Poème:Libération
Le Poème
Comment croire que tout est simple,
Que les mots viennent comme des vagues
Se jeter en nombre sur mes pages,
Voilà la vanité de celui qui se croit humble.
Les saisons passent sur ma vie comme un frisson,
Faut il se plaire à convoiter le plaisir des bêtes,
Simplement vivre le temps présent sans être inquiet,
Voir dans cet étrange abandon une libération.
Quand les moutons se jettent dans les abimes
Poursuivis par les loups aux crocs mordant,
Devrais je voir dans ce spectacle désolant
Un avenir qui se dessine sur mes déprimes.
Je suis dans ce monde, perdu comme un enfant :
J’envie les oiseaux de passage qui volent de continent
En continent, effleurant de leurs ailes les Océans,
Jetant un regard étranger sur les villes réduites à néant.
Devrais je me réduire à devenir un arbre dans une forêt,
Immobile à jamais perdu dans un rêve profond,
Endormi depuis des siècles sans la crainte du bucheron,
Avec grimpant sur mes branches des écureuils grassouillets.
Dois je me complaire dans cette folle déraison,
Me draper du costume d’une nature étrangère,
Je suis une homme, vivant dans cette époque guerrière,
Comment trouver dans ce vacarme une libération.
Faut il croire à toutes ces religions,
Je regrette les Dieux anciens qui étaient plus courtois
Qui jamais n’hésitaient à baiser de jolis minois,
Aujourd’hui combien en leurs noms d’abominations.
Je retrouve le calme en regardant la mer,
En écoutant le ressac des vagues,
En m’abreuvant de l’écume amer,
Chacun a droit à sa Madrague.
En regardant le lointain horizon, à contempler le soleil se coucher,
A m’émerveiller des nuages sanglants sur le bleu nuit de l’Océan,
A patauger encore une fois dans cette eau maternelle épousée,
Je sens dans mon âme arriver la Libération obsédante.
Je me pare des ailes du Goéland, je vole au dessus des corniches,
Les falaises de granit secouées par les tempêtes je les rêve,
Au moindre coup de vents je m’élève plus haut que leurs glaives,
Entouré par le silence, les étoiles, je me défausse des artifices.
Voilà comme le disait Chéreau un homme nu face à vous,
Les ailes se sont estompées dans ma nouvelle béatitude,
Il ne reste plus qu’un chemin pour échapper à ma lassitude,
Une route éclairée par des feux d’argents vers ce rendez vous.
Vous êtes à m’attendre comme la Nuit attend le Jour,
Dans nos baisers, dans nos caresses, nous nous élevons
Comme des anges vers cette fabuleuse libération
Qui éteint la peur, l’angoisse : l ’ Amour.
Que les mots viennent comme des vagues
Se jeter en nombre sur mes pages,
Voilà la vanité de celui qui se croit humble.
Les saisons passent sur ma vie comme un frisson,
Faut il se plaire à convoiter le plaisir des bêtes,
Simplement vivre le temps présent sans être inquiet,
Voir dans cet étrange abandon une libération.
Quand les moutons se jettent dans les abimes
Poursuivis par les loups aux crocs mordant,
Devrais je voir dans ce spectacle désolant
Un avenir qui se dessine sur mes déprimes.
Je suis dans ce monde, perdu comme un enfant :
J’envie les oiseaux de passage qui volent de continent
En continent, effleurant de leurs ailes les Océans,
Jetant un regard étranger sur les villes réduites à néant.
Devrais je me réduire à devenir un arbre dans une forêt,
Immobile à jamais perdu dans un rêve profond,
Endormi depuis des siècles sans la crainte du bucheron,
Avec grimpant sur mes branches des écureuils grassouillets.
Dois je me complaire dans cette folle déraison,
Me draper du costume d’une nature étrangère,
Je suis une homme, vivant dans cette époque guerrière,
Comment trouver dans ce vacarme une libération.
Faut il croire à toutes ces religions,
Je regrette les Dieux anciens qui étaient plus courtois
Qui jamais n’hésitaient à baiser de jolis minois,
Aujourd’hui combien en leurs noms d’abominations.
