Poème:Sa Beauté Reflète Sa Grandeur
A Propos du Poeme
Poème en Sextine
Le Poème
-L’aube au timide sourire jaillit d’un pied vermeil
Épanchant ses tendres rosées sur les jeunes fleurs
Et sans fin de son éclat, l’univers vivant sous le lourd sommeil
Ô vision éblouissante et sans pareil !
Du drap du ciel se dressa de toute son hauteur
Fille du songe, fière et libre, la majestueuse lumière
-D’une divine image jaillissait le jour, des yeux de la majestueuse lumière
D’une vive fulguration et de beauté toute vermeille
Et sans hâter sa marche, du couloir du ciel et de ses hauteurs
Aveuglant les brouillards et plus aimait que les belles fleurs
Réapparait le roi soleil, reflétant ses rayons riants d’un amour sans pareil
Sur les grands lits de la terre et de clartés la vie que jamais ne sommeille
- Éternelle la vie et de ses yeux que jamais ne sommeillent
Telle une grande comète que ne s’éteignait jamais sa lumière
Muette à nos yeux, mais nous pulsait de son souffle d’amour sans pareil
De jour et de nuit, portant défi, à la mort, au temps, d’un œil tranquille et de merveille
Parfois contradictoire en nos luttes infinies, mais souvent fleurie telle une fleur
Même si elle est coupable et innocente, détenait le secret de toutes nos histoires
- En ce brumeux monde où tout a changé mais jamais l’histoire
Les âmes sensibles, les passionnés, les peinés, que jamais ne sommeillent
Cherchant toujours en ses ombres de paix voilaient de son arôme de vierge fleur
Nuits et jours, en son sein sublime, un appui, un brin d’espoir et de lumière
Sans bruit et sans crier, de tendresses et d’harmonies toutes merveilles
L’air, la nature, l’univers tout entier, l’illuminait d’un amour sans pareil
-Ô fraicheurs de la vie ! Ton chant habituel et sans pareil
Et tes cris de joies et mains ouvertes, à tout vivant œil, sans histoire
Qu’il est doux dans l’air remarquable, votre valse invisible toute merveille
Sous les yeux clairs de la beauté que jamais ne sommeille
À chaque matin quand sonnait l’heure et s’éveillaient avec la lumière
Tels les oiseaux amoureux des verts buissons et des jolies fleurs
-Les pensées d’amour, les yeux de l’espérance, le parfum divin des fleurs
Qui se levaient des sèves, des sources et des frontières du silence, sont pareils
Aux parfums des beautés qui fusionnent d’amours en la claire lumière
À l’heure où revenait la vie à chaque âme et renouvelait son histoire
De brèves voluptés et de peines, mais reste toujours rayonnante et sans sommeille
Enflammant de ses verbes d’amour, la famille humaine et l’a baignait de ses merveilles
Ô merveilles ! J’ai tant aimé, vos beautés d’harmonies et de ton parfum divin de fleur
La tristesse aujourd’hui, a envahi vos paisibles vues et a embaumé d’oubli sans pareil
Vos sourires purs et hauts comme les cimes, vos temps parfaits aux libres lumières.
Épanchant ses tendres rosées sur les jeunes fleurs
Et sans fin de son éclat, l’univers vivant sous le lourd sommeil
Ô vision éblouissante et sans pareil !
