Poème:Adieu… Soeur De La Lumière Et De L’azur.
Le Poème
Elle était l’amie, la tendre sœur
La fleur épanouie de la pensée et de la raison
Le soleil du matin, le charme du soir
Le rire enfant des étés et plaisamment
Le ruisseau qui coulait, tendresse et amitié
Apaisant les cœurs qui brûlaient de passion
Elle était… L’aimable, la rêveuse, la troubadour
La tendresse ouverte des jardins
Offrant du fond de son âme son pur amour
Tel le printemps aux rythmes câlins
Éveillant des solitudes et des lits des fleurs
Le pur arôme de l’envie et des paupières du jour
À chaque âme soucieuse, l’espoir aux vifs couleurs
Et belle à consoler l’âme, la lyre de ses dires
Elle était… . Entre les aurores qui effaçaient les nuits
Et le soleil qui brillait pour un jour nouveau
La belle de l’aube et sa tendresse et sa claire poésie
Le songe était sa métaphore et l’amour son ruisseau
L’aventure était sa préférable valse et son infini azur
Pure était son âme, son cœur qui bat
L’amour et la chaleur de la jeunesse et sa verdure
Où le temps se fait soleil et n’a jamais changé de voie
Elle était le libre artiste de son j’étais de fleur
À qui je rends hommage et adoré ses pensées et sa vision
Et sa foucade entre le sourire et ses vifs regards
Que tout crépuscule s’allumait à son soleil veillant
Elle était l’être qui est devenu, l’inoubliable symphonie
La solitaire sur le chemin de l’abondant
Et dans le creux des silences, un ombre projeté en la nuit
Entre le mal qui déchirait son corps et le froid de la mort
Qui l’envahit telle une fleur qui ne verra plus le soleil
Et en silence se fanait en un sombre soir
Ô amère douleur et criarde souffrance aux tons de deuils
Qui s’ouvrent avec leurs plaies et jours de douleurs
Et qui n’ont ni matin, ni couchant, que la tristesse
Où la mort main brutale, en la nuit sans échos
Emportant avec elle au ciel sans lueur, la plus belle rose
Et de son souffle avait éteignit la flamme de son cœur chaleureux
Elle qui avait tant donné, Ô l’amour et à grands flots et à jolies proses
Et la volonté et le courage de vivre sans penser à l’hier jacasseur
Malgré les chagrins de son âme sensible et rêveuse
Son cœur était toujours ouvert, à ses ami "es qu’elle ne pourra plus revoir
Son cœur de bohème que tout crépuscule s’allumait à son soleil
Ô sœur chérie et admirable, sans toi mes jours sont sans chaleurs
En dépit des lumières qui embrasaient l’immense ciel
Adieu… … . Adieu… . . charmante amie et sœur de la vie et de l’art.
La fleur épanouie de la pensée et de la raison
Le soleil du matin, le charme du soir
Le rire enfant des étés et plaisamment
Le ruisseau qui coulait, tendresse et amitié
Apaisant les cœurs qui brûlaient de passion
Elle était… L’aimable, la rêveuse, la troubadour
La tendresse ouverte des jardins
Offrant du fond de son âme son pur amour
Tel le printemps aux rythmes câlins
Éveillant des solitudes et des lits des fleurs
Le pur arôme de l’envie et des paupières du jour
À chaque âme soucieuse, l’espoir aux vifs couleurs
Et belle à consoler l’âme, la lyre de ses dires
Elle était… . Entre les aurores qui effaçaient les nuits
Et le soleil qui brillait pour un jour nouveau
La belle de l’aube et sa tendresse et sa claire poésie
Le songe était sa métaphore et l’amour son ruisseau
L’aventure était sa préférable valse et son infini azur
Pure était son âme, son cœur qui bat
L’amour et la chaleur de la jeunesse et sa verdure
Où le temps se fait soleil et n’a jamais changé de voie
Elle était le libre artiste de son j’étais de fleur
À qui je rends hommage et adoré ses pensées et sa vision
Et sa foucade entre le sourire et ses vifs regards
Que tout crépuscule s’allumait à son soleil veillant
Elle était l’être qui est devenu, l’inoubliable symphonie
La solitaire sur le chemin de l’abondant
Et dans le creux des silences, un ombre projeté en la nuit
Entre le mal qui déchirait son corps et le froid de la mort
Qui l’envahit telle une fleur qui ne verra plus le soleil
Et en silence se fanait en un sombre soir
Ô amère douleur et criarde souffrance aux tons de deuils
Qui s’ouvrent avec leurs plaies et jours de douleurs
Et qui n’ont ni matin, ni couchant, que la tristesse
Où la mort main brutale, en la nuit sans échos
Emportant avec elle au ciel sans lueur, la plus belle rose
Et de son souffle avait éteignit la flamme de son cœur chaleureux
Elle qui avait tant donné, Ô l’amour et à grands flots et à jolies proses
Et la volonté et le courage de vivre sans penser à l’hier jacasseur
Malgré les chagrins de son âme sensible et rêveuse
Son cœur était toujours ouvert, à ses ami "es qu’elle ne pourra plus revoir
Son cœur de bohème que tout crépuscule s’allumait à son soleil
Ô sœur chérie et admirable, sans toi mes jours sont sans chaleurs
En dépit des lumières qui embrasaient l’immense ciel
Adieu… … . Adieu… . . charmante amie et sœur de la vie et de l’art.
