃=vεk=ti=və=la=kɔ̃=sjɑ̃=sə=də=mə=ʁəak=ti=və=e=lεs=pʁi=ɑ̃=na=lεʁ=tə=sil=i=a=ʃy=tə=lis=te=ʁi=kə=ʃwa=zi=lɑ̃=dʁwa=e=nə=sə=blε=sə=pʁa=ti=kə=mɑ̃=ʒa=mεs=sə=ki=a=dɔ̃k=fε=kʁwa=ʁə=a=la=si=my=la=sjɔ̃=tɔ=ta=lə 125
dø=lε=pa=ʁa=li=zi=εl=lə=sɔ̃=fʁe=kɑ̃tə=dɑ̃=lis=te=ʁi=swa 16
a=mo=no=ple=ʒi=e=ɡal=pa=ʁa=li=zi=dœ̃=səl=mɑ̃bʁə 14
b=e=mi=ple=ʒi=e=ɡal=pa=ʁa=li=zi=fʁa=pɑ̃=la=mwa=tje=dy=kɔʁ 18
k=pa=ʁa=ple=ʒi=e=ɡal=pa=ʁa=li=zi=dε=dø=mɑ̃bʁə=zɛ̃=fe=ʁjœʁ=zu=sy=pe=ʁjœʁ=u=dε=dø=za=la=fwa 27
tʁwa=lase=si=te=e=lə=my=tis=mə=sɑ̃=ba=zəɔʁ=ɡa=ni=kə=su=və=nɔ̃=nu=də=la=ʒə=nə=fa=mə=swa=ɲe=paʁ=mεs=me=e=a=vø=ɡlə=dəp=ɥi=la=ʒə=də=tʁwa=zɑ̃s 41
katʁə=lε=spas=mə=ze=lε=kɔ̃=tʁak=ty=ʁə=il=za=mε=ne=dε=psø=do=me=nɛ̃=ʒi=tə=dε=psø=do=a=pɑ̃=di=si=tə=paʁ=fwa=dε=psø=do=ɡʁɔ=se=sə=εt=se=te=ʁa=la=sɑ̃=sa=sjɔ̃=kɔ̃=sjɑ̃=tə=pø=ε=tʁə=ku=pe=sεʁ=tɛ̃=zis=te=ʁik=zi=ʁɔ̃=ʒys=ka=sə=bʁy=le=a=tʁɔ=sə=mɑ̃=u=sə=my=ti=le=sɑ̃=ʁə=sɑ̃=tiʁ=la=mwɛ̃=dʁə=du=lœʁ=ɔʁ=nu=sa=vɔ̃=ze=ɡa=lə=mɑ̃=kə=paʁ=ip=nɔ=tis=mə=il=ε=pɔ=si=blə=dɔ=pe=ʁe=sɑ̃=du=lœʁ=sε=ta=di=ʁə=dɛ̃=sɑ̃=si=bi=li=zəʁ=paʁ=syɡ=ʒεs=tjɔ=nə=sεʁ=tε=nə=paʁ=ti=dy=kɔʁ=il=i=a=dɔ̃k=i=si=e=ɡa=lə=mɑ̃=œ̃=ʁa=pɔʁ=e=tʁwa=e=y=nə=kεs=tjɔ̃=sə=po=zə=puʁ=kwa=la=du=lœʁ=εɡ=zis=tɑ̃=tə=bʁy=ly=ʁə=skal=pəl=nε=tεllə=pa=ʁə=sɑ̃=ti=kɔ̃=sja=mɑ̃=paʁ=lə=sεʁ=vo=dy=sy=ʒε=is=te=ʁi=kə=u=ip=nɔ=ti=ze=il=i=o=ʁε=dɔ̃k=dɑ̃=sε=dø=ka=œ̃=sɔ=mεj=dy=sεʁ=vo=kɔ̃=sjɑ̃=swa=spɔ̃=ta=ne=kɔ=mə=dɑ̃=lis=te=ʁi=swa=pʁɔ=vɔ=ke=kɔ=mə=dɑ̃=lip=nɔ=tismə 229
nudə=vɔ̃=zi=si=nu=ʁa=pə=le=sə=si=li=de=fik=sə=pʁɔ=vɔ=kə=lə=sɔ=mεj=dε=paʁ=ti=dy=sεʁ=vo=nə=kɔ=ʁεs=pɔ̃=dɑ̃=pa=a=sε=tə=i=de=sε=paʁ=ti=zi=ni=be=dy=sεʁ=vo=sɔ̃=dɔ̃k=ɛ̃=di=ke=puʁ=nə=pa=ʁɑ̃=dʁə=kɔ̃=sjɑ̃=təy=nə=du=lœʁ 62
lə=sy=ʒε=is=te=ʁikə=pø=ε=tʁə=fʁa=pe=də=pεʁ=tə=də=me=mwa=ʁə=e=sə=ʁə=tʁu=ve=lwɛ̃=də=lɑ̃=dʁwa=kil-a=bi=tε=nu=tɔ̃=bɔ̃=zi=si=dɑ̃=dø=ka=e=tʁɑ̃=ʒə=ki=sə=pʁɔ=lɔ̃=ʒe=lœ̃=lo=tʁə=lə=sɔm=nɑ̃=by=lis=məe=lə=de=du=blə=mɑ̃=də=la=pεʁ=sɔ=na=li=te 68
sɛ̃k=lə=sɔm=nɑ̃=by=lismə=il=ε=lœ̃=dε=fe=nɔ=mε=nə=lε=plys=zɛ̃=te=ʁe=sɑ̃=də=lis=te=ʁi=kə=sə=pa=sə=til=dɑ̃=lə=sɔm=nɑ̃=by=lis=mə=il=sa=ʒi=dy=nə=ve=ʁi=ta=bləak=sjɔ̃=mε=sε=tə=ak=sjɔ̃=ε=tɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=tə=lə=sy=ʒε=ε=te=vε=je=puʁ=y=nə=sə=lə=ʃo=zə=sɔ̃=ʁε=və=ɛ̃=te=ʁjœʁ=il=sə=lε=və=maʁ=ʃə=bwa=mɑ̃=ʒə=sə=li=vʁə=a=dε=zak=tə=va=ʁje=il=vit=ʁe=εl=lmɑ̃=sɔ̃=ʁε=və=e=sɥi=a=vø=ɡle=mɑ̃=lε=zɔʁ=dʁə=dɔ=ne=paʁ=sə=ʁε=və=il=ε=ta=ʁə=maʁ=ke=kə=lə=sɔm=nɑ̃=by=lə=pyʁ=na=pa=də=ve=ʁi=ta=blə=kɔ̃=sjɑ̃=sə=dɔ̃k=il=na=o=ky=nə=pœʁ=sə=ki=εk=spli=kə=kə=lə=sɔm=nɑ̃=by=lə=pø=sɑ̃=zo=ky=nə=kʁɛ̃=tə=a=kɔ̃=pliʁ=dε=zak=sjɔ̃=ki=lɥi=sə=ʁε=dɑ̃=ʒə=ʁø=zə=za=le=ta=nɔʁ=mal=ʁə=və=ny=a=la=kɔ̃=sjɑ̃=sə=il=nə=ɡaʁ=də=su=vɑ̃=o=kœ̃=su=və=niʁ=də=sε=zak=ti=vi=te=za=nɔʁ=malə 212
mε=lε=zak=ti=vi=te=zɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃tə=pə=ve=sə=pʁɔ=lɔ̃=ʒe=nu=za=ʁi=vɔ̃=za=lɔʁ=zo=de=du=blə=mɑ̃=də=la=pεʁ=sɔ=na=li=te=dɑ̃=sə=ka=lə=sy=ʒε=vit=syʁ=døks=mwa=ε=jɑ̃=ʃa=kœ̃=lœʁ=vi=pʁɔ=pʁə=lə=pʁə=mje=ε=su=lə=kɔ̃=tʁo=lə=də=la=kɔ̃=sjɑ̃=sə=nɔʁ=ma=lə=kɔ=mɑ̃=de=paʁ=sɔ̃=ne=kɔʁ=sə=se=ʁe=bʁa=lə=lə=sə=ɡɔ̃=tε=di=ʁi=ʒe=paʁ=yn=mwa=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=sə=tʁu=vɑ̃=dɑ̃=dε=sɑ̃=tʁə=nεʁ=vø=də=la=vi=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=tə=a=vεk=sε=za=bi=ty=də=sε=zɛ̃s=tɛ̃=εt=se=te=ʁa 123
il=nu=fo=dʁa=a=tɑ̃dʁə=le=ty=də=də=la=psi=ko=zɔ=ma=ti=kə=puʁ=lə=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=mjø=tu=sə=pa=sə=ɑ̃=ne=fε=kɔ=mə=si=lə=de=du=ble=pɔ=se=dε=dø=sεʁ=vo=nε=jɑ̃=o=kœ̃=ʁa=pɔʁ=ɑ̃=tʁə=ø=dɑ̃=lə=de=du=blə=mɑ̃=də=la=pεʁ=sɔ=na=li=te=ki=pø=dyʁe=də=lɔ̃ɡ=za=ne=lə=sy=ʒε=tʁa=vajə=kʁe=a=y=nə=vi=sɑ̃=ti=mɑ̃=a=ləe=pʁɔ=fe=sjɔ=nεllə=dɔ̃=lə=ka=ʁak=tε=ʁə=a=nɔʁ=mal=e=ʃa=pə=ʁε=a=œ̃=nɔp=sεʁ=va=tœʁ=nɔ̃=a=vεʁ=ti=ʒɑ̃=ʁə=paʁ=lə=ʁε=bjɛ̃=to 121
la=ka=ʁak=te=ʁis=tikə=pʁi=mɔʁ=dja=lə=də=lis=te=ʁi=kəε=la=fa=si=li=te=dak=sεp=te=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=il=sɑ̃=blə=dɔ̃k=bjɛ̃=kil=i=ε=ʃe=lɥi=œ̃=mo=vε=fɔ̃k=sjɔ=nə=mɑ̃=də=le=kɔʁ=sə=se=ʁe=bʁa=lə=pɥis=kil=nə=maʁ=kə=o=ky=nə=vɔ=lɔ̃=te=kɔ̃=tʁə=ka=ʁɑ̃=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=sε=puʁ=kwa=lis=te=ʁi=ε=ty=nə=ne=vʁo=zə=tεl=lmεnt=kɔ̃=ta=ʒjø=zə=il=sy=fi=də=sɔ̃=ʒe=o=mu=və=mɑ̃=də=fu=lə=a=sεʁ=tɛ̃=de=ʃε=nə=mɑ̃=də=ʒə=nə=ʒɑ̃=ze=ku=tɑ̃=sεʁ=tɛ̃=zaʁ=tis=tə=e=ʁe=a=ʒi=sɑ̃=kɔ=mə=œ̃=səl=ɔ=mə=a=y=nə=e=mɔ=sjɔ̃=sə=ʁe=pɑ̃=dɑ̃=kɔ=mə=y=nə=tʁε=ne=də=pu=dʁə=mɑ̃=ta=lə=ku=pɑ̃=ɛ̃=si=tu=tə=vɔ=lɔ̃=te=pεʁ=sɔ=nεllə 166
ʒə=di=i=me=djatə=mɑ̃=kə=lə=ve=ʁi=ta=blə=is=te=ʁi=kəε=sɛ̃=sε=ʁə=e=sɛ̃=sε=ʁə=mɑ̃=ma=la=də=ʃaʁ=ko=a=ma=ɲi=fi=kə=mɑ̃=de=kʁi=lε=pa=ʁɔk=sis=mə=ze=lε=de=li=ʁə=zis=te=ʁik=a=vεk=dε=zɛ̃=pʁe=ka=sjɔ̃=dε=kʁi=dε=zɛ̃=syl=tə=dε=za=ti=ty=də=dεk=sta=zə=a=vεk=paʁ=fwa=də=bi=za=ʁə=ze=ʁyp=sjɔ̃=də=la=po=dε=pʁɔ=po=ze=ʁɔ=tik=εt=se=te=ʁa 95
lε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=zis=te=ʁik=sɔ̃=lε=sɛ̃p=tomə=dœ̃=de=ze=ki=li=bʁəa=fεk=tif=tʁε=pʁɔ=fɔ̃ 24

kɔ=mɑ̃=swaɲə=tɔ̃=lis=te=ʁi 7

də=vɑ̃=εllə=la=me=də=sinə=pʁɔ=pʁə=mɑ̃=di=tə=sa=ʁa=ʃə=lε=ʃə=vø=ɔ̃=ʒy=ʁə=ʁε=kə=lis=te=ʁi=kə=so=tə=dœ̃=sɛ̃p=to=məa=lo=tʁə=puʁ=de=ʁu=te=e=de=ku=ʁa=ʒe=la=sjɑ̃=sə=də=ɡe=ʁi=zɔ̃=kə=vu=le=vu=fε=ʁə=si=œ̃=nis=te=ʁi=kə=ε=pa=ʁa=li=ze=sɑ̃=zε=tʁə=pa=ʁa=li=ze=u=suʁ=sɑ̃=zε=tʁə=suʁ=u=a=vø=ɡlə=sɑ̃=zε=tʁə=a=vø=ɡlə=e=sil=ε=kɔ̃s=ta=te=ko=ky=nə=ba=zə=ɔʁ=ɡa=ni=kə=vi=zi=blə=nə=pεʁ=mε=sε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=ki=dɑ̃=tʁwa=ʒuʁ=zo=ʁɔ̃=pø=tε=tʁə=dis=pa=ʁy=puʁ=fε=ʁə=pla=sə=a=do=tʁə=ɔʁ=ʒə=ʁe=pε=tə=kə=su=zip=no=zə=dε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=zis=te=ʁik=pə=ve=ε=tʁə=de=klɑ̃=ʃe=fa=si=lə=mɑ̃=paʁ=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=lis=te=ʁi=ε=pø=tε=tʁə=la=ma=la=di=dɑ̃=la=kεl=lə=la=pεʁ=sɔ=nə=sy=bi=lə=plys=ze=lə=mjø=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=do=tʁə=paʁ=lε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=zis=te=ʁik=nə=sə=de=ʁu=le=pa=dɑ̃=lə=si=lɑ̃=sə=lis=te=ʁi=kə=nə=sə=ka=ʃə=pa=mε=zɛ̃=po=zə=kɔ̃=sja=mɑ̃=u=nɔ=nə=səs=sɛ̃p=to=mə=za=la=tɑ̃=sjɔ̃=də=sɔ̃=nɑ̃=tu=ʁa=ʒə=sə=ki=a=fε=kʁwa=ʁə=ɑ̃=plys=a=la=kɔ=me=di=py=ʁə=e=sɛ̃=plə 276
dɔ̃k=il=i=adə=ʁjε=ʁə=tu=sə=la=œ̃=sɑ̃s=za=de=ku=vʁiʁ=il=i=a=y=nə=si=ɲi=fi=ka=sjɔ̃=dɔ̃=il=fo=tʁu=ve=lε=mɔ=bi=lə=ze=sɑ̃=sjεl=si=lɔ̃=vø=lis=te=ʁi=kə=sɑ̃=bləε=tʁə=yn=si=my=la=tœʁ=də=bɔ=nə=fwa=a=py=i=e=syʁ=œ̃=de=zɔʁ=dʁə=mɑ̃=tal=kil=fo=e=ty=dje=e=ɡe=ʁiʁ=kɔ=mə=tεl 78
ə=tɑ̃=dɔ=ne=lə=nɔ̃bʁə=dε=sɛ̃p=to=mə=ze=dε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=bo=ku=do=tœʁ=zɔ̃=pʁɔ=po=ze=də=ʁε=je=dy=dik=sjɔ=nε=ʁə=lə=mɔt=is=te=ʁjə=εt=də=nə=kɔ̃=si=de=ʁe=kə=dəs=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=zis=te=ʁi=kəs 56
il=ε=sεʁ=tɛ̃kə=tu=tə=sε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=si=εllə=zɔ=fʁe=dε=pwɛ̃=kɔ=mœ̃=pə=ve=a=vwaʁ=dε=ba=zə=zɛ̃=di=vid=ɥεl=lə=tɔ=ta=lə=mɑ̃=di=fe=ʁɑ̃=tə=mε=mə=si=lε=sɛ̃p=to=mə=sɔ̃=ti=dɑ̃=tik=y=nə=is=te=ʁi=də=vjε=jaʁ=na=ʁjɛ̃=də=kɔ=mœ̃=a=la=ba=zə=a=vεk=y=nə=se=si=te=is=te=ʁi=kə=de=klɑ̃=ʃe=paʁ=œ̃=ʃɔk=də=ɡe=ʁə=sə=pɑ̃=dɑ̃=lε=sɛ̃p=to=mə=pə=ve=ε=tʁə=kɔ̃=fɔ̃=dys 102