Je retrouve le calme en regardant la mer,
En écoutant le ressac des vagues,
En m’abreuvant de l’écume amer,
Chacun a droit à sa Madrague.
En regardant le lointain horizon, à contempler le soleil se coucher,
A m’émerveiller des nuages sanglants sur le bleu nuit de l’Océan,
A patauger encore une fois dans cette eau maternelle épousée,
Je sens dans mon âme arriver la Libération obsédante.
Je me pare des ailes du Goéland, je vole au dessus des corniches,
Les falaises de granit secouées par les tempêtes je les rêve,
Au moindre coup de vents je m’élève plus haut que leurs glaives,
Entouré par le silence, les étoiles, je me défausse des artifices.
Voilà comme le disait Chéreau un homme nu face à vous,
Les ailes se sont estompées dans ma nouvelle béatitude,
Il ne reste plus qu’un chemin pour échapper à ma lassitude,
Une route éclairée par des feux d’argents vers ce rendez vous.
Vous êtes à m’attendre comme la Nuit attend le Jour,
Dans nos baisers, dans nos caresses, nous nous élevons
Comme des anges vers cette fabuleuse libération
Qui éteint la peur, l’angoisse : l ’ Amour.
Poète Coburitc
Coburitc a publié sur le site 580 écrits. Coburitc est membre du site depuis l'année 2014.Lire le profil du poète CoburitcSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Libération
com=ment=croi=re=que=tout=est=sim=ple 9que=les=mots=vien=nent=com=me=des=vagues 9
se=je=ter=en=nom=bre=sur=mes=pa=ges 10
voi=là=la=va=ni=té=de=ce=lui=qui=se=croit=hu=mble 14
les=sai=sons=pas=sent=sur=ma=vie=com=me=un=fris=son 13
faut=il=se=plai=re=à=con=voi=ter=le=plai=sir=des=bêtes 14
sim=ple=ment=vi=vre=le=temps=pré=sent=sans=ê=tre=in=quiet 14
voir=dans=cet=é=trange=a=ban=don=u=ne=li=bé=ra=tion 14
quand=les=mou=tons=se=jet=tent=dans=les=a=bi=mes 12
pour=sui=vis=par=les=loups=aux=crocs=mor=dant 10
de=vrais=je=voir=dans=ce=s=pec=ta=cle=dé=so=lant 13
un=a=ve=nir=qui=se=des=si=ne=sur=mes=dé=pri=mes 14
je=suis=dans=ce=mon=de=per=du=com=me=un=en=fant 13
jen=vie=les=oi=seaux=de=pas=sage=qui=vo=lent=de=con=tinent 14
en=con=tinent=ef=fleu=rant=de=leurs=ai=les=les=o=cé=ans 14
je=tant=un=re=gard=é=tran=ger=sur=les=villes=ré=duites=à=né=ant 16
de=vrais=je=me=ré=duireà=de=ve=nir=un=ar=bre=dans=u=ne=fo=rêt 17
im=mo=bile=à=ja=mais=per=du=dans=un=rê=ve=pro=fond 14
en=dor=mi=de=puis=des=siècles=sans=la=crain=te=du=bu=che=ron 15
a=vec=grim=pant=sur=mes=bran=ches=des=é=cu=reuils=gras=souillets 14
dois=je=me=com=plai=re=dans=cet=te=fol=le=dé=rai=son 14
