Texte:Le Souffle Du Vent.
A Propos du Texte
Un poème sur la Nature.
Le Texte
La neige était tombée abondamment.
Malgré ce froid accompagné de vent,
j’aimai contempler les magnifiques congères
par ce froid temps d’hiver.
Jamais l’hiver ne s’essouffle
jusqu’à ce que vienne le printemps.
Les congères se formant
de par le vent qui souffle.
Un jour je les vis fondre,
le printemps arrivant.
Avec elles les souvenirs s’effondrent,
de cet hiver glaçant.
Comme ces œuvres d’art naturelles,
notre vie est bien éphémère.
Bien finies les congères,
quand dans le ciel volent les hirondelles.
Malgré ce froid accompagné de vent,
j’aimai contempler les magnifiques congères
par ce froid temps d’hiver.
Jamais l’hiver ne s’essouffle
jusqu’à ce que vienne le printemps.
Les congères se formant
de par le vent qui souffle.
Un jour je les vis fondre,
le printemps arrivant.
Avec elles les souvenirs s’effondrent,
de cet hiver glaçant.
Comme ces œuvres d’art naturelles,
notre vie est bien éphémère.
Bien finies les congères,
quand dans le ciel volent les hirondelles.
PostScriptum
OK.

Écrivain Poldereaux
Poldereaux a publié sur le site 2128 écrits. Poldereaux est membre du site depuis l'année 2019.Lire le profil de l'auteur poète PoldereauxSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Le Souffle Du Vent.
la nεʒə etε tɔ̃be abɔ̃damɑ̃.malɡʁe sə fʁwa akɔ̃paɲe də vɑ̃,
ʒεmε kɔ̃tɑ̃ple lε maɲifik kɔ̃ʒεʁə
paʁ sə fʁwa tɑ̃ divεʁ.
ʒamε livεʁ nə sesuflə
ʒyska sə kə vjεnə lə pʁɛ̃tɑ̃.
lε kɔ̃ʒεʁə sə fɔʁmɑ̃
də paʁ lə vɑ̃ ki suflə.
œ̃ ʒuʁ ʒə lε vis fɔ̃dʁə,
lə pʁɛ̃tɑ̃z- aʁivɑ̃.
avεk εllə lε suvəniʁ sefɔ̃dʁe,
də sεt ivεʁ ɡlasɑ̃.
kɔmə sεz- œvʁə- daʁ natyʁεllə,
nɔtʁə vi ε bjɛ̃ efemεʁə.
bjɛ̃ fini lε kɔ̃ʒεʁə,
kɑ̃ dɑ̃ lə sjεl vɔle lεz- iʁɔ̃dεllə.
Récompense
Commentaires Sur La Poesie

05/01/2024 17:38Maricarmelle
Un de ces poèmes que j’adore! Bravo Vincent, je trouve ce poème sublimissime! C’est mon ressenti absolument personnel. Il se lit avec une fluidité douce et musicale dans un apaisement qui ressemble au voile de quiétude que la neige étend sans bruit sur la ville endormie. J’apprécie le parallèle établi dans le dernier quatrain entre le caractère éphémère de la vie et la fonte des congères… C’est tout simplement divin et là je pose mon coup de cœur.
13/01/2024 13:23Anya
Un poème magnifique qui met en parallèle le fil de notre vie et la beauté des saisons qjil se succèdent puis se renouvellent. Avec mon coup de cœur
Texte Nature
Du 02/01/2024 14:44