si=y=nə=kʁi=zə=dis=te=ʁi=sə=de=klɑ̃=ʃə=kə=fo=til=fεʁə 16

ʒɑ̃=tɑ̃=zynə=kʁi=zə=ɑ̃=dəɔʁ=də=la=pʁe=zɑ̃=sə=dœ̃=me=də=sɛ̃=la=pʁə=mjε=ʁə=kɔ̃=se=kɑ̃=sə=dy=nə=kʁi=zə=is=te=ʁi=kə=ε=la=fɔ=lə=mɑ̃=də=lɑ̃=tu=ʁa=ʒə=ɔʁ=kə=fə=ʁa=lə=pʁa=ti=sjɛ̃=dε=sɔ̃=na=ʁi=ve=il=fə=ʁa=lə=vi=də=o=tuʁ=dy=ma=la=də=ki=kɔ̃=tinɥ=a=sə=de=ba=tʁə=kεl=kə=tɑ̃=mε=tʁε=su=vɑ̃=lɛ̃=pa=si=bi=li=te=dy=me=də=sɛ̃=a=ʁε=tə=la=kʁi=zə=puʁ=kwa=paʁ=sə=kə=lɑ̃=tu=ʁa=ʒə=a=fɔ=le=ʁɑ̃=fɔʁ=sə=lo=to=zyɡ=ʒεs=tjɔ̃=dy=ma=ladə 121
otʁə=mwa=jɛ̃=zi=me=dja=fla=ʒεl=la=sjɔ̃=a=lo=ʒi=flə=kɔ̃=pʁe=sjɔ̃=dε=ɡlɔ=bə=zɔ=ky=lε=ʁə=mε=zil=va=də=swa=kə=sε=me=tɔ=də=sɔ̃=ʁi=ɡu=ʁø=zə=mɑ̃=sy=pεʁ=fi=sjεllə=e=nə=vi=ze=ka=la=ʁε=də=la=kʁi=zə=su=li=ɲe=lε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=zis=te=ʁik=sɔ̃=dε=sɛ̃p=to=mə=εl=lə=nə=sɔ̃=pa=la=ma=la=di=sεl=lə=si=sə=tʁu=və=bo=ku=plys=zɑ̃=pʁɔ=fɔ̃=dœʁ=e=sε=sε=tə=pʁɔ=fɔ̃=dœʁ=kil=fo=a=tɛ̃=dʁəe=swa=ɲe 108
kɔ=mɑ̃=de=tεk=te=lɔ=ʁi=ʒinəe=lε=mɔ=bi=lə=su=vɑ̃=tʁε=ka=ʃe=tʁu=ve=lε=kɔ̃=fli=za=fεk=tif=o=mwa=jɛ̃=də=la=psi=kɔ=lɔ=ʒi 34

lε=fe=nɔ=mε=nə=də=kɔ̃=vεʁ=sj=ɔ̃ 10

la=kɔ̃=vεʁ=sjɔ̃=ε=tœ̃=me=ka=nismə=ku=ʁɑ̃=sεʁ=tɛ̃=kɔ̃=fli=za=fεk=tif=sεk=ste=ʁjɔ=ʁi=ze=paʁ=lə=kɔʁ=lε=kɔ̃=fli=psi=kɔ=lɔ=ʒik=sə=kɔ̃=vεʁ=ti=sεnt=εn=ma=la=di=fi=zik=ʒɑ̃=ʁə=paʁ=lə=ʁε 49
pʁə=nɔ̃lə=ka=kla=si=kə=dy=nə=kɔ=lε=ʁə=la=de=ʃaʁ=ʒə=i=me=dja=tə=də=la=kɔ=lε=ʁə=sə=ʁa=ɛ̃=syl=tə=flyks=də=pa=ʁɔ=lə=ʒεs=tə=vjɔ=lɑ̃=ku=də=pu=iŋ=εt=se=te=ʁa 46
mε=zεllə=pø=pʁe=zɑ̃=te=ynə=kɔ̃=vεʁ=sjɔ̃=lə=be=ɡε=mɑ̃=il=i=a=dɑ̃=sə=ka=y=nə=kɔ̃=vεʁ=sjɔ̃=dɑ̃=lε=zɔʁ=ɡa=nə=dy=la=ʁɛ̃ks=la=kɔ̃=vεʁ=sjɔ̃=pø=ε=tʁə=plys=fɔʁ=tə=e=sə=pla=se=dɑ̃=lε=zɔʁ=ɡa=nə=sεʁ=vɑ̃=o=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=də=la=kɔ=lε=ʁə=lə=sy=ʒε=də=vjɛ̃=a=fɔ=nəu=pa=ʁa=li=ze=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=zis=te=ʁik 85
ʃa=kœ̃=sε=o=sikə=sεʁ=tɛ̃=zyl=sε=ʁə=dεs=tɔ=mak=sɔ̃=la=kɔ̃=vεʁ=sjɔ̃=fi=zi=kə=də=kɔ̃=fli=za=fεk=tif=la=kɔ̃=vεʁ=sjɔ̃=ε=dɔ̃k=œ̃=fe=nɔ=mε=nə=pʁɔ=di=ʒjø=zə=mɑ̃=ɛ̃=te=ʁe=sɑ̃=e=sə=pʁe=zɑ̃=tə=tʁε=fʁe=ka=mɑ̃=la=me=də=si=nə=psi=ko=zɔ=ma=ti=kəe=klε=ʁə=ʁa=tu=sə=la=də=fa=sɔ̃=ɛ̃=te=ʁe=sɑ̃tə 80
lε=fe=nɔ=mεnə=də=kɔ̃=vεʁ=sjɔ̃=pə=ve=ε=tʁə=tʁε=va=ʁje=il=ε=dɔ̃k=nɔʁ=mal=kə=la=dis=pa=ʁi=sjɔ̃=dœ̃=sɛ̃p=to=mə=pεʁ=mε=tə=la=pa=ʁi=sjɔ̃=dœ̃=no=tʁə=kɔ=mə=dɑ̃=lis=te=ʁi=mε=nɑ̃=kɔ̃=kly=ɔ̃=pa=kə=tu=fe=nɔ=mε=nə=də=kɔ̃=vεʁ=sjɔ̃=swa=is=te=ʁi=kə=a=sə=kɔ̃=tə=tu=tə=pεʁ=sɔ=nə=paʁ=εɡ=zɑ̃=plə=su=fʁɑ̃=dœ̃=nyl=sε=ʁəa=ba=zə=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=sə=ʁε=is=te=ʁi=kə=sə=ki=ε=tab=syʁ=də 105
dɑ̃=lis=te=ʁi=tusə=pa=sə=kɔ=mə=si=la=ma=la=di=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=də=vε=sεk=ste=ʁjɔ=ʁi=ze=kɔʁ=pɔ=ʁεl=lmɑ̃=dy=nə=fa=sɔ̃=u=dy=nəo=tʁə=ɔ̃=vwa=dɔ̃k=lə=dɑ̃=ʒe=lə=sɛ̃p=to=mə=kɔʁ=pɔ=ʁεl=is=te=ʁi=kə=ε=ty=nə=de=ʃaʁ=ʒə=ne=se=sε=ʁə=nu=sa=vɔ̃=ky=nə=kɔ=lε=ʁə=ʁɑ̃=tʁe=ə=εst=plys=nɔ=si=və=ky=nə=kɔ=lε=ʁə=sə=de=ʃaʁ=ʒɑ̃=mys=ky=lε=ʁə=mɑ̃=u=vεʁ=ba=lə=mɑ̃=si=lɔ̃=pu=sə=sə=la=a=fɔ̃=ɔ̃=kɔ̃s=ta=tə=kə=la=ɡe=ʁi=zɔ̃=py=ʁə=e=sɛ̃=plə=dy=nə=kɔ̃=vεʁ=sjɔ=nə=is=te=ʁi=kə=pɥi=sə=ε=tʁə=dɑ̃=ʒə=ʁø=zə=kɔ=mə=si=lɔ̃=blɔ=kε=y=nə=su=pa=pə=syʁ=y=nə=ʃo=djε=ʁə=ɑ̃=ne=by=li=sjɔ̃=lɛ̃=pɔ=si=bi=li=te=də=la=de=ʃaʁ=ʒə=a=fεk=ti=və=a=mε=mə=kɔ̃d=ɥi=sεʁ=tɛ̃=sy=ʒε=zo=sɥi=sidə 189
dɑ̃=lis=te=ʁi=il=sə=ʁa=dɔ̃k=ɛ̃=dis=pɑ̃=sablə=də=ʃεʁ=ʃe=la=ko=zə=pʁɔ=fɔ̃=də=e=də=pu=se=a=fɔ̃=lεɡ=za=mɛ̃=mɑ̃=tal=e=sə=la=a=vɑ̃=tu=tə=ʃo=zə=ʃa=kə=ka=dis=te=ʁi=ε=dɔ̃k=sy=ʒε=a=œ̃=tʁε=tə=mɑ̃=di=fe=ʁɑ̃=mε=də=tu=tə=fa=sɔ̃=sə=tʁε=tə=mɑ̃=də=vʁa=tu=ʒuʁ=sə=fε=ʁəɑ̃=pʁɔ=fɔ̃=dœʁ=e=sə=la=o=mwa=jɛ̃=dε=tεk=nik=me=di=ka=lə=ze=psi=kɔ=lɔ=ʒik=za=pʁɔ=pʁje 100
nu=bljɔ̃=dɔ̃k=pakə=lis=te=ʁi=pʁe=zɑ̃=tə=dɔ̃k=tu=təy=nə=ɡa=mə=de=ta=e=il=fo=nɔ=te=puʁ=tεʁ=mi=ne=ky=nə=pεʁ=sɔ=nə=a=tɑ̃=pe=ʁa=me=is=te=ʁi=kə=pø=vi=vʁə=tu=tə=sa=vi=sɑ̃=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=zεɡ=za=ʒe=ʁe=sɔ̃=tɑ̃=pe=ʁa=me=e=ʃa=pə=ʁa=dɔ̃k=tu=ʒuʁ=za=lɔp=sεʁ=va=sjɔ̃=nɔ̃=a=vεʁ=ti=sə=sə=ʁa=a=lɔʁ=zy=nə=pεʁ=sɔ=nə=mɑ̃=ta=lə=mɑ̃=fʁa=ʒi=lə=εk=se=si=və=mɑ̃=syɡ=ʒεs=tjɔ=na=blə=e=ʃe=la=kεllə=y=nə=vi=kal=mə=e=sɑ̃=ze=mɔ=sjɔ̃=ʃɔk=nə=fə=ʁa=ʒa=mε=za=pa=ʁε=tʁə=də=sɛ̃p=to=mə=tʁε=za=nɔʁ=mal 138

sɔ=mə=nu=tus=pø=u=pʁu=lə=dɔk=tœʁ=ʒə=kil=e=mis=te=idə 16

ɑ̃=dotʁə=tεʁ=mə=a=vɔ̃=nu=ply=zjœʁ=pεʁ=sɔ=na=li=te=ly=nə=də=sε=pεʁ=sɔ=na=li=te=pø=tεllə=pʁɑ̃=dʁə=lə=pa=syʁ=lo=tʁə=a=vɔ̃=nu=ply=zjəʁs=mwa 38
lε=ka=ase=sty=pe=fjɑ̃=də=de=du=blə=mɑ̃=də=la=pεʁ=sɔ=na=li=te=nə=sɔ̃=ni=i=ma=ʒi=na=sjɔ̃=ni=fik=sjɔ̃=mε=py=ʁəɔb=ʒεk=ti=vi=te=me=di=ka=lə=εks=plwa=te=da=jəʁs=su=ve=tʁε=mal=paʁ=la=li=te=ʁa=ty=ʁə=e=lə=si=ne=ma 61
ʁapə=lɔ̃=nu=kə=la=kɔ̃=sjɑ̃=səε=ty=nə=sɔʁ=tə=də=ʁe=zεʁ=vwaʁ=bʁa=sɑ̃=e=ma=lak=sɑ̃=tus=lε=ze=vε=nə=mɑ̃=də=la=vi=puʁ=ɑ̃=ti=ʁe=y=nə=sɑ̃=sa=sjɔ̃=y=ni=kə=y=nə=sɛ̃=tε=zə=si=lɔ̃=vø=la=vi=pʁe=si=pi=tə=dɑ̃=sə=ʁe=zεʁ=vwaʁ=dε=pɔ=mə=dε=pwa=ʁə=ze=dε=ʁε=zɛ̃=mε=lə=ʒy=ʁe=kɔl=te=nε=ni=ʒy=də=pɔ=mə=ni=də=pwa=ʁə=ni=də=ʁε=zɛ̃=sε=tœ̃=ʒy=nu=vo=bjɛ̃=o=mo=ʒε=nə=e=a=ɡʁe=a=blə=o=ɡu 109
tεllə=dwa=εtʁə=la=kɔ̃=sjɑ̃=sə=də=lɔ=mə=o=mo=ʒε=nəe=a=ɡʁe=ablə 17
ɑ̃=sεʃə=de=fi=ni=sjɔ̃=si=i=fi=kə=la=kɔ̃=sjɑ̃=səε=la=sɛ̃=tε=zə=kœ̃=nɛ̃=di=vi=dyʁe=a=li=zə=ɑ̃=nœ̃=nɛ̃s=tɑ̃=dɔ=ne=də=sε=zak=ti=vi=te=pεʁ=sεp=tʁi=sə=mɔ=tʁi=sə=ze=psi=ʃik=e=ki=a=bɔ=li=sɑ̃=lœʁ=zas=pε=ze=le=mɑ̃=tε=ʁə=lε=de=pa=sə=e=lε=zɛ̃=tε=ɡʁə=ɑ̃=nœ̃=kɔ̃=pɔʁ=tə=mɑ̃=du=e=dy=nə=stʁyk=ty=ʁə=ɔ=ʁi=ʒi=na=lə=sy=təʁ=nu=ʁə=ʒwa=ɲɔ̃=dɔ̃k=la=kɔ̃=sεp=sjɔ̃=də=ʒa=nε 103
nu=za=vɔ̃=vysə=si=œ̃=ne=vε=nə=mɑ̃=nɔ̃=ɛ̃=te=ɡʁe=dɑ̃=la=ma=sə=də=la=kɔ̃=sjɑ̃=sə=də=vjɛ̃=sɑ̃=bla=bləa=œ̃=sa=tεl=li=tə=tʁa=va=jɑ̃=ɑ̃=də=ɔʁ=də=sε=tə=ma=sə=sεt=e=vε=nə=mɑ̃=nɔ̃=di=ʒe=ʁe=va=ti=ʁaje=lɔ=mə=su=mi=za=sə=mɑ̃=kə=dy=ni=te 67
sə=kasə=ʁə=pʁe=zɑ̃=tə=dɑ̃=tus=lε=kɔ̃=plεk=sə=paʁ=εɡ=zɑ̃=plə=lə=kɔ̃=plεk=səε=kɔ=mə=sə=sa=tεl=li=tə=il=a=ʒi=puʁ=sɔ̃=pʁɔ=pʁə=kɔ̃=tə=sɑ̃=kə=la=kɔ̃=sjɑ̃=sə=pɥi=sə=lab=sɔʁ=be=dɑ̃=sa=ma=sə=ɔʁ=lɔ=mə=vwa=su=vɑ̃=lε=sɛ̃p=to=mə=dy=kɔ̃=plεk=sə=mε=ʁa=ʁə=mɑ̃=lə=kɔ̃=plεk=sə=lɥi=mε=mə=a=sə=mɔ=mɑ̃=il=a=de=ʒa=ɑ̃=pə=ti=y=nə=pεʁ=sɔ=na=li=te=du=blə=sɔ=nə=mwa=pʁɔ=pʁə=mɑ̃=di=e=lə=mwa=də=sɔ̃=kɔ̃=plεk=sə=il=i=a=ɑ̃=lɥi=kεl=kə=ʃo=zə=ki=lə=fε=a=ʒiʁ=mal=ɡʁe=lɥi 128
ka=ʁivə=ʁε=til=dɔ̃k=si=œ̃=fʁaɡ=me=sa=tεl=li=tə=i=zɔ=le=mε=pɥi=sɑ̃=də=və=nε=pʁe=dɔ=mi=nɑ̃=ka=ʁi=və=ʁε=til=si=sə=fʁaɡ=me=pʁe=dɔ=mi=nɑ̃=də=və=nε=kɔ̃=sjɑ̃=sə=pʁɛ̃=si=pa=lə=a=bɔ=li=sɑ̃=la=kɔ̃=sjɑ̃=sə=i=ni=sjalə 60
mε=ze=ku=te=ply=to 6

