Poème:Le Suicide Des Autres

C’était des gens en détresse qui se suicider.
L’impression que c’est grave,
Je m’en souviens, car je n’arrivais pas à me concentrer
L’esprit se déconnecte-t-il ?
Il n’y a rien, plus rien,
Le cri d’une louve, au sommet des montagnes
Un pas, de plus, est la vie bascule…
Dans un calme paisible, j’ai vu ce qu’il s’était passée
Je croyais que mon monde était, sécure
Les secondes devienne indescriptibles, un monde bousculé
Chaque geste à une histoire, une simple menace mise à exécution.
Qu’on a finis par lui porter de l’attention,
C’était pour déclarer son pou en état de perdition
S’endormir, comme un ange.

Le deuil maintenant présent, nous ramène pourtant toujours comme avant
Sensible, et aimant, fantôme plein de souvenirs.
Quand le monde part, le vide qui est la, deviens encore plus grand,
Trop grand…
Je n’y arrive pas.
J’ai repris ma vie, les trajets en voiture, les heures de taf
L’être en souffrance veut son sommeil, il réclame la fin.
Victime de mes émotions arrêtée, je ne suis pas prête à parler.
Je raconte des situations
Qui sont arrivés, ou viendront…

Qu’ils étaient beaux, qu’elles étaient toutes des beautés
Qu’ils étaient aimés, qu’elles étaient choyées
Qu’ils se sont emmurés, qu’elles se sont brisées,
Le remède se balance dans des songes, ravive tes pensées,
Gardez-les du mal, plus de pitié pour les miséreux
Les voix se font de plus en plus rares, les cieux m’attende-t-il ?
Je voudrais les rejoindre, tous ceux qui ont perdu leurs combats
Ils veillent sur leurs proches, dans un silence de mort.
Sont-ils plus heureux ?

Amour malade, je crois encore en toi
Tu as disparue, mais je te vois toujours plus en moi,
Où est tu, parle
Disparaitre comme ça, mais pourquoi…
Je t’en veux, mon cœur se brise, aucunes personne sur terre n’est comme tu l’étais
Pour toi, j’aurais voulu faire un peu plus,
Mais je dois te laisser partir, retrouve ta liberté