Les poemes et publication du : 14/02/2020
Les poemes postes
Voici les nouveaux écrits que les auteurs poètes ont posté le 14/02/2020 pour votre plus grand plaisir.

Tu peux penser que je suis folle
Ce soir j’ai versé une larme…

En destinée fluctuante
Au diapason des lieux.…

Vous vivez dans la ville en vous que vous avez ach
Vous n’avez pas encore pu apurer vos dettes.…

Ils m’ont jugé devant les fleurs
Les fleurs se sont tues…

Les chagrins s’accrochent
Aux roses blanches…

D ’ attention prêtée
Lecteur est happé…

Des vents de ségrégation soufflent
Sur les lieux de travail…

Les oiseaux de quai
Me traînent vers les mers…

Ami, tu n’es pas coupable
Les coupables sont les soirs…

Même si je t’ai perdue
De ces miroirs-là…

Ne prends pas froid au carrefour
Des froideurs……

Chaque fois que tu pleurais, je pleurais aussi
Je m’agrippais à tes bras…

Lorsque les aspirations primitives
S’unissent à la lutte d’intérêt…

Les chiffres écrits
Les uns sur les autres……

Oh folie que j’aime ton devenir en moi,
Prise de pulsions pourtant inavouables.…

Frère balayeur,
Ne balais pas les espoirs…

Je n’avais jamais pensé
A jeter l’ancre…

L’un d’eux
Essayait de dormir…

Nous avions un chat
D’une fidélité exemplaire……

De toute ta vie tu n’as jamais vu
La mer mauve…

Emmène-moi là-bas avec tes mains
Au moment où les peines familières…

La distance entre la porte et l’arrêt était de dix
Un chat courrait vers l’arrêt,…

Une extrémité de la chaîne des pseudo-changements
Dans tes mainsPour ne jamais guérir…

Quel que soit l’endroit où il entre
Quelles que soient les impasses…

Touche avec le bout de ton bâton
Touche…

J’étais tassé de fatigue
Sur une chaise…

On vit une époque bizarre mon frère
Ces gens-là gagnent de l’argent en occupant…

Le monde
Terrain d’immondices des roses…

Une extrémité de la chaîne des pseudo-changements
Dans tes mains…

En pensant
En travaillant…

Un espoir
A été mis dans la boite…

Les chansons me donnent le vertige
Mes nuits contiennent une révolte……

L’être humain se voit lui-même
Dans le miroir……

Je sirote mon esclavage
Les nuits…

Nous aurions mieux fait
De n’avoir pas connu…

L’enfant d’une obscurité immense
Affamé/assoiffé…

Elle était une femme…
Avec des sentiments surannés…

Le chasseur devenue guide pour oiseaux,
Avec ses deux visages…

Nous avons partagé
Une pomme……

Chaque fois que je lève ma tête
Vers le ciel……

Je t’ai dit « viens… »,
Tu n’es pas venu……

L’homme âgé de 55 ans,
Qu’il sache ou non,…

Lors d’un crépuscule à Méricourt,
J’ai rencontré des gens…

Tu n’as pas encore connu le bleu
Mon fils……

En observant une fin
Des souvenirs pénibles se noueront…

« Dédié à la mémoire de Monsieur Simon JOSEFIAK
Professeur de soudure à AFPA »…

Quelle est la relation avec les peines
Du vase, du bocal,…

Emmène-moi là-bas
Dès que la flamme en moi sera éteinte…

Tu es habitué
A lutter…

Un poussin dans son œuf
Un œuf dans sa poule…

L’échelle n’est plus nécessaire
Pour monter……

Puisque je suis là
J’ai eu envie « de te voir à distance »…

Tu as intériorisé les peines
Tu as perdu tes yeux…

Tu nourris le corbeau
Il te crève l’œil…

Toutes les couleurs paraissent noir
Dans l’obscurité……

Là où poussent les lys
Il y a aussi des insectes……

J’ai tripoté
Trois fois avec mes doigts…

İskender était un modèle,
Pour raconter le temps…

Je découvre les vérités
Je les prends en main…

MOI, J’AI VU MON PROFESSEUR DANS DES MONDES DIFFER
…

Vous aussi comme eux
Couvrez…

Les abricotiers
Plantés par mon père…

Il n’y a ni rose
Ni roseraie…

Comme des douleurs au dos
Les froids de décembre…

Heureusement qu’il y a des Etats,
Des lois……

La guerre est punition :
Châtie bon ou méchant,…

T’avoir aimée. … ,
plus que tout au monde… .…

Le duo d’amour un air qui se chante
Tendre connivence unissant les voix…

Ce n’est pas avec un crayon
Mais avec une lame que je dessine…

Le vin de ma peine
…

Une table une chaise
Une feuille un stylo…

Tu es le jour,
Je suis bravoure.…

LUI LE VENT…
La peau de mon visage…

Je n’ai rien changé
En cette soirée.…

Plus le temps passe
Nos cœurs et nos esprits de plus en plus se fusion…

LA MAIN DANS LA MAIN
…

Chaque fois que la nostalgie
Tombe sur mes yeux……

Quand on a dit à son sujet qu’il était « sauvé… »
Il venait d’avoir un enfant.…

Puisque tu es libre mon enfant
Alors dis…

Au 1er mars
Ils ont fêté l’anniversaire…

Il ne reste plus de trace
De l’amour et de la fraternité……

Vous êtes sur les chemins que j’ai parcourus
Et sur les places que j’ai mises à l’envers……

L’agha urbain
Qui ne veut pas nous comprendre…

LE 18ème SIECLE
…

Il était une fois
Assis sous un noyer…

Sur la planète terre
Il existe maintes fleurs…

Tandis que les rues devenaient sombres
Un homme marchait…

Les douleurs envahiront tes rêves
Ecoute donc la mer…

Ceux qui se nourrissent de viandes… de produits la
Ne peuvent t’estimer à ta juste valeur.…

Des obstacles devant toi
Des crochets derrière……

Plus je m’approche plus je m’éloigne
Plus je m’éloigne, plus je coexiste…

Lorsqu’on parle
De Mantes la Ville,…

Dans la vallée des coupables
Sois patient…

J’ai écrit avec mon cœur
Mes poèmes…

Sans te faire sentir d’aucune manière
Dans des contrées très éloignées de toi…

Quand tu t’ennuies
Va au bord de la Seine…

Moi et eux
Sommes aux coins…

IL FUT UN TEMPS OU ILS ONT FAIT FAIRE
DES COMBATS DE COQ A NOS GENS…

Mais de quelle espèce humaine es-tu donc
Tu ne t’inquiètes absolument pas de nous……

Aujourd’hui je choisirai l’un d’entre vous.
Un enfant sur qui tombe une ombre, coincé entre le…

Si tu peux pénétrer
Dans leur for intérieur…

Le bleu du ciel est tombé sur tes bords
Les sommeils sont devenus les échelles de tes murs…

J’étais petit
Tout petit…

Ils étaient peureux contre les chaleurs
Et craintifs face à l’amitié……

Une pierre posée par terre
Les cigales qui mendient…

Par ses attitudes
Ton oncle ressemble à…

Dans la contradiction de la haine
C’était une chaîne…
Les poemes avec réactions
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