PostScriptum
Je le dédie à ma chère amie connue sous le pseudonyme de Lili Sarah Au site, qui a quitté notre monde voilà presque une année, adieu chère amie.
Poète Tulipe Noire
Tulipe Noire a publié sur le site 397 écrits. Tulipe Noire est membre du site depuis l'année 2011.Lire le profil du poète Tulipe NoireSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Adieu… Soeur De La Lumière Et De L’azur.
el=le=é=tait=la=mie=la=ten=dre=sœur 10la=fleur=é=pa=nouie=de=la=pen=sée=et=de=la=rai=son 14
le=so=leil=du=ma=tin=le=char=me=du=soir 11
le=ri=re=en=fant=des=é=tés=et=plai=sam=ment 12
le=ruis=seau=qui=cou=lait=ten=dres=se=et=a=mi=ti=é 14
apai=sant=les=cœurs=qui=brû=laient=de=pas=si=on 11
el=le=é=tait=lai=ma=ble=la=rê=veu=se=la=trou=ba=dour 15
la=ten=dres=se=ou=ver=te=des=jar=dins 10
of=frant=du=fond=de=son=â=me=son=pur=a=mour 12
tel=le=prin=temps=aux=ryth=mes=câ=lins 9
éveillant=des=so=li=tu=des=et=des=lits=des=fleurs 11
le=pur=a=rô=me=de=len=vie=et=des=pau=pi=è=res=du=jour 16
à=cha=que=â=me=sou=cieu=se=les=poir=aux=vifs=cou=leurs 14
et=bel=le=à=con=so=ler=lâ=me=la=ly=re=de=ses=di=res 16
el=le=é=tait=en=tre=les=au=ro=res=qui=ef=fa=çaient=les=nuits 16
et=le=so=leil=qui=brillait=pour=un=jour=nou=veau 11
la=bel=le=de=laube=et=sa=ten=dres=se=et=sa=clai=re=poé=sie 16
le=son=ge=é=tait=sa=mé=ta=pho=re=et=la=mour=son=ruis=seau 16
laven=tu=reé=tait=sa=pré=fé=rable=val=seet=son=in=fi=ni=a=zur 16
pu=re=é=tait=son=â=me=son=cœur=qui=bat 11
la=mour=et=la=cha=leur=de=la=jeu=nes=se=et=sa=ver=du=re 16
où=le=temps=se=fait=so=leil=et=na=ja=mais=chan=gé=de=voie 15
el=le=é=tait=le=li=bre=ar=tis=te=de=son=jé=tais=de=fleur 16
à=qui=je=rends=hom=mageet=a=do=ré=ses=pen=sées=et=sa=vi=sion 16
et=sa=fou=ca=de=en=tre=le=sou=ri=re=et=ses=vifs=re=gards 16
que=tout=cré=pus=cu=le=sal=lu=mait=à=son=so=leil=veillant 14
elle=é=tait=lêtre=qui=est=de=ve=nu=li=nou=blia=ble=sym=pho=nie 16
la=so=li=tai=re=sur=le=che=min=de=la=bon=dant 13
et=dans=le=creux=des=silen=ces=un=om=bre=pro=je=té=en=la=nuit 16
