Texte:Vieillir
Le Texte
J’aime te regarder assis dans ton fauteuil près de la fenêtre,
Tu regardes le ciel chargé de nuages,
Tes yeux cherchent en vain un rayon de soleil,
Pour illuminer ta journée et réchauffer ton coeur.
Tu vis des merveilleux souvenirs,
Ils sont ancrés dans ta mémoire,
Enfermés comme dans un coffre, dont toi seul à la clé.
Tes gestes sont devenus lents et plus fragiles, ta marche difficile.
Toi qui étais plein d’ardeur et d’ambition,
Tu as abandonné peu à peu la mer, celle qui fut ta maîtresse.
Tu as oublié notre Amour, nos joies, notre bonheur,
Pourtant je suis là près de toi,
Pourquoi n’entends tu pas mon cri ?
Même pour un moment éphémère, j’aimerais revivre notre vie,
Cet amour fougeux que nous partagions.
Je suis désormais dans l’ombre de tes rêves.
Que vais-je devenir si tu pars pour ce voyage d’où on ne revient jamais ?
des journées sans soleil,
Des nuits blanches à chercher la présence de ton corps.
Je m’approche de toi et je te mumure « je t’aime »
Doucement ton visage s’illumine, tu me prends la main
Tendrement tu me réponds : moi aussi je t’aime, reste près de moi.
Dans ce silence, nos âmes vibrent à l’infini.
Tu regardes le ciel chargé de nuages,
Tes yeux cherchent en vain un rayon de soleil,
Pour illuminer ta journée et réchauffer ton coeur.
Tu vis des merveilleux souvenirs,
Ils sont ancrés dans ta mémoire,
Enfermés comme dans un coffre, dont toi seul à la clé.
Tes gestes sont devenus lents et plus fragiles, ta marche difficile.
Toi qui étais plein d’ardeur et d’ambition,
Tu as abandonné peu à peu la mer, celle qui fut ta maîtresse.
Tu as oublié notre Amour, nos joies, notre bonheur,
Pourtant je suis là près de toi,
Pourquoi n’entends tu pas mon cri ?
Même pour un moment éphémère, j’aimerais revivre notre vie,
Cet amour fougeux que nous partagions.
Je suis désormais dans l’ombre de tes rêves.
Que vais-je devenir si tu pars pour ce voyage d’où on ne revient jamais ?
des journées sans soleil,
Des nuits blanches à chercher la présence de ton corps.
Je m’approche de toi et je te mumure « je t’aime »
Doucement ton visage s’illumine, tu me prends la main
Tendrement tu me réponds : moi aussi je t’aime, reste près de moi.
Dans ce silence, nos âmes vibrent à l’infini.
Écrivain Marlou
Marlou a publié sur le site 41 écrits. Marlou est membre du site depuis l'année 2020.Lire le profil de l'auteur poète MarlouSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Vieillir
ʒεmə tə ʁəɡaʁde asi dɑ̃ tɔ̃ fotəj pʁε də la fənεtʁə,ty ʁəɡaʁdə- lə sjεl ʃaʁʒe də nɥaʒə,
tεz- iø ʃεʁʃe ɑ̃ vɛ̃ œ̃ ʁεjɔ̃ də sɔlεj,
puʁ ilymine ta ʒuʁne e ʁeʃofe tɔ̃ kœʁ.
ty vis dε mεʁvεjø suvəniʁ,
il sɔ̃t- ɑ̃kʁe dɑ̃ ta memwaʁə,
ɑ̃fεʁme kɔmə dɑ̃z- œ̃ kɔfʁə, dɔ̃ twa səl a la kle.
tε ʒεstə sɔ̃ dəvənys lɑ̃z- e plys fʁaʒilə, ta maʁʃə difisilə.
twa ki etε plɛ̃ daʁdœʁ e dɑ̃bisjɔ̃,
ty a abɑ̃dɔne pø a pø la mεʁ, sεllə ki fy ta mεtʁεsə.
ty a ublje nɔtʁə amuʁ, no ʒwa, nɔtʁə bɔnœʁ,
puʁtɑ̃ ʒə sɥi la pʁε də twa,
puʁkwa nɑ̃tɑ̃ ty pa mɔ̃ kʁi ?
mεmə puʁ œ̃ mɔmɑ̃ efemεʁə, ʒεməʁε ʁəvivʁə nɔtʁə vi,
sεt amuʁ fuʒø kə nu paʁtaʒjɔ̃.
ʒə sɥi dezɔʁmε dɑ̃ lɔ̃bʁə də tε ʁεvə.
kə vε ʒə dəvəniʁ si ty paʁ puʁ sə vwajaʒə du ɔ̃ nə ʁəvjɛ̃ ʒamε ?
dε ʒuʁne sɑ̃ sɔlεj,
dε nɥi blɑ̃ʃəz- a ʃεʁʃe la pʁezɑ̃sə də tɔ̃ kɔʁ.
ʒə mapʁoʃə də twa e ʒə tə mymyʁə « ʒə tεmə »
dusəmɑ̃ tɔ̃ vizaʒə silyminə, ty mə pʁɑ̃ la mɛ̃
tɑ̃dʁəmɑ̃ ty mə ʁepɔ̃ : mwa osi ʒə tεmə, ʁεstə pʁε də mwa.
dɑ̃ sə silɑ̃sə, noz- amə vibʁe a lɛ̃fini.
Récompense
Commentaires Sur La Poesie

05/10/2021 13:52Mémo
Je ne vois aucune raison de ne pas mettre un cœur sur ce poème empli de tendresse...
05/10/2021 14:12Anya
Sensibilité,amour, tendresse,un fort joli poème

06/11/2021 08:26Violette
juste magnifique , bravo pour ce joli écrit je met un cœur
Texte Amour
Du 05/10/2021 11:26
L'écrit contient 213 mots qui sont répartis dans 1 strophes.