Prose:Dans La Maison Du Silence
A Propos de cette Prose
« Certaines maisons cachent des cris que personne n’entend, et des blessures que seuls les murs savent. »
La Prose
Il y a des maisons où l’on n’entend pas les cris.
Elles sont peintes de couleurs tranquilles, posées comme toutes les autres dans la rue, avec un jardinet sage et une porte qui ne claque presque jamais.
Pourtant, derrière ces murs qui semblent tenir debout, quelque chose se fissure.
Ce n’est pas le plâtre : c’est une âme.
Au début, tout ressemble à une histoire normale.
Un regard qui rassure, une main qui se pose, une promesse murmurée plus bas que la pluie.
On se dit que l’amour est solide, qu’il peut réchauffer, qu’il peut protéger.
Et puis, un jour, sans qu’on sache vraiment quand, une phrase tombe comme un coup de froid.
Une remarque, un reproche, une ombre qui passe.
Rien de grave, pense-t-on.
Juste un mauvais jour.
On pardonne.
On s’excuse parfois à sa place.
Mais le mauvais jour revient.
Et avec lui, le ton qui grimpe, les portes qui tremblent, la peur qui apprend à marcher dans le couloir.
Les mots deviennent pointus, les gestes deviennent lourds.
La violence n’entre jamais d’un coup ; elle avance lentement, comme une marée qui sait déjà qu’elle va tout recouvrir.
Alors on se tait.
Parce que la honte étouffe la voix, parce que la culpabilité ment mieux que n’importe qui.
On se dit qu’on va arranger les choses, qu’il va changer, qu’il ne voulait pas, que ce n’était « pas si grave ».
On cache les bleus, ceux de la peau et ceux de l’âme.
On cache même la vérité à soi-même.
Dans ces maisons-là, l’horloge sonne différemment.
Chaque heure devient une attente, chaque nuit une veille.
On vit en équilibre entre la peur et l’espoir, deux forces qui se battent en silence.
Mais l’espoir, un jour, s’essouffle.
La peur, elle, ne dort jamais.
Et puis… un matin, un regard se lève.
Un éclair de lucidité déchire la brume.
On comprend que l’amour ne serre pas le poignet, qu’il ne gifle pas, qu’il ne hurle pas pour exister.
On comprend que partir n’est pas trahir, mais survivre.
La porte qu’on croyait impossible à franchir s’ouvre enfin, avec ce courage qu’on croyait perdu mais qui n’avait jamais cessé de respirer au fond de la poitrine.
Alors, la vie recommence.
Doucement.
Avec des mains qui tremblent encore et un coeur qui apprend à réapprendre.
On découvre que le silence peut être un refuge et non une prison.
On découvre que la liberté n’est pas un luxe, mais un droit.
Et un jour, le vrai miracle, on découvre que l’on mérite d’être aimé sans avoir peur.
Elles sont peintes de couleurs tranquilles, posées comme toutes les autres dans la rue, avec un jardinet sage et une porte qui ne claque presque jamais.
Pourtant, derrière ces murs qui semblent tenir debout, quelque chose se fissure.
Ce n’est pas le plâtre : c’est une âme.
Au début, tout ressemble à une histoire normale.
Un regard qui rassure, une main qui se pose, une promesse murmurée plus bas que la pluie.
On se dit que l’amour est solide, qu’il peut réchauffer, qu’il peut protéger.
Et puis, un jour, sans qu’on sache vraiment quand, une phrase tombe comme un coup de froid.
Une remarque, un reproche, une ombre qui passe.
Rien de grave, pense-t-on.
Juste un mauvais jour.
On pardonne.
On s’excuse parfois à sa place.
Mais le mauvais jour revient.
Et avec lui, le ton qui grimpe, les portes qui tremblent, la peur qui apprend à marcher dans le couloir.
Les mots deviennent pointus, les gestes deviennent lourds.
La violence n’entre jamais d’un coup ; elle avance lentement, comme une marée qui sait déjà qu’elle va tout recouvrir.
Alors on se tait.
Parce que la honte étouffe la voix, parce que la culpabilité ment mieux que n’importe qui.
On se dit qu’on va arranger les choses, qu’il va changer, qu’il ne voulait pas, que ce n’était « pas si grave ».
On cache les bleus, ceux de la peau et ceux de l’âme.
On cache même la vérité à soi-même.
Dans ces maisons-là, l’horloge sonne différemment.
