Poème:Incertain Paris
Le Poème
Depuis quelques temps rien n’allait plus à Paris,
Les passants se croisaient plusieurs fois par jour
Au même endroit se disant les mêmes bonjours,
La ville semblait depuis des jours engourdie.
Les quartiers historiques semblaient devenir fous,
Les immeubles Haussmanniens se coupaient en deux,
Les moitiés venus du moyen-âge aux murs cafardeux
S’installaient dans les appartements encore debout.
La Tour Eiffel semblait se reconstruire toutes les semaines,
Une gomme géante effaçait les étages à la nuit tombée,
Puis comme un mécano géant tout se reconstruisait
A toute vitesse, un plaisir pour l’étrange recordmen.
Les incidents se répétaient sur les escalators,
Les mécaniques marches devenaient bois puis pierre,
Même parfois des trous béants, malheureusement retors
Avalaient les imprudents pour les envoyer en Enfer.
Plus personne ne prenait les ascenseurs,
Tous évitaient les gratte-ciel de peur de les voir disparaître.
Les fiacres côtoyaient les aéroglisseurs,
Les taxis devenus fous n’osaient plus sortir de leurs périmètres.
La grande crue de la Seine de mille neuf cent envahissait les rues,
Isolant les cotés pairs, inondant les caves dans un torrent.
Il suffisait de tourner au coin pour voir s’effacer la crue,
Un simple tournant et tout était sec dans les restaurants.
Des barricades poussaient comme des champignons sur les trottoirs,
Celles de mille neuf cent soixante huit côtoyaient celles de quarante quatre,
Les audacieuses des trois glorieuses avec celles des communards,
D’étranges fantômes aux visages pâles ne rêvaient que de combattre.
Des catholiques armés d’épées, de couteaux rejouaient la Saint Barthélémy,
On voyait s’enfuir des hommes poursuivis par des flics,
Des corps étaient jetés dans la Seine,
De l’histoire de la ville les plus mauvaises scènes.
Place de la Concorde on aperçut au matin l’effroyable guillotine,
Une foule disparate semblait se réjouir du spectacle macabre.
Dans le jardin des plantes, des mammouths dans la bruine
Rejoignaient les éléphants attaqués par des lions à dents de sabre.
Les malchanceux qui croyaient être protégés dans le métropolitain
Se retrouvèrent enfermés dans des tunnels ensablés,
La ville fut abandonnée à tout jamais par les épouvantés parisiens,
Seuls les fantômes trouvaient dans cette folie une douce assemblée.
Quelques historiens s’aventurent encore aujourd’hui dans Paris,
Ils assistent comme témoins à l’histoire da la cité,
Les strates du temps se mélangent pour l’éternité à l’envie,
Tout est question d’ubiquité…
Les passants se croisaient plusieurs fois par jour
Au même endroit se disant les mêmes bonjours,
La ville semblait depuis des jours engourdie.
Les quartiers historiques semblaient devenir fous,
Les immeubles Haussmanniens se coupaient en deux,
Les moitiés venus du moyen-âge aux murs cafardeux
S’installaient dans les appartements encore debout.
La Tour Eiffel semblait se reconstruire toutes les semaines,
Une gomme géante effaçait les étages à la nuit tombée,
Puis comme un mécano géant tout se reconstruisait
A toute vitesse, un plaisir pour l’étrange recordmen.
Les incidents se répétaient sur les escalators,
Les mécaniques marches devenaient bois puis pierre,
Même parfois des trous béants, malheureusement retors
Avalaient les imprudents pour les envoyer en Enfer.
Plus personne ne prenait les ascenseurs,
Tous évitaient les gratte-ciel de peur de les voir disparaître.
Les fiacres côtoyaient les aéroglisseurs,
Les taxis devenus fous n’osaient plus sortir de leurs périmètres.
La grande crue de la Seine de mille neuf cent envahissait les rues,
Isolant les cotés pairs, inondant les caves dans un torrent.
Il suffisait de tourner au coin pour voir s’effacer la crue,
Un simple tournant et tout était sec dans les restaurants.
Des barricades poussaient comme des champignons sur les trottoirs,
Celles de mille neuf cent soixante huit côtoyaient celles de quarante quatre,
Les audacieuses des trois glorieuses avec celles des communards,
D’étranges fantômes aux visages pâles ne rêvaient que de combattre.
Des catholiques armés d’épées, de couteaux rejouaient la Saint Barthélémy,
On voyait s’enfuir des hommes poursuivis par des flics,
Des corps étaient jetés dans la Seine,
De l’histoire de la ville les plus mauvaises scènes.