Du drap du ciel se dressa de toute son hauteur
Fille du songe, fière et libre, la majestueuse lumière
-D’une divine image jaillissait le jour, des yeux de la majestueuse lumière
D’une vive fulguration et de beauté toute vermeille
Et sans hâter sa marche, du couloir du ciel et de ses hauteurs
Aveuglant les brouillards et plus aimait que les belles fleurs
Réapparait le roi soleil, reflétant ses rayons riants d’un amour sans pareil
Sur les grands lits de la terre et de clartés la vie que jamais ne sommeille
- Éternelle la vie et de ses yeux que jamais ne sommeillent
Telle une grande comète que ne s’éteignait jamais sa lumière
Muette à nos yeux, mais nous pulsait de son souffle d’amour sans pareil
De jour et de nuit, portant défi, à la mort, au temps, d’un œil tranquille et de merveille
Parfois contradictoire en nos luttes infinies, mais souvent fleurie telle une fleur
Même si elle est coupable et innocente, détenait le secret de toutes nos histoires
- En ce brumeux monde où tout a changé mais jamais l’histoire
Les âmes sensibles, les passionnés, les peinés, que jamais ne sommeillent
Cherchant toujours en ses ombres de paix voilaient de son arôme de vierge fleur
Nuits et jours, en son sein sublime, un appui, un brin d’espoir et de lumière
Sans bruit et sans crier, de tendresses et d’harmonies toutes merveilles
L’air, la nature, l’univers tout entier, l’illuminait d’un amour sans pareil
-Ô fraicheurs de la vie ! Ton chant habituel et sans pareil
Et tes cris de joies et mains ouvertes, à tout vivant œil, sans histoire
Qu’il est doux dans l’air remarquable, votre valse invisible toute merveille
Sous les yeux clairs de la beauté que jamais ne sommeille
À chaque matin quand sonnait l’heure et s’éveillaient avec la lumière
Tels les oiseaux amoureux des verts buissons et des jolies fleurs
-Les pensées d’amour, les yeux de l’espérance, le parfum divin des fleurs
Qui se levaient des sèves, des sources et des frontières du silence, sont pareils
Aux parfums des beautés qui fusionnent d’amours en la claire lumière
À l’heure où revenait la vie à chaque âme et renouvelait son histoire
De brèves voluptés et de peines, mais reste toujours rayonnante et sans sommeille
Enflammant de ses verbes d’amour, la famille humaine et l’a baignait de ses merveilles
Ô merveilles ! J’ai tant aimé, vos beautés d’harmonies et de ton parfum divin de fleur
La tristesse aujourd’hui, a envahi vos paisibles vues et a embaumé d’oubli sans pareil
Vos sourires purs et hauts comme les cimes, vos temps parfaits aux libres lumières.
PostScriptum
j’habite ma part de vivre, la cause perdue de l’absent, l’écho et l’âge du matin, la voix qui dit l’amour, l’autre rythme des îles.
Poète Tulipe Noire
Tulipe Noire a publié sur le site 397 écrits. Tulipe Noire est membre du site depuis l'année 2011.Lire le profil du poète Tulipe NoireSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Sa Beauté Reflète Sa Grandeur
as=té=ris=que=lau=be=au=ti=mi=de=sou=ri=re=jaillit=dun=pied=ver=meil 18épan=chant=ses=ten=dres=ro=sées=sur=les=jeu=nes=fleurs 12
et=sans=fin=de=son=é=clat=lu=ni=vers=vi=vant=sous=le=lourd=som=meil 17