Chaque heure devient une attente, chaque nuit une veille.
On vit en équilibre entre la peur et l’espoir, deux forces qui se battent en silence.
Mais l’espoir, un jour, s’essouffle.
La peur, elle, ne dort jamais.
Et puis… un matin, un regard se lève.
Un éclair de lucidité déchire la brume.
On comprend que l’amour ne serre pas le poignet, qu’il ne gifle pas, qu’il ne hurle pas pour exister.
On comprend que partir n’est pas trahir, mais survivre.
La porte qu’on croyait impossible à franchir s’ouvre enfin, avec ce courage qu’on croyait perdu mais qui n’avait jamais cessé de respirer au fond de la poitrine.
Alors, la vie recommence.
Doucement.
Avec des mains qui tremblent encore et un coeur qui apprend à réapprendre.
On découvre que le silence peut être un refuge et non une prison.
On découvre que la liberté n’est pas un luxe, mais un droit.
Et un jour, le vrai miracle, on découvre que l’on mérite d’être aimé sans avoir peur.
Poète Albertb
Albertb a publié sur le site 151 écrits. Albertb est membre du site depuis l'année 2024.Lire le profil du poète AlbertbSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Dans La Maison Du Silence
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pour=tant=der=riè=re=ces=murs=qui=sem=blent=te=nir=de=bout=quel=que=cho=se=se=fis=su=re 22
ce=nest=pas=le=plâ=tre=cest=u=ne=âme 10
au=dé=but=tout=res=sem=ble=à=u=ne=his=toi=re=nor=ma=le 16
un=re=gard=qui=ras=sure=u=ne=main=qui=se=po=se=u=ne=pro=mes=se=mur=mu=rée=plus=bas=que=la=pluie 26
on=se=dit=que=la=mour=est=so=li=de=quil=peut=ré=chauf=fer=quil=peut=pro=té=ger 20
et=puis=un=jour=sans=quon=sa=che=vrai=ment=quand=u=ne=phra=se=tom=be=com=me=un=coup=de=froid 23
u=ne=re=mar=que=un=re=pro=che=u=ne=om=bre=qui=pas=se 16
rien=de=gra=ve=pen=se=ton 7
jus=te=un=mau=vais=jour 6
on=par=don=ne 4
on=sex=cu=se=par=fois=à=sa=pla=ce 10
mais=le=mau=vais=jour=re=vient 7
et=a=vec=lui=le=ton=qui=grimpe=les=por=tes=qui=trem=blent=la=peur=qui=ap=prend=à=mar=cher=dans=le=cou=loir 26
les=mots=de=vien=nent=poin=tus=les=ges=tes=de=vien=nent=lourds 14
la=violence=nentre=ja=mais=dun=coup=el=lea=van=ce=len=te=ment=com=meu=ne=ma=rée=qui=sait=dé=jà=quel=le=va=tout=re=cou=vrir 30
a=lors=on=se=tait 5
par=ce=que=la=honte=é=touf=fe=la=voix=par=ce=que=la=cul=pa=bi=li=té=ment=mieux=que=nim=por=te=qui 26
on=se=dit=quon=va=ar=ran=ger=les=choses=quil=va=chan=ger=quil=ne=vou=lait=pas=que=ce=né=tait=pas=si=grave 26
on=ca=che=les=bleus=ceux=de=la=peau=et=ceux=de=lâme 13
on=ca=che=mê=me=la=vé=ri=té=à=soi=mê=me 13
dans=ces=mai=sons=là=l=hor=lo=ge=son=ne=dif=fé=rem=ment 15