Place de la Concorde on aperçut au matin l’effroyable guillotine,
Une foule disparate semblait se réjouir du spectacle macabre.
Dans le jardin des plantes, des mammouths dans la bruine
Rejoignaient les éléphants attaqués par des lions à dents de sabre.
Les malchanceux qui croyaient être protégés dans le métropolitain
Se retrouvèrent enfermés dans des tunnels ensablés,
La ville fut abandonnée à tout jamais par les épouvantés parisiens,
Seuls les fantômes trouvaient dans cette folie une douce assemblée.
Quelques historiens s’aventurent encore aujourd’hui dans Paris,
Ils assistent comme témoins à l’histoire da la cité,
Les strates du temps se mélangent pour l’éternité à l’envie,
Tout est question d’ubiquité…
Poète Coburitc
Coburitc a publié sur le site 580 écrits. Coburitc est membre du site depuis l'année 2014.Lire le profil du poète CoburitcSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Incertain Paris
de=puis=quel=ques=temps=rien=nal=lait=plus=à=pa=ris 12les=pas=sants=se=croi=saient=plu=si=eurs=fois=par=jour 12
au=mê=me=en=droit=se=di=sant=les=mê=mes=bon=jours 13
la=vil=le=sem=blait=de=puis=des=jours=en=gour=die 12
les=quar=ti=ers=his=to=ri=ques=sem=blaient=de=ve=nir=fous 14
les=im=meu=bles=hauss=man=niens=se=cou=paient=en=deux 12
les=moi=ti=és=ve=nus=du=moyen=â=ge=aux=murs=ca=far=deux 15
sins=tal=laient=dans=les=ap=par=te=ments=en=co=re=de=bout 14
la=tour=eif=fel=sem=blait=se=re=cons=trui=re=tou=tes=les=se=maines 16
une=gom=me=gé=an=te=ef=fa=çait=les=é=ta=ges=à=la=nuit=tom=bée 18
puis=com=me=un=mé=ca=no=gé=ant=tout=se=re=cons=trui=sait 15
a=tou=te=vi=tes=se=un=plai=sir=pour=lé=tran=ge=re=cord=men 16
les=in=ci=dents=se=ré=pé=taient=sur=les=es=ca=la=tors 14
les=mé=ca=ni=ques=mar=ches=de=ve=naient=bois=puis=pi=er=re 15
mê=me=par=fois=des=trous=bé=ants=mal=heu=reu=se=ment=re=tors 15
ava=laient=les=im=pru=dents=pour=les=en=voy=er=en=en=fer 14
plus=per=son=ne=ne=pre=nait=les=as=cen=seurs 11
tous=é=vi=taient=les=grat=te=ciel=de=peur=de=les=voir=dis=pa=raître 16
les=fi=a=cres=cô=to=yaient=les=aé=ro=glis=seurs 12
les=taxis=de=ve=nus=fous=no=saient=plus=sor=tir=de=leurs=pé=ri=mètres 16
la=grande=crue=de=la=sei=ne=de=mille=neuf=cent=en=va=his=sait=les=rues 17
iso=lant=les=co=tés=pairs=i=non=dant=les=ca=ves=dans=un=tor=rent 16
il=suf=fi=sait=de=tour=ner=au=coin=pour=voir=sef=fa=cer=la=crue 16
un=sim=ple=tour=nant=et=tout=é=tait=sec=dans=les=res=tau=rants 15
des=bar=ri=cades=pous=saient=com=me=des=cham=pi=gnons=sur=les=trot=toirs 16
cel=les=de=mille=neuf=cent=soixante=hu=it=cô=to=yaient=cel=les=de=qua=ran=te=quatre 19
les=au=da=cieuses=des=trois=glo=rieu=ses=a=vec=cel=les=des=com=mu=nards 17