en=tre=le=mal=qui=dé=chi=rait=son=corps=et=le=froid=de=la=mort 16
qui=len=va=hit=tel=le=une=fleur=qui=ne=ver=ra=plus=le=so=leil 16
et=en=si=len=ce=se=fa=nait=en=un=som=bre=soir 13
ô=a=mè=re=dou=leur=et=criar=de=souf=fran=ce=aux=tons=de=deuils 16
qui=sou=vrent=a=vec=leurs=plaies=et=jours=de=dou=leurs 12
et=qui=nont=ni=ma=tin=ni=cou=chant=que=la=tris=tesse 13
où=la=mort=main=bru=ta=le=en=la=nuit=sans=é=chos 13
em=por=tant=a=vec=el=le=au=ciel=sans=lueur=la=plus=bel=le=rose 16
et=de=son=souf=flea=vait=é=tei=gnit=la=flamme=de=son=cœur=cha=leu=reux 17
elle=qui=a=vait=tant=don=né=ô=la=mour=et=à=grands=flots=et=à=jo=lies=proses 19
et=la=vo=lon=té=et=le=cou=rage=de=vivre=sans=pen=ser=à=lhier=ja=cas=seur 19
mal=gré=les=cha=grins=de=son=â=me=sen=si=ble=et=rê=veu=se 16
son=cœur=é=tait=tou=jours=ou=vert=à=ses=a=mi=es=quel=le=ne=pour=ra=plus=re=voir 21
son=cœur=de=bo=hème=que=tout=cré=pus=cule=sal=lu=mait=à=son=so=leil 17
ô=sœur=ché=rie=et=ad=mi=rable=sans=toi=mes=jours=sont=sans=cha=leurs 16
en=dé=pit=des=lu=mi=è=res=qui=em=bra=saient=lim=men=se=ciel 16
adieu=a=dieu=char=man=te=a=mie=et=sœur=de=la=vie=et=de=lart 16
Phonétique : Adieu… Soeur De La Lumière Et De L’azur.
εllə etε lami, la tɑ̃dʁə sœʁla flœʁ epanui də la pɑ̃se e də la ʁεzɔ̃
lə sɔlεj dy matɛ̃, lə ʃaʁmə dy swaʁ
lə ʁiʁə ɑ̃fɑ̃ dεz- etez- e plεzamɑ̃
lə ʁɥiso ki kulε, tɑ̃dʁεsə e amitje
apεzɑ̃ lε kœʁ ki bʁylε də pasjɔ̃
εllə etε… lεmablə, la ʁεvøzə, la tʁubaduʁ
la tɑ̃dʁεsə uvεʁtə dε ʒaʁdɛ̃
ɔfʁɑ̃ dy fɔ̃ də sɔ̃n- amə sɔ̃ pyʁ amuʁ
tεl lə pʁɛ̃tɑ̃z- o ʁitmə kalɛ̃
evεjɑ̃ dε sɔlitydəz- e dε li dε flœʁ
lə pyʁ aʁomə də lɑ̃vi e dε popjεʁə dy ʒuʁ
a ʃakə amə susjøzə, lεspwaʁ o vif kulœʁ
e bεllə a kɔ̃sɔle lamə, la liʁə də sε diʁə
εllə etε… ɑ̃tʁə lεz- oʁɔʁə ki efasε lε nɥi
e lə sɔlεj ki bʁijε puʁ œ̃ ʒuʁ nuvo
la bεllə də lobə e sa tɑ̃dʁεsə e sa klεʁə pɔezi
lə sɔ̃ʒə etε sa metafɔʁə e lamuʁ sɔ̃ ʁɥiso
lavɑ̃tyʁə etε sa pʁefeʁablə valsə e sɔ̃n- ɛ̃fini azyʁ
pyʁə etε sɔ̃n- amə, sɔ̃ kœʁ ki ba