œ̃=ka=e=tʁɑ̃=ʒə 5

bʁys=kə=mɑ̃=sɑ̃=zo=kœ̃=siɲə=pʁe=pa=ʁa=twa=ʁə=y=nə=ʒə=nə=fi=jə=sɑ̃=dɔʁ=pʁɔ=fɔ̃=de=mɑ̃=sɔ=mεj=bi=za=ʁə=plys=pʁɔ=lɔ̃=ʒe=kə=lə=sɔ=mεj=nɔʁ=mal=pɥi=la=ʒə=nə=fi=jə=sə=ʁe=vεjə=e=lɔ̃=kɔ̃s=ta=tə=kə=tu=sə=ki=kɔ̃s=tit=ɥε=sa=pεʁ=sɔ=na=li=te=nεɡ=zis=tə=plys=sε=kɔ=nε=sɑ̃=sə=zɔ̃=dis=pa=ʁy=sɔ̃=sεʁ=vo=ε=vi=də=εl=ləε=tœ̃=pεʁ=sɔ=na=ʒə=nu=vo=ki=vjɛ̃=də=nε=tʁə=vjεʁ=ʒə=e=i=ɲɔ=ʁɑ̃=də=plys=εl=lə=a=tɔ=ta=lə=mɑ̃=u=blje=sa=pεʁ=sɔ=na=li=te=pʁe=se=dɑ̃=tə=e=tu=sə=ki=si=a=taʃə 133
ɔ̃=fy=dɔ̃k=ɔ=bli=ʒe=də=tu=lɥi=ʁe=a=pʁɑ̃dʁə=a=kɔ=nε=tʁə=lε=zɔb=ʒε=a=li=ʁəe=a=e=kʁi=ʁə=εl=lə=a=pʁi=vi=tə=e=kɑ̃=tu=sə=la=fy=fε=la=ʒə=nə=fi=jə=sɑ̃=dɔʁ=mi=a=nu=vo=də=sə=mε=mə=sɔ=mεj=e=tʁɑ̃=ʒə=e=pʁɔ=lɔ̃=ʒe=pɥi=εl=lə=se=vε=ja=mε=dɑ̃=sa=pʁə=mjε=ʁə=pεʁ=sɔ=na=li=te=e=a=vεk=u=bli=tɔ=tal=də=la=pe=ʁjɔ=də=si=ty=e=ɑ̃=tʁə=lε=dø=sɔ=mεj 101
sə=la=dy=ʁa=katʁəɑ̃=a=vεk=lε=mε=mə=zal=tεʁ=nɑ̃=sə=də=sɔ=mεj=e=də=pεʁ=sɔ=na=li=te=dɑ̃=ʃa=kə=pεʁ=sɔ=na=li=te=ʁjɛ̃=də=lo=tʁə=pεʁ=sɔ=na=li=te=nə=syb=zis=tε=pa=mε=mə=œ̃=su=və=niʁ=e=puʁ=tɑ̃=dɑ̃=ʃa=kœ̃=də=sε=ka=εl=lə=a=ʒi=sε=li=zε=e=ty=djε=tʁa=va=jε=pɑ̃=sε=sy=po=zɔ̃=zœ̃=nɛ̃s=tɑ̃=kεllə=ε=a=kɔ̃=pli=œ̃=nak=tə=ʁe=pʁe=ɑ̃=si=blə=a=vɑ̃=də=sɑ̃=dɔʁ=miʁ=puʁ=sə=ʁe=vε=je=dɑ̃=lo=tʁə=e=ta=kεl=lə=sə=ʁε=sa=ʁεs=pɔ̃=sa=bi=li=te=kə=fə=ʁε=la=ʒys=ti=sə=y=mε=nə=kɔ=mɑ̃=puʁ=ʁε=tɔ̃=lɛ̃=te=ʁɔ=ʒe=pɥis=kə=sɔ̃=nu=vo=mwa=nə=sə=su=vjɛ̃=pa=dy=mwa=pʁe=se=dɑ̃ 157

kɑ̃=la=pεʁ=sɔ=na=li=te=sə=le=za=ʁdə 11

ynə=ʒə=nə=fi=jə=a=ʁi=ve=a=la=ʒə=də=diz=ɥ=it=ɑ̃=pʁe=zɑ̃=tə=dε=mɔ=mɑ̃=dab=sɑ̃=sə=sɥi=vi=də=syʁ=di=te=e=də=se=si=te=y=na=a=ta=kə=də=sɔ=mεj=a=pa=ʁε=e=la=ʒə=nə=fi=jə=se=vεjəɑ̃s=ɥi=tə=a=vεk=pεʁ=tə=tɔ=ta=lə=də=la=me=mwa=ʁə=i=si=e=ɡa=lə=mɑ̃=sa=pεʁ=sɔ=na=li=te=pʁə=mjε=ʁə=a=vε=dis=pa=ʁy=ɔ̃=dy=o=si=lɥi=a=pʁɑ̃=dʁə=a=li=ʁə=e=a=e=kʁi=ʁə=ɔ̃=kɔ̃s=ta=ta=kə=sa=dø=zjε=mə=pεʁ=sɔ=na=li=te=e=tε=tɔ=ta=lə=mɑ̃=di=fe=ʁɑ̃=tə=də=la=pʁə=mjε=ʁə=o=tɑ̃=sa=pεʁ=sɔ=na=li=te=ny=me=ʁo=œ̃=ne=tε=tʁis=tə=e=de=pʁi=me=o=tɑ̃=la=ny=me=ʁo=dø=ze=tε=ɡε=ʒwa=jø=zə=ɛ̃=su=sjɑ̃=tə=e=dɑ̃=sə=dø=zjε=mə=e=ta=ʁjɛ̃=ni=ki=kɔ̃=kə=nə=pu=vε=lɑ̃=pε=ʃe=də=fε=ʁə=sε=ka=tʁə=vɔ=lɔ̃=te 199
pɥi=zεlləy=œ̃=nu=vo=sɔ=mεj=e=se=vε=ja=dɑ̃=sa=pεʁ=sɔ=na=li=te=ny=me=ʁo=œ̃=a=vεk=sεpʁə=mjε=ʁə=kɔ=nε=sɑ̃=sə=e=u=bli=də=la=pεʁ=sɔ=na=li=te=ny=me=ʁo=dø 45
e=sə=laʁə=kɔ=mɑ̃=sa=εl=lə=sə=ʁe=vε=ja=dɑ̃=la=pεʁ=sɔ=na=li=te=ny=me=ʁo=dø=dɔ̃=εllə=sə=su=və=nε=mε=zε=jɑ̃=u=blje=a=nu=vo=sa=pεʁ=sɔ=na=li=te=ny=me=ʁo=œ̃ 47
e=a=ʁi=ve=a=laʒə=də=tʁɑ̃=tə=si=zɑ̃=εl=lə=də=mə=ʁa=ʒys=ka=sa=mɔʁ=dɑ̃=sɔ̃=ne=ta=sə=ɡɔ̃ 26

sε=ka=sɔ̃=tase=ʁa=ʁə=e=plɔ̃=ʒe=lε=zɔ=mə=dɑ̃=la=sty=pe=fak=sjɔ̃=ɛ̃=si=dɔ̃k=sε=tə=fa=mø=zə=pεʁ=sɔ=na=li=te=y=mε=nə=sə=blɔk=kə=lɔ̃=kʁwa=sɔ=li=də=pø=sə=bʁi=ze=e=ʃa=kœ̃=dε=mɔʁ=so=pø=a=ʒiʁ=ɑ̃=ni=ɲɔ=ʁɑ̃=sə=kə=fə=zε=lo=tʁə=mɔʁ=so 67
sε=ka=εk=stʁεmə=sɔ̃=i=si=e=ɡa=lə=mɑ̃=y=nəεɡ=za=ʒe=ʁa=sjɔ̃=dy=nɔʁ=mal=e=dy=ku=ʁɑ̃=il=ε=sεʁ=tɛ̃=kə=la=ply=paʁ=dε=ʒɑ̃=pɔ=sε=de=ɑ̃=də=ɔʁ=də=lœʁ=ma=sə=də=kɔ̃=sjɑ̃=sə=dəs=sa=tεl=li=təs=nɔ̃=ɛ̃=te=ɡʁe=ki=ʁe=a=pa=ʁε=se=sɥi=vɑ̃=lε=siʁ=kɔ̃s=tɑ̃=sə=la=na=li=zə=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=lip=no=zə=la=naʁ=ko=a=na=li=zə=pεʁ=mε=te=da=jœʁ=də=de=sə=le=lœʁ=pʁe=zɑ̃=sə=nu=ve=ʁɔ̃=sə=la=ɑ̃=paʁ=lɑ̃=də=lɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃ 114
εɡ=zɑ̃plə=ku=ʁɑ̃=œ̃=ti=mi=də=dɑ̃=la=sɔ=li=ty=də=il=vit-aʁ=mɔ=njø=zə=mɑ̃=syʁ=sa=ma=sə=pʁɛ̃=si=pa=lə=də=kɔ̃=sjɑ̃=sə=il=ɛ̃=tε=ɡʁə=lε=siʁ=kɔ̃s=tɑ̃=sə=dɑ̃=sə=ʁe=zεʁ=vwaʁ=ʒe=ne=ʁal=mε=lə=vwa=si=ɑ̃=py=blik=a=sə=mɔ=mɑ̃=le=mɔ=ti=vi=te=tuʁ=nə=lɛ̃=te=ʁyp=tœʁ=e=lə=mεt=ɑ̃=kɔ̃=takt=a=vεk=səs=sa=tεl=li=təs=pœʁ=ɛ̃=fe=ʁjɔ=ʁi=za=sjɔ̃=kɔ̃=plεk=sə=εt=se=te=ʁa=kə=sə=pa=sə=til=ləs=sa=tεl=li=təs=mɑ̃=to=tʁa=va=je=puʁ=lœʁ=kɔ̃=tə=e=a=si=mi=le=lε=siʁ=kɔ̃s=tɑ̃=sə=si=ʁa=pɔʁ=tɑ̃=sε=dɔ̃k=œ̃=tʁε=mi=ni=mə=de=du=blə=mɑ̃=də=la=pεʁ=sɔ=na=li=te 150
otʁəεɡ=zɑ̃=plə=y=nə=pεʁ=sɔ=nə=vi=vɑ̃=dɑ̃=lɔp=se=sjɔ̃=dε=mi=kʁɔ=bə=syʁ=tu=a=vɑ̃=də=sə=ku=ʃe=tu=tə=la=ʒuʁ=ne=εl=lə=vit=syʁ=sa=ma=sə=pʁɛ̃=si=pa=lə=də=kɔ̃=sjɑ̃=sə=e=tu=va=bjɛ̃=a=ʁi=və=lə=swaʁ=e=vwa=si=kə=sɔ=nə=sa=tεl=li=tə=mɑ̃=tal=lɔ=bli=ʒə=a=sə=de=zɛ̃=fεk=te=di=fwa=lε=mɛ̃=il=i=a=dɔ̃k=ɑ̃=nεllə=kεl=kə=ʃo=zə=də=pɥi=sɑ̃=ki=lɔ=bli=ʒə=a=a=ʒiʁ 100
ʒə=ʁe=pεtə=dɔ̃k=kə=si=lə=fʁaɡ=me=se=pa=ʁe=dy=mwa=εst=tʁε=pɥi=sɑ̃=il=pø=a=ni=i=le=la=pεʁ=sɔ=na=li=te=pʁi=mi=ti=və=kɔ=mə=dɑ̃=lə=de=du=blə=mɑ̃=də=la=pεʁ=sɔ=na=li=te=u=la=di=min=ɥəʁ=kɔ=mə=dɑ̃=lə=tʁak=lε=kɔ̃=plεk=sə=lε=zɔp=se=sjɔ̃=lε=zi=de=fik=sə 72
si=la=masə=pʁɛ̃=si=pa=lə=də=kɔ̃=sjɑ̃=səɛ̃f=lɥɑ̃=sə=lε=sɑ̃s=lε=fʁaɡ=mɑ̃=se=pa=ʁe=lə=fɔ̃=e=ɡa=lə=mɑ̃=lə=pa=sjɑ̃=su=fʁə=a=lɔʁ=da=ly=si=na=sjɔ̃=viz=ɥεllə=zu=o=di=ti=və=il=ɑ̃=tɑ̃=ʁe=εl=lmɑ̃=dε=vwa=il=vwa=vʁε=mɑ̃=dε=ʃo=zə=il=a=lɛ̃=pʁe=sjɔ̃=kə=sε=vwa=e=sε=vi=zjɔ̃=vjε=ne=dy=də=ɔʁ=a=lɔʁ=kεl=lə=sɔ̃=pʁɔd=ɥi=tə=su=lɛ̃f=lɥɑ̃=sə=də=sɔ̃=fʁaɡ=me=se=pa=ʁe=də=la=kɔ̃=sjɑ̃=sə=pʁɛ̃=si=pa=lə=dɔ̃k=sə=la=nə=vjɛ̃=pa=də=lεk=ste=ʁjœʁ=mε=bεl=e=bjɛ̃=də=sɔ̃=nɛ̃=te=ʁjœʁ=sɑ̃=si=tif=e=psi=ʃi=kə=sə=me=ka=nis=mə=pø=pʁɔd=ɥi=ʁə=sεʁ=tɛ̃=ka=da=pa=ʁi=sjɔ̃=do=di=sjɔ̃=də=vwa=se=lεs=tə=εt=se=te=ʁa=lɛ̃=tεʁ=pʁe=ta=sjɔ̃=εk=stʁε=mə=də=lε=ɡli=zə=ka=tɔ=li=kə=sə=tʁu=və=dɔ̃k=i=si=εk=spli=ke=di=fe=ʁa=mɑ̃=paʁ=lε=fε=si=i=fik=il=sy=fi=də=ʁa=pə=le=lε=stiɡ=ma=tə=ɛ̃=tεʁ=pʁe=te=ʁə=li=ʒjø=zə=mɑ̃=paʁ=y=nə=ɛ̃=tεʁ=vɑ̃=sjɔ̃=di=vi=nə=e=ɛ̃=tεʁ=pʁe=te=si=i=fi=kə=mɑ̃=paʁ=dε=ze=ʁyp=sjɔ̃=də=la=po=kə=lis=te=ʁi=pø=pʁɔ=vɔ=kəʁ 251
la=kɔ̃=sjɑ̃səε=dɔ̃k=kɔ̃=po=ze=dœ̃=nɑ̃=sɑ̃=blə=də=ʁe=ak=sjɔ̃=me=lɑ̃=ʒe=zɑ̃=ny=nə=sə=lə=sɑ̃=sa=sjɔ̃=tu=tε=tʁə=y=mɛ̃=ε=kɔ̃=po=ze=də=ply=zjœʁ=pεʁ=sɔ=na=li=te=nə=sə=ʁε=sə=kə=la=pεʁ=sɔ=na=li=te=kɔ̃=sjɑ̃=tə=e=la=pεʁ=sɔ=na=li=te=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=tə=li=de=al=ʁe=zi=də=dɔ̃k=dɑ̃=ly=njɔ̃=də=tu=tə=lε=pεʁ=sɔ=na=li=te=lε=zɑ̃=sə=e=laʁ=mɔ=ni=ɛ̃=te=ʁjə=ʁə=zɑ̃=de=pɑ̃=de 102
də=plys=zɑ̃=plys=sɛ̃=pozə=dɔ̃k=y=nəe=dy=ka=sjɔ̃=bjɛ̃=fε=tə=lɛ̃f=lɥɑ̃=sə=nɔ=si=və=də=sεʁ=tɛ̃=mi=ljø=fa=mi=ljo=də=sεʁ=tε=nə=ze=dy=ka=sjɔ̃=ma=la=dʁwa=tə=ɑ̃=tʁε=ne=e=vi=da=mɑ̃=dε=za=nɔ=ma=li=ɑ̃=də=ɔʁ=də=la=ma=sə=də=kɔ̃=sjɑ̃=sə=dε=fʁaɡ=mɑ̃=se=pa=ʁe=kɔ=mɑ̃=se=a=lɔʁ=za=vi=vʁə=il=nɔ̃=pa=ɑ̃=kɔ=ʁə=bjɛ̃=syʁ=sy=fi=za=mɑ̃=də=fɔʁ=sə=puʁ=də=və=niʁ=do=tʁəs=mwa=mε=za=la=lɔ̃ɡ=lε=pεʁ=tyʁ=ba=sjɔ̃=də=la=fεk=ti=vi=te=lε=zi=ni=bi=sjɔ̃=zεɡ=za=ʒe=ʁe=lε=ʁə=fu=lə=mɑ̃=lε=pœʁ=lœʁ=vjε=ne=ɑ̃=nε=də=lε=nuʁ=ʁi=se=lε=ɡʁɔ=si=se=lε=ɡɔ̃=fle=e=sε=fʁaɡ=mɑ̃=də=vjε=ne=də=ve=ʁi=ta=blə=sa=tεl=li=tə=zɛ̃=te=ʁjœʁ=kɔ=mə=dɑ̃=lε=ɡʁɑ̃=kɔ̃=plεk=sə 175
e=lɔmə=ki=də=vʁε=ε=tʁə=kɔ̃=sjɑ̃=səy=ni=e-aʁ=mɔ=njø=zə=də=vjɛ̃=œ̃=nε=tʁə=a=pεʁ=sɔ=na=li=te=kɔ̃=tʁa=dik=twa=ʁə=sε=nɔ̃=bʁøks=mwa=le=kaʁ=tε=le=su=vɑ̃=ʒys=ka=la=du=lu=ʁø=zə=ne=vʁozə 51