ô=vi=si=on=é=blou=is=san=te=et=sans=pa=reil 13
du=drap=du=ciel=se=dres=sa=de=tou=te=son=hau=teur 13
fi=lle=du=son=ge=fiè=re=et=li=bre=la=ma=jes=tueu=se=lu=miè=re 18
as=té=ris=que=dune=di=vine=i=mage=jaillis=sait=le=jour=des=yeux=de=la=ma=jes=tueu=se=lu=mière 23
du=ne=vi=ve=ful=gu=ra=ti=on=et=de=beau=té=tou=te=ver=mei=lle 18
et=sans=hâ=ter=sa=mar=che=du=cou=loir=du=ciel=et=de=ses=hau=teurs 17
aveu=glant=les=brouil=lards=et=plus=ai=mait=que=les=bel=les=fleurs 14
ré=ap=pa=rait=le=roi=so=leil=re=flé=tant=ses=rayons=riants=dun=a=mour=sans=pa=reil 20
sur=les=grands=lits=de=la=terreet=de=clar=tés=la=vie=que=ja=mais=ne=som=meille 18
as=té=ris=queé=ter=nel=le=la=vieet=de=ses=yeux=que=ja=mais=ne=som=meillent 18
tel=le=une=gran=de=co=mè=te=que=ne=sé=tei=gnait=ja=mais=sa=lu=mière 18
muette=à=nos=y=eux=mais=nous=pul=sait=de=son=souf=fle=da=mour=sans=pa=reil 18
de=jour=et=de=nuit=por=tant=dé=fi=à=la=mort=au=temps=dun=œil=tran=quilleet=de=mer=veille 21
par=fois=con=tra=dic=toireen=nos=lut=tes=in=fi=nies=mais=souvent=fleu=rie=tel=leune=fleur 19
même=si=elleest=cou=pableet=in=nocen=te=dé=te=nait=le=se=cret=de=tou=tes=nos=his=toires 20
as=té=ris=queen=ce=bru=meux=monde=où=tout=a=chan=gé=mais=ja=mais=lhis=toire 18
les=â=mes=sen=sibles=les=pas=sion=nés=les=pei=nés=que=ja=mais=ne=som=meillent 18
cher=chant=tou=jours=en=ses=ombres=de=paix=voi=laient=de=son=a=rôme=de=vierge=fleur 18
nuits=et=jours=en=son=sein=su=blime=un=ap=pui=un=brin=des=poir=et=de=lu=mière 19
sans=bruit=et=sans=crier=de=ten=dres=ses=et=d=har=mo=nies=tou=tes=mer=veilles 18
lair=la=na=ture=lu=ni=vers=tout=en=tier=lillu=mi=nait=dun=a=mour=sans=pa=reil 19
as=té=ris=que=ô=frai=cheurs=de=la=vie=ton=chant=ha=bi=tuel=et=sans=pa=reil 19
et=tes=cris=de=joies=et=mains=ou=ver=tes=à=tout=vi=vant=œil=sans=his=toire 18
quil=est=doux=dans=lair=re=mar=quable=votre=val=sein=vi=si=ble=tou=te=mer=veille 18
sous=les=y=eux=clairs=de=la=beau=té=que=ja=mais=ne=som=mei=lle 16
à=cha=que=ma=tin=quand=son=nait=l=heure=et=sé=veillaient=a=vec=la=lu=mière 18
tels=les=oi=seaux=a=mou=reux=des=verts=buis=sons=et=des=jo=lies=fleurs 16
as=té=ris=que=les=pen=sées=da=mour=les=yeux=de=les=pé=rance=le=par=fum=di=vin=des=fleurs 22
qui=se=le=vaient=des=sèves=des=sources=et=des=fron=tières=du=si=len=ce=sont=pa=reils 19
aux=par=fums=des=beau=tés=qui=fu=sion=nent=da=mours=en=la=clai=re=lu=mière 18
à=lheureoù=re=ve=nait=la=vieà=cha=que=â=me=et=re=nouve=lait=son=his=toire 18
de=brèves=vo=lup=tés=et=de=peines=mais=res=te=tou=jours=rayon=nan=teet=sans=som=meille 19
en=flam=mant=de=ses=verbes=da=mour=la=fa=mille=hu=mai=neet=la=bai=gnait=de=ses=mer=veilles 21
ô=mer=veilles=jai=tant=ai=mé=vos=beau=tés=dhar=mo=nies=et=de=ton=par=fum=di=vin=de=fleur 22
la=tristes=seau=jourdhui=a=en=va=hi=vos=pai=sibles=vues=et=a=em=bau=mé=dou=bli=sans=pa=reil 22
vos=sou=rires=purs=et=hauts=comme=les=cimes=vos=temps=par=faits=aux=li=bres=lu=mières 18
Phonétique : Sa Beauté Reflète Sa Grandeur
asteʁiskə lobə o timidə suʁiʁə ʒaji dœ̃ pje vεʁmεjepɑ̃ʃɑ̃ sε tɑ̃dʁə- ʁoze syʁ lε ʒənə flœʁ
e sɑ̃ fɛ̃ də sɔ̃n- ekla, lynive vivɑ̃ su lə luʁ sɔmεj
o vizjɔ̃ ebluisɑ̃tə e sɑ̃ paʁεj !