lamuʁ e la ʃalœʁ də la ʒənεsə e sa vεʁdyʁə
u lə tɑ̃ sə fε sɔlεj e na ʒamε ʃɑ̃ʒe də vwa
εllə etε lə libʁə aʁtistə də sɔ̃ ʒetε də flœʁ
a ki ʒə ʁɑ̃z- ɔmaʒə e adɔʁe sε pɑ̃sez- e sa vizjɔ̃
e sa fukadə ɑ̃tʁə lə suʁiʁə e sε vif ʁəɡaʁd
kə tu kʁepyskylə salymε a sɔ̃ sɔlεj vεjɑ̃
εllə etε lεtʁə ki ε dəvəny, linubljablə sɛ̃fɔni
la sɔlitεʁə syʁ lə ʃəmɛ̃ də labɔ̃dɑ̃
e dɑ̃ lə kʁø dε silɑ̃sə, œ̃n- ɔ̃bʁə pʁɔʒəte ɑ̃ la nɥi
ɑ̃tʁə lə mal ki deʃiʁε sɔ̃ kɔʁz- e lə fʁwa də la mɔʁ
ki lɑ̃vai tεllə ynə flœʁ ki nə veʁa plys lə sɔlεj
e ɑ̃ silɑ̃sə sə fanε ɑ̃n- œ̃ sɔ̃bʁə swaʁ
o amεʁə dulœʁ e kʁjaʁdə sufʁɑ̃sə o tɔ̃ də dəj
ki suvʁe avεk lœʁ plεz- e ʒuʁ də dulœʁ
e ki nɔ̃ ni matɛ̃, ni kuʃɑ̃, kə la tʁistεsə
u la mɔʁ mɛ̃ bʁytalə, ɑ̃ la nɥi sɑ̃z- eʃo
ɑ̃pɔʁtɑ̃ avεk εllə o sjεl sɑ̃ lɥœʁ, la plys bεllə ʁozə
e də sɔ̃ suflə avε etεɲi la flamə də sɔ̃ kœʁ ʃaləʁø
εllə ki avε tɑ̃ dɔne, o lamuʁ e a ɡʁɑ̃ floz- e a ʒɔli pʁozə
e la vɔlɔ̃te e lə kuʁaʒə də vivʁə sɑ̃ pɑ̃se a ljεʁ ʒakasœʁ
malɡʁe lε ʃaɡʁɛ̃ də sɔ̃n- amə sɑ̃siblə e ʁεvøzə
sɔ̃ kœʁ etε tuʒuʁz- uvεʁ, a sεz- ami"εs kεllə nə puʁʁa plys ʁəvwaʁ
sɔ̃ kœʁ də bɔεmə kə tu kʁepyskylə salymε a sɔ̃ sɔlεj
o sœʁ ʃeʁi e admiʁablə, sɑ̃ twa mε ʒuʁ sɔ̃ sɑ̃ ʃalœʁ
ɑ̃ depi dε lymjεʁə ki ɑ̃bʁazε limɑ̃sə sjεl
adjø… adjø… ʃaʁmɑ̃tə ami e sœʁ də la vi e də laʁ.
Syllabes Phonétique : Adieu… Soeur De La Lumière Et De L’azur.
εl=lə=e=tε=la=mi=la=tɑ̃=dʁə=sœ=ʁə 11la=flœ=ʁə=e=pa=nu=i=də=la=pɑ̃=se=e=də=la=ʁε=zɔ̃ 16
lə=sɔ=lεj=dy=ma=tɛ̃=lə=ʃaʁ=mə=dy=swaʁ 11
lə=ʁi=ʁə=ɑ̃=fɑ̃=dε=ze=te=ze=plε=za=mɑ̃ 12
lə=ʁɥi=so=ki=ku=lε=tɑ̃=dʁε=sə=e=a=mi=tj=e 14
a=pε=zɑ̃=lε=kœ=ʁə=ki=bʁy=lε=də=pa=s=j=ɔ̃ 14
εl=lə=e=tε=lε=ma=blə=la=ʁε=vø=zə=la=tʁu=ba=duʁ 15
la=tɑ̃=dʁε=sə=u=vεʁ=tə=dε=ʒaʁ=dɛ̃ 10
ɔ=fʁɑ̃=dy=fɔ̃=də=sɔ̃=na=mə=sɔ̃=pyʁ=a=muʁ 12
tεl=lə=pʁɛ̃=tɑ̃=zo=ʁit=mə=ka=lɛ̃ 9
e=vε=j=ɑ̃=dε=sɔ=li=ty=də=ze=dε=li=dε=flœ=ʁə 15
lə=pyʁ=a=ʁo=mə=də=lɑ̃=vi=e=dε=po=pj=ε=ʁə=dy=ʒuʁ 16
a=ʃa=kə=a=mə=su=sj=ø=zə=lεs=pwaʁ=o=vif=ku=lœ=ʁə 16
e=bεl=lə=a=kɔ̃=sɔ=le=la=mə=la=li=ʁə=də=sε=di=ʁə 16
εl=lə=e=tε=ɑ̃=tʁə=lε=zo=ʁɔ=ʁə=ki=e=fa=sε=lε=nɥi 16
