Texte:Quelques Pensées.

Laisse-moi t’offrir ce bouquet de fleurs,
oh, pas grand-chose,
accepte ces quelques roses,
accepte ma candeur.

Car je t’aime, tellement,
mais je suis pauvre, tellement.
Alors, laisse-moi t’aimer,
rien qu’en pensées,

comme celles mêlées parmi les roses,
car moi, le pauvre,
j’avais pensé aux guimauves,
mêlées aux roses.

À force de t’aimer,
il me reste, non plus des roses,
bien peu de choses,
ces quelques pensées.