dy dʁa dy sjεl sə dʁesa də tutə sɔ̃-otœʁ
fijə dy sɔ̃ʒə, fjεʁə e libʁə, la maʒεstɥøzə lymjεʁə
asteʁiskə dynə divinə imaʒə ʒajisε lə ʒuʁ, dεz- iø də la maʒεstɥøzə lymjεʁə
dynə vivə fylɡyʁasjɔ̃ e də bote tutə vεʁmεjə
e sɑ̃z- ate sa maʁʃə, dy kulwaʁ dy sjεl e də sεz- otœʁ
avøɡlɑ̃ lε bʁujaʁdz- e plysz- εmε kə lε bεllə flœʁ
ʁeapaʁε lə ʁwa sɔlεj, ʁəfletɑ̃ sε ʁεjɔ̃ ʁjɑ̃ dœ̃n- amuʁ sɑ̃ paʁεj
syʁ lε ɡʁɑ̃ li də la teʁə e də klaʁte la vi kə ʒamε nə sɔmεjə
asteʁiskə etεʁnεllə la vi e də sεz- iø kə ʒamε nə sɔmεje
tεllə ynə ɡʁɑ̃də kɔmεtə kə nə setεɲε ʒamε sa lymjεʁə
mɥεtə a noz- iø, mε nu pylsε də sɔ̃ suflə damuʁ sɑ̃ paʁεj
də ʒuʁ e də nɥi, pɔʁtɑ̃ defi, a la mɔʁ, o tɑ̃, dœ̃n- œj tʁɑ̃kjə e də mεʁvεjə
paʁfwa kɔ̃tʁadiktwaʁə ɑ̃ no lytəz- ɛ̃fini, mε suvɑ̃ fləʁi tεllə ynə flœʁ
mεmə si εllə ε kupablə e inɔsɑ̃tə, detənε lə sεkʁε də tutə no istwaʁə
asteʁiskə ɑ̃ sə bʁymø mɔ̃də u tut- a ʃɑ̃ʒe mε ʒamε listwaʁə
lεz- amə sɑ̃siblə, lε pasjɔne, lε pεne, kə ʒamε nə sɔmεje
ʃεʁʃɑ̃ tuʒuʁz- ɑ̃ sεz- ɔ̃bʁə- də pε vwalε də sɔ̃n- aʁomə də vjεʁʒə flœʁ
nɥiz- e ʒuʁ, ɑ̃ sɔ̃ sɛ̃ syblimə, œ̃n- apɥi, œ̃ bʁɛ̃ dεspwaʁ e də lymjεʁə
sɑ̃ bʁɥi e sɑ̃ kʁje, də tɑ̃dʁesəz- e daʁmɔni tutə mεʁvεjə
lεʁ, la natyʁə, lynive tut- ɑ̃tje, lilyminε dœ̃n- amuʁ sɑ̃ paʁεj
asteʁiskə o fʁεʃœʁ də la vi ! tɔ̃ ʃɑ̃-abitɥεl e sɑ̃ paʁεj
e tε kʁi də ʒwaz- e mɛ̃z- uvεʁtə, a tu vivɑ̃ œj, sɑ̃z- istwaʁə
kil ε du dɑ̃ lεʁ ʁəmaʁkablə, vɔtʁə valsə ɛ̃viziblə tutə mεʁvεjə
su lεz- iø klεʁ də la bote kə ʒamε nə sɔmεjə
a ʃakə matɛ̃ kɑ̃ sɔnε lœʁ e sevεjε avεk la lymjεʁə
tεl lεz- wazoz- amuʁø dε vεʁ bɥisɔ̃z- e dε ʒɔli flœʁ
asteʁiskə lε pɑ̃se damuʁ, lεz- iø də lεspeʁɑ̃sə, lə paʁfœ̃ divɛ̃ dε flœʁ
ki sə ləvε dε sεvə, dε suʁsəz- e dε fʁɔ̃tjεʁə dy silɑ̃sə, sɔ̃ paʁεj
o paʁfœ̃ dε bote ki fyzjɔne damuʁz- ɑ̃ la klεʁə lymjεʁə
a lœʁ u ʁəvənε la vi a ʃakə amə e ʁənuvəlε sɔ̃n- istwaʁə
də bʁεvə vɔlyptez- e də pεnə, mε ʁεstə tuʒuʁ ʁεjɔnɑ̃tə e sɑ̃ sɔmεjə
ɑ̃flamɑ̃ də sε vεʁbə- damuʁ, la famijə ymεnə e la bεɲε də sε mεʁvεjə
o mεʁvεjə ! ʒε tɑ̃ εme, vo bote daʁmɔniz- e də tɔ̃ paʁfœ̃ divɛ̃ də flœʁ
la tʁistεsə oʒuʁdɥi, a ɑ̃vai vo pεziblə vɥz- e a ɑ̃bome dubli sɑ̃ paʁεj
vo suʁiʁə pyʁz- e-o kɔmə lε simə, vo tɑ̃ paʁfεz- o libʁə- lymjεʁə.