dé=tranges=fan=tô=mes=aux=vi=sa=ges=pâ=les=ne=rê=vaient=que=de=com=battre 18
des=ca=tho=li=ques=ar=més=dé=pées=de=cou=teaux=re=jou=aient=la=saint=bar=thé=lé=my 21
on=vo=yait=sen=fu=ir=des=hom=mes=pour=sui=vis=par=des=flics 15
des=corps=é=taient=je=tés=dans=la=sei=ne 10
de=l=his=toi=re=de=la=vil=le=les=plus=mau=vai=ses=s=cènes 16
place=de=la=con=cor=deon=a=per=çut=au=ma=tin=lef=froya=ble=guillo=tine 17
une=fou=le=dis=pa=ra=te=sem=blait=se=ré=jouir=du=s=pec=ta=cle=ma=cabre 19
dans=le=jar=din=des=plan=tes=des=mam=mouths=dans=la=brui=ne 14
re=joi=gnaient=les=é=lé=phants=at=ta=qués=par=des=lions=à=dents=de=sabre 17
les=mal=chan=ceux=qui=cro=yaient=être=pro=té=gés=dans=le=mé=tro=po=li=tain 18
se=re=trou=vè=rent=en=fer=més=dans=des=tun=nels=en=sa=blés 15
la=ville=fut=a=ban=don=née=à=tout=ja=mais=par=les=é=pou=van=tés=pa=ri=siens 20
seuls=les=fan=tômes=trou=vaient=dans=cet=te=fo=lieu=ne=dou=ce=as=sem=blée 17
quel=ques=his=to=riens=saven=tu=rent=en=co=re=au=jourdhui=dans=pa=ris 16
ils=as=sistent=com=me=té=moins=à=l=his=toi=re=da=la=ci=té 16
les=strates=du=temps=se=mé=lan=gent=pour=lé=ter=ni=té=à=len=vie 16
tout=est=ques=ti=on=du=bi=qui=té 9
Phonétique : Incertain Paris
dəpɥi kεlk tɑ̃ ʁjɛ̃ nalε plysz- a paʁi,lε pasɑ̃ sə kʁwazε plyzjœʁ fwa paʁ ʒuʁ
o mεmə ɑ̃dʁwa sə dizɑ̃ lε mεmə bɔ̃ʒuʁ,
la vilə sɑ̃blε dəpɥi dε ʒuʁz- ɑ̃ɡuʁdi.
lε kaʁtjez- istɔʁik sɑ̃blε dəvəniʁ fus,
lεz- iməblə-osmanjɛ̃ sə kupε ɑ̃ dø,
lε mwatje vənys dy mwajɛ̃ aʒə o myʁ kafaʁdø
sɛ̃stalε dɑ̃ lεz- apaʁtəmɑ̃z- ɑ̃kɔʁə dəbu.
la tuʁ εfεl sɑ̃blε sə ʁəkɔ̃stʁɥiʁə tutə lε səmεnə,
ynə ɡɔmə ʒeɑ̃tə efasε lεz- etaʒəz- a la nɥi tɔ̃be,
pɥi kɔmə œ̃ mekano ʒeɑ̃ tu sə ʁəkɔ̃stʁɥizε
a tutə vitεsə, œ̃ plεziʁ puʁ letʁɑ̃ʒə ʁəkɔʁdmɛ̃.
lεz- ɛ̃sidɑ̃ sə ʁepetε syʁ lεz- εskalatɔʁ,
lε mekanik maʁʃə dəvənε bwa pɥi pjeʁə,
mεmə paʁfwa dε tʁus beɑ̃, maləʁøzəmɑ̃ ʁətɔʁ
avalε lεz- ɛ̃pʁydɑ̃ puʁ lεz- ɑ̃vwaje ɑ̃n- ɑ̃fe.
plys pεʁsɔnə nə pʁənε lεz- asɑ̃sœʁ,
tusz- evitε lε ɡʁatə sjεl də pœʁ də lε vwaʁ dispaʁεtʁə.
lε fjakʁə- kotwajε lεz- aeʁɔɡlisœʁ,
lε taksi dəvənys fus nozε plys sɔʁtiʁ də lœʁ peʁimεtʁə.
la ɡʁɑ̃də kʁy də la sεnə də milə nəf sɑ̃t- ɑ̃vaisε lε ʁy,
izɔlɑ̃ lε kɔte pεʁ, inɔ̃dɑ̃ lε kavə dɑ̃z- œ̃ tɔʁe.
il syfizε də tuʁne o kwɛ̃ puʁ vwaʁ sefase la kʁy,
œ̃ sɛ̃plə tuʁnɑ̃ e tut- etε sεk dɑ̃ lε ʁεstoʁɑ̃.
dε baʁikadə pusε kɔmə dε ʃɑ̃piɲɔ̃ syʁ lε tʁɔtwaʁ,
sεllə də milə nəf sɑ̃ swasɑ̃tə ɥi kotwajε sεllə də kaʁɑ̃tə katʁə,
lεz- odasjøzə dε tʁwa ɡlɔʁjøzəz- avεk sεllə dε kɔmynaʁd,
detʁɑ̃ʒə fɑ̃toməz- o vizaʒə palə nə ʁεvε kə də kɔ̃batʁə.
dε katɔlikz- aʁme depe, də kuto ʁəʒuε la sɛ̃ baʁtelemi,
ɔ̃ vwajε sɑ̃fɥiʁ dεz- ɔmə puʁsɥivi paʁ dε flik,
dε kɔʁz- etε ʒəte dɑ̃ la sεnə,
də listwaʁə də la vilə lε plys movεzə sεnə.
