Prose:Ma Vie, Ses Années 80. . Disserte, Proses Et Presq

INTRO…

Ma vie… sentimentale et ses à propos, ressemble à la Syrie dévastée, totalement ruinée sous le joug du féminin radical dans sa démesure,

Je serais donc un porc que l’on balance au bout d’une corde chanvré, elle même issue d’une quelconque et presque bio ou biaisé culture. .

Mon tort, aimer l’autre, aimer aimer dans une narcisse de bonne foi, de bon aloi, dansant sous une musique et lumière faiblarde avec ce lexique d’appoint, au rythme de la bonne augure. .

Me voilà donc, comme beaucoup sombre réfugié de ces sentiments voués à la destinée d’un casting odorant et d’ordures. .

Serais donc déchet, ses hauts le coeur, sa nausée, ses odeurs, diligent à embrasser de mes bras l’éternel le rôle de la perfide pourriture.

DEVELLOPEMENT…

Pourtant… j’ai longtemps penser qu’aimer à foison était l’unique, la seule et commode solution, dans une existence au départ fléchie et manquant de souplesse ternie par ce fond de naïveté, d’une raideur de façon.

Moi qui ai grandi sous la candeur d’une Candy bon marché, oui même si ici, on s’amuse on pleure on rit, comme dans tous les pays d’une terre d’imagination. . On constate l’affable d’une tristesse de raison.

Un cachalot barbu aux chemises fleuries prônait l’importance du big bisous, un Albert obèse qui me souhaitait le bonjour, une oasis haute et altière affublée de mirages de moult illusions.

Princesse Sarah et toi ? ? bien ou bien ? ? Devoir se rattacher à des souvenirs que l’on croyaient partisans du pire, cotoyer la lie, racler les culs d’un passé au souvenir absent de sourire. . Et coudoyer le fond. .

J’ai même vu un Johnny, à la fois me parler d’une Gabrielle et de bikini, d’un porte à porte de pénitence, de l’évidence de sa Laura, de son David et du financier vide de ces malchances notariales, de son héritage à la teneur du sa et du son…

Gainsbarg m’avais mis la bourre, Gainsbourg avait haussé la barre, lui et son érection lexicale, son foutre au vocabulaire du jour, le poinçonneur des Lilas et de ces hauts de lie, bien las de cette vie déserté de passion. De ces je t’aime moi non plus, le Con ! ! ! !

Olive et Tom avaient besoin de quelques heures, quelques épisodes pour traverser le terrain, un horizon qui naissait des chevilles pour mourir aux hanches de l’incertain, un sentiment débile animé du doute sous une ferveur à la con et futile, une soit-disante sainte mission.

Hache y pêt. . Hache aux pieds. . Sacré Sydney. . Et sa flatulence de K-Way sous ces halls aux boîtes aux lettres cramées et simplement évider de leurs civiques nominations.
J’ai tendrement rippé de joie sur ces sons convenus du mal entendu, comme de ces échos aux beats ou bites sourds de foison.

Une nostalgie à deux balles, à deux boules ou deux billes, au relent de sentimental, d’un présent qui vrille aux échos d’un passé futile, aux aznavours de désamours des gens qui braillent et brêlent du jacques Ripper que je suis, où de sa perfide et délétère notion ? ?

Au bal de l’avoine, un sos sous assise à. Ou assis à la table de ces restos d’écoeur, car quand on arrive en ville on côtoie à la fois les enfoirés au cul louche, les enculés aux cous lâches et aussi du coup, aux autres sombres lèches fions ! !

CONCLUSION…

Aujourd’hui, ne suis que l’ombre de mes envies, ne survis qu’à travers la noirceur de ces désirs stupides et avides au mélange de ces ferveurs et rancoeurs,

Ne suis qu’un pauvre mec s’attachant à des souvenirs d’une période négligée et profondément oublié. Une existence filmé dont le premier rôle, est joué par une Hollywoodienne peur.

Ces années, mes quatre vins, pourtant au cru de la meilleure cuvée qui soit, une existence de coteaux, aux versants souvent ensoleillés, à la vendange de labeur…

J’en vomis le temps, en dégueule mes tripes, aux souvenirs d’argent préfère l’oubli doré de ces carats certifiés, ces aléas de fripe, à cette fausse élégance de hauteur…

Une vie de merde, de daube aux rêves si légers, sous ce jour la tête dans le cuvette, seule la mort est portante de serviette, seule la mort fait preuve de douceur…

Suresnes et son mont Valérien… J’arrive ! !