Texte:Le Temps Qui Passe.

J’aimerais revenir à mon enfance, vivre la même chose, c’était difficile, mon enfance était difficile et ça empiète sur maintenant au niveau du manque de confiance en moi-même, de ma sociabilité, de mon caractère de paresseux. C’est dur. J’avais besoin de plus d’amour et d’accompagnement... J’aimerais recommencer mais faire mieux, ça on ne peut pas alors il faut faire autrement ! Il n’y a pas longtemps, j’ai écrit "J’ai raté mon enfance, j’ai raté mon adolescence, je raterais ma mort"
Je raterais ma mort est signe d’espoir, ça dit que je ne vais jamais mourir, je vais avoir la vie éternelle parce que je choisis Jésus comme Seigneur et Sauveur et comme ami, oui j’ai eu très peu d’ami malgré ma grande gentillesse mais Jésus est le meilleur des amis qu’on pourrait avoir même si on n’aime pas tous toujours ce qu’il veut pour nous, ce que je sais, c’est que ce n’est pas un projet de malheur, alors faisons lui confiance. Quand je regarde des anciennes publicités, des anciens jeux télévisés...Je ne me sens pas très bien. Je regrette de mélanger le beau et le sale, par exemple, j’ai fait preuve de charité puis le soir, je me masturbe, j’ai été voir Renaud en concert dernièrement et puis après je procrastine trop, j’aide pas assez, je fais du commérage, enfin des choses pas bien quoi...Le temps est riche à faire de magnifiques œuvres, il faut se motiver. Ma motivation c’est l’éternel. L’amour c’est pour quand ? Je dirais quand j’aurais réellement accepté Jésus dans mon cœur. C’est vrai, c’est important de prendre le temps de s’écouter et surtout de ne laisser aucun frère dans la misère. Oui à l’éducation, non à l’exclusion quel qu’il soit. Évidemment, je vais mettre un cœur parce que j’ai pu me confier à travers votre écrit inspirant alors merci infiniment. Vive les vieux qui jardinent et surtout ceux qui parlent à leurs fleurs.

Très beau texte qui nous invite a chérir le passé tout en gardant les yeux rives vers l’avenir qui grâce à la science deviendra meilleur C’est dans cette espérance et en prenant le temps de vivre que l’on peut approcher le bonheur.