Poème:Je Te Narre Désespoir

En mes jours longs de deuil
Mes pensées sans cesse veillent
À écouter la voix de mon âme souffrante
Heure par heure, désespérée tente
De retrouver l’apaisement et la paix
Et fou comme un papillon son sourire ailé
Qu’à étouffait les douleurs de ma destinée.

Au milieu du jour, mon ciel à le sourire dépaysé
Qu’il me semblait que des reflets noirs, perçaient
À travers l’infini, mon âme qui a perdue tout espoir
De revoir le bon vieux temps revenir en ma demeure.

Pour ne plus lire le soupir qui se lève
En face de mes yeux avec ses métaphores et lettres
Et l’ombre et la blancheur de mes rêves
Entre le silence de soie et la réalité d’être
Mon âme s’est envolée, vers le ciel étoilé
Où s’engloutit, félines la tristesse et l’anxiété
Dans le sillage de la lumière toute virginité.

J’ai voulu cueillir de mes mains la fleur du bonheur
Qui demeure cette passion douce-amère, de toute l’éternité
Et ressuscité de l’ailleurs mes printemps passés
Là où le chagrin ne me rappelle plus le malheur de mes erreurs
Que mon cœur s’acharne à oublier
O misère ! Aux matins de la vérité
Je n’ai cueilli que les douleurs et les maux
Sur le quai des jours et des lieux.

J’ai oublié tous mes rêves et soucis
Pour balayer les déroutes de ma vie
Pavés d’infortunes et de nostalgies.