Texte:Marie
A Propos du Texte
un poème d’amour.
Le Texte
Quand tu passes devant ton passé,
souviens-toi de ce beau jour d’été.
C’était l’année mille neuf cent quatre-vingt,
tu étais jeune, tu avais vingt ans,
tu étais beau, tu étais bien.
C’était l’été de ton souvenir,
la vie commençait à te sourire.
Soudain, là au loin, sur le boulevard
tu aperçus une jeune femme,
elle était belle, elle était blonde,
elle avait les cheveux longs et frisés.
Elle marchait seule sur le boulevard noir de monde.
Tu fus à ce point étonné, quand tu la croisas,
de la voir t’adresser un beau sourire.
Puis soudain, d’un vif élan,
tu revins sur tes pas et tu l’accostas.
Tu étais jeune, tu avais de l’allant.
Puis la conversation tu engageas…
Ce fut une trop courte idylle.
Elle était belle, elle se prénommait Marie.
Cet amour, pourtant futile,
ô combien ardent fut-il.
Vous vous embrassâtes,
vous vous aimâtes,
Ô mon amour, ô mon tendre amour d’alors,
ô ma jolie Marie, tant j’aimai ton corps.
Maintenant sur le boulevard,
chaque fois tu te remémores
ce magnifique jour d’été.
Et bien que souvent l’amour s’envole,
que nos passions sont frivoles,
c’était pourtant l’été de ton souvenir,
celui dont tu te souviendras jusqu’à mourir.
souviens-toi de ce beau jour d’été.
C’était l’année mille neuf cent quatre-vingt,
tu étais jeune, tu avais vingt ans,
tu étais beau, tu étais bien.
C’était l’été de ton souvenir,
la vie commençait à te sourire.
Soudain, là au loin, sur le boulevard
tu aperçus une jeune femme,
elle était belle, elle était blonde,
elle avait les cheveux longs et frisés.
Elle marchait seule sur le boulevard noir de monde.
Tu fus à ce point étonné, quand tu la croisas,
de la voir t’adresser un beau sourire.
Puis soudain, d’un vif élan,
tu revins sur tes pas et tu l’accostas.
Tu étais jeune, tu avais de l’allant.
Puis la conversation tu engageas…
Ce fut une trop courte idylle.
Elle était belle, elle se prénommait Marie.
Cet amour, pourtant futile,
ô combien ardent fut-il.
Vous vous embrassâtes,
vous vous aimâtes,
Ô mon amour, ô mon tendre amour d’alors,
ô ma jolie Marie, tant j’aimai ton corps.
Maintenant sur le boulevard,
chaque fois tu te remémores
ce magnifique jour d’été.
Et bien que souvent l’amour s’envole,
que nos passions sont frivoles,
c’était pourtant l’été de ton souvenir,
celui dont tu te souviendras jusqu’à mourir.
PostScriptum
il fait encore très chaud.
Écrivain Poldereaux
Poldereaux a publié sur le site 1529 écrits. Poldereaux est membre du site depuis l'année 2019.Lire le profil de l'auteur poète PoldereauxSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Marie
kɑ̃ ty pasə dəvɑ̃ tɔ̃ pase,suvjɛ̃ twa də sə bo ʒuʁ dete.
setε lane milə nəf sɑ̃ katʁə vɛ̃,
ty etε ʒənə, ty avε vɛ̃t- ɑ̃,
ty etε bo, ty etε bjɛ̃.
setε lete də tɔ̃ suvəniʁ,
la vi kɔmɑ̃sε a tə suʁiʁə.
sudɛ̃, la o lwɛ̃, syʁ lə buləvaʁ
ty apεʁsysz- ynə ʒənə famə,
εllə etε bεllə, εllə etε blɔ̃də,
εllə avε lε ʃəvø lɔ̃ɡz- e fʁize.
εllə maʁʃε sələ syʁ lə buləvaʁ nwaʁ də mɔ̃də.
ty fy a sə pwɛ̃ etɔne, kɑ̃ ty la kʁwaza,
də la vwaʁ tadʁese œ̃ bo suʁiʁə.
pɥi sudɛ̃, dœ̃ vif elɑ̃,
ty ʁəvɛ̃ syʁ tε pa e ty lakɔsta.
ty etε ʒənə, ty avε də lalɑ̃.
pɥi la kɔ̃vεʁsasjɔ̃ ty ɑ̃ɡaʒa…
sə fy ynə tʁo kuʁtə idilə.
εllə etε bεllə, εllə sə pʁenɔmε maʁi.
sεt amuʁ, puʁtɑ̃ fytilə,
o kɔ̃bjɛ̃ aʁde fy til.
vu vuz- ɑ̃bʁasatə,
vu vuz- εmatə,
o mɔ̃n- amuʁ, o mɔ̃ tɑ̃dʁə amuʁ dalɔʁ,
o ma ʒɔli maʁi, tɑ̃ ʒεmε tɔ̃ kɔʁ.
mɛ̃tənɑ̃ syʁ lə buləvaʁ,
ʃakə fwa ty tə ʁəmemɔʁə
sə maɲifikə ʒuʁ dete.
e bjɛ̃ kə suvɑ̃ lamuʁ sɑ̃vɔlə,
kə no pasjɔ̃ sɔ̃ fʁivɔlə,
setε puʁtɑ̃ lete də tɔ̃ suvəniʁ,
səlɥi dɔ̃ ty tə suvjɛ̃dʁa ʒyska muʁiʁ.
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
25/07/2022 21:47Anya
Une belle rencontre,la naissance d’un amour racontée avec nostalgie et sensibilité le genre de souvenir qui aide à vivre.
26/07/2022 00:56Mémo
Très bel narration
26/07/2022 17:31Saoirse
Une belle histoire qui fait vibrer, oui ce genre de souvenirs on les garde toute une vie
27/07/2022 06:53Bo
Dommage que ça n arrive pas plus souvent ! C est tellement vivifiant ,,! Un joli texte !
28/07/2022 00:32Donovan Nouel
Quel joli souvenir d’antan. Un sourire c’est une merveille, moi ça me touche, ça me réjouis...Amour parti avec un passé délicieux. Merci Poldereaux.
03/08/2022 16:48Gerard
C’est magnifique Poldereaux, plein de tendresse. Bravo !
cdc.
Texte Amour
Du 25/07/2022 20:49
L'écrit contient 218 mots qui sont répartis dans 6 strophes.