Prose:Une Déesse

Je ne peux [me] résoudre, aujourd’hui
de ne pas penser à Vous, à Toi,
panser ma blessure, cette solitude
, car il me faut relier deux termes,
comme des caractères, deux-venus
ôssi complémentaires qu’un-dissociable’
P’tit homme, pas vraiment amoureux,
pas (encore ? ) complètement fou,
mais totalement, amoureux fou,
de vous, belle et adorable égérie ;
comment eut-il pu en être autre’ment ?
Lame de fonds, flèche enivrante ont
, trans’percé violemment moi’ pauvre
coeur, en transe, à l’écoute de cette muse
tendress’ inouïe, Ell’ attend, désor_mais.
Ange survenu de ce ciel, paré d’étoiles
il s’est voilé, de la plus belle, d’entre
d’une, lointaine galaxie nommée « Nathalie ».
Je fonds devant Toi, faible et désarmé,
je devine, remplie sans retenue de
malice, complicité et d’affection mêlées
, portées à un point, une Majuscule
que seule, une Reine, sait distinguer.
J’aimerais simplement ouvrir mes bras,
te faire découvrir, à nouveau, ce gout
si particulier, indescriptible, magnifique
(dû) Bonheur, partagé à deux,
comme ce mot rimant, tel le fleuve
par deux affluents, avec… toujours.