Texte:Amour… Perdu.

C’est un phénomène bizarre, mais je ne dis pas rare, quand même étrange. Un jour j’acceptai d’épouser ton beau visage d’ange, mais très vite tu voulus divorcer. Alors, je m’efforce de t’oublier ma chérie, mon amour, mon ange ; d’oublier notre amour vaincu par ton désamour. Pourtant, tu es toujours là, dans mon coeur. Jamais je ne suis las de penser à toi, à ton corps de rêve mon désir ne connaît nulle trêve. Mais ce corps sculpté par Dieu ou par Satan n’est jamais que de chair, pourtant. Alors, je me suis mis à aimer ton âme de femme musulmane, qui m’offrit un petit peu d’amour : qu’on ne me blâme ! La passion l’emporte toujours. J’avais l’âge d’être ton père. Mon Dieu, quelle misère ! Maintenant je sais : tu es la fille que je n’ai pas eue, celle que j’ai toujours voulue. Alors laisse-moi t’aimer de façon éperdue, plus jamais ton corps mais à jamais ton âme. Oui, toi mon ex-femme, laisse-moi t’aimer, encore, et encore et encore par delà la mort.