Texte:Hommage À Ma Mère

C’est comme pour la perspective d’une étoile, même celle qui, comme toi maman, brille si fort dans les Cieux, toi qui y es, tout près de Dieu.
Car heureuse, ayant vaincu l’épreuve du Mal, de la vie terrestre, tu es enfin au Paradis céleste.
Certains ne la voient jamais cette étoile, donc ne croient pas en ton immense Sainteté. Par contre, d’autres, dont moi, la voient briller dans le Ciel, d’une façon éblouissante.
Car, maman, tu es au Paradis des Anges et des Archanges, bien loin de l’enfer des méchants.
Il faudra à quiconque et à moi même, un million d’années pour parvenir à rattraper tout cet immense amour que tu eus en toi, dans ton coeur, autant pour le Roi que pour le gueux, que tu recevais avec autant d’égard. Tu fis le don de toi pour les autres.
Quitte, une nouvelle fois à paraître un homme trop simple, et surtout sur un site de Poésie, je n’hésite pas un instant à répéter cette phrase que j’ai souvent prononcée :
"je pourrai tout oublier maman, les hivers comme les étés, le parfum des roses, les plus folles amours, les nuits et les jours, mais jamais, maman, au grand jamais, même dans un million d’années, je ne pourrais oublier ton immense gentillesse, celle qui ennoblit les coeurs, celle qui réconforte les âmes.