Poème:Un Cercle Vicieux

Il y a une très belle parole de Jean-Luc Mélenchon sur YouTube où il fait un discours et qui dit que le problème c’est ceux qui se gavent, c’est vrai. Un écrit d’actualité, engagé. Merci énormément de votre poésie qui fait réfléchir, vous êtes talentueuse Anya.

Merci pour le commentaire Je me garde bien de la politique mais de voir encore beaucoup de gens démunis et de se dire qu à cause de la crise ce chiffre va augmenter, que certains vont tout perdre, bien sûr pas seulement dans notre pays, forcément interpelle

Merci pour ce beau poème qui dépeint une société où règne l’inégalité et qui attend les changements nécessaires, à la recherche d’attitudes plus justes et solidaires.

Incroyable poème qui témoignent de la réalité que nous devons tous affronter telle qu’elle est : inégale.

Un joli poème. Merci.

Un merveilleux poème critiquant la société, en particulier le principe de l’égalité des chances entre les individus.

Joli poème qui nous mène vers plus d’humanité. Oui, il est temps de partager,de répartir les biens sur notre belle planète malmenée .
Le poème décrit bien la vie douce pour certains qui profitent plus qu’à satiété de ses bienfaits oubliant le monde qui les entoure, souvent déshérité .
Une nouvelle société est à penser où un équilibre sera retrouvé comme tente de nous le montrer l’auteur.

C’est tellement vrai, ces exagérations de bouffes, à côté de ceux qui ont faim ! problèmes bien cernés et écriture belle et accessible ! merci !

Ah, Anya, Quelles vérités ! Les biens de ce monde
sont mal partagés, alors que certains ont faim, d’autres mangent à satiété et déversent le reste par
dessus bord, le mettant carrément à la poubelle.
Un monde de consommation où le pauvre n’a pas sa place, et n’a pas de part.
Merci Anya pour ce beau partage, bonne journée
Anya, j’ai eu du plaisir à ma lecture, un beau poème.

Des questions qui en disent long sur ce monde, ce cercle vicieux n’est pas vraiment refermé si le début était les consommateurs dans une société égoïste, et si la fin serait des pauvres personnes n’ayant pas pu suivre le rythme de cette vie trop cher et active qui en meurt. J’offre un cœur compatissant et généreux à ce beau poème.

Beauté sans pareil de ce poème magnifique

Pourrait ton changer les choses ? A t’on réellement la possibilité, Si ce n’est avec de petits moyens ? Très beau poème

La société actuelle arrive à ses limites. Un vent de révolte commence à souffler, et il ne pourra que s’amplifier, attiser par une jeunesse qui ne veut pas sombrer...Crever je devrai dire..
Vous voyez juste.

Un cercle vicieux tout à fait et une grande honte, que des hommes et des femmes survivent dans le plus grand dénuement pendant que d’autre vivent dans une opulence indécente. Le pire est que cette accumulation de biens et de moyens passé un certain seuil n’a plus aucun sens. Peut-on vivre sous plusieurs toits, conduire plusieurs voitures ou dépenser en une vie des sommes astronomiques. Il ne s’agit que d’une question d’égo, un moyen de compter les points dans un jeu stupide. J’espère valoir plus que l’argent que je gagne et en l’utilisant pour soulager ceux qui en ont tant besoin être une meilleure personne.

Bonjour ANYA . Très belle poésie relatant un fait de société, de la société actuelle...Je l’ai vécu et cela ne fut pas toujours comme cela. Après la guerre, dans les années 50 et après les gens d’alors n’avaient pas la mentalité de s’"empiffrer" et je pense même que le mot est exagéré. Tant est qu’il y a nombre personnes qui veulent "garder la ligne" et mangent frugal...si si j’en connais. Donc avant, à l’époque précitée pas de publicité proposant des mets riches et des viandes rares! Mais non, on mangeait un très bon repas , un repas de dimanche comme on disait, amélioré
agrémenté de quelques tartes faites maison, crêpes, gaufres. Toute la famille et les invités en étaient ravis. Ce sont les commerces qui ont accéléré la consommation et les familles se sont mises à vouloir manger comme des "riches" comme sur les " pubs " ou comme dans les restaurants chics.: c’est la situation actuelle.
Les gens ne sont pas tous coupables de grosse bouffe, mais de bonne bouffe et s’il y a de trop le reste est gardé pour les jours suivants. Le gaspillage n’est le fait que d’une minorité là est la vérité. Quant aux "pauvres" l’entraide n’a jamais été si élevée si évoluée qu’elle ne l’est maintenant. J’ai fait partie d’une association caritative qui veillait à ce que les familles démunies aient le partage. Nous sommes tous à un certain degré des égoïstes sinon, nous serions Dieu en personne.
Ce n’est pas pour autant que tout aille bien dans le partage mais beaucoup de personnes , vraiment beaucoup donnent de leur temps et leur énergie pour que cela aille mieux.
Anya ,soyez en persuadé .
Emile

Liberté, égalité fraternité, 3 mots bien français qui sont inscrits dans les mairies mais pas dans les esprits, j’ai bien peur que ces valeurs comme d’autres ne soient que des fantasmes philosophiques qui sont antinomiques à la véritable nature de l’homme, la bienveillance existe belle et bien mais elle a du mal à lutter contre l’égoïsme qui gagne trop de batailles dans cette société qui se tient debout artificiellement et sous perfusion économique. Merci pour ce beau partage.

Poème plein d’empathie et de douceur comme toujours merci à toi Anya.
Cordialement Alejo.

Très beau texte ! Vous écrivez super bien sur l’actualité, continuez comme ça !
Amicalement
Marie