la=si=klɔ=ti=mjə=si=klo=e=ɡal=sεʁkləe=ti=mi=e=ɡal=y=mœʁ=ɛ̃=tεl=li=ʒɑ̃sə 20

lə=sy=ʒε=ɔ=si=jə=sɑ̃=sεsəɑ̃=tʁə=dø=ze=ta=zɔ=po=ze=su=vɑ̃=sɔ̃=ny=mœʁ=ε=tə=fɔ=ʁi=kə=εɡ=zal=te=εk=si=te=il=a=kɔ̃=pli=sɔ̃=tʁa=vaj=a=vεk=bo=ku=dɑ̃=tʁɛ̃=il=sɛ̃=te=ʁε=sə=a=tu=plɛ̃=dɑ̃=tu=zjas=mə=il=pɔ=sε=də=lε=zɑ̃=sə=vεʁ=ba=lə=la=vi=va=si=te=dεs=pʁi=la=ʁi=pɔs=tə=ʁa=pi=də=il=ε=sεʁ=tɛ̃=də=sa=fɔʁ=sə=ɛ̃=vɛ̃=si=blə=sɔ̃=sεʁ=vo=ε=ky=ʁjø=də=tu=il=ε=fɔl=mɑ̃=ʒe=ne=ʁø=sɔ=sja=blə=εk=spɑ̃=zif=kɔ=my=ni=ka=tif=kɔ̃=ke=ʁɑ̃=su=dɛ̃=tu=se=kʁu=lə=dɑ̃=la=de=pʁe=sjɔ̃=lεɡ=zal=ta=sjɔ̃=tɔ̃=bə=la=ʒwa=o=si=il=sə=ʁə=pli=syʁ=lɥi=il=du=tə=e=zi=tə=il=sɑ̃=fɔ̃=sə=dɑ̃=zy=nə=ɛ̃=di=fe=ʁɑ̃=sə=tɔ=ta=lə=e=mɔʁ=nə=il=sɔ̃=bʁə=dɑ̃=zy=nə=sɔʁ=tə=də=sɔm=nɔ=lɑ̃=sə=mɑ̃=ta=lə=ki=dɔ=nə=lɛ̃=pʁe=sjɔ̃=dy=no=fʁa=ʒə=ab=sɔ=ly=də=sɔ̃=nak=ti=vi=te=il=sə=ʁə=ti=ʁə=dɑ̃=la=sɔ=li=ty=də=sə=sɑ̃=ɛ̃=fe=ʁjœʁ=e=œ̃=blə=kʁɛ̃=lə=lɑ̃=də=mɛ̃=e=sə=fε=dε=ʁə=pʁo=ʃə=du=lu=ʁø=ʒys=ko=nu=vεl=ak=sε=dεɡ=zal=ta=sjɔ̃ 251
puse=za=sə=pwɛ̃=sε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=sɔ̃=sεllə=dy=nə=ne=vʁozə 16
kɑ̃=tεllə=sɔ̃=mwɛ̃=fɔʁtə=nu=na=vɔ̃=pa=a=fε=ʁəa=y=nə=ne=vʁo=zə=pʁɔ=pʁə=mɑ̃=di=tə=mε=za=œ̃=tɑ̃=pe=ʁa=me=lə=tɑ̃=pe=ʁa=me=si=klɔ=ti=mi=kə=tʁε=ʁe=pɑ̃=dy=il=ε=dɔ̃k=di=fi=si=lə=də=de=li=mi=te=la=fʁɔ̃=tjε=ʁə=də=sε=tə=ne=vʁo=zə=tu=de=pɑ̃=dy=ʁit=mə=də=la=dyʁe=e=də=lɛ̃=tɑ̃=si=te=dε=ʃɑ̃=ʒə=mɑ̃=de=ta=ki=va=ʁje=fɔʁ=tə=mɑ̃=dœ̃=nɛ̃=di=vi=dy=a=lo=tʁə=də=sε=tə=fa=sɔ̃=lə=tɑ̃=pe=ʁa=me=si=klɔ=ti=mi=kə=maʁ=kə=œ̃=de=ze=ki=li=bʁə=nə=ʁo=psi=ʃi=kə=e=y=nə=de=fɔʁ=ma=sjɔ̃=dy=ka=ʁak=tε=ʁə=il=sə=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁə=su=vεnt=a=dε=də=ɡʁe=di=vεʁs=ʃe=dε=mə=nœʁ=pɔ=li=tik=dε=za=ʒi=ta=tœʁ=dε=ʁe=vɔ=ly=sjɔ=nε=ʁə=sə=tɑ̃=pe=ʁa=me=ε=ta=la=ba=zə=də=lœʁ=ak=sjɔ̃=pɥi=sɑ̃=tə=e=ɑ̃=tʁε=nɑ̃=tə=paʁ=fwa=zɛ̃=pyl=si=və=mɑ̃=ʒe=ne=ʁø=zə=e=i=pe=e=mɔ=ti=və=mε=zo=si=də=lœʁ=ʁe=pʁe=sjɔ̃=zɛ̃=pi=twa=ja=blə=ze=də=lœʁ=ɔs=ti=li=te=fe=ʁɔsə 234
siʒə=paʁ=lə=də=la=si=klɔ=ti=mi=sε=ta=fɛ̃=də=pu=vwaʁ=pʁe=zɑ̃=te=bjɛ̃=to=la=ɡʁa=və=psi=ko=zə=kɔ=ʁεs=pɔ̃=dɑ̃=tə=la=ma=ni=de=pʁe=sivə 37

la=pa=ʁa=nɔ=i=a=dœ̃=mo=ɡʁεk=ʁε=zɔnə=mɑ̃=a=ko=te=de=liʁə 17

ɑ̃=kɔʁəy=nə=ne=vʁo=zə=ki=e=ta=lə=də=myl=ti=plə=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=a=lɑ̃=dy=de=ze=ki=li=bʁə=le=ʒe=o=ɡʁɑ̃=də=psi=ko=zə=ze=o-a=ly=si=na=sjɔ̃=lə=pa=ʁa=nɔ=i=a=kə=ε=səl=ɥi=dɔ̃=ɔ̃=di=pɔ=py=lε=ʁə=mɑ̃=kil=a=la=fɔ=li=dε=ɡʁɑ̃=dəʁs=εt=la=fɔ=li=də=la=pεʁ=se=ky=sjɔ=nə 79
la=pa=ʁa=nɔ=i=a=ε=a=vɑ̃=tu=ynə=de=fɔʁ=ma=sjɔ̃=dy=ka=ʁak=tε=ʁə=lə=pa=ʁa=nɔ=i=a=kəε=dœ̃=nɔʁ=ɡœj=i=mɑ̃=sə=kil=vwa=lə=paʁ=fwa=su=zy=nə=fɛ̃=tə=mɔ=dεs=ti=il=kʁwa=ε=tʁə=lɛ̃=tεl=li=ʒɑ̃=sə=paʁ=fε=tə=il=sa=tʁibɥ=tus=lε=me=ʁi=tə=tu=tə=lε=ly=si=di=te=tu=tə=lε=vεʁ=tys=il=ε=ʁə=vɑ̃=di=ka=tœʁ=il=εɡ=zi=ʒə=lə=ʁεs=pε=kɔ̃=dwa=o=ɡʁɑ̃=il=ε=buʁ=ʁe=de=ɡɔ=is=mə=ki=sə=ka=ʃə=su=vɑ̃=su=dε=mask=dal=tʁɥis=mə=də=bɔ̃=te=də=ʒys=ti=sə=o=fɔ̃=də=lɥi=mε=mə=sə=tʁu=ve=lɔs=ti=li=te=e=lɑ̃=vi=il=ε=da=jœʁ=fʁe=ka=mɑ̃=pɔ=se=de=də=tʁε=pɥi=sɑ̃=sɑ̃=ti=mɑ̃=dɛ̃=fe=ʁjɔ=ʁi=te=bjɛ̃=kil=kʁwa=lə=kɔ̃=tʁε=ʁə=il=a=kɔʁ=də=y=nə=a=tɑ̃=sjɔ̃=εk=skly=zi=və=a=sa=pεʁ=fεk=sjɔ̃=il=ε=pa=sjɔ=ne=e=mɔ=ti=və=mɑ̃=puʁ=œ̃=ʁjɛ̃=mε=zil=a=bɑ̃=dɔ=nə=tu=puʁ=dε=fy=ti=li=te=sε=ʒy=ʒə=mɑ̃=sɔ̃=fo=se=ze=pʁe=kɔ̃=sys=il=ε=tɔp=sti=ne=ɑ̃=tε=te=e=ʁɑ̃=ky=nje=dε=kə=lɔ̃=pɔʁ=tə=a=tɛ̃=tə=a=sa=sy=sεp=ti=bi=li=te=sε=tə=sy=sεp=ti=bi=li=te=ε=da=jœʁ=zi=nui=lə=pa=ʁa=nɔ=i=a=kə=ε=ty=nə=pεʁ=sɔ=nə=a=vεk=la=kεllə=ɔ̃=nə=sε=ʒa=mε=syʁ=kεl=pje=dɑ̃=səʁ=la=tɔ=le=ʁɑ̃=sə=nεɡ=zis=tə=pa=puʁ=lɥi=sof=kɑ̃=til=ʒu=ə=la=tɔ=le=ʁɑ̃=sə=ʒø=ki=ʁɑ̃=fɔʁ=sə=sɔ̃=na=pa=ʁɑ̃=sə=də=ɡʁɑ̃=dœʁ=da=mə=lε=pa=ʁa=nɔ=i=ak=zɔ=ky=pe=paʁ=fwa=də=tʁε-o=tə=sit=ɥa=sjɔ̃=sɔ=sja=lə=sε=ta=lɔʁ=lə=fa=na=tis=mə=e=lεɡ=zi=ʒɑ̃=sə=dy=ʁεs=pε=ab=sɔ=ly=də=lœʁ=zɔ=pi=njɔ̃=kɔ=mə=lə=pa=ʁa=nɔ=i=a=kə=ε=i=pe=e=mɔ=tif=il=ε=tɛ̃=pyl=si=və=mɑ̃=ʒe=ne=ʁø=il=ɛ̃=po=zə=sa=bɔ̃=te=e=sa=ʒe=ne=ʁo=zi=te=ki=tə=a=sə=ʁə=tuʁ=nəʁ=kɔ=mə=y=nə=kʁε=pə=εt=puʁ=y=nə=bʁu=ti=jə=kɔ̃=tʁə=səl=ɥi=kil=vjɛ̃=dε=de=lə=pa=ʁa=nɔ=i=a=kə=nə=paʁ=vjɛ̃=pa=a=sɑ̃=tɑ̃=dʁə=a=vεk=ki=kə=sə=swa=sof=kɑ̃=til=kʁwa=kɔ̃=lə=ʁə=kɔ=nεt=sy=pe=ʁjəʁ=il=pɑ̃=sə=su=vɑ̃=kɔ̃=lə=pεʁ=se=ky=tə=paʁ=sə=kə=sa=ly=si=di=te=e=sɔ̃=nɛ̃=tεl=li=ʒɑ̃=sə=lə=ʁɑ̃=de=dɑ̃=ʒə=ʁø=ɔ̃=na=dɔ̃k=tu=tɛ̃=te=ʁε=a=le=kaʁ=te 515
lε=pa=ʁa=nɔ=i=ak=sɔ̃=plɛ̃də=ʁe=zεʁ=və-o=tε=nə=dɔ=mi=na=tʁi=səe=me=pʁi=zɑ̃=tə=il=sɔ̃=te=vi=da=mɑ̃=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=də=la=fo=sə=te=də=tu=tə=sε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=o=kεllə=zil=zɔ̃=œ̃=pʁɔ=fɔ̃=bə=zwɛ̃=də=kʁwaʁə 57
lə=pa=ʁa=nɔ=i=akə=mɑ̃=sɑ̃=sε=sə=il=i=ma=ʒi=nə=dε=sit=ɥa=sjɔ̃=zu=il=ε=sy=pe=ʁjœʁ=u=il=ʒu=lə=bo=ʁo=lə=εt=se=te=ʁa=il=ɛ̃=sinɥ-a=bi=lə=mɑ̃=də-o=tə=ʁə=la=sjɔ̃=py=ʁə=mɑ̃=i=ma=ʒi=nε=ʁə=e=sə=ʁε=tʁɑ̃=ʃə=da=jœʁ=ʁa=ʁə=mɑ̃=il=ʁə=tɔ̃=bə=syʁ=sε=pjes=dy=nə=fa=sɔ̃=de=kɔ̃=sεʁ=tɑ̃=tə=sε=tœ̃=ve=ʁi=ta=blə=viʁ=ty=o=zə=dy=ʁε=zɔ=nə=mɑ̃=e=də=la=lɔ=ʒi=kəab=syʁ=də 106
lɑ̃=fɑ̃=pa=ʁa=nɔ=i=akə=sə=ma=ni=fεs=tə=tʁε=ʁa=pi=də=mɑ̃=εɡ=zi=ʒɑ̃=ti=ʁa=ni=kə=sy=sεp=ti=blə=bu=dœʁ=ʁɑ̃=ky=nje=ɔp=sti=ne=ɔʁ=ɡœjø=il=ε=vi=tə=ble=se=dɑ̃=sa=vɔ=lɔ̃=te=εɡ=zi=ʒɑ̃=tə=dɑ̃=sε=ʁə=vɑ̃=di=ka=sjɔ̃=ze=sɔ̃=ne=ɡɔ=is=mə=il=nə=sy=pɔʁ=təo=ky=nə=di=si=pli=nə=də=kεl=kə=fɔʁ=mə=kə=sə=swa=il=ε=tɛ̃=ka=pa=blə=də=sə=su=mε=tʁə=a=œ̃=nεs=pʁi=də=ɡʁu=pə=e=nə=kɔ̃=swa=pa=kœ̃=ʁε=ɡlə=mɑ̃=pɥi=sə=sa=pli=ke=a=lɥi=il=εɡ=zi=ʒə=dε=tʁə=εn=də=ɔʁ=dε=zo=tʁəs=e=kɔ̃=lə=ʁə=kɔ=nε=sə=du=sɑ̃=ti=mɑ̃=də=sy=pe=ʁjɔ=ʁi=te=va=ɡa=bɔ̃=da=ʒə=fyɡ=ʁe=vɔl=tə=ʁe=bεl=ljɔ̃=skɑ̃=da=lə=py=blik=εt=se=te=ʁa 169
e=plys=taʁ=dɑ̃=la=dɔ=le=sɑ̃sə=lε=pa=ʁa=nɔ=i=ak=fuʁ=ni=ʁɔ̃=sεʁ=tɛ̃=de=zεʁ=tœʁ=sεʁ=tɛ̃=za=vɑ̃=ty=ʁje=sεʁ=tɛ̃=zɔb=ʒεk=tœʁ=də=kɔ̃=sjɑ̃=sə=il=pʁe=zɑ̃=tə=ʁɔ̃=a=lɔʁ=lœʁ=ne=vʁo=zə=su=zy=nə=fɔʁ=mə=swa=di=zɑ̃=fi=lo=zɔ=fi=kə=ki=nə=sə=ʁa=e=vi=da=mɑ̃=kœ̃=mas=kə 72
la=pa=ʁa=nɔ=i=a=le=ʒεʁə=pø=dyʁe=tu=təy=nə=vi=sɑ̃=za=mə=ne=də=ɡʁɑ̃=də=kɔ̃=pli=ka=sjɔ̃=sof=puʁ=lɑ̃=tu=ʁa=ʒə=kaʁ=lə=pa=ʁa=nɔ=i=a=kə=ε=ty=nə=pεʁ=sɔ=nə=ep=ɥi=zɑ̃=tə=ki=mɑ̃=ʒə=le=nεʁ=ʒi=də=sø=ki=kɔ=a=bi=te=a=vεk=lɥi 65