plasə də la kɔ̃kɔʁdə ɔ̃n- apεʁsy o matɛ̃ lefʁwajablə ɡjɔtinə,
ynə fulə dispaʁatə sɑ̃blε sə ʁeʒuiʁ dy spεktaklə makabʁə.
dɑ̃ lə ʒaʁdɛ̃ dε plɑ̃tə, dε mamut dɑ̃ la bʁɥinə
ʁəʒwaɲε lεz- elefɑ̃z- atake paʁ dε ljɔ̃z- a dɑ̃ də sabʁə.
lε malʃɑ̃sø ki kʁwajε εtʁə pʁɔteʒe dɑ̃ lə metʁɔpɔlitɛ̃
sə ʁətʁuvεʁe ɑ̃fεʁme dɑ̃ dε tœ̃nεlz- ɑ̃sable,
la vilə fy abɑ̃dɔne a tu ʒamε paʁ lεz- epuvɑ̃te paʁizjɛ̃,
səl lε fɑ̃tomə tʁuvε dɑ̃ sεtə fɔli ynə dusə asɑ̃ble.
kεlkz- istɔʁjɛ̃ savɑ̃tyʁe ɑ̃kɔʁə oʒuʁdɥi dɑ̃ paʁi,
ilz- asiste kɔmə temwɛ̃z- a listwaʁə da la site,
lε stʁatə dy tɑ̃ sə melɑ̃ʒe puʁ letεʁnite a lɑ̃vi,
tut- ε kεstjɔ̃ dybikite…
Syllabes Phonétique : Incertain Paris
dəp=ɥi=kεl=kə=tɑ̃=ʁjɛ̃=na=lε=plys=za=pa=ʁi 12lε=pa=sɑ̃=sə=kʁwa=zε=ply=zjœ=ʁə=fwa=paʁ=ʒuʁ 12
o=mεmə=ɑ̃=dʁwa=sə=di=zɑ̃=lε=mε=mə=bɔ̃=ʒuʁ 12
la=vi=lə=sɑ̃=blε=dəp=ɥi=dε=ʒuʁ=zɑ̃=ɡuʁ=di 12
lε=kaʁ=tje=zis=tɔ=ʁik=sɑ̃=blε=də=və=niʁ=fus 12
lε=zi=mə=blə-os=ma=njɛ̃=sə=ku=pε=ɑ̃=dø 12
lε=mwa=tje=və=nys=dy=mwa=jɛ̃=aʒəo=myʁ=ka=faʁ=dø 13
sɛ̃s=ta=lε=dɑ̃=lε=za=paʁtə=mɑ̃=zɑ̃=kɔ=ʁə=də=bu 13
la=tuʁ=ε=fεl=sɑ̃=blεsə=ʁə=kɔ̃s=tʁɥi=ʁə=tu=tə=lε=sə=mεnə 15
ynə=ɡɔ=mə=ʒe=ɑ̃=təe=fa=sε=lε=ze=ta=ʒə=za=la=nɥi=tɔ̃=be 17
pɥi=kɔməœ̃=me=ka=no=ʒe=ɑ̃=tu=sə=ʁə=kɔ̃s=tʁɥi=zε 13
a=tutə=vi=tε=sə=œ̃=plε=ziʁ=puʁ=le=tʁɑ̃=ʒə=ʁə=kɔʁ=dmɛ̃ 15
lε=zɛ̃=si=dɑ̃sə=ʁe=pe=tε=syʁ=lε=zεs=ka=la=tɔʁ 13
lε=me=ka=nik=maʁʃə=də=və=nε=bwa=pɥi=pje=ʁə 12
mεmə=paʁ=fwa=dε=tʁus=be=ɑ̃=ma=lə=ʁø=zə=mɑ̃=ʁə=tɔʁ 14
a=va=lε=lε=zɛ̃=pʁy=dɑ̃=puʁ=lε=zɑ̃=vwa=je=ɑ̃=nɑ̃=fe 15
plys=pεʁ=sɔ=nə=nə=pʁə=nε=lε=za=sɑ̃=sœ=ʁə 12
tus=ze=vi=tε=lε=ɡʁatə=sjεl=də=pœʁ=də=lε=vwaʁ=dis=pa=ʁεtʁə 15
lε=fja=kʁə=ko=twa=jε=lε=za=e=ʁɔ=ɡli=sœʁ 12
lε=tak=sidə=və=nys=fus=no=zε=plys=sɔʁ=tiʁ=də=lœʁ=pe=ʁi=mεtʁə 16
la=ɡʁɑ̃də=kʁy=də=la=sε=nə=də=mi=lə=nəf=sɑ̃=tɑ̃=va=i=sε=lε=ʁy 18
i=zɔ=lɑ̃=lε=kɔ=te=pεʁ=i=nɔ̃=dɑ̃=lε=kavə=dɑ̃=zœ̃=tɔ=ʁe 16
