Prose:Trop Tard
La Prose
Complètement perdu,
Ne plus savoir ou j’en suis.
Je reste là pensif,
Inanimé, comme morte.
Avoir envie que ma vie s’arrête
Mais sans le vouloir vraiment.
Toute les musiques que s’entend,
Me fond penser a toi.
Les brefs moments sans dispute,
Était magnifique !
Et encor je ne trouve pas les mots,
Qui pourrai convenir a ces périodes.
Ne faire voir que le côté glacial.
Ne rien faire voir d’autre.
Ni les blessures que cela m’inflige.
Ni l’incertitude qui m’emprisonne.
J’avais peut-être trouvé celui qui me fallait.
Peut-être ?
Peut-être que nos différences n’étaient que ressemblance.
Allais savoir !
En tout cas, j’ai appris une chose.
Que c’est seulement,
Quand on perd quelqu’un.
Qu’on se rend compte,
A quel point il compte pour nous.
Trop tard, je en peux revenir maintenant,
Tu as tous reconstitué autour de toi.
Je ne veux plus être la cause de cette destruction.
Les visages pleins de larmes, c’est fini.
Certes, j’ai besoin de temps,
Pour reprendre ma vie.
Mais qu’il me fasse un an, dix ans, voir plus.
J’y arriverai quand même.
Mes blessures sanglantes d’aujourd’hui.
Se refermerons demain.
Mon cœur trahi et brisé,
Se ressouderas un jour… .
Ne plus savoir ou j’en suis.
Je reste là pensif,
Inanimé, comme morte.
Avoir envie que ma vie s’arrête
Mais sans le vouloir vraiment.
Toute les musiques que s’entend,
Me fond penser a toi.
Les brefs moments sans dispute,
Était magnifique !
Et encor je ne trouve pas les mots,
Qui pourrai convenir a ces périodes.
Ne faire voir que le côté glacial.
Ne rien faire voir d’autre.
Ni les blessures que cela m’inflige.
Ni l’incertitude qui m’emprisonne.
J’avais peut-être trouvé celui qui me fallait.
Peut-être ?
Peut-être que nos différences n’étaient que ressemblance.
Allais savoir !
En tout cas, j’ai appris une chose.
Que c’est seulement,
Quand on perd quelqu’un.
Qu’on se rend compte,
A quel point il compte pour nous.
Trop tard, je en peux revenir maintenant,
Tu as tous reconstitué autour de toi.
Je ne veux plus être la cause de cette destruction.
Les visages pleins de larmes, c’est fini.
Certes, j’ai besoin de temps,
Pour reprendre ma vie.
Mais qu’il me fasse un an, dix ans, voir plus.
J’y arriverai quand même.
Mes blessures sanglantes d’aujourd’hui.
Se refermerons demain.
Mon cœur trahi et brisé,
Se ressouderas un jour… .
Poète Matiflo
Matiflo a publié sur le site 223 écrits. Matiflo est membre du site depuis l'année 2005.Lire le profil du poète MatifloSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Trop Tard
kɔ̃plεtəmɑ̃ pεʁdy,nə plys savwaʁ u ʒɑ̃ sɥi.
ʒə ʁεstə la pɑ̃sif,
inanime, kɔmə mɔʁtə.
avwaʁ ɑ̃vi kə ma vi saʁεtə
mε sɑ̃ lə vulwaʁ vʁεmɑ̃.
tutə lε myzik kə sɑ̃tɑ̃,
mə fɔ̃ pɑ̃se a twa.
lε bʁεf mɔmɑ̃ sɑ̃ dispytə,
etε maɲifikə !
e ɑ̃kɔʁ ʒə nə tʁuvə pa lε mo,
ki puʁʁε kɔ̃vəniʁ a sε peʁjɔdə.
nə fεʁə vwaʁ kə lə kote ɡlasjal.
nə ʁjɛ̃ fεʁə vwaʁ dotʁə.
ni lε blesyʁə kə səla mɛ̃fliʒə.
ni lɛ̃sεʁtitydə ki mɑ̃pʁizɔnə.
ʒavε pø tεtʁə tʁuve səlɥi ki mə falε.
pø tεtʁə ?
pø tεtʁə kə no difeʁɑ̃sə netε kə ʁəsɑ̃blɑ̃sə.
alε savwaʁ !
ɑ̃ tu ka, ʒε apʁiz- ynə ʃozə.
kə sε sələmɑ̃,
kɑ̃t- ɔ̃ pεʁ kεlkœ̃.
kɔ̃ sə ʁɑ̃ kɔ̃tə,
a kεl pwɛ̃ il kɔ̃tə puʁ nu.
tʁo taʁ, ʒə ɑ̃ pø ʁəvəniʁ mɛ̃tənɑ̃,
ty a tus ʁəkɔ̃stitye otuʁ də twa.
ʒə nə vø plysz- εtʁə la kozə də sεtə dεstʁyksjɔ̃.
lε vizaʒə plɛ̃ də laʁmə, sε fini.
sεʁtə, ʒε bəzwɛ̃ də tɑ̃,
puʁ ʁəpʁɑ̃dʁə ma vi.
mε kil mə fasə œ̃n- ɑ̃, diz- ɑ̃, vwaʁ plys.
ʒi aʁivəʁε kɑ̃ mεmə.
mε blesyʁə sɑ̃ɡlɑ̃tə doʒuʁdɥi.
sə ʁəfεʁməʁɔ̃ dəmɛ̃.
mɔ̃ kœʁ tʁai e bʁize,
sə ʁəsudəʁaz- œ̃ ʒuʁ…
Récompense
Poesie sans commentaire

02/05/2025Poeme-France
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Prose - Sans Thème -
Du 09/08/2007 21:18
L'écrit contient 213 mots qui sont répartis dans 9 strophes.