cha=que=heu=re=de=vient=u=ne=at=ten=te=cha=que=nuit=u=ne=vei=lle 18
on=vit=en=é=qui=li=bre=en=tre=la=peur=et=les=poir=deux=for=ces=qui=se=bat=tent=en=si=len=ce 25
mais=les=poir=un=jour=ses=sou=ffle 8
la=peur=el=le=ne=dort=ja=mais 8
et=puis=un=ma=tin=un=re=gard=se=lè=ve 11
un=é=clair=de=lu=ci=di=té=dé=chi=re=la=bru=me 14
on=com=prend=que=la=mour=ne=ser=re=pas=le=poi=gnet=quil=ne=gi=fle=pas=quil=ne=hur=le=pas=pour=exis=ter 26
on=com=prend=que=par=tir=nest=pas=tra=hir=mais=sur=vi=vre 14
la=porte=quon=cro=yait=im=pos=si=bleà=fran=chir=souvreen=fin=a=vec=ce=cou=rage=quon=cro=yait=per=du=mais=qui=na=vait=ja=mais=ces=sé=de=res=pi=rer=au=fond=de=la=poi=trine 41
a=lors=la=vie=re=com=men=ce 8
dou=ce=ment 3
a=vec=des=mains=qui=trem=blent=en=co=re=et=un=coeur=qui=ap=prend=à=ré=ap=pren=dre 21
on=dé=cou=vre=que=le=si=len=ce=peut=ê=tre=un=re=fu=ge=et=non=u=ne=pri=son 22
on=dé=cou=vre=que=la=li=ber=té=nest=pas=un=lu=xe=mais=un=droit 17
et=un=jour=le=vrai=mi=ra=cle=on=dé=cou=vre=que=lon=mé=ri=te=dê=tre=ai=mé=sans=a=voir=peur 25
Phonétique : Dans La Maison Du Silence
il i a dε mεzɔ̃z- u lɔ̃ nɑ̃tɑ̃ pa lε kʁi.εllə sɔ̃ pɛ̃tə də kulœʁ tʁɑ̃kjə, poze kɔmə tutə lεz- otʁə- dɑ̃ la ʁy, avεk œ̃ ʒaʁdinε saʒə e ynə pɔʁtə ki nə klakə pʁεskə ʒamε.
puʁtɑ̃, dəʁjεʁə sε myʁ ki sɑ̃ble təniʁ dəbu, kεlkə ʃozə sə fisyʁə.
sə nε pa lə platʁə : sεt- ynə amə.
o deby, tu ʁəsɑ̃blə a ynə istwaʁə nɔʁmalə.
œ̃ ʁəɡaʁ ki ʁasyʁə, ynə mɛ̃ ki sə pozə, ynə pʁɔmεsə myʁmyʁe plys ba kə la plɥi.
ɔ̃ sə di kə lamuʁ ε sɔlidə, kil pø ʁeʃofe, kil pø pʁɔteʒe.
e pɥi, œ̃ ʒuʁ, sɑ̃ kɔ̃ saʃə vʁεmɑ̃ kɑ̃, ynə fʁazə tɔ̃bə kɔmə œ̃ ku də fʁwa.
ynə ʁəmaʁkə, œ̃ ʁəpʁoʃə, ynə ɔ̃bʁə ki pasə.
ʁjɛ̃ də ɡʁavə, pɑ̃sə tɔ̃.
ʒystə œ̃ movε ʒuʁ.
ɔ̃ paʁdɔnə.
ɔ̃ sεkskyzə paʁfwaz- a sa plasə.
mε lə movε ʒuʁ ʁəvjɛ̃.
e avεk lɥi, lə tɔ̃ ki ɡʁɛ̃pə, lε pɔʁtə- ki tʁɑ̃ble, la pœʁ ki apʁɑ̃t- a maʁʃe dɑ̃ lə kulwaʁ.
lε mo dəvjεne pwɛ̃tys, lε ʒεstə dəvjεne luʁd.
la vjɔlɑ̃sə nɑ̃tʁə ʒamε dœ̃ ku, εllə avɑ̃sə lɑ̃təmɑ̃, kɔmə ynə maʁe ki sε deʒa kεllə va tu ʁəkuvʁiʁ.
alɔʁz- ɔ̃ sə tε.
paʁsə kə la ɔ̃tə etufə la vwa, paʁsə kə la kylpabilite mɑ̃ mjø kə nɛ̃pɔʁtə ki.
ɔ̃ sə di kɔ̃ va aʁɑ̃ʒe lε ʃozə, kil va ʃɑ̃ʒe, kil nə vulε pa, kə sə netεt « pas si ɡʁavə ».
ɔ̃ kaʃə lε bløs, sø də la po e sø də lamə.
ɔ̃ kaʃə mεmə la veʁite a swa mεmə.
dɑ̃ sε mεzɔ̃ la, lɔʁlɔʒə sɔnə difeʁamɑ̃.
ʃakə œʁ dəvjɛ̃ ynə atɑ̃tə, ʃakə nɥi ynə vεjə.
ɔ̃ vit ɑ̃n- ekilibʁə ɑ̃tʁə la pœʁ e lεspwaʁ, dø fɔʁsə- ki sə bate ɑ̃ silɑ̃sə.
mε lεspwaʁ, œ̃ ʒuʁ, sesuflə.
la pœʁ, εllə, nə dɔʁ ʒamε.
e pɥi… œ̃ matɛ̃, œ̃ ʁəɡaʁ sə lεvə.
