Texte:Elle,

Je me sens désolée pour elle…
Des coups dur de la vie, revanche perdue…
Sans gênes, j’ai mis un terme à ses ambitions, ses rêveries.
Elle n’en demandait pourtant pas beaucoup,
L’attention fidèle que l’on vous porte, lorsque que l’on s’aime.
Dérisoire, futile,
Balayer les envies,
Je me retrouve, égoïste, mais entourer.
J’aurais aimé qu’on voit, la peine qu’elle à cacher tout au fond d’elle,
Lui redonner, de tous ce dont on l’à privé pendant des années…
C’est gâcher une vie, pour s’effacer devant les yeux des gens, des parents et des amis…
Je la regarde souvent, discrètement,
Moment temporaire, j’aperçois sa faiblesse, détresse, profonde souffrance, parfois de l’espérance.
J’y songe, que la beauté qu’elle était, finis écorcher par les années, l’enserrant de jugements.
Le poids des autres, insurmontables, puisque que l’on y croit.
La vérité que l’on cache à soi-même, véridique privilège d’y songer…
Je l’ai aimé comme le seul être sur terre qui valait la peine d’être sauver.
Y Renoncer serait, ma liberté, ma délivrance.
J’écris au passées. Mais, je ne peux en finir avec l’amour que je lui porte… J’accepte ma croix. Je redonne la clé de l’abondance, chère à ma moitié.