il=sy=fi=zεdə=tuʁ=ne=o=kwɛ̃=puʁ=vwaʁ=se=fa=se=la=kʁy 15
œ̃=sɛ̃plə=tuʁ=nɑ̃=e=tu=te=tε=sεk=dɑ̃=lε=ʁεs=to=ʁɑ̃ 14
dε=ba=ʁi=kadə=pu=sε=kɔ=mə=dε=ʃɑ̃=pi=ɲɔ̃=syʁ=lε=tʁɔ=twaʁ 16
sεllə=də=milə=nəf=sɑ̃=swa=sɑ̃=tə=ɥi=ko=twa=jε=sεl=lə=də=ka=ʁɑ̃=tə=katʁə 19
lε=zo=da=sjøzə=dε=tʁwa=ɡlɔ=ʁjø=zə=za=vεk=sεllə=dε=kɔ=my=naʁd 16
de=tʁɑ̃ʒə=fɑ̃=to=mə=zo=vi=za=ʒə=pa=lə=nə=ʁε=vε=kə=də=kɔ̃=batʁə 18
dε=ka=tɔ=lik=zaʁ=me=de=pe=də=ku=toʁə=ʒu=ε=la=sɛ̃=baʁ=te=le=mi 19
ɔ̃=vwa=jε=sɑ̃f=ɥiʁ=dε=zɔmə=puʁ=sɥi=vi=paʁ=dε=flik 13
dε=kɔʁ=ze=tε=ʒə=te=dɑ̃=la=sε=nə 10
də=lis=twaʁə=də=la=vi=lə=lε=plys=mo=vε=zə=sεnə 13
plasə=də=la=kɔ̃=kɔʁ=dəɔ̃=na=pεʁ=sy=o=ma=tɛ̃=le=fʁwa=ja=blə=ɡjɔ=tinə 18
ynə=fu=lə=dis=pa=ʁa=tə=sɑ̃=blε=sə=ʁe=ʒu=iʁ=dy=spεk=ta=klə=ma=kabʁə 19
dɑ̃=lə=ʒaʁ=dɛ̃=dε=plɑ̃tə=dε=ma=mut=dɑ̃=la=bʁɥinə 12
ʁə=ʒwa=ɲε=lε=ze=le=fɑ̃=za=ta=ke=paʁ=dε=ljɔ̃=za=dɑ̃də=sabʁə 16
lε=mal=ʃɑ̃=sø=ki=kʁwa=jε=εtʁə=pʁɔ=te=ʒe=dɑ̃=lə=me=tʁɔ=pɔ=li=tɛ̃ 18
sə=ʁə=tʁu=vε=ʁe=ɑ̃=fεʁ=me=dɑ̃=dε=tœ̃=nεl=zɑ̃=sa=ble 15
la=vilə=fy=a=bɑ̃=dɔ=ne=a=tu=ʒa=mε=paʁ=lε=ze=pu=vɑ̃=te=pa=ʁi=zjɛ̃ 20
səl=lε=fɑ̃=tomə=tʁu=vε=dɑ̃=sε=tə=fɔ=li=y=nə=du=səa=sɑ̃=ble 17
kεl=kzis=tɔ=ʁjɛ̃=sa=vɑ̃=ty=ʁe=ɑ̃=kɔʁəo=ʒuʁ=dɥi=dɑ̃=pa=ʁi 15
il=za=sis=te=kɔmə=te=mwɛ̃=za=lis=twa=ʁə=da=la=si=te 15
lε=stʁatə=dy=tɑ̃=sə=me=lɑ̃=ʒe=puʁ=le=tεʁ=ni=te=a=lɑ̃=vi 16
tu=tε=kεs=tj=ɔ̃=dy=bi=ki=te 9
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
01/03/2016 00:15Sétarcos L'Hérétique

01/03/2016 09:52Df
atmosphère historique d’un melting pot temporel.... j’aime !
01/03/2016 13:36Willy25
SUPER !!!
j’adore ce voyage dans l’histoire mais vu par un Dt WHO.
01/03/2016 15:41Mistou
J’aime beaucoup....
Poème Temps
Du 01/03/2016 00:00
L'écrit contient 397 mots qui sont répartis dans 11 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.