œ̃n- eklεʁ də lysidite deʃiʁə la bʁymə.
ɔ̃ kɔ̃pʁɑ̃ kə lamuʁ nə seʁə pa lə pwaɲε, kil nə ʒiflə pa, kil nə yʁlə pa puʁ εɡziste.
ɔ̃ kɔ̃pʁɑ̃ kə paʁtiʁ nε pa tʁaiʁ, mε syʁvivʁə.
la pɔʁtə kɔ̃ kʁwajε ɛ̃pɔsiblə a fʁɑ̃ʃiʁ suvʁə ɑ̃fɛ̃, avεk sə kuʁaʒə kɔ̃ kʁwajε pεʁdy mε ki navε ʒamε sese də ʁεspiʁe o fɔ̃ də la pwatʁinə.
alɔʁ, la vi ʁəkɔmɑ̃sə.
dusəmɑ̃.
avεk dε mɛ̃ ki tʁɑ̃ble ɑ̃kɔʁə e œ̃ kœʁ ki apʁɑ̃t- a ʁeapʁɑ̃dʁə.
ɔ̃ dekuvʁə kə lə silɑ̃sə pø εtʁə œ̃ ʁəfyʒə e nɔ̃ ynə pʁizɔ̃.
ɔ̃ dekuvʁə kə la libεʁte nε pa œ̃ lyksə, mεz- œ̃ dʁwa.
e œ̃ ʒuʁ, lə vʁε miʁaklə, ɔ̃ dekuvʁə kə lɔ̃ meʁitə dεtʁə εme sɑ̃z- avwaʁ pœʁ.
Syllabes Phonétique : Dans La Maison Du Silence
il=i=a=dε=mε=zɔ̃=zu=lɔ̃=nɑ̃=tɑ̃=pa=lε=kʁi 13εllə=sɔ̃pɛ̃tə=də=ku=lœʁ=tʁɑ̃=kjə=po=ze=kɔmə=tu=tə=lε=zo=tʁə=dɑ̃=la=ʁy=a=vεk=œ̃=ʒaʁ=di=nε=sa=ʒəe=y=nə=pɔʁ=tə=ki=nə=kla=kə=pʁεs=kə=ʒa=mε 38
puʁ=tɑ̃=də=ʁjεʁə=sε=myʁ=ki=sɑ̃=ble=tə=niʁ=də=bu=kεl=kə=ʃozə=sə=fisyʁə 18
sə=nε=pa=lə=pla=tʁə=sε=ty=nə=a=mə 11
o=de=by=tuʁə=sɑ̃=blə=a=y=nə=is=twa=ʁə=nɔʁ=malə 14
œ̃=ʁə=ɡaʁ=kiʁasyʁə=y=nə=mɛ̃=ki=sə=po=zə=y=nə=pʁɔ=mε=sə=myʁ=my=ʁe=plys=ba=kə=la=plɥi 24
ɔ̃sə=dikə=la=muʁ=ε=sɔ=lidə=kil=pø=ʁe=ʃo=fe=kil=pø=pʁɔ=te=ʒe 17
e=pɥi=œ̃=ʒuʁ=sɑ̃kɔ̃saʃə=vʁε=mɑ̃=kɑ̃=y=nə=fʁa=zə=tɔ̃=bə=kɔ=məœ̃=ku=də=fʁwa 19
ynə=ʁə=maʁ=kə=œ̃=ʁə=pʁo=ʃə=y=nə=ɔ̃=bʁə=ki=pasə 14
ʁj=ɛ̃=də=ɡʁa=və=pɑ̃=sə=tɔ̃ 8
ʒys=tə=œ̃=mo=vε=ʒuʁ 6
ɔ̃=paʁ=dɔ=nə 4
ɔ̃=sεk=sky=zə=paʁ=fwa=za=sa=pla=sə 10
mε=lə=mo=vε=ʒuʁ=ʁə=vj=ɛ̃ 8
e=a=vεk=lɥi=lə=tɔ̃kiɡʁɛ̃pə=lε=pɔʁ=tə=ki=tʁɑ̃=ble=la=pœʁ=ki=a=pʁɑ̃=ta=maʁ=ʃe=dɑ̃=lə=ku=lwaʁ 24
lε=mo=də=vjε=ne=pwɛ̃=tys=lε=ʒεs=tə=də=vjε=ne=luʁd 14
