Poème:Alors, Que Veux-Tu ?

Regarde mes deux yeux, à l’intérieur de mon âme.
N’est-il pas gardé par l’amour, pris dans ton filet ?
Que ces paroles n’attirent ton œil ou ont un charme
Qui puisse te faire spéculer, je retenterai, tu le sais.

Perfectionniste, je souhaite dompter le meilleur
Des choses, en tirant parti de la beauté, de certains faits.
Le monde est comme une machine attrape-peluche, si blagueur,
Donneur de faux espoirs pour une seule chance de trouver ce qui plaît.

Je t’ai offert ma vie comme une bague en pierre précieuse,
Tu ne l’as pas essayé, pas même pour mon grand plaisir !
Sans m’offusquer, j’irai te présenter Eldorado la grandiose !
L’or du monde a-t-il plus d’onces qu’un sentiment qui jamais ne va finir ?

Et sache que si tu t’en vas, je te suivrai,
Si tu pars dans la jungle, je te traquerai,
Si tu t’échappes, alors la porte je fermerai,
Et malgré tes tentatives, je te retiendrai !

On était censé s’aimer, pardonne-moi si j’ai trop forcé.
Je ne suis qu’un être au masculin ayant soif du féminin.
Se pourrait-il qu’un idiome ne soit qu’au singulier ?
Honnêteté et fidélité restent en ma tête au quotidien…

Tu es celle qui me nourrit, m’éclaire, partir est un crime !
Comme la racine donne toutes ses richesses en détail
À la belle fleur qui resplendit, ainsi tu seras, femme.
Convaincs-moi juste que tu me veux. — Aïe, aïe, aïe, aïe…