e=lə=sɔ=lεj=ki=bʁi=j=ε=puʁ=œ̃=ʒuʁ=nu=vo 13
la=bεllə=də=lobə=e=sa=tɑ̃=dʁε=sə=e=sa=klε=ʁə=pɔ=e=zi 16
lə=sɔ̃=ʒə=e=tε=sa=me=ta=fɔ=ʁə=e=la=muʁ=sɔ̃=ʁɥi=so 16
la=vɑ̃=tyʁəe=tε=sa=pʁe=fe=ʁablə=val=səe=sɔ̃=nɛ̃=fi=ni=a=zyʁ 16
py=ʁə=e=tε=sɔ̃=na=mə=sɔ̃=kœ=ʁə=ki=ba 12
la=muʁ=e=la=ʃa=lœʁ=də=la=ʒə=nε=sə=e=sa=vεʁ=dy=ʁə 16
u=lə=tɑ̃=sə=fε=sɔ=lεj=e=na=ʒa=mε=ʃɑ̃=ʒe=də=vwa 15
εl=lə=e=tε=lə=li=bʁə=aʁ=tis=tə=də=sɔ̃=ʒe=tε=də=flœʁ 16
a=kiʒə=ʁɑ̃=zɔ=ma=ʒəe=a=dɔ=ʁe=sε=pɑ̃=se=ze=sa=vi=zjɔ̃ 16
e=sa=fu=ka=də=ɑ̃=tʁə=lə=su=ʁi=ʁə=e=sε=vif=ʁə=ɡaʁd 16
kə=tu=kʁe=pys=ky=lə=sa=ly=mε=a=sɔ̃=sɔ=lεj=vε=j=ɑ̃ 16
εllə=e=tε=lεtʁə=ki=ε=də=və=ny=li=nu=blja=blə=sɛ̃=fɔ=ni 16
la=sɔ=li=tε=ʁə=syʁ=lə=ʃə=mɛ̃=də=la=bɔ̃=dɑ̃ 13
e=dɑ̃lə=kʁø=dε=si=lɑ̃=sə=œ̃=nɔ̃=bʁə=pʁɔ=ʒə=te=ɑ̃=la=nɥi 16
ɑ̃=tʁə=lə=mal=ki=de=ʃi=ʁε=sɔ̃=kɔʁ=ze=lə=fʁwa=də=la=mɔʁ 16
ki=lɑ̃=va=i=tεl=lə=ynə=flœʁ=ki=nə=ve=ʁa=plys=lə=sɔ=lεj 16
e=ɑ̃=si=lɑ̃=sə=sə=fa=nε=ɑ̃=nœ̃=sɔ̃=bʁə=swaʁ 13
o=a=mε=ʁə=du=lœʁ=e=kʁjaʁ=də=su=fʁɑ̃=sə=o=tɔ̃=də=dəj 16
ki=su=vʁe=a=vεk=lœ=ʁə=plε=ze=ʒuʁ=də=du=lœ=ʁə 14
e=ki=nɔ̃=ni=ma=tɛ̃=ni=ku=ʃɑ̃=kə=la=tʁis=tε=sə 14
u=la=mɔʁ=mɛ̃=bʁy=ta=lə=ɑ̃=la=nɥi=sɑ̃=ze=ʃo 13
ɑ̃=pɔʁ=tɑ̃=a=vεk=εl=lə=o=sjεl=sɑ̃=lɥœʁ=la=plys=bεl=lə=ʁozə 16
e=də=sɔ̃=sufləa=vε=e=tε=ɲi=la=flamə=də=sɔ̃=kœʁ=ʃa=lə=ʁø 16
εllə=ki=a=vε=tɑ̃=dɔ=ne=o=la=muʁ=e=a=ɡʁɑ̃=flo=ze=a=ʒɔlipʁozə 17
e=la=vɔ=lɔ̃=te=e=lə=kuʁaʒə=də=vivʁə=sɑ̃=pɑ̃=se=a=ljεʁ=ʒa=ka=sœʁ 18
mal=ɡʁe=lε=ʃa=ɡʁɛ̃=də=sɔ̃=na=mə=sɑ̃=si=blə=e=ʁε=vø=zə 16
sɔ̃=kœʁ=e=tε=tu=ʒuʁ=zu=vεʁ=a=sε=za=mi=εsə=kεllə=nə=puʁ=ʁa=plys=ʁə=vwaʁ 20
sɔ̃=kœʁ=də=bɔεmə=kə=tu=kʁe=pys=kylə=sa=ly=mε=a=sɔ̃=sɔ=lεj 16
o=sœʁ=ʃe=ʁi=e=ad=mi=ʁablə=sɑ̃=twa=mε=ʒuʁ=sɔ̃=sɑ̃=ʃa=lœʁ 16
ɑ̃=de=pi=dε=ly=mj=ε=ʁə=ki=ɑ̃=bʁa=zε=li=mɑ̃=sə=sjεl 16
a=djø=a=djø=ʃaʁ=mɑ̃tə=a=mi=e=sœʁ=də=la=vi=e=də=laʁ 16
Historique des Modifications
15/01/2019 16:19
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
15/01/2019 16:14Tulipe Noire
Merci à celle où à celui qui a lu mon poème et lui a mis un coup de cœur poétique et un j’aime, je le remercie beaucoup.