la=vjɔlɑ̃sə=nɑ̃tʁə=ʒa=mε=dœ̃=ku=εl=ləa=vɑ̃=sə=lɑ̃=tə=mɑ̃=kɔ=məy=nə=ma=ʁe=ki=sε=de=ʒa=kεllə=va=tu=ʁə=ku=vʁiʁ 29
a=lɔʁ=zɔ̃=sə=tε 5
paʁsə=kə=la=ɔ̃=təe=tufə=la=vwa=paʁsə=kə=la=kyl=pa=bi=li=te=mɑ̃=mjø=kə=nɛ̃=pɔʁ=tə=ki 23
ɔ̃sə=di=kɔ̃=va=a=ʁɑ̃=ʒe=lεʃozə=kil=va=ʃɑ̃=ʒe=kil=nə=vu=lε=pa=kə=sə=ne=tεt=pas=si=ɡʁa=və 25
ɔ̃=ka=ʃə=lε=bløs=sø=də=la=po=e=sø=də=la=mə 14
ɔ̃=ka=ʃə=mε=mə=la=ve=ʁi=te=a=swa=mε=mə 13
dɑ̃=sε=mε=zɔ̃=la=lɔʁ=lɔ=ʒə=sɔ=nə=di=fe=ʁa=mɑ̃ 14
ʃakə=œʁ=də=vjɛ̃=y=nəa=tɑ̃=tə=ʃa=kə=nɥi=y=nə=vεjə 14
ɔ̃=vit=ɑ̃=ne=kilibʁəɑ̃tʁə=la=pœʁ=e=lεs=pwaʁ=dø=fɔʁ=sə=ki=sə=ba=te=ɑ̃silɑ̃sə 18
mε=lεs=pwaʁ=œ̃=ʒuʁ=se=su=flə 8
la=pœ=ʁə=εl=lə=nə=dɔʁ=ʒa=mε 9
e=pɥi=œ̃=ma=tɛ̃=œ̃=ʁə=ɡaʁ=sə=lε=və 11
œ̃=ne=klεʁ=də=ly=si=di=te=de=ʃi=ʁə=la=bʁy=mə 14
ɔ̃kɔ̃pʁɑ̃kə=la=muʁ=nə=se=ʁə=pa=lə=pwa=ɲε=kil=nə=ʒi=flə=pa=kil=nəyʁ=lə=pa=puʁ=εɡ=zis=te 23
ɔ̃=kɔ̃=pʁɑ̃=kə=paʁ=tiʁ=nε=pa=tʁa=iʁ=mε=syʁ=vi=vʁə 14
lapɔʁtə=kɔ̃=kʁwa=jε=ɛ̃=pɔ=si=bləa=fʁɑ̃=ʃiʁ=su=vʁəɑ̃=fɛ̃=a=vεk=sə=ku=ʁaʒə=kɔ̃=kʁwa=jε=pεʁ=dy=mε=ki=na=vε=ʒa=mε=se=se=də=ʁεs=pi=ʁe=o=fɔ̃=də=la=pwatʁinə 40
a=lɔʁ=la=vi=ʁə=kɔ=mɑ̃=sə 8
du=sə=mɑ̃ 3
a=vεk=dε=mɛ̃=ki=tʁɑ̃=ble=ɑ̃=kɔʁəe=œ̃=kœʁ=ki=a=pʁɑ̃=ta=ʁe=apʁɑ̃dʁə 17
ɔ̃=de=kuvʁə=kə=lə=silɑ̃sə=pø=ε=tʁəœ̃=ʁə=fy=ʒəe=nɔ̃=y=nə=pʁi=zɔ̃ 17
ɔ̃=de=kuvʁə=kə=la=li=bεʁ=te=nε=pa=œ̃=lyk=sə=mε=zœ̃=dʁwa 16
e=œ̃=ʒuʁ=lə=vʁεmiʁaklə=ɔ̃=de=ku=vʁə=kə=lɔ̃=me=ʁi=tə=dε=tʁəε=me=sɑ̃=za=vwaʁ=pœʁ 21
Récompense
Poesie sans commentaire

17/11/2025Poeme-France
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Prose Violence
Du 15/11/2025 20:23
L'écrit contient 456 mots qui sont répartis dans 7 strophes.