me=dra=per=du=cos=tume=du=ne=na=tu=re=é=tran=gère 14
je=suis=une=hom=me=vi=vant=dans=cet=teé=po=que=guer=rière 14
comment=trou=ver=dans=ce=va=car=me=u=ne=li=bé=ra=tion 14
faut=il=croi=re=à=tou=tes=ces=re=li=gi=ons 12
je=re=grette=les=dieux=an=ci=ens=qui=é=taient=plus=cour=tois 14
qui=ja=mais=n=hé=si=taient=à=bai=ser=de=jo=lis=mi=nois 15
au=jourd=hui=com=bien=en=leurs=noms=da=bo=mi=na=ti=ons 14
je=re=trou=ve=le=cal=me=en=re=gar=dant=la=mer 13
en=é=cou=tant=le=res=sac=des=va=gues 10
en=ma=breu=vant=de=lé=cu=me=a=mer 10
cha=cun=a=droit=à=sa=ma=drague 8
en=re=gar=dant=le=loin=tain=ho=ri=zon=à=con=tem=pler=le=so=leil=se=cou=cher 20
a=mé=mer=veiller=des=nu=ages=san=glants=sur=le=bleu=nuit=de=lo=cé=an 17
a=pa=tau=ger=en=coreu=ne=fois=dans=cet=te=eau=ma=ter=nel=le=é=pou=sée 19
je=sens=dans=mon=â=mear=ri=ver=la=li=bé=ra=tion=ob=sé=dante 16
je=me=pare=des=ai=les=du=goé=land=je=vo=leau=des=sus=des=cor=niches 17
les=fa=laises=de=gra=nit=se=couées=par=les=tem=pê=tes=je=les=rêve 16
au=moindre=coup=de=vents=je=mé=lè=ve=plus=haut=que=leurs=glaives 14
en=tou=ré=par=le=silen=ce=les=é=toi=les=je=me=dé=faus=se=des=ar=ti=fices 20
voi=là=comme=le=di=sait=ché=reau=un=hom=me=nu=fa=ceà=vous 15
les=ailes=se=sont=es=tom=pées=dans=ma=nou=vel=le=bé=a=ti=tude 16
il=ne=res=te=plus=quun=che=min=pour=é=chap=per=à=ma=las=si=tude 17
une=rou=teé=clai=rée=par=des=feux=dar=gents=vers=ce=ren=dez=vous 15
vous=ê=tes=à=mat=ten=dre=comme=la=nuit=at=tend=le=jour 14
dans=nos=bai=sers=dans=nos=ca=res=ses=nous=nous=é=le=vons 14
comme=des=an=ges=vers=cet=te=fa=bu=leu=se=li=bé=ra=tion 15
qui=é=teint=la=peur=lan=gois=se=la=mour 10
Phonétique : Libération
kɔmɑ̃ kʁwaʁə kə tut- ε sɛ̃plə,kə lε mo vjεne kɔmə dε vaɡ
sə ʒəte ɑ̃ nɔ̃bʁə syʁ mε paʒə,
vwala la vanite də səlɥi ki sə kʁwa œ̃blə.
lε sεzɔ̃ pase syʁ ma vi kɔmə œ̃ fʁisɔ̃,
fo il sə plεʁə a kɔ̃vwate lə plεziʁ dε bεtə,
sɛ̃pləmɑ̃ vivʁə lə tɑ̃ pʁezɑ̃ sɑ̃z- εtʁə ɛ̃kjε,
vwaʁ dɑ̃ sεt etʁɑ̃ʒə abɑ̃dɔ̃ ynə libeʁasjɔ̃.
kɑ̃ lε mutɔ̃ sə ʒεte dɑ̃ lεz- abimə
puʁsɥivi paʁ lε luz- o kʁo mɔʁdɑ̃,
dəvʁε ʒə vwaʁ dɑ̃ sə spεktaklə dezɔlɑ̃
œ̃n- avəniʁ ki sə desinə syʁ mε depʁimə.
ʒə sɥi dɑ̃ sə mɔ̃də, pεʁdy kɔmə œ̃n- ɑ̃fɑ̃ :
ʒɑ̃vi lεz- wazo də pasaʒə ki vɔle də kɔ̃tine
ɑ̃ kɔ̃tine, efləʁɑ̃ də lœʁz- εlə lεz- ɔseɑ̃,
ʒətɑ̃ œ̃ ʁəɡaʁ etʁɑ̃ʒe syʁ lε vilə ʁedɥitəz- a neɑ̃.
dəvʁε ʒə mə ʁedɥiʁə a dəvəniʁ œ̃n- aʁbʁə dɑ̃z- ynə fɔʁε,
imɔbilə a ʒamε pεʁdy dɑ̃z- œ̃ ʁεvə pʁɔfɔ̃,
ɑ̃dɔʁmi dəpɥi dε sjεklə sɑ̃ la kʁɛ̃tə dy byʃəʁɔ̃,
avεk ɡʁɛ̃pɑ̃ syʁ mε bʁɑ̃ʃə dεz- ekyʁəj ɡʁasujε.