Syllabes Phonétique : Sa Beauté Reflète Sa Grandeur
as=te=ʁis=kə=lo=bə=o=ti=mi=də=su=ʁi=ʁə=ʒa=ji=dœ̃=pj=e=vεʁ=mεj 20e=pɑ̃=ʃɑ̃=sε=tɑ̃=dʁə=ʁo=ze=syʁ=lε=ʒə=nə=flœ=ʁə 14
e=sɑ̃=fɛ̃=də=sɔ̃=ne=kla=ly=ni=ve=vi=vɑ̃=su=lə=luʁ=sɔ=mεj 17
o=vi=zj=ɔ̃=e=blu=i=sɑ̃=tə=e=sɑ̃=pa=ʁεj 13
dy=dʁa=dy=sjεl=sə=dʁe=sa=də=tu=tə=sɔ̃-o=tœ=ʁə 14
fi=jə=dy=sɔ̃=ʒə=fj=ε=ʁə=e=li=bʁə=la=ma=ʒεs=tɥ=ø=zə=ly=mj=ε=ʁə 21
as=te=ʁiskə=dynə=di=vinə=i=ma=ʒə=ʒa=ji=sε=lə=ʒuʁ=dε=ziø=də=la=ma=ʒεs=tɥø=zə=ly=mjεʁə 24
dy=nə=vi=və=fyl=ɡy=ʁa=sj=ɔ̃=e=də=bo=te=tu=tə=vεʁ=mε=jə 18
e=sɑ̃=za=te=sa=maʁ=ʃə=dy=ku=lwaʁ=dy=sjεl=e=də=sε=zo=tœ=ʁə 18
a=vø=ɡlɑ̃=lε=bʁu=jaʁ=dze=plys=zε=mε=kə=lε=bεl=lə=flœ=ʁə 16
ʁe=a=pa=ʁε=lə=ʁwa=sɔ=lεj=ʁə=fle=tɑ̃=sε=ʁε=jɔ̃=ʁj=ɑ̃=dœ̃=na=muʁ=sɑ̃=pa=ʁεj 22
syʁ=lε=ɡʁɑ̃=li=də=la=te=ʁə=e=də=klaʁ=te=la=vi=kə=ʒa=mε=nə=sɔ=mε=jə 21
as=te=ʁis=kə=e=tεʁ=nεl=lə=la=vi=e=də=sε=zi=ø=kə=ʒa=mε=nə=sɔ=mε=je 22
tεl=lə=y=nə=ɡʁɑ̃=də=kɔ=mε=tə=kə=nə=se=tε=ɲε=ʒa=mε=sa=ly=mj=ε=ʁə 21
mɥε=tə=a=no=zi=ø=mε=nu=pyl=sε=də=sɔ̃=su=flə=da=muʁ=sɑ̃=pa=ʁεj 19
də=ʒuʁ=e=də=nɥi=pɔʁ=tɑ̃=de=fi=a=la=mɔʁ=o=tɑ̃=dœ̃=nœj=tʁɑ̃=kjə=e=də=mεʁ=vεjə 22
paʁ=fwa=kɔ̃=tʁa=dik=twaʁə=ɑ̃=no=ly=tə=zɛ̃=fi=ni=mε=su=vɑ̃=flə=ʁi=tεllə=y=nə=flœʁ 22
mεmə=si=εlləε=ku=pablə=e=i=nɔ=sɑ̃=tə=de=tə=nε=lə=sε=kʁε=də=tu=tə=no=is=twaʁə 22
as=te=ʁis=kə=ɑ̃=sə=bʁy=mø=mɔ̃=də=u=tu=ta=ʃɑ̃=ʒe=mε=ʒa=mε=lis=twa=ʁə 21
lε=za=mə=sɑ̃=si=blə=lε=pa=sj=ɔ=ne=lε=pε=ne=kə=ʒa=mε=nə=sɔ=mε=j=e 22
ʃεʁ=ʃɑ̃=tu=ʒuʁ=zɑ̃=sε=zɔ̃=bʁə=də=pε=vwa=lε=də=sɔ̃=na=ʁo=mə=də=vjεʁ=ʒə=flœ=ʁə 22
nɥi=ze=ʒuʁ=ɑ̃=sɔ̃=sɛ̃=sy=bli=mə=œ̃=nap=ɥi=œ̃=bʁɛ̃=dεs=pwaʁ=e=də=ly=mj=ε=ʁə 22
sɑ̃=bʁɥi=e=sɑ̃=kʁj=e=də=tɑ̃=dʁe=sə=ze=daʁ=mɔ=ni=tu=tə=mεʁ=vε=jə 19
lεʁ=la=na=ty=ʁə=ly=ni=ve=tu=tɑ̃=tj=e=li=ly=mi=nε=dœ̃=na=muʁ=sɑ̃=pa=ʁεj 22
as=te=ʁis=kə=o=fʁε=ʃœ=ʁə=də=la=vi=tɔ̃=ʃɑ̃-a=bit=ɥεl=e=sɑ̃=pa=ʁεj 20
e=tε=kʁi=də=ʒwa=ze=mɛ̃=zu=vεʁ=tə=a=tu=vi=vɑ̃=œj=sɑ̃=zis=twa=ʁə 19
