Texte:Fatale Moralité
A Propos du Texte
une petite histoire…
Le Texte
de condition modeste,
qui, par un concours de circonstances extraordinaires
s’unirent, s’épousèrent,
et avec la complicité d’une compatriote, une Reine,
en arrivèrent à détenir d’un grand Pays les rênes !
En fait, ils n’aimaient pas ce pays,
dont ils n’étaient pas originaires,
comme leur amie la Reine,
et n’eurent que des considérations financières,
quand de gouverner ils voulaient bien se donner la peine !
Mais la conscience d’un très jeune Roy,
fit son chemin et s’éveilla.
Associé à de fidèles et vrais patriotes,
il fit exécuter ces profiteurs,
prit le pouvoir et la responsabilité que ça comporte,
et devint, je crois, un Roy de valeur.
Moralité : le proverbe dit : « noblesse oblige ». La fonction de diriger un grand et puissant pays n’incombe pas à n’importe qui, mais à ceux qui y sont par leur rang destinés.
PostScriptum
comme d’habitude… mon rhume demeure. Voilà ce que c’est de regarder les étoiles la nuit et d’écrire un poème sur Sirius. N’empêche que son reflet bleu est magnifique.
Écrivain Poldereaux
Poldereaux a publié sur le site 1539 écrits. Poldereaux est membre du site depuis l'année 2019.Lire le profil de l'auteur poète PoldereauxSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Fatale Moralité
setε œ̃n- ɔmə e ynə famə,də kɔ̃disjɔ̃ mɔdεstə,
ki, paʁ œ̃ kɔ̃kuʁ də siʁkɔ̃stɑ̃səz- εkstʁaɔʁdinεʁə
syniʁe, sepuzεʁe,
e avεk la kɔ̃plisite dynə kɔ̃patʁjɔtə, ynə ʁεnə,
ɑ̃n- aʁivεʁe a detəniʁ dœ̃ ɡʁɑ̃ pεi lε ʁεnə !
ɑ̃ fε, il nεmε pa sə pεi,
dɔ̃ il netε pa ɔʁiʒinεʁə,
kɔmə lœʁ ami la ʁεnə,
e nəʁe kə dε kɔ̃sideʁasjɔ̃ finɑ̃sjεʁə,
kɑ̃ də ɡuvεʁne il vulε bjɛ̃ sə dɔne la pεnə !
mε la kɔ̃sjɑ̃sə dœ̃ tʁε ʒənə ʁwa,
fi sɔ̃ ʃəmɛ̃ e sevεja.
asɔsje a də fidεləz- e vʁε patʁjɔtə,
il fi εɡzekyte sε pʁɔfitœʁ,
pʁi lə puvwaʁ e la ʁεspɔ̃sabilite kə sa kɔ̃pɔʁtə,
e dəvɛ̃, ʒə kʁwa, œ̃ ʁwa də valœʁ.
mɔʁalite : lə pʁɔvεʁbə di : « nɔblεsə ɔbliʒə ». la fɔ̃ksjɔ̃ də diʁiʒe œ̃ ɡʁɑ̃t- e pɥisɑ̃ pεi nɛ̃kɔ̃bə pa a nɛ̃pɔʁtə ki, mεz- a sø ki i sɔ̃ paʁ lœʁ ʁɑ̃ dεstine.
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
La monarchie c’est pas mon truc non plus, je préfère largement la démocratie, donner le pouvoir de famille en famille, je dis non. Ces gens-là, justement, que je crois aimer, peuvent changer cette tradition, non ? Tous derrière eux ! Merci du partage. Tous ceux qui ont de la valeur sont ceux qui travaillent pour la patrie, ceux qui ont du cœur, de l’intelligence...Donc les gens qui ont de la valeur, il y en a des tonnes.
Il y a des monarques éclairés, mais ce n’ est pas la majorité, trop ont régné grâce à leur naissance sans mérite et sans faire preuve d ’intelligence et de bonne gestion. Les citoyens devraient être associés au pouvoir grâce à des élections mais ils peuvent être eux mêmes inconscients des enjeux et manipulés,alors il faudrait pouvoir garder son libre arbitre et lutter contre les injustices et les inégalités parfois les atrocités. Merci du partage