dwa ʒə mə kɔ̃plεʁə dɑ̃ sεtə fɔlə deʁεzɔ̃,
mə dʁape dy kɔstymə dynə natyʁə etʁɑ̃ʒεʁə,
ʒə sɥiz- ynə ɔmə, vivɑ̃ dɑ̃ sεtə epɔkə ɡeʁjεʁə,
kɔmɑ̃ tʁuve dɑ̃ sə vakaʁmə ynə libeʁasjɔ̃.
fo il kʁwaʁə a tutə sε ʁəliʒjɔ̃,
ʒə ʁəɡʁεtə lε djøz- ɑ̃sjɛ̃ ki etε plys kuʁtwa
ki ʒamε nezitε a bεze də ʒɔli minwa,
oʒuʁdɥi kɔ̃bjɛ̃ ɑ̃ lœʁ nɔ̃ dabɔminasjɔ̃.
ʒə ʁətʁuvə lə kalmə ɑ̃ ʁəɡaʁdɑ̃ la mεʁ,
ɑ̃n- ekutɑ̃ lə ʁesak dε vaɡ,
ɑ̃ mabʁəvɑ̃ də lekymə ame,
ʃakœ̃ a dʁwa a sa madʁaɡ.
ɑ̃ ʁəɡaʁdɑ̃ lə lwɛ̃tɛ̃ ɔʁizɔ̃, a kɔ̃tɑ̃ple lə sɔlεj sə kuʃe,
a memεʁvεje dε nɥaʒə sɑ̃ɡlɑ̃ syʁ lə blø nɥi də lɔseɑ̃,
a patoʒe ɑ̃kɔʁə ynə fwa dɑ̃ sεtə o matεʁnεllə epuze,
ʒə sɑ̃s dɑ̃ mɔ̃n- amə aʁive la libeʁasjɔ̃ ɔpsedɑ̃tə.
ʒə mə paʁə dεz- εlə dy ɡɔelɑ̃, ʒə vɔlə o dəsy dε kɔʁniʃə,
lε falεzə də ɡʁani səkue paʁ lε tɑ̃pεtə ʒə lε ʁεvə,
o mwɛ̃dʁə ku də vɑ̃ ʒə melεvə plys-o kə lœʁ ɡlεvə,
ɑ̃tuʁe paʁ lə silɑ̃sə, lεz- etwalə, ʒə mə defosə dεz- aʁtifisə.
vwala kɔmə lə dizε ʃeʁo œ̃n- ɔmə ny fasə a vu,
lεz- εlə sə sɔ̃t- εstɔ̃pe dɑ̃ ma nuvεllə beatitydə,
il nə ʁεstə plys kœ̃ ʃəmɛ̃ puʁ eʃape a ma lasitydə,
ynə ʁutə eklεʁe paʁ dε fø daʁʒɑ̃ vεʁ sə ʁɑ̃de vu.
vuz- εtəz- a matɑ̃dʁə kɔmə la nɥi atɑ̃ lə ʒuʁ,
dɑ̃ no bεze, dɑ̃ no kaʁesə, nu nuz- eləvɔ̃
kɔmə dεz- ɑ̃ʒə vεʁ sεtə fabyløzə libeʁasjɔ̃
ki etɛ̃ la pœʁ, lɑ̃ɡwasə : lamuʁ.