kil=ε=du=dɑ̃=lεʁ=ʁə=maʁ=ka=blə=vɔ=tʁə=val=sə=ɛ̃=vi=zi=blə=tu=tə=mεʁ=vε=jə 22
su=lε=zi=ø=klεʁ=də=la=bo=te=kə=ʒa=mε=nə=sɔ=mε=jə 16
a=ʃa=kə=ma=tɛ̃=kɑ̃=sɔ=nε=lœ=ʁə=e=se=vε=j=ε=a=vεk=la=ly=mj=ε=ʁə 22
tεl=lε=zwa=zo=za=mu=ʁø=dε=vεʁ=bɥi=sɔ̃=ze=dε=ʒɔ=li=flœ=ʁə 17
as=te=ʁiskə=lε=pɑ̃=se=da=muʁ=lε=ziø=də=lεs=pe=ʁɑ̃=sə=lə=paʁ=fœ̃=di=vɛ̃=dε=flœʁ 22
ki=sə=lə=vε=dε=sε=və=dε=suʁ=sə=ze=dε=fʁɔ̃=tjε=ʁə=dy=si=lɑ̃=sə=sɔ̃=pa=ʁεj 22
o=paʁ=fœ̃=dε=bo=te=ki=fy=zj=ɔ=ne=da=muʁ=zɑ̃=la=klε=ʁə=ly=mj=ε=ʁə 21
a=lœʁ=u=ʁə=və=nε=la=vi=a=ʃa=kə=a=mə=e=ʁə=nu=və=lε=sɔ̃=nis=twa=ʁə 22
də=bʁεvə=vɔ=lyp=te=ze=də=pε=nə=mε=ʁεs=tə=tu=ʒuʁ=ʁε=jɔ=nɑ̃=tə=e=sɑ̃=sɔ=mεjə 22
ɑ̃=fla=mɑ̃də=sε=vεʁ=bə=da=muʁ=la=fa=mi=jəy=mε=nə=e=la=bε=ɲε=də=sε=mεʁ=vεjə 22
o=mεʁ=vε=jə=ʒε=tɑ̃=ε=me=vo=bo=te=daʁ=mɔ=ni=ze=də=tɔ̃=paʁ=fœ̃=di=vɛ̃də=flœʁ 22
la=tʁis=tεsəo=ʒuʁ=dɥi=a=ɑ̃=va=i=vo=pε=ziblə=vɥze=a=ɑ̃=bo=me=du=bli=sɑ̃=pa=ʁεj 22
vo=su=ʁi=ʁə=pyʁ=ze-o=kɔ=mə=lε=si=mə=vo=tɑ̃=paʁ=fε=zo=li=bʁə=ly=mjε=ʁə 22
Historique des Modifications
04/10/2020 00:16
01/07/2020 18:17
10/06/2020 01:24
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
10/06/2020 22:17Tulipe Noire
Je m’excuse encore une autrefois mon ami Orion Vraiment je suis très désolé, merci pour ta compréhension et pour ta gentillesse, désolé mon ami, je sais que tu vas trouver mon acte en supprimant ton commentaire, j’ai pas vu bien ton commentaire et celui, d’un autre commentaire , désolé mon ami, merci pour ta gentillesse et pour ton commentaire et coup de coeur, merci.
30/06/2020 23:55Donovan Nouel