09/02/2019 17:08Patjan
Magnifique poésie j’ai été très ému
11/02/2019 09:37Madgirl
Tout simplement magnifique
12/02/2019 10:51Isadorable
Bonjour Tulipe Noire , magnifique poème, c’est un hommage que tu lui rend avec ce poème d’amour et d’amitié qui c’est envolé vers une vie meilleur que la terre,elle restera toujours dans ton coeur cette dame ou amie ou soeur de coeur. Isadorable
17/02/2019 13:29Mikie95
magnifique texte bel hommage à Lili Sarah que j avais plaisir à lire et inversement qu’ elle repose en paix
18/02/2019 10:13Sétarcos L'Hérétique
Bel hommage à Lili Sarah, un an déjà ça passe vite, merci du partage....
18/02/2019 10:56Aviel
Je trouve très beau, merci du partage
28/02/2019 09:00Louviana
Magnifique hommage
03/09/2021 15:17Donovan Nouel
Qu’est-ce que ça doit être bien d’être frère ou sœur de cœur, mais attention à ne pas trop idolâtrer car seule Jésus doit l’être aux yeux de nous car c’est lui qui nous aime plus que tout, il s’est crucifié pour nos péchés. Pour moi c’est ça la définition d’un vrai ami, c’est-à-dire qu’il doit ramener la positivité, la raison et avoir à peu près les mêmes idées politiques et aussi que l’ami soit dans les bons comme dans les mauvais moments, dont "Le soleil du matin, le charme du soir". Avoir un meilleur ami, le meilleur des choses, ce sont les voyages, que plus tard vienne la nostalgie. Putain Tulipe Noire, qu’est-ce que c’est beau, ce que je suis en train de lire, c’est tellement de poésie, d’amour. Comment ça se fait qu’une femme aussi positive peut avoir la santé qui se détériore ? Ça doit être Dieu qu’il la voulait dans ses bras, ahaha. Une fille inoubliable, que la paix soit avec elle. Je suis sûr qu’elle vous a entendu et qu’elle pense encore à vous. Merci infiniment, j’ai adoré.
05/09/2021 11:21Tarentaise
Dans cette très belle ode à l’amitié un rayon de soleil qui jaillit sur le monde… Mais hélas, elle était…
06/09/2021 23:09Gerard
Quel très bel hommage offert à cette personne que je ne lirai sûrement jamais.
Je m’incline devant une telle sensibilité Tulipe Noire.
Mon cdc.
06/09/2021 23:12Printemps
Quel bel hommage à Lili Sarah qui habitera à jamais le jardin de la poésie! Seule une véritable amitié inspirerait si belle déclaration de tendresse comblant l’immense vide de cette présence bien-aimée. Merci du partage, Tulipe Noire, avec mon coup de cœur poétique!
12/09/2021 11:01Lamarque
Que dire de plus de ce si beau poème dédié à cette belle âme. De ce bel hommage jaillissent des rayons de lumière. Merci tulipe de ton superbe partage, avec un coup de cœur bien mérité. Mes amitiés et à bientôt.
13/09/2021 00:56Anya
magnifique! Que dire de plus!
Poème Hommage
Du 02/01/2019 18:49
L'écrit contient 465 mots qui sont répartis dans 1 strophes.