Syllabes Phonétique : Libération
kɔ=mɑ̃=kʁwa=ʁə=kə=tu=tε=sɛ̃=plə 9kə=lε=mo=vjε=ne=kɔ=mə=dε=va=ɡə 10
sə=ʒə=te=ɑ̃=nɔ̃=bʁə=syʁ=mε=pa=ʒə 10
vwa=la=la=va=ni=te=də=səl=ɥi=kisə=kʁwa=œ̃=blə 13
lε=sε=zɔ̃=pase=syʁ=ma=vi=kɔ=məœ̃=fʁi=sɔ̃ 11
fo=il=sə=plε=ʁə=a=kɔ̃=vwa=te=lə=plε=ziʁ=dε=bεtə 14
sɛ̃=plə=mɑ̃=vi=vʁə=lə=tɑ̃=pʁe=zɑ̃=sɑ̃=zε=tʁə=ɛ̃=kjε 14
vwaʁ=dɑ̃=sεt=e=tʁɑ̃ʒə=a=bɑ̃=dɔ̃=y=nə=li=be=ʁa=sjɔ̃ 14
kɑ̃=lε=mu=tɔ̃=sə=ʒε=te=dɑ̃=lε=za=bi=mə 12
puʁ=sɥi=vi=paʁ=lε=lu=zo=kʁo=mɔʁ=dɑ̃ 10
də=vʁε=ʒə=vwaʁ=dɑ̃=sə=spεk=ta=klə=de=zɔ=lɑ̃ 12
œ̃=na=və=niʁ=ki=sə=de=si=nə=syʁ=mε=de=pʁi=mə 14
ʒə=sɥi=dɑ̃=sə=mɔ̃=də=pεʁ=dy=kɔ=mə=œ̃=nɑ̃=fɑ̃ 13
ʒɑ̃=vi=lε=zwa=zodə=pa=sa=ʒə=ki=vɔ=le=də=kɔ̃=ti=ne 15
ɑ̃=kɔ̃=ti=ne=e=flə=ʁɑ̃də=lœʁ=zε=lə=lε=zɔ=se=ɑ̃ 14
ʒə=tɑ̃=œ̃=ʁə=ɡaʁ=e=tʁɑ̃=ʒe=syʁ=lε=vilə=ʁed=ɥi=tə=za=ne=ɑ̃ 17
də=vʁεʒə=mə=ʁed=ɥi=ʁəa=də=və=niʁ=œ̃=naʁ=bʁə=dɑ̃=zy=nə=fɔ=ʁε 17
i=mɔ=bilə=a=ʒa=mε=pεʁ=dy=dɑ̃=zœ̃=ʁε=və=pʁɔ=fɔ̃ 14
ɑ̃=dɔʁ=mi=dəp=ɥi=dε=sjεklə=sɑ̃=la=kʁɛ̃=tə=dy=by=ʃə=ʁɔ̃ 15
a=vεk=ɡʁɛ̃=pɑ̃=syʁ=mε=bʁɑ̃ʃə=dε=ze=ky=ʁəj=ɡʁa=su=jε 14
dwa=ʒə=mə=kɔ̃=plε=ʁə=dɑ̃=sε=tə=fɔ=lə=de=ʁε=zɔ̃ 14
mə=dʁa=pe=dy=kɔs=tymə=dy=nə=na=ty=ʁə=e=tʁɑ̃=ʒεʁə 14
ʒə=sɥi=zynəɔ=mə=vi=vɑ̃=dɑ̃=sε=tə=e=pɔ=kə=ɡe=ʁjεʁə 14
kɔ=mɑ̃=tʁu=ve=dɑ̃sə=va=kaʁ=mə=y=nə=li=be=ʁa=sjɔ̃ 14
fo=il=kʁwa=ʁə=a=tu=tə=sε=ʁə=li=ʒj=ɔ̃ 12
ʒə=ʁə=ɡʁεtə=lε=djø=zɑ̃=sj=ɛ̃=ki=e=tε=plys=kuʁ=twa 14
ki=ʒa=mε=ne=zi=tε=a=bε=ze=də=ʒɔ=li=mi=nwa 14
o=ʒuʁ=dɥi=kɔ̃=bjɛ̃=ɑ̃=lœʁ=nɔ̃=da=bɔ=mi=na=s=jɔ̃ 14
ʒə=ʁə=tʁu=və=lə=kal=mə=ɑ̃=ʁə=ɡaʁ=dɑ̃=la=mεʁ 13
ɑ̃=ne=ku=tɑ̃=lə=ʁe=sak=dε=va=ɡə 10
ɑ̃=ma=bʁə=vɑ̃=də=le=ky=mə=a=meʁ 10
ʃa=kœ̃=a=dʁwa=a=sa=ma=dʁaɡ 8
ɑ̃ʁə=ɡaʁ=dɑ̃=lə=lwɛ̃=tɛ̃=ɔ=ʁi=zɔ̃=a=kɔ̃=tɑ̃=ple=lə=sɔ=lεj=sə=ku=ʃe 19
a=me=mεʁ=vε=je=dε=nɥ=aʒə=sɑ̃=ɡlɑ̃=syʁ=lə=blø=nɥi=də=lɔ=se=ɑ̃ 18
a=pa=to=ʒe=ɑ̃=kɔʁəy=nə=fwa=dɑ̃=sε=tə=o=ma=tεʁ=nεllə=e=pu=ze 18
ʒə=sɑ̃s=dɑ̃=mɔ̃=naməa=ʁi=ve=la=li=be=ʁa=sjɔ̃=ɔp=se=dɑ̃tə 15
ʒə=mə=paʁə=dε=zε=lə=dy=ɡɔ=e=lɑ̃=ʒə=vɔ=ləo=də=sy=dε=kɔʁ=niʃə 18
lε=fa=lεzə=də=ɡʁa=ni=sə=ku=e=paʁ=lε=tɑ̃=pε=tə=ʒə=lε=ʁεvə 17
o=mwɛ̃dʁə=ku=də=vɑ̃=ʒə=me=lε=və=plys-o=kə=lœʁ=ɡlεvə 14
ɑ̃=tu=ʁe=paʁlə=si=lɑ̃=sə=lε=ze=twa=lə=ʒə=mə=de=fo=sə=dε=zaʁ=ti=fisə 20
vwa=la=kɔmə=lə=di=zε=ʃe=ʁo=œ̃=nɔ=mə=ny=fa=səa=vu 15
lε=zεlə=sə=sɔ̃=tεs=tɔ̃=pe=dɑ̃=ma=nu=vεllə=be=a=ti=tydə 15
il=nə=ʁεstə=plys=kœ̃=ʃə=mɛ̃=puʁ=e=ʃa=pe=a=ma=la=si=tydə 16
ynə=ʁu=təe=klε=ʁe=paʁ=dε=fø=daʁ=ʒɑ̃=vεʁ=sə=ʁɑ̃=de=vu 15
vu=zεtə=za=ma=tɑ̃=dʁə=kɔ=mə=la=nɥi=a=tɑ̃=lə=ʒuʁ 14
dɑ̃=no=bε=ze=dɑ̃=no=ka=ʁe=sə=nu=nu=ze=lə=vɔ̃ 14
kɔmə=dε=zɑ̃=ʒə=vεʁ=sε=tə=fa=by=lø=zə=li=be=ʁa=sjɔ̃ 15
ki=e=tɛ̃=la=pœ=ʁə=lɑ̃=ɡwa=sə=la=muʁ 11
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
24/03/2016 22:29Sétarcos L'Hérétique
bravo, très bel écrit, vive la liberté. amicalement
25/03/2016 06:07Lisador
C’est très beau... Pas de doute, on est sur un site de grands poètes...Toutes mes amitiés
25/03/2016 08:18Willy25
Que d’images me vienne à l’esprit en vous lisant,
Je prends gout à votre lecture.
25/03/2016 08:31Patrice.Truffot
Un texte ample et riche d’images, à en être somptueux : excellent!
25/03/2016 10:07Manouche
C’est tout simplement magnifique, un coup de coeur.
Manouche
25/03/2016 11:05Df
que dire de plus qui ne soit déjà dit ? j’ai aimé l’impulsivité l’impétuosité de ton inspiration... tout comme dans la puissance brutale d’un jet, l’expression de la force d’une libération "orgasmique"...
25/03/2016 11:06Mariclothilde
Quel bel écrit visionnaire.....un vrai coup de cœur
Nicole
01/04/2016 21:59Olgaalexandra.Diaconu
C’est très beau.
Olga
02/04/2016 11:08Dédéfrancis
Très belle écriture, imagée et réaliste. Merci du partage.
Dédé Francis
Poème Sentiment
Du 24/03/2016 22:25
L'écrit contient 428 mots qui sont répartis dans 12 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.