Tulipe Noire vous êtes un poète, ça c’est sûr, je vous mesure même au plus grand, car je vois à travers chaque poésie que vous écrivez, une écriture très belle de la vie, une pensée très intellectuelle et on voit que vous lisez beaucoup. J’ai vraiment adoré celui-ci, riche de vocabulaire, rempli de poésie comme on en voit peu. Vous donnez envie de prendre goût à la vie, se lever le matin et lire votre poème chaque jour promet de la douceur, se sentir bien et annonce ce que c’est la vie, les humains, les animaux, les insectes, les végétaux qui faillent aussi penser puisque beaucoup d’hommes ne pensent qu’à eux, jamais de remise en question sinon c’est quand c’est trop tard. Merci de nous faire voir la vie comme elle est à nos horizons, beaucoup d’entre nous ne le ressentent pas intensément cependant les pays pauvres eux le ressentent, se serrer les coudes d’un pays à l’autre, c’est rêver.
14/08/2020 03:46Printemps
Magnifique, Tulipe Noire! Vous maîtrisez tout ce que vous écrivez! Merci du partage!
01/11/2020 18:57Saber Lahmidi
C’est merveilleux . un coup de coeur mérité.
02/11/2020 07:31Stylus
Quelle écriture !
Superbe !
Merci Tulipe Noire pour le partage.
05/04/2021 22:40Hassan Hyjazi
Un poème dont on tire de belles inspirations. Je suis nouvellement épaté et émerveiller de votre plume tant complimentée, c’est un délice ces succulents vers aux grandes figures de styles et pourtant descriptifs. Les jours reviennent nous apporter vie et d’un style monotone c’est son paysage qui nous en fait voir de toutes les couleurs, j’aime beaucoup la nature et ce poème la fortement bien détaillée à mes yeux !
06/04/2021 16:11Lamarque
J’aime cette poésie où la nature se mêle avec la vie, les sentiments… Elle nous embaume de parfums savoureux qui donne de l’entrain à la vie. Superbe poème qui inspire… et avec un coup de cœur. De nouveaux partages seront les bienvenus… avec tes poèmes qui mènent vers plus de lumière.
Poème Éternel
Du 10/06/2020 01:09
L'écrit contient 494 mots qui sont répartis dans 7 strophes.