vwa=si=mɛ̃tə=nɑ̃=su=fɔʁ=mə=də=ta=blo=lε=ne=vʁo=zə=kə=ʒε=si=te=a=vεk=lœʁ=psi=ko=zə=kɔ=ʁεs=pɔ̃=dɑ̃tə 28

nε=vʁo=zə=e=ɡal=psi=ko=zə 8
as=te=ni=e=nə=ʁas=te=ni=e=ɡal=kɔ̃=fy=zjɔ̃=mɑ̃=ta=lə 16
psi=kas=te=ni=e=ɡal=ski=zɔ=fʁe=ni 10
ɔp=se=sj=ɔ̃=ze=fɔ=bi 7
si=klɔ=ti=mi=e=ɡal=psi=ko=zə=ma=nja=kə=de=pʁe=si=və 16
pa=ʁa=nɔ=i=a=e=ɡal=de=liʁə=dε=ɡʁɑ̃=dəʁs=me=ɡa=lɔ=ma=njə 17
de=li=ʁə=də=la=pεʁ=se=ky=sj=ɔ=nə=a=ly=si=na=sjɔ̃s 16

ɑ̃=nœ̃=sjεkləa=pε=nə=lə=nɔ̃=bʁə=dε=za=lje=ne=sε=de=ky=ple=dɑ̃=la=ply=paʁ=dε=pε=i=dy=mɔ̃=də=la=fʁɑ̃=sə=la=sy=ε=də=e=lε=zə=ta=zy=ni=sɔ̃=te=ʁi=blə=mɑ̃=tu=ʃe=e=lε=za=lje=na=sjɔ̃=mɑ̃=ta=lə=də=vjε=ne=œ̃=ve=ʁi=ta=blə=fle=o=sɔ=sjal 67
nɔ=tɔ̃=za=vɑ̃=tusə=si=lə=tεʁ=mə=fu=na=o=ky=nə=si=ɲi=fi=ka=sjɔ̃=ʁe=εllə=lə=mɔt=fu=nə=vø=ʁjɛ̃=di=ʁə=e=ʁə=ku=vʁə=də=tʁε=nɔ̃=bʁø=zə=za=fεk=sjɔ̃=di=fe=ʁɑ̃=tə=dɔ̃=lε=sɛ̃p=to=mə=sɑ̃=tʁə=mε=le=su=vɑ̃=œ̃=na=lje=ne=ε=te=vi=da=mɑ̃=œ̃=ma=la=də=e=lə=tɑ̃=zε=œ=ʁø=zə=mɑ̃=lwɛ̃=u=ɔ̃=lə=kɔ̃=si=de=ʁε=kɔ=məœ̃=kʁi=mi=nεl=də=plys=il=ɔ=fʁə=su=vɑ̃=la=ka=ʁi=ka=ty=ʁə=pu=se=ə=də=sεʁ=tε=nə=de=fɔʁ=ma=sjɔ̃=nɔʁ=ma=lə=dy=ka=ʁak=tεʁə 121

la=kɔ̃=fy=zj=ɔ̃=mɑ̃=ta=lə 8

il=nə=sa=ʒi=pa=da=lje=na=sjɔ̃=mɑ̃=talə=pʁɔ=pʁə=mɑ̃=di=tə=mε=dy=nə=εk=sa=ʒe=ʁa=sjɔ=nə=də=las=te=ni=tu=tə=lε=zɔ=pe=ʁa=sjɔ̃=psi=ʃik=sɔ̃=ʁa=lɑ̃=ti=za=lεk=stʁε=mə=lə=ma=la=də=sə=sɑ̃=dɑ̃=zœ̃=ne=ta=də=ɡʁɑ̃=də=tɔʁ=pœʁ=mɑ̃=ta=lə=e=dɑ̃=zœ̃=ne=ta=də=kɔ̃=fy=zjɔ=nə=il=a=lɛ̃=pʁe=sjɔ̃=kə=sɔ̃=sεʁ=vo=bε=ɲə=dɑ̃=zœ̃=bʁu=jaʁ=e=pε=sε=zi=de=nə=paʁ=vjε=ne=plys=za=sɔ=ʁjɛ̃=te=paʁ=fwa=lə=ma=la=də=kɔ̃=fɔ̃=lə=tɑ̃=il=kʁwa=vi=vʁəa=y=nə=e=pɔ=kə=ɑ̃=te=ʁjə=ʁə=paʁ=εɡ=zɑ̃=plə=tεllə=pεʁ=sɔ=nə=ki=sə=kʁwa=ʁə=vənɥ=o=de=by=də=sɔ̃=ma=ʁja=ʒə=u=a=le=pɔ=kə=də=sɔ̃=sεʁ=vi=sə=mi=li=tε=ʁə=εt=se=te=ʁa=la=sɛ̃=tε=zə=mɑ̃=ta=lə=se=fεktɥ=a=vεk=də=ɡʁɑ̃=də=di=fi=kyl=te=lə=ma=la=də=ε=tɛ̃=ka=pa=blə=də=di=ʁi=ʒe=sɔ̃=na=tɑ̃=sjɔ̃=e=sɔ̃=ʒy=ʒə=mɑ̃=sə=sɔ̃=ta=lɔʁ=dε=ze=bo=ʃə=sɑ̃=ljɛ̃=kɔ=e=ʁɑ̃=ɑ̃=ʁε=zɔ̃=də=sə=mɑ̃=kə=də=kuʁ=di=na=sjɔ̃=dɑ̃=lə=tɑ̃=ze=dɑ̃=lεs=pa=sə=lə=ma=la=də=sɑ̃=blə=paʁ=fwas=e=ɡa=ʁe=e=ab=sɑ̃t=sε=tə=kɔ̃=fy=zjɔ̃=pø=a=lɔʁ=za=bu=tiʁ=a=y=nə=tɔʁ=pœʁ=kɔ̃=plε=tə=a=pə=le=sty=pœʁ=kɔ̃=fy=zjɔ=nεllə 280
il=i=a=dɔ̃k=bjɛ̃=i=si=εɡ=za=ʒe=ʁa=sjɔ̃=dε=fe=nɔ=mεnə=das=te=ni=e=də=nə=ʁas=te=ni=dɑ̃=la=kɔ̃=fy=zjɔ̃=mɑ̃=ta=lə=lə=ma=la=də=pεʁ=dɔ̃k=paʁ=fwas=kɔ̃=sjɑ̃=sə=il=nə=sε=plys=zu=il=sə=tʁu=və=paʁ=εɡ=zɑ̃=plə=ʁə=və=ny=a=le=ta=nɔʁ=mal=il=a=pεʁ=dy=tu=su=və=niʁ=də=sə=ki=sε=pa=se=dy=ʁɑ̃=sa=pεʁ=tə=də=kɔ̃=sjɑ̃sə 87
la=kɔ̃=fy=zjɔ̃=mɑ̃=taləε=su=vɑ̃=œ̃=tʁu=blə=pa=sa=ʒe=sε=la=plys=ky=ʁa=blə=dε=za=fεk=sjɔ̃=mɑ̃=ta=lə=lə=tʁε=tə=mɑ̃=sɑ̃=tjɛ̃=dʁa=a=la=ko=zə=pʁə=mjε=ʁə=la=kɔ̃=fy=zjɔ̃=pø=ε=tʁə=lə=ʁe=zyl=ta=də=tʁε=ɡʁɑ̃=zep=ɥi=zə=mɑ̃=dɛ̃=fεk=sjɔ̃=ɡʁa=və=dɛ̃=tɔk=si=ka=sjɔ̃=də=tʁo=ma=tis=mə=kʁa=njɛ̃ 76

la=ski=zɔ=fʁe=njə=də=ski=ze=e=ɡal=kase=ɑ̃=dø=ze=fʁεn=e=ɡal=ɛ̃=tεl=li=ʒɑ̃=sə=εs=pʁit 24

ma=la=di=mɑ̃=talə=ɡʁa=və=la=ski=zɔ=fʁe=ni=sɑ̃=bləε=tʁə=la=lje=na=sjɔ̃=mɑ̃=ta=lə=paʁ=εk=sεl=lɑ̃sə 26
la=ski=zɔ=fʁe=ni=ε=la=pεʁtə=dy=kɔ̃=takt=a=vεk=la=ʁe=a=li=te=a=fɛ̃=də=mjø=mə=fε=ʁə=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=di=zɔ̃=kə=lə=ski=zɔ=fʁε=nəε=tyn=e=tʁɑ̃=ʒe=mɑ̃=tal=a=vεk=lə=kεl=il=ε=pʁa=ti=kə=mɑ̃=ɛ̃=pɔ=si=blə=dɑ̃=tʁe=ɑ̃=kɔ̃=takt=il=εst=ku=pe=dy=ʁe=εl=sɑ̃=ʁe=ak=sjɔ̃=e=ab=sɔ=ly=mɑ̃=ɛ̃=di=fe=ʁɑ̃=il=vit=œ̃=ʁε=və=ɛ̃=te=ʁjœʁ=e=y=nə=siʁ=kɔ̃s=tɑ̃=sə=εk=ste=ʁjə=ʁə=paʁ=vjɛ̃=ʁa=ʁə=mɑ̃=a=lə=ʁa=mə=ne=a=la=ʁe=a=li=te 116
nu=za=vɔ̃=vykə=dɑ̃=la=psi=kas=te=ni=a=pa=ʁε=se=dε=ly=tə=zɛ̃=te=ʁjə=ʁə=dε=zɑ̃=ɡwa=sə=dε=zɔp=se=sjɔ̃=puʁ=kwa=paʁ=sə=kə=lə=mɑ̃=kə=də=sɛ̃=tε=zə=mɑ̃=ta=lə=pεʁ=mε=o=zɔp=se=sjɔ̃=də=sɛ̃s=ta=le=kɔ=mə=dε=pa=ʁa=zi=tə=sɑ̃=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁe=o=ky=nə=ʁe=zis=tɑ̃=sə=dɑ̃=la=psi=kas=te=ni=lə=ma=la=də=sə=ʁɑ̃=kɔ̃=tə=də=sɔ̃=ne=ta=e=tɑ̃=tə=de=ta=bliʁ=œ̃=ba=ʁa=ʒəo=mwa=jɛ̃=də=sa=vɔ=lɔ̃=te 107
ʁjɛ̃də=tεl=dɑ̃=la=ski=zɔ=fʁe=ni=lə=ma=la=də=sə=ʁə=pli=syʁ=lɥi=mε=mə=dy=nə=fa=sɔ̃=ab=sɔl=ɥə=o=tis=mə=sɔ̃=psi=ʃis=mə=sə=de=tuʁ=nə=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=dyʁe=εl=il=i=a=di=slɔ=ka=sjɔ̃=dε=za=sɔ=sja=sjɔ̃=psi=ʃik=la=pɑ̃=se=sə=tʁu=və=di=vi=ze=ɑ̃=mɔʁ=so=dɑ̃=lεs=pʁi=dy=ski=zɔ=fʁε=nə=sə=kɔ̃s=tʁɥi=œ̃=mɔ̃=də-a=ly=si=nɑ̃=kɔ̃=puʁ=ʁε=kɔ̃=pa=ʁe=a=œ̃=ʁε=və=de=zɔ=sja=li=ze 102
paʁ=fwa=lə=ski=zɔ=fʁεnəε=dɔ=si=lə=i=nεʁ=tə=ɛ̃=di=fe=ʁɑ̃=il=ε=se=pa=ʁe=də=la=vi=εk=ste=ʁjə=ʁə=la=kɔ̃=sjɑ̃=sə=dis=pa=ʁε 35
dε=mu=dε=ɡʁi=masə=dε=mu=və=mɑ̃=ʁit=me=za=pa=ʁε=se=dε=kla=kə=mɑ̃=də=mɛ̃=dε=mi=mik=zεk=stʁa=ɔʁ=di=nε=ʁə=il=ne=ɡli=ʒə=lε=bə=zwɛ̃=ze=le=mɑ̃=tε=ʁə=də=la=vi=mɔ̃=tʁɑ̃=ɛ̃=si=y=nə=di=mi=ny=sjɔ̃=də=lɛ̃s=tɛ̃=də=kɔ̃=sεʁ=va=sjɔ̃=lə=ma=la=də=pø=a=vwaʁ=dε=za=ly=si=na=sjɔ̃s=ok=skεllə=zil=kʁwat=il=dis=ky=təa=lɔʁ=za=vεk=œ̃=paʁ=tə=nε=ʁə=ɛ̃=vi=zi=blə=paʁ=fwa=tʁε=vjɔ=la=mɑ̃=il=a=ʁi=və=kil=ɡaʁ=də=œ̃=pø=də=sɔ=sja=bi=li=te=e=ʁə=kɔ=nε=sə=dε=pεʁ=sɔ=nə=zɑ̃=sjε=nə=mɑ̃=kɔ=nəɥ=ɔ̃=di=ʁε=a=lɔʁ=kil=ʁə=tʁu=və=dε=lɑ̃=bo=de=ʃi=ʁe=də=sɔ̃=pa=se=dɔ̃=il=a=ɑ̃=kɔ=ʁə=y=nə=tʁε=va=ɡə=kɔ̃=sjɑ̃sə 164
lε=zɛ̃=pyl=sjɔ̃=vjɔ=lɑ̃tə=sɔ̃=fʁe=kɑ̃=tə=il=va=də=swa=kə=lə=ma=la=dəε=tɛ̃=ka=pa=blə=də=stɔ=pəʁ=səs=ɛ̃=pyl=sjɔ̃=lə=vwa=si=mɛ̃=tə=nɑ̃=dɑ̃=zy=nə=sɔʁ=tə=də=sty=pœʁ=pʁɔ=fɔ̃=də=il=pø=ɡaʁ=de=ɛ̃=de=fi=ni=me=lε=po=zi=sjɔ̃=lε=plys=zɛ̃=kɔ=mɔ=də=kɔ̃=lɥi=fε=pʁɑ̃=dʁə=il=ε=ti=nεʁ=tə=e=se=pa=ʁe=ɛ̃=te=ʁjə=ʁə=mɑ̃=dy=mɔ̃=də=lə=vwa=si=ki=ʁe=pε=tə=lə=mε=mə=ʒεs=tə=tu=ʒuʁ=sɑ̃=bla=blə=mo=no=tɔ=nə=e=pɥi=su=dɛ̃=e=kla=tə=y=nə=ɛ̃=pyl=sjɔ̃=a=vø=ɡlə=ɡʁat=ɥi=tə=ab=syʁ=də=paʁ=εɡ=zɑ̃=plə=il=sə=ʒε=tə=bʁys=kə=mɑ̃=syʁ=lə=me=də=sɛ̃=a=lje=nis=tə=puʁ=le=tʁɑ̃=ɡle=kə=sε=til=pa=se=y=nə=i=de=pa=ʁa=zi=tə=sε=tɛ̃=po=ze=a=sɔ̃=nεs=pʁit=i=de=da=vwaʁ=a=fε=ʁə=o=de=mɔ̃=paʁ=εɡ=zɑ̃=plə=e=sε=tə=ɛ̃=pyl=sjɔ̃=na=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁe=o=ky=nə=ʁe=zis=tɑ̃=sə=kɔ̃=sjɑ̃tə 208
ynə=ʁə=maʁ=kəɛ̃=te=ʁe=sɑ̃=tə=sεʁ=tɛ̃=ski=zɔ=fʁε=nə=zɔ̃=y=nə=ɡʁɑ̃=də=εɡ=zal=ta=sjɔ̃=ɛ̃=tεl=lεk=tɥεllə=lœʁ=ʁe=a=li=za=sjɔ̃=zaʁ=tis=tik=sɔ̃=paʁ=fwa=zεk=stʁa=ɔʁ=di=nε=ʁə=mε=lə=ka=ʁak=tε=ʁə=də=sε=zœ=vʁə=daʁ=ε=sɛ̃=bɔ=likə 60
dɑ̃=tεk=œ̃=nɛ̃=tεl=lεk=tɥεl=ɛ̃=kɔ=nydə=mwa=mε=mə=sɑ̃=du=tə=œ=vʁɑ̃=dɑ̃=la=pa=ʁa=psi=kɔ=lɔ=ʒjə=a=e=vɔ=ke=lə=kɔ̃=sεpt=də=ski=zɔ=fʁe=ni=ɔ=pe=ʁa=twa=ʁə=puʁ=paʁ=le=də=le=ta=ak=tɥεl=də=la=sɔ=sje=te=ɑ̃=ne=fε=dɑ̃=la=ski=zɔ=fʁe=ni=lə=ma=la=dəε=ku=pe=ɛ̃=te=ʁjə=ʁə=mɑ̃=dy=mɔ̃=də=εk=ste=ʁjœʁ=il=ε=te=tʁɑ̃=ʒe=a=la=ʁe=a=li=te=il=ε=mɔʁ=nə=i=nεʁ=tə=ɛ̃=di=fe=ʁɑ̃=mε=dɑ̃=lə=kɔ̃=tεk=stə=psi=ko=sɔ=sjal=u=nu=vi=vɔ̃=il=sɑ̃=blə=kə=la=sɔ=sje=te=ski=zɔ=fʁε=nə=nə=swa=pa=i=nεʁ=tə=e=ɛ̃=di=fe=ʁɑ̃=tə=la=pεʁ=sɔ=nə=ski=zɔ=fʁε=nə=ε=tɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=tə=də=sɔ̃=ne=ta=la=sɔ=sje=te=ski=zɔ=fʁε=nə=o=si=lə=ski=zɔ=fʁε=nə=vit=œ̃=ʁε=və=ɛ̃=te=ʁjəʁ=de=zɔ=sja=li=ze=e=sə=ma=ni=fεs=tə=paʁ=dε=zɛ̃=pyl=sjɔ̃=la=sɔ=sje=te=ski=zɔ=fʁε=nə=εst=bε=ɲe=də=myl=ti=plə=kɔ̃=sεpt=kɔ̃=kʁε=də=sa=nɔ̃=ve=ʁi=ta=blə=kɔ̃=sjɑ̃=sə=e=vit=o=si=œ̃=ʁε=və=de=zɔ=sja=li=ze=sɔ=sje=te=ki=sɑ̃=sε=tə=sɔʁ=tə=dɔ=ni=ʁis=mə=e=da=bɑ̃=dɔ̃=o=tis=ti=kə=sə=ʁε=mə=na=se=də=ʃa=o=tɔ=tal=fi=na=lə=mεnt=e=də=tɑ̃=zɑ̃=tɑ̃=ʁe=ɡy=ljε=ʁə=mɑ̃=dε=zɛ̃=pyl=sjɔ̃=zab=syʁ=də=ʁə=mɔ̃=te=a=la=syʁ=fa=sə=ɛ̃=pyl=sjɔ̃=pɔ=li=tik=ku=me=dja=tik=ʁe=vɔl=tə=ze=ʁe=bεl=ljɔ̃=vε=nə=ze=pa=sa=ʒε=ʁə=ɛ̃=te=ʁε=su=dɛ̃=ze=fe=nɔ=mε=nə=də=mɔ=də=εt=sε=paʁ=sə=kə=sε=tə=sɔ=sje=te=sə=kɔ̃=kʁe=ti=zə=nɔ̃=kɔ̃=sja=mεnt=mε=ve=ʁi=ta=blə=mɑ̃=e=ʒə=di=ʁε=mε=mə=pʁεs=kə=ve=ʁi=di=kə=mɑ̃=puʁ=sεʁ=tɛ̃=kə=lɔ̃=pø=paʁ=le=dy=kɔ̃=sεpt=də=ski=zɔ=fʁe=ni=ɔ=pe=ʁa=twa=ʁə=də=dɑ̃=tεk=la=ski=zɔ=fʁe=ni=ɔ=pe=ʁa=twa=ʁə=u=kɔ=mɑ̃=ε=tʁə=ku=pe=εk=ste=ʁjə=ʁə=mεnt=də=la=ʁe=a=li=te=ɛ̃=te=ʁjə=ʁə 430

a=dɔ=le=sɑ̃=sə=e=ski=zɔ=fʁe=ni 10

dɑ̃=la=ma=ʒɔ=ʁi=te=dε=ka=la=ski=zɔ=fʁe=ni=ε=tynə=ma=la=di=de=by=tɑ̃=dɑ̃=la=dɔ=le=sɑ̃=sə=εl=ləa=pa=ʁε=a=pʁε=la=py=bεʁ=te=puʁ=sə=de=və=lɔ=pe=ʒys=ka=la=ʒə=myʁ=sə=si=nε=pa=ʒe=ne=ʁal=la=ski=zɔ=fʁe=ni=pø=sə=de=klɑ̃=ʃe=plys=taʁ=di=və=mεnt 70
il=ε=di=fi=silə=də=de=pis=te=lə=de=by=də=sε=tə=ma=la=di=vwa=si=œ̃=nɑ̃=fɑ̃=tʁε=du=e=tʁa=va=jœʁ=ki=su=dɛ̃=ma=ni=fεs=təœ̃=ʃɑ̃=ʒə=mɑ̃=də=tənɥ=il=ɑ̃=tʁə=dɑ̃=dε=ze=ta=də=ʁε=və=ʁi=pʁɔ=lɔ̃=ʒe=il=mɔ̃=tʁə=dε=za=ti=ty=də=bi=za=ʁə=il=sɑ̃=blə=ε=tʁə=ab=sɑ̃t=il=ʁit=dy=nə=fa=sɔ̃=dis=kɔʁ=dɑ̃=tə=e=e=tʁɑ̃=ʒə=e=ma=ni=fεs=tə=də=fɔʁ=tə=tɑ̃=dɑ̃=sə=za=li=zɔ=lə=mɑ̃=tɔ=tal=ɔ̃=ʁis=kə=də=la=ky=ze=də=pa=ʁε=sə=də=mo=vε=zə=vɔ=lɔ̃=te=u=də=si=my=la=sjɔ̃=sε=ʒə=nə=ʒɑ̃=də=vjε=ne=a=pa=tik=sə=de=zɛ̃=te=ʁə=se=də=tu=il=ne=pʁu=ve=plys=zo=kœ̃=a=ta=ʃə=mɑ̃=ni=ɛ̃=te=ʁε=ɑ̃=vεʁ=ki=ni=kwa=kə=sə=swa=ni=e=lɑ̃=ni=ky=ʁjo=zi=te=ni=a=fεk=sjɔ̃=ni=ʁe=pyl=sjɔ̃=ni=a=muʁ=ni-ε=nə=ʁjɛ̃=kə=lə=vi=də=e=la=fʁwa=dœʁ=ɑ̃=pε=ʃɑ̃=tu=kɔ̃=takt=kɔ=mə=si=lœʁ=suʁ=sə=pʁɔ=fɔ̃=də=sə=fi=ʒε=dɑ̃=zy=nə=ɡla=sə=e=pε=sə=səs=sɛ̃p=to=mə=mɔ̃=tʁe=yn=tɑ̃=pe=ʁa=mεnt=spe=sjal=a=pə=le=ski=zɔ=i=di=la=ski=zɔ=i=di=ε=dɔ̃k=y=nə=ne=vʁo=zə=pʁe=dis=po=zɑ̃=lə=sy=ʒε=a=la=ski=zɔ=fʁe=ni 272
sə=nε=ko=kuʁdə=le=vɔ=ly=sjɔ̃=kə=sə=mɔ̃=tʁe=a=lɔʁ=lε=sɛ̃p=to=mə=nε=tə=mɑ̃=de=kla=ʁe=tεl=kə=sty=pœʁ=a=ʒi=ta=sjɔ̃=ɛ̃=di=fe=ʁɑ̃=səab=sɔlɥ=o=ze=vε=nə=mɑ̃=ze=a=lɑ̃=tu=ʁa=ʒə=i=nεʁ=si=mɑ̃=kə=tɔ=tal=də=ʁe=ak=sjɔ̃=ab=sɑ̃=sə=də=ky=ʁjo=zi=te=ak=tə=zo=tɔ=ma=tik=kʁi=a=ly=si=na=sjɔ̃=ɛ̃=di=fe=ʁɑ̃=sə=a=la=pʁɔ=pʁə=te=la=plys=ze=le=mɑ̃=tεʁə 96

o=pwɛ̃=də=vɥ=sɔ=sjal 6

la=ski=zɔ=fʁe=ni=a=sε=de=by=a=mεnə=dε=za=ʒi=ta=sjɔ̃=ze=dε=zak=sε=də=fy=ʁœʁ=ɛ̃=pyl=si=vəe=sɑ̃=mɔ=tif=sεʁ=tɛ̃=si=ɲə=maʁ=ke=lə=de=by=də=sε=tə=ma=la=di=vjɔl=fyɡ=ʁyp=ty=ʁə=su=dε=nə=da=mi=tje=εɡ=zal=ta=sjɔ̃=zɛ̃=tεl=lεk=tɥεllə=de=mə=zy=ʁe=εt=se=te=ʁa=lə=kɔ̃=pɔʁ=tə=mɑ̃=də=vjɛ̃=ɛ̃=kɔ=e=ʁɑ̃=e=ɛ̃=pe=ne=tʁa=blə=sε=da=jœʁ=sə=kɔ̃=pɔʁ=tə=mɑ̃=ki=a=lεʁ=tə=lɑ̃=tu=ʁaʒə 104

lə=tʁε=tə=mɑ̃=də=la=ski=zɔ=fʁe=ni 10

dɑ̃=la=ma=ʒɔ=ʁi=te=dε=ka=lɔs=pi=ta=li=za=sjɔ̃=ε=tɛ̃=dis=pɑ̃=sablə=la=psi=kɔ=te=ʁa=pi=ʁεs=tə=su=vɑ̃=sɑ̃=ze=fε=e=sε=lɔ=ʒi=kə=pɥis=kə=la=na=ty=ʁə=mε=mə=də=la=ski=zɔ=fʁe=ni=ε=dε=tʁəɛ̃=pεʁ=me=a=blə=a=tu=kɔ̃=takt=εk=ste=ʁjœʁ=mε=le=lεk=tʁo=ʃɔk=e=lə=ʃɔk=ɛ̃=sy=li=ni=kə=a=mε=ne=dε=mɔ=di=fi=ka=sjɔ̃s=nus=ve=ʁɔ̃=sə=la=ɑ̃=me=də=si=nə=psi=ko=zɔ=ma=ti=kə 103
nuvə=nɔ̃=də=vwaʁ=kə=sεʁ=tε=nə=zœ=vʁə=də=ski=zɔ=fʁε=nə=pʁe=zɑ̃=te=œ̃=ka=ʁak=tε=ʁə=sɛ̃=bɔ=li=kə=nə=sə=ʁε=til=pa=pɔ=si=blə=dɑ̃=tʁe=ɑ̃=kɔ=my=ni=ka=sjɔ̃=a=vεk=lə=ma=la=də=o=mwa=jɛ̃=dε=sɛ̃=bɔ=lə=sε=ta=di=ʁəɑ̃=ne=sε=jɑ̃=də=paʁ=le=sɔ̃=lɑ̃=ɡa=ʒə=dε=ka=fy=ʁe=si=te=dɑ̃=le=kεllə=tʁε=tə=mɑ̃=sɛ̃=bɔ=li=kə=y=dœ=ʁø=ze=fε 91
lə=tʁεtə=mɑ̃=paʁ=lə=tʁa=vaj=ε=te=fi=ka=sə=ɛ̃=si=kə=la=psi=kɔ=te=ʁa=pi=də=ɡʁu=pə=ɔ̃=ly=təɛ̃=si=kɔ̃=tʁə=li=nεʁ=si=e=lə=ʁə=pli=syʁ=swa=dɑ̃=lε=ka=tʁε=ɡʁa=və=la=ʃi=ʁyʁ=ʒi=dy=sεʁ=vo=ε=tɑ̃=vi=za=ʒe=e=dɔ=nə=dε=ʁe=zyl=ta=dɑ̃=sεʁ=tε=nə=za=ʒi=ta=sjɔ̃=sə=la=nə=si=ɲi=fi=nyl=mɑ̃=kə=la=ski=zɔ=fʁe=ni=swa=ɛ̃=ky=ʁa=blə=dε=psi=ʃja=tʁə=zɔ̃=vy=dε=ɡe=ʁi=zɔ̃=sɥi=vi=dy=nə=vi=sɔ=sja=lə=nɔʁ=malə 111

la=ma=ni=de=pʁe=si=və 7

nu=za=vɔ̃=vylə=tɑ̃=pe=ʁa=me=si=klɔ=ti=mi=kə=sə=ka=ʁak=te=ʁi=zɑ̃=paʁ 20
a=dəs=pe=ʁjɔdə=dεk=si=ta=sjɔ̃=bʁi=jɑ̃=tə=də=fɔ=ʁi=dɑ̃=tu=zjas=mə=dεɡ=zal=ta=sjɔ̃=də=ʁa=pi=di=te=dεs=pʁi 29
sɥi=vi=də 3
b=pe=ʁjɔdə=də=de=pʁe=sjɔ̃=də=tʁis=tε=sə=dak=ti=vi=te=ny=lə=də=de=ku=ʁa=ʒə=mɑ̃=e=də=de=ɡu 27
si=sε=va=ʁja=sjɔ̃də=ly=mœʁ=sɔ̃=de=ky=ple=a=la=sɥi=tə=də=sεʁ=tε=nə=siʁ=kɔ̃s=tɑ̃=sə=lə=ma=la=də=sɔ̃=bʁə=dɑ̃=la=psi=ko=zə=ma=nja=kə=de=pʁe=si=və=dɔ̃k=a=vεk=pe=ʁjɔ=də=də=ma=ni=e=pe=ʁjɔ=də=də=de=pʁe=sjɔ̃=a=vɑ̃=tu=il=fo=si=ɲa=le=sə=si=ɑ̃=psi=kɔ=lɔ=ʒi=lə=tεʁ=mə=ma=njə=na=pa=lə=mε=mə=sɑ̃s=kə=dɑ̃=la=vi=ku=ʁɑ̃=tə=la=ma=ni=nε=pa=i=si=œ̃=tik=u=y=nə-a=bi=ty=də=ti=ʁa=ni=kə=mε=zœ̃=ne=ta=də=fɔ=ləεk=si=ta=sjɔ=nə=psi=ʃi=kə=u=mɔ=tʁi=sə 129

i=pe=ʁj=ɔ=də=də=ma=ni 8

lə=ma=njakə=sɑ̃=blə=pεʁ=sɔ=ni=fje=la=ʒwa=εɡ=zal=te=ɛ̃s=tɛ̃k=ti=vəe=fʁe=ne=ti=kə=sɑ̃=zo=kœ̃=fʁɛ̃=mɔ=ʁal=il=sə=tʁu=və=dɑ̃=zœ̃=ne=ta=i=ni=ma=ʒi=na=blə=dεk=si=ta=sjɔ̃=e=də=fɔ=ʁi=sεt=e=ta=sə=tʁad=ɥi=paʁ=dε=ʁi=ʁə=dε=ʃɑ̃=dε=dɑ̃=sə=il=ʁi=ɡɔ=lə=il=kʁε=və=də=ʒwa=ə=il=a=mal=a=fɔʁ=sə=də=ʁi=ɡɔ=ləʁ=sə=sɔ̃=sε=pʁɔ=pʁə=pa=ʁɔ=ləs 93
lε=plε=zɑ̃tə=ʁi=de=bʁa=je=sɔʁ=te=a=ʒεt=kɔ̃=ti=ny=kɔ=məœ̃=fø=daʁ=ti=fi=sə=a=vεk=y=nə=ʁa=pi=di=te-a=ly=si=nɑ̃=tə=il=i=a=sy=ʁa=bɔ̃=dɑ̃=sə=dε=zi=de=lə=ma=la=də=sɑ̃=blə=syʁ=vɔl=te=la=tənɥ=ε=su=vɑ̃=εk=sɑ̃=tʁi=kə=il=sə=vεt=dɔ=ʁi=po=myl=ti=kɔ=lɔ=ʁə=a=ɡʁe=mɑ̃=te=dɔʁ=nə=mɑ̃=lə=vi=za=ʒə=ε=i=pe=ʒɔ=vjal=lə=ʁə=ɡaʁ=bʁi=jɑ̃=la=ti=ty=də=ε=ta=nɔʁ=ma=lə=mɑ̃=fa=mi=ljε=ʁə=lε=ze=kla=də=vwa=sə=syk=sε=de=ɛ̃=si=kə=lε=ʃɑ̃=lε=kʁi=lε=mi=mik=lə=ma=la=də=nə=tjɛ̃=pa=ɑ̃=pla=sə=tuʁ=nə=ɑ̃=ʁɔ̃=tu=lə=kɔ̃=pɔʁ=tə=mɑ̃=ma=nja=kə=sɑ̃=blə=ε=tʁə=səl=ɥi=də=lεk=si=ta=sjɔ̃=la=plys=de=bʁi=de=lε=kɔ̃=vɑ̃=sjɔ̃=mɔ=ʁa=lə=sɔ=sja=lə=e=tik=sɔ̃=ba=lε=je=kɔ=mə=dε=fe=tys=də=pajə=sε=la=li=be=ʁa=sjɔ̃=ɑ̃=ma=sə=dε=zɛ̃s=tɛ̃=su=fɔʁ=mə=dεɡ=zal=ta=sjɔ̃=e=də=fʁe=ne=zi=lə=ma=nja=kə=sε=zi=i=me=dja=tə=mɑ̃=lε=de=fo=də=sɔ̃=nɑ̃=tu=ʁa=ʒə=il=fε=dε=ʒø=də=mo=dε=ka=lɑ̃=buʁ=il=sə=mɔ=kə=də=tu=te=də=tus=il=sɛ̃=ɡlə=ka=lɔm=ni=a=vεk=ɛ̃=py=dɑ̃=sə=e=vεʁ=və=mɑ̃=a=vεk=sεʁ=ti=ty=də=ʁe=kʁi=mi=nə=a=ky=zə=lɑ̃=sə=ʒɔ=vja=lə=mɑ̃=lε=plε=zɑ̃=tə=ʁi=lε=plys=zɔp=sε=nə=la=mwɛ̃=dʁə=ʁe=zis=tɑ̃=sə=a=sε=fɑ̃=tε=zi=pø=fε=ʁə=a=pa=ʁε=tʁə=li=ʁi=ta=sjɔ̃=u=la=kɔ=lε=ʁə=paʁ=fwa=la=fy=ʁœʁ=lak=ɥi=te=dε=sɑ̃s=sɑ̃=blə=bo=ku=plys=vi=və=ka=le=ta=nɔʁ=mal=mε=sɔ̃=na=tɑ̃=sjɔ̃=nə=sə=fik=sə=syʁ=ʁjɛ̃=paʁ=fwa=zil=de=pa=sə=la=ma=ni=pʁɔ=pʁə=mɑ̃=di=tə=la=ʒi=ta=sjɔ̃=də=vjɛ̃=i=nui=lə=ma=la=də=yʁ=lə=sɑ̃=za=ʁε=sə=de=vε=baʁ=bu=jə=lε=myʁ=də=sε=zεk=skʁe=mɑ̃=lε=mɑ̃ʒə 405
dø=zεɡ=zɑ̃=plə 4
vwa=si=dø=tεk=stə=də=ma=njak=de=pʁe=sif=dɑ̃=lœʁ=pe=ʁjɔdə=də=ma=ni 18
tεk=stə=i=ʁa=pɔʁ=te=paʁ=ʒi=də=lεj=su=li=ɲe=ʁə=maʁ=kɔ̃kə=lə=ma=la=dəa=paʁ=le=sə=tεk=stə=a=vεk=y=nə=εk=stʁε=mə=ʁa=pi=di=te=də=de=bi 39
djø=pa=tʁi=ɔ=nœʁ=a=pʁε=vivə=la=fʁɑ̃=səe=la=vi=e=tεʁ=nεllə=ʒε=mə=mɔ̃=vi=la=ʒə=mɔ̃=vi=la=ʒə=sε=pa=ʁi=ʒε=dø=za=muʁ=ʒε=sɛ̃=sε=ʁə=mɑ̃=sεʁ=vi=nɔ̃=sə=lə=mɑ̃=ɑ̃=pa=ʁɔ=lə=mε=zɑ̃=kœʁ=ko=zə=tu=ʒuʁ=e=a=vεk=mɔ̃=ʃεʁ=fis=da=vid=ʒə=su=ε=tə=a=tu=lə=mɔ̃=də=bɔ=nə=sɑ̃=te=e=bɔ̃=swaʁ=bɔ̃=swaʁ=me=da=mə=bɔ̃=swaʁ=me=sjœʁ=bjɛ̃=lə=bɔ=nœʁ=œ̃=nɔ=mə=sɑ̃=zɔ=nœʁ=ε=tœ̃=nɔ=mə=pεʁ=dy=ɔ̃=dy=lə=yʁ=sy=lə=ty=bʁy=lə=ma=kʁwa=sε=ma=ʒwa=al=lɥja=ʒε=mə=lε=ʁo=zə=la=kʁwa=e=lε=ʁo=zə=ma=ʁi=ʒe=zys=ma=ʁi=ʃe=ʁi=ʁi=ʁi=ɡʁi=ɡʁi=ə=li=za=bεt=də=ɔ̃=ɡʁi=ʁi=kε=a=la=u=pə=u=pε=tə=ta=pε=tə=a=və=ma=ʁja=a=və=ma=ʁja=o=pje=də=ma=ʁi=ʒε=pʁje=puʁ=vu=ʁo=zə=ma=ʁi=vi=ve=lε=ʁo=zə=la=plɥi=dε=ʁo=zə=zε=tɔ̃=be=sε=tə=nɥi=il=ʁεs=tε=kεl=kze=pi=nə=e=no=di=mi=ji=mys=o=vu=ki=a=ve=zœ̃=ɡʁɑ̃=kœʁ=e=ta=sœʁ=la=ɡʁɔ=tə=ʒə=ʁɔ=tə=ʁɔ=tɛ̃=kʁɔ=tɛ̃=tɛ̃=tɛ̃=sε=ne=nε=tə=e=vlɑ̃=pa=se=la=mɔ=nε=sε=me=sjœʁ=sε=dε=dɔk=tɔ=ʁe=sə=ɔ=mə=sjø=la=be=kə=ʒə=sɥi=zœ=ʁø=zə=vi=və=mɔ̃=ʃa=pə=lε=vɔ=tʁə=be=ne=dik=sjɔ̃=sɛ̃=tə=te=ʁε=zə=də=lɑ̃=fɑ̃=ʒe=zys=ʒε=ɛ̃s=pi=ʁe=sa=bɔ̃=te=il=i=a=i=si=də=tus=lε=pε=i=dy=vεʁ=e=dy=ʁo=zə=œ̃=ʁε=də=sɔ=lε=il=ɔ=də=lɔʁ=tʁa=la=la=la=tʁa=la=la=sε=lɔʁ=dy=ʁɛ̃=lɔʁ=dε=ʁɛ̃=lɔʁ=də=ne=nε=tə=e=ʁɛ̃=tɛ̃=tɛ̃=tɛ̃=tɛ̃=sε=ti=ti=nə=e=va=dɔ̃k=pe=εl=lə=ʁə=ɡaʁ=də=la=pɑ̃=dy=lə=il=ε=di=zaʃ=diks=εk=sakt=ʒə=vu=də=mɑ̃=də=paʁ=dɔ̃=lə=mu=ʃwaʁ=nə=ma=paʁ=tjɛ̃=pa=tʁa=la=la=la=me=sjœʁ=me=da=mə=tjɛ̃=mam=zεl=lə=a=kɔʁ=ba=sɔ̃ 402
kə=ʁə=maʁ=kɔ̃=nu=la=pɑ̃se=so=tə=lε=zɔp=sta=klə=tu=kɔ=məœ̃=ʃə=val=də=kuʁ=sə=e=lε=zi=de=sə=syk=sε=de=a=œ̃=ʁit=mə=ve=ʁi=ta=blə=mɑ̃=sy=ʁe=a=lis=tə=dɔ̃=nu=ve=ʁɔ̃=zɑ̃=kɔ=ʁə=lə=me=ka=nis=mə=dɑ̃=lə=tεk=stə=sɥi=vɑ̃ 61
tεk=stə=ji=il=sa=ʒi=dy=nə=lε=tʁə=ʁəsɥ=paʁ=lo=təʁ 14
mə=sjø=ʒə=vu=zεmə=vu=nε=tə=pa=œ̃=taʁ=di=ɡʁa=də=ɡʁa=da=sjɔ̃=ɡʁa=de=bɔ̃=ʒuʁ=mɔ̃=kɔ=lɔ=nεl=va=tə=fε=ʁə=fu=a=vεk=tɔ̃=sa=bʁə=paʁ=dɔ̃=laʁ=me=paʁ=dɔ̃=sε=ɲœʁ=puʁ=ɑ̃=ʁə=və=niʁ=a=vɔ=tʁə=kɔ̃=fe=ʁɑ̃=sə=ʒə=də=mɑ̃=də=ʁε=za=djø=tu=tə=sε=flœʁ=də=mε=e=sε=zo=be=pi=nə=tʁe=sa=jɑ̃=tə=vu=zε=tə=zɔp=ti=mis=tə=kɔ=mə=mwa=mwa=ʒə=kʁε=və=də=ʒwa=ta=ʁa=ta=ta=vɔ=tʁə=vwa=sε=də=laʁ=ʒe=ʒɑ̃=dy=nɔʁ=ʒɑ̃=dy=mi=di=də=la=ly=mjε=ʁəɑ̃=plɛ̃=ʒɥjε=ʒə=vu=zε=mə=bjɛ̃=mɔ̃=na=mi=mi=mi=pi=pi=pi=pi=o=li=mɑ̃=kə=pεʁ=sɔ=nə=a=la=pεl=mɔ̃=nad=ʒy=dɑ̃=fε=tə=də=bo=ʁε=və=ze=kə=ly=ma=ni=te=vu=ɡaʁ=də=al=lɥja 165
vwa=si=dɔ̃k=ɑ̃=kɔʁəy=nə=sɔʁ=tə=də=sy=ʁe=a=lis=mə=a=le=ta=pyʁ=ʒə=kʁwa=kə=bo=ku=de=kʁi=vɛ̃s=mɔ=dεʁ=nəs=nə=de=za=pʁu=və=ʁε=nyl=mɑ̃=sə=tεk=stə=u=sə=tʁu=və=y=nə=bo=te=ab=syʁ=də=e=y=nə=ɡʁɑ̃=də=pɔ=e=zi=ʒə=də=mɑ̃=də=ʁε=za=djø=tu=tə=sε=flœʁ=də=mε=e=sε=zo=be=pi=nə=tʁe=sa=jɑ̃=tə 82
mε=zil=ε=tɛ̃=te=ʁe=sɑ̃də=ʁə=maʁ=ke=la=fa=sɔ̃=dɔ̃=sə=syk=sε=de=lε=zi=de 21
paʁ=εɡ=zɑ̃=plə 4
yn=a=taʁ=di=ɡʁadə=lə=ma=la=dəa=sɔ=si=la=dεʁ=njε=ʁə=si=la=bə=dy=mo=ɡʁa=də=a=vεk=ɡʁa=da=sjɔ̃=e=ɡʁa=de 30
døks=il=a=sɔ=si=i=me=djatə=mεnt=ɡʁa=de=a=bɔ̃=ʒuʁ=mɔ̃=kɔ=lɔ=nəl 18
tʁwas=aʁə=maʁ=ke=mwa=ʒə=kʁε=və=də=ʒwa=ə=sɥi=vi=də=ta=ʁa=ta=ta=a=sɔ=sja=sjɔ̃=py=ʁə=mɑ̃=ə=fɔ=ʁi=kə 29
katʁə=mε=mə=ʒɑ̃=ʁə=da=sɔ=sja=sjɔ̃=vɔ=tʁə=vwa=sε=də=laʁ=ʒεnt=la=dεʁ=njε=ʁə=si=la=bə=ʒεnt=lɥi=syɡ=ʒε=ʁə=lε=mo=sɥi=vɑ̃=ʒɑ̃=dy=nɔʁ=ʒɑ̃=dy=mi=di 39
sɛ̃k=ʒə=vu=zεmə=bjɛ̃=mɔ̃=na=mi=il=pʁɑ̃=la=dεʁ=njε=ʁə=si=la=bə=mi=ki=lɥi=dɔ=nə=lε=mo=sɥi=vɑ̃=mi=mi=pi=pi=pi=pi=o=li=nu=vεlləa=sɔ=sja=sjɔ̃=a=vεk=laʁ=me=mɑ̃=kə=pεʁ=sɔ=nə=a=la=pεl=mɔ̃=nad=ʒy=dɑ̃t 55
siks=al=lɥja=ki=maʁ=kə=ɑ̃=kɔ=ʁə=bjɛ̃=lə=fɔ=ʁi=ma=nja=kə 16
lə=de=by=dε=zak=sε=ma=njak=pø=e=vi=da=mɑ̃=ɑ̃=tʁε=ne=dε=zεk=sɑ̃=tʁi=si=te=ze=də=ɡʁɑ̃=ze=kaʁdə=kɔ̃d=ɥi=tə=nu=bljɔ̃=pa=kə=lə=fʁɛ̃=mɔ=ʁal=di=minɥ=ʒys=ka=sɔ̃=na=bɔ=li=sjɔ̃=kɔ̃=plε=tə=sə=sɔ̃=ta=lɔʁ=dε=za=tɑ̃=ta=za=la=py=dœʁ=də=ɡʁɑ̃=za=by=də=kɔ̃=fjɑ̃=sə=dε=ʁe=ak=sjɔ̃=vjɔ=lɑ̃=tə=ze=kɔ=le=ʁøzə 81
lə=de=bydə=la=ma=ni=pø=dɔ̃k=kɔ̃d=ɥi=ʁəa=dε=kɔ̃=se=kɑ̃=sə=sɔ=sja=lə=dɔ̃=lə=ma=la=də=nε=te=vi=da=mɑ̃=pa=ʁεs=pɔ̃=sa=blə=lɔs=pi=ta=li=za=sjɔ̃=sɛ̃=po=zə=a=lɔʁ=də=plys=lɛ̃=tεʁ=nə=mɑ̃=ɑ̃=pε=ʃə=lə=ma=nja=kə=dε=tʁə=su=mi=zo=myl=ti=plə=zεk=si=ta=sjɔ̃=də=lεk=ste=ʁjœʁ=ki=nə=fə=ʁε=kə=ʁɑ̃=fɔʁ=se=sɔ̃=na=ʒi=ta=sjɔ̃ 87

ji=pe=ʁj=ɔ=də=də=de=pʁe=sj=ɔ̃ 10

a=pʁε=lε=de=bɔʁdə=mɑ̃=ʒwa=jø=də=la=ma=ni=a=pa=ʁε=la=pe=ʁjɔ=də=də=de=pʁe=sjɔ̃=lə=ma=la=də=tɔ̃=bə=dɑ̃=zœ̃=nak=sε=də=me=lɑ̃=kɔ=li=la=fε=sə=mɑ̃=ε=tɔ=tal=il=ε=plɛ̃=di=de=də=kyl=pa=bi=li=te=e=dɛ̃=di=ɲi=te=il=pʁɔ=fε=ʁə=dε=plɛ̃=tə=dε=ʒe=mi=sə=mɑ̃=il=sə=kʁwa=vɔ=lœʁ=a=sa=sɛ̃=ɛ̃=di=ɲə=də=tu=il=kʁwa=kə=sε=zɛ̃=tεs=tɛ̃=sɔ̃=tɔp=stʁy=e=kə=sɔ̃=sɑ̃=sə=kɔ=a=ɡy=lə=kil=na=plys=dεs=tɔ=mak=plys=də=kœʁ=plys=də=sεʁ=vo=i=de=də=ne=ɡa=sjɔ=nə=il=ʁə=fy=zə=də=sa=li=mɑ̃=te=e=ɔ̃=sə=vwa=su=vɑ̃=ɔ=bli=ʒe=də=lə=nuʁ=ʁiʁ=o=mwa=jɛ̃=dy=nə=sɔ̃=də=dε=zi=de=də=pεʁ=se=ky=sjɔ=nə=a=pa=ʁε=se=il=ε=sεʁ=tɛ̃=kɔ̃=va=lə=fε=ʁə=mu=ʁiʁ=lə=tɔʁ=ty=ʁe=e=tɥe=tus=lε=sjɛ̃=paʁ=fwa=lɑ̃k=sje=te=mɔ̃=təa=sɔ̃=mak=si=mɔm=sε=lə=ʁap=tys=zɑ̃k=sjøks=lə=ʁap=tys=εst=œ̃=pa=ʁɔk=sis=mə=εk=splo=zif=pu=vɑ̃=kɔ̃d=ɥi=ʁə=lə=ma=la=də=vεʁ=dε=kɔ̃=se=kɑ̃=sə=tʁa=ʒi=kəs=kʁi=mə=sɥi=si=də=fyɡ=εt=se=te=ʁa=il=sə=dʁε=sə=a=ɡaʁ=plɛ̃=də=sɥœʁ=sε=mɛ̃=fʁe=mi=se=il=sa=ʒə=nu=jə=sɑ̃=ɡlɔ=tə=e=sy=pli=kɔ̃=mε=tə=fɛ̃=a=sa=du=lœʁ=il=fo=ʁə=du=ble=də=syʁ=vε=jɑ̃=sə=puʁ=ɑ̃=pε=ʃe=œ̃=sɥi=si=də=ɛ̃=pyl=sif=lε=zɔb=ʒε=lε=plys=be=nɛ̃=pə=ve=də=və=niʁ=puʁ=lɥi=dε=zɔb=ʒε=də=dεs=tʁyk=sjɔ̃=il=pø=e=ɡa=lə=mɑ̃=pʁe=pa=ʁe=sɔ̃=sɥi=si=də=a=vεk=y=nə=pa=sjɑ̃=sə=e=y=nə=ʁy=zə=ɛ̃=kʁwa=jablə 347
sə=de=liʁə=me=lɑ̃=kɔ=li=kə=ki=ε=dɔ̃k=y=nə=mɔ̃s=tʁy=ø=zəεɡ=za=ʒe=ʁa=sjɔ̃=dy=pe=si=mis=mə=dy=me=lɑ̃=kɔ=li=kə=ne=vʁo=ze=pʁe=zɑ̃=tə=su=vɑ̃=dε=za=ly=si=na=sjɔ̃=lə=ma=la=də=ɑ̃=tɑ̃=paʁ=le=də=lɥi=il=ɑ̃=tɑ̃=di=ʁə=kil=va=mu=ʁiʁ=kil=va=ε=tʁə=εɡ=ze=ky=te=il=vwat=le=ʃa=fo=ki=sə=dʁε=sə=il=a=pεʁ=swa=lə=fɑ̃=to=mə=dœ̃=nε=tʁə=ε=me=lɥi=ʁə=pʁo=ʃe=sɔ=nə=ɛ̃=fa=mə=kɔ̃d=ɥitə 106
sə=ʁɑ̃=tɔ̃=kɔ̃tə=də=le=fʁε=jɑ̃=sy=pli=sə=kε=paʁ=fwa=la=me=lɑ̃=kɔ=li=dy=ma=ladə 22

lə=tʁε=tə=mɑ̃=də=la=ma=ni=de=pʁe=si=və 12

sεtə=psi=ko=zəε=ʒe=ne=ʁa=lə=mɑ̃=kɔ̃=si=de=ʁe=kɔ=mə=kɔ̃s=ti=ty=sjɔ=nεllə=e=su=vɑ̃=e=ʁe=di=tε=ʁə=lə=tɑ̃=pe=ʁa=me=si=klɔ=ti=mi=kə=ɑ̃=nε=la=ba=zə=dɑ̃=bjɛ̃=dε=ka=sə=pɑ̃=dɑ̃=sεʁ=tɛ̃=ma=la=də=tɔ̃=be=dɑ̃=sε=tə=psi=ko=zə=sɑ̃=za=vwaʁ=o=pa=ʁa=vɑ̃=mɔ̃=tʁe=də=ɡʁɑ̃=də=zal=tεʁ=nɑ̃=sə=də=ly=mœʁ=sεʁ=tɛ̃=psi=ʃja=tʁə=zɛ̃s=kʁi=ve=sε=tə=psi=ko=zə=dɑ̃=zœ̃=de=ʁε=ɡlə=mεnt=ɔʁ=ɡa=ni=kə=u=fɔ̃k=sjɔ=nəl=də=la=ba=zə=dy=sεʁ=vo=ʁe=ʒjɔ̃=də=li=pɔ=ta=la=mys=dɔ̃=ʒə=paʁ=lə=ʁε=ɑ̃=psi=ko=zɔ=ma=ti=kə 136
dε=zak=sε=ma=njak=zɔ̃=da=jœʁ=ze=te=de=klɑ̃=ʃe=zo=kuʁ=dɔ=pe=ʁa=sjɔ̃=dy=sεʁ=vo=dɑ̃=sεtə=fa=mø=zə=ʁe=ʒjɔ̃=i=pɔ=ta=la=mi=kə=o=mɔ=mɑ̃=u=lə=dɔk=tœʁ=fo=εʁ=ste=ɔ=pe=ʁε=y=nə=pεʁ=sɔ=nə=dɑ̃=sε=tə=ʁe=ʒjɔ̃=dy=sεʁ=vo=lə=ma=la=də=pʁe=zɑ̃=ta=œ̃=nak=sε=də=ma=ni=a=vεk=flyks=də=pa=ʁɔ=lə=ʁa=pi=də=a=sɔ=sja=sjɔ̃=ʁa=pi=də=də=mo=ka=lɑ̃=buʁ=εt=se=te=ʁa 100
utʁə=sə=la=sεʁ=tɛ̃=fak=tœʁ=zak=si=dɑ̃=tεl=pə=ve=a=ʒiʁ=ɡlɑ̃=də=zɑ̃=dɔ=kʁi=nə=ʃɔk=ze=mɔ=tif=tʁo=ma=tis=mə=kʁa=njɛ̃=sεʁ=tε=nə=ma=la=di=zɛ̃=fεk=tjø=zə=dɑ̃=do=tʁə=ka=lε=ʁε=ɡlə=la=py=bεʁ=te=la=ɡʁɔ=sε=sə=la=ku=ʃə=mɑ̃=la=me=nɔ=po=zə=la=vɔʁ=tə=mɑ̃=dε=fe=nɔ=mε=nə=kɔ=mə=la=ku=ʃə=mɑ̃=u=la=vɔʁ=tə=mɑ̃=pʁɔ=vɔ=ke=œ̃=bu=lə=vεʁ=sə=mɑ̃=ɑ̃=dɔ=kʁi=njɛ̃=lɛ̃=fεk=sjɔ̃=pø=a=vwaʁ=dε=ʁe=pεʁ=ky=sjɔ̃=syʁ=lε=ʁe=ʒjɔ̃=də=li=pɔ=ta=la=mys=sε=tə=zo=nə=də=vjɛ̃=dʁεt=a=lεʁ=ʒi=kə=e=vyl=ne=ʁa=bləa=do=tʁə=ko=zə=pu=vɑ̃=sə=pʁe=zɑ̃=te=yl=te=ʁjə=ʁə=mɑ̃ 150

la=dy=ʁe=də=la=ma=la=di 8

lɛ̃=tɑ̃=si=te=la=dyʁe=e=lal=tεʁ=nɑ̃sə=dε=ze=ta=də=ma=ni=e=də=de=pʁe=sjɔ̃=sɔ̃=tʁε=va=ʁja=blə=sεʁ=tɛ̃=ma=la=də=nɔ̃=kœ̃=nu=dø=zak=sε=dɑ̃=lœʁ=vi=do=tʁə=zɑ̃=nɔ̃=tus=lε=zɑ̃=sεʁ=tɛ̃=no=ʁɔ̃=kə=dε=zak=sε=də=ma=ni=do=tʁə=zy=ni=kə=mɑ̃=dε=zak=sε=də=me=lɑ̃=kɔ=li=ɑ̃=tʁə=lε=kʁi=zə=pø=sə=tʁu=ve=yn=ɛ̃=tεʁ=va=lə=də=ly=si=di=te=ki=sə=pʁɔ=lɔ̃=ʒə=paʁ=fwa=tʁε=lɔ̃=tɑ̃=lə=sy=ʒε=ʁə=tʁu=vəa=lɔʁ=sɔ̃=nak=ti=vi=te=ʁε=zɔ=na=blə=e=nɔʁ=ma=lə=ɛ̃=si=kə=sε=fa=kyl=te=mɑ̃=talə 130
la=ma=ni=de=pʁe=sivə=sɑ̃=bləε=tʁə=lə=tʁjɔ̃=fə=dəs=ʃɔks=ɛ̃=si=paʁ=fwa=le=lεk=tʁo=ʃɔk=ε=te=fi=ka=sə=səl=ɥi=si=dɔ=nə=œ̃=ma=ɲi=fi=kə=ʁe=zyl=ta=dɑ̃=lε=ka=də=me=lɑ̃=kɔ=li=e=a=bʁε=ʒə=le=vɔ=ly=sjɔ̃=dε=zak=sε=ma=njak 61

a=sɥi=vʁə 3

Récompense

Coup de coeur: 0
J’aime: 0
J’aime pas: 0

Poesie sans commentaire

Commentaire poème
20/04/2024Poeme-France
En mettant un commentaire, vous pourrez exprimer sur cet écrit : votre ressenti, un encouragement, un conseil ou simplement dire que vous l'avez lu.
De plus si vous écrivez aussi sur le site, vous gagnerez des liens vers vos écrits...
Pour mettre des commentaires vous devez être membre ou poète du site. Un simple inscription suffit pour le devenir.

Poème - Sans Thème -
Du 04/08/2012 16:31

L'écrit contient 7784 mots qui sont